vendredi 20 octobre 2023

Les Dames de Piques - Sophie et Ophélie -01- La Fête de la Science

La Fête de la Science

 

Monsieur Ali flâne sur la place. Il se promène entre les stands que les laboratoires de l'université voisine ont installés pour présenter leurs travaux au grand public à l'occasion de la fête de la science. Il s'arrête parfois pour écouter un chercheur ou un étudiant expliquer ce qu'il fait dans un langage plus ou moins compréhensible, vulgariser son savoir sans le trahir n'est pas simple. Il passe de stand en stand, il faut avouer qu'il est plus attiré par la plastique des étudiantes de toutes origines que par leurs activités, même s'il est curieux.

Il aperçoit alors le dos d'une petite femme brune, d'une blouse qui lui descend presqu'aux chevilles. Il s'approche. Entourée de cinq ou six personnes, elle explique ses recherches et leur implication pour la santé. Elle est complètement différente des femmes qu'il a l'habitude de séduire, bien plus âgée, sûrement proche de la cinquantaine. Il la voit de face maintenant, son visage trahit son âge effectivement, mais elle devait être superbe à vingt ans. Elle n’est pas maquillée et tout dans son comportement montre qu’elle est naturelle. Il lit le prénom sur le badge qu’elle porte, Sophie. Il regarde la blouse ouverte, les pans écartés par sa volumineuse poitrine dissimulée sous une ample tunique. Il se demande à quoi peuvent ressembler ses globes de chair lorsqu’ils sont soumis à la gravité. Elle a aussi un ventre un peu rebondi et le legging qu’elle porte doit bien mouler ses fesses. Quel dommage que la blouse et la tunique lui masquent ce spectacle !

Pendant ses explications, elle regarde vers lui, leurs regards se croisent. Elle lui sourit, frappée par ces beaux yeux noirs perçants, sa taille et sa carrure impressionnante. Elle sent le mâle alpha sous un sourire étrange, mélangeant l'empathie et la sévérité.

Monsieur Ali reste l’écouter jusqu’au bout.

Quand elle finit son exposé, il s'approche d’elle pour tenter de lui parler, mais il est pris de court par un homme et une jeune fille brune, dont la ressemblance avec Sophie est flagrante. Tout juste sortie de l’adolescence, elle a un sourire candide mais elle doit aussi connaître son potentiel de séduction, surtout quand elle porte comme aujourd’hui un haut qui dévoile son nombril orné d’un piercing discret mais ravissant. Il est évident aussi qu’elle ne porte pas de soutien-gorge sous ce haut moulant laissant deviner une poitrine déjà bien généreuse.

— Maman, nous avons fini ! Thomas a fermé son stand pour aujourd’hui, nous allons rentrer, tu viens avec nous ?

— Déjà ?

— Oui, déjà ma chérie, il est presque 18 heures…

— D’accord ! J’arrive…

Monsieur Ali s’est un peu reculé. Il la voit saluer ses collègues et il entend Thomas lui proposer d’aller prendre un verre à la terrasse d’un café sur la place.

***

Monsieur Ali les suit et il observe. Il remarque que la jeune fille est vraiment très proche de l’homme, elle pose même la tête sur son épaule et il voit la main de l’homme glisser doucement sur les petites fesses fermes, moulées par son jean taille basse qui permet de voir le string de dentelle rouge qu’elle porte. Il admire le galbe de ses mollets et ses cuisses fermes, il la voit bien juste vêtue d'un string se déhancher autour d'une barre ou sur une table pour attiser le désir des hommes. Elle n'aurait aucune difficulté à arrondir son salaire en faisant des extras, ses clients adorent les jeunes étudiantes.

Monsieur Ali les laisse s’installer et s’approche.

— Excusez-moi Madame, j’étais sur votre stand il y a quelques minutes et j’aurais aimé vous poser quelques questions… Puis-je m'asseoir ?

— Bien sûr ! dit Thomas en regardant sa femme.

Il est un peu surpris de l'audace de cet homme qui vient les déranger. Ils ont passé la journée à expliquer de nombreuses fois leur travaux. La journée est finie, ils ont envie de souffler un peu. Mais il connait sa femme, toujours prête à rendre service. S'il refuse, elle va le lui reprocher pendant des jours.

— Oui bien sûr, c’est toujours un plaisir de parler de mon travail. Je vous présente, Thomas, mon mari, Ophélie, ma fille et moi je suis Sophie, mais vous l’avez peut-être lu sur mon badge.

— Oui je l’avais vu merci. Je suis Monsieur Ali et mes connaissances en biologie s'arrêtent au lycée mais cela m’a toujours intéressé.

— Alors allez y posez moi vos questions.

Prenant une chaise, Monsieur Ali s'assoit en face d'elle, il la fixe droit dans les yeux.

Elle sent comme une gêne, ne sachant pas quelle attitude prendre et que penser de cet homme dont regard perçant la trouble d’autant plus qu’il la déshabille des yeux. Il va de sa poitrine à ses jambes qu’elle écarte sans savoir pourquoi ayant un legging, sentant à cet instant l'humidité de sa culotte et de la tension dans sa poitrine augmenter de manière incontrôlable.

Il commence à poser des questions simples auxquelles Sophie se fait un plaisir de répondre. La conversation dure et Thomas lui dit qu’il est lui aussi chercheur mais dans un tout autre domaine, sa spécialité c’est le Haut Moyen Âge. Thomas lui explique qu’Ophélie, la fille de Sophie, a préféré suivre la voie de Thomas et poursuit des études d’histoire plutôt que la biologie comme sa mère. Thomas lui explique qu'il n'est pas le père d'Ophélie, mais le second mari de Sophie et qu’ils vivent ensemble depuis plus de dix ans.

Thomas ne sait pas pourquoi il est aussi volubile, mais cet homme le surprend. Il s'est présenté comme ayant un niveau basique en biologie, mais il pose des questions à Sophie que lui-même qui connaît un peu son travail n'aurait jamais pensées. De la même manière, quand il lui a décrit ses recherches, il a su lui citer des auteurs confidentiels. Mais ce qui l'a le plus perturbé, ce sont les regards qu'il lance vers Sophie, vers son léger décolleté. Il voit bien que les yeux de cet homme brillent. Ses fantasmes remontent.

Il imagine cet homme baiser sa femme, la prendre sans retenue, sans limite.

Lorsque Monsieur Ali prend congé de la petite famille, il réussit à instaurer un climat de confiance et c'est tout naturellement que Sophie accepte de lui laisser son numéro de téléphone pour qu'ils restent en contact et même qu'il la prenne en photo pour associer son visage à son numéro.

Elle répond favorablement se laissant photographier en donnant son numéro et reconnaissait que c’est plus sympa pour téléphoner

"Quelque chose ne va pas chez moi, pense Sophie. Pourquoi j’apprécie autant ce moment bizarre, est-ce parce qu'il me sort de ma routine ?"

***

Monsieur Ali regarde ses nouveaux “amis” s'éloigner. Il regarde surtout les culs des deux femmes, même si celui de la mère est caché par sa tunique, celui de la fille moulé dans un short en jean moulant est prometteur. Il bande en imaginant ces deux culs l'un à côté de l'autre et qu'il chevauche alternativement la mère et la fille.

Cependant la discussion qu’il a eue avec Thomas et l'attitude de ce dernier envers sa belle-fille le perturbe. A nouveau, il voit la main de l’homme se poser discrètement sur le cul de la jeune fille. Est-ce une invitation ou le beau-père abuse-t-il de sa belle-fille, dans le dos de sa femme ? Est-ce le moyen de le mettre à l’écart ? Sera-t-il possible de semer la zizanie dans le couple ? Alors qu’il a ces réflexions, il aperçoit Thomas qui se retourne et lui fait un sourire. Cet homme va lui compliquer la tâche, il en est certain.

Habituellement, il ne s'occupe pas des maris et les ignore superbement ce ne sont que des blancs que l’on peut difficilement qualifier de mâle mais ce Thomas est différent

Il est intelligent et sûrement malin. Il va être difficile à écarter d’un revers de main et il ne peut même pas être sûr que le chantage marche. Ophélie semble vraiment aimer son beau-père. Monsieur Ali pense alors que l’intelligence et la sagacité de Thomas peuvent lui être utiles dans son organisation. De plus, il est prof à la fac, une porte d’entrée potentielle pour accéder à toutes ces étudiantes désargentées.

Oui ! il va falloir qu’il y réfléchisse. Mais, pour le moment, il lui faut ferrer la mère pour espérer aussi attraper la fille. Il va lui falloir agir avec subtilité.

***

Dans la soirée, Sophie est allongée dans son lit, en t-shirt et culotte. Elle joue sur son téléphone alors que Thomas vient de s’endormir. Soudain elle reçoit un message. Qui peut bien lui envoyer un message à cette heure tardive ?

Merci encore pour ces explications à la terrasse. Bonne nuit. Monsieur Ali

Elle est agréablement surprise de recevoir ce message. Elle pensait que même s’il prenait son numéro, celui-ci finirait dans la longue liste des numéros enregistrés dans les téléphones qui ne sont jamais utilisés.

Elle se souvient très bien de cet homme si charmant lorsqu'ils ont discuté à la terrasse du café. Ses yeux pétillants aux paroles de Thomas et à ses explications, son sourire faisait ressortir la blancheur de ses dents qui contrastent avec sa peau sombre. Elle sourit intérieurement tellement cette image est un cliché.

C’est tout à fait normal, vous êtes si charmant, ce fut un plaisir. Bonne nuit à vous aussi. Sophie

Ce message la trouble, cela fait bien longtemps qu'un autre homme que son mari lui a souhaité une bonne nuit. Elle revoit Monsieur Ali, sa taille et sa carrure impressionnante. Elle ne peut pas s'empêcher de se demander si ce que l'on raconte au sujet des noirs est vrai. Ont-ils vraiment un sexe beaucoup plus gros que celui des blancs ? En réalisant ce qu'elle vient de penser, elle a soudain un sentiment de culpabilité par rapport à son mari qui dort à côté d'elle, mais un frisson la parcourt et elle sent une douce chaleur entre ses cuisses.

Un nouveau message fait vibrer son téléphone, dans un style différent, beaucoup moins formel.

Tu ne dors pas ?

En remarquant, le tutoiement, Sophie ne s'en formalise pas. Ce type de message ne sont pas vraiment prévu pour des conversations formelles, et depuis cette discussion a autour d'une bière, une certaine complicité s'est instauré entre eux. Elle a pu constater aussi que ses collègues d’origines africaines, passent très rapidement au tutoiement et cela aussi correspond assez à la personnalité de Monsieur Ali. Leur rencontre fut brève, mais il est clair que c’est un homme qui est à l’aise et qui s’impose naturellement.

“Non, je joue sur mon téléphone en attendant que le sommeil vienne”

“tu es couchée ?”

“oui je suis dans le lit. Thomas dort à côté de moi”

“avec une femme comme toi à côté de moi, je ne dormirai pas moi !”

“vous me draguez !”

Monsieur Ali se demande s’il ne va pas trop vite et trop loin. Sophie risque de couper la conversation et de ne plus répondre ensuite à ses messages. Il envoie alors un message moins direct dans lequel, il lui demande si elle sera sur le stand le lendemain après-midi, il aimerait encore discuter avec elle.

La réponse de Sophie surprend et satisfait Monsieur Ali. Elle lui dit qu’elle ne sera pas présente sur la place mais elle veut bien le rencontrer dans le lieu de son choix.

Monsieur Ali ose alors le tout pour le tout.

“Chez toi pour le café 14h”

“D’accord j’en parlerai à Thomas demain matin et je vous le confirmerai demain matin.”

Sur ces mots, elle pose son téléphone et n’arrive pas à retirer de son esprit, l’image qui s’impose à elle. Monsieur Ali nu, ou plutôt telle qu’elle l’imagine. Elle s’endort ainsi et quand elle est réveillée par l’odeur du café que Thomas est allé préparer, elle se souvient parfaitement du rêve qu’elle vient de faire.

Elle était nue dans une chambre d’hôtel avec Monsieur Ali et il lui avait fait l’amour dans toutes les positions possibles et imaginables.


lundi 16 octobre 2023

Erika : Dresseuse de Couples -09- Olivier se souvient

 

Berlin, Alexanderplatz, une auberge de jeunesse, milieu des années 1990

Olivier était arrivé dans cette ville depuis presque trois semaines. Il y était venu pour améliorer sa pratique de la langue de Goethe et surtout pour réaliser son stage à l’étranger dans une grosse société informatique allemande qui, à cette époque, était à la pointe du progrès. Il avait réussi à trouver un lit dans l’une des nombreuses auberges de jeunesse de la capitale de cette Allemagne nouvellement réunifiée. Il partageait un petit dortoir avec cinq autres jeunes venus de différents pays européens. En même temps que le travail ou leurs études, ils pouvaient profiter de la joyeuse effervescence culturelle de cette ville. Rapidement ce groupe de six jeunes gens avait repéré les lieux propices pour faire la fête quand on ne disposait que des moyens d’un étudiant.

Ce soir-là, ils étaient dans un de ces clubs spécialisés dans la musique techno, ce n’était pas la musique préférée d’Olivier mais il ne fallait pas chipoter, vu le prix d’entrée et l’ambiance, c’était ce qu’ils avaient trouvé de mieux. Alors qu’ils étaient en train de se demander ce qu’ils allaient prendre comme alcool pour continuer la soirée, bière, vodka, whisky, une grande femme blonde s’était approchée de leur groupe et fixait Olivier.

L’alcool ayant déjà commencé à agir sur les garçons, ses compagnons poussèrent Olivier vers cette femme. Elle avait un corsage avec un décolleté laissant apparaître des seins en forme de poire plutôt bien développés ! Sa petite jupe en corolle, classique, au-dessus du genou laissait entrevoir de jolies cuisses. 

— Assure mon pote, lui disait Andrea, avec son accent italien inimitable. Vas-y, profite, ce n’est pas tous les soirs qu’une allemande te lance une telle invitation.

La femme souriait, pourquoi moi ? se demandait Olivier, mais Andrea à raison, pourquoi ne pas en profiter et Marie-Gabrielle est loin et elle n’en saura jamais rien.

Un peu plus tard, avec avoir consommé un certain nombre de verres d’alcool dont il ne se souvenait plus du nom, il s’était rapidement retrouvé nu dans cette pièce en compagnie d’Ida à peine plus vêtue que lui. Avaient-ils fait l’amour ? Il n’en avait aucun souvenir. La seule chose qu’il constatait, c’était un violent mal de crâne, une putain de gueule de bois !

Ida, il se souvenait de son prénom, déambulait en petite culotte dans l’appartement alors qu’il émergeait doucement.

Il regardait cette femme qui venait de lui apporter une tasse de café. Elle devait bien avoir dix ans de plus que lui. Elle s’assit près de lui, sur le lit, elle lui souriait en passant sa main sous la couette à la rencontre de son sexe qui pendait lamentablement entre ses cuisses. Il frémit, mais il ne pouvait pas s’empêcher d‘admirer sa poitrine ; rien à voir avec les œufs au plat de Marie-Gabrielle.

— As- tu envie de découvrir un nouveau jeu ?

— Oui pourquoi pas ?

— Ferme les yeux et laisse-toi faire !

Il sentait la main d’Ida lui presser les couilles. Si c’est un jeu comme cela, je veux bien me laisser faire, pensait-il. Elle lui faisait mal mais il appréciait cette sensation de pression et son sexe durcissait.

— Tu aimes ?

— Oh oui ! Continue !

Isa lui sourit et il sentit un doigt venir appuyer contre son anus.

— Qu’est-ce que tu fai ,

— Chut ! Laisse-toi faire !

Il gémit quand une phalange força son cul doucement. Mais il se sentait étrangement bien, à la merci de cette femme. Elle poussa son doigt doucement dans son cul, il émit alors un petit cri. Lentement, il sentait ce doigt entrer en lui. Un étrange plaisir le submergeait. Cela n'avait rien à voir avec le plaisir qu'il ressentait lorsqu'il faisait l'amour avec Marie-Gabrielle. Ida commença à remuer son doigt, il bandait comme un taureau.

— Retourne-toi, lui demanda-t-elle. Mets-toi à quatre pattes !

Il trouvait cela étrange, mais il lui obéit, ne voulant pas que ce moment de bien être s'arrête. Quand il fut à quatre pattes, elle introduisit à nouveau son doigt dans son cul et de son autre main, elle le brûlait. Excité comme il l'était, il ne put plus se retenir longtemps et il éjacula sur le lit.

— Oh petit cochon ! Tu as sali mes draps, je vais te punir !

Et il sentit la main d'Ida sur sa fesse. Elle lui donna une dizaine de claques, il gémissait. Elle s'est arrêtée pour venir l'embrasser. Il était aux anges.

— Tu as aimé, petit français ?

— Oh oui, jamais je n'avais ressenti cela !

— Je le savais ! lui dit-elle en souriant. Je le savais dès que je t'ai vu. Mon instinct ne trompe pas. Tu es un homme soumis.

— Peut-être répondit-il pensif. Peut-être.

— Je suis dans cette boîte, tous les vendredis soir. Si tu veux me revoir !

Olivier rentra dans sa chambre à l'auberge de jeunesse où ses compagnons de chambre tentèrent de lui faire raconter sa nuit avec cette superbe blonde. Mais, il garda son secret pour lui.

Lors de la rencontre suivante avec Ida, elle lui fit découvrir le martinet et un peu plus tard, elle déflora son petit cul avec un gode ceinture. Ces moments particuliers avaient été pour lui une découverte et comme une sorte d’initiation pourrait-on dire. 

De retour à Nantes, Olivier ne parla jamais de sa maîtresse allemande. Il épousa Marie-Gabrielle en sachant parfaitement qu'elle ne serait jamais une dominatrice, au contraire. Elle s'accommodait parfaitement de la posture d'homme machiste qu'il avait prise pour tenter d'oublier qu'au fond de lui, il ne trouvait vraiment du plaisir que dans la soumission.

Il s'investit dans son métier, partant souvent en déplacement, en espérant secrètement croiser la route d'une femme comme Ida. Mais, jamais parmi ses maîtresses occasionnelles, il ne retrouva cette ivresse.

Jamais, jusqu'à sa rencontre avec Erika.

vendredi 13 octobre 2023

Rééducation de Bourgeoises Hautaines -08- Résolutions du Week-end

 

Charlotte

En enfilant le plug ce matin, je me demande ce qu'attend Monsieur Didier, comment veut-il que je le supplie de m'enculer ? Me veut-il à genoux devant lui, implorant son sexe dans mon cul ? Je repense aussi, aussi à Natacha et à l'aveu qu'elle m'a fait hier, qui est son amant mystère ? Où l'a-t-elle rencontré et comment fait-elle avec ses enfants ?

Je la comprends, les absences de Pierre-Henri sont si longues. Comment pouvais-je imaginer qu'elle restait sagement à l'attendre ? Moi-même, je me caresse régulièrement quand François par en déplacement et pourtant il ne part jamais aussi longtemps que le mari de Natacha.

En sortant de l'immeuble, je salue Albert qui comme tous les matins se penche pour être embrassé par les enfants. Je le regarde aussi différemment après la punition que j'ai reçue chez Alain. J'ai affirmé à Monsieur Didier que j'acceptai qu'il m'offre à Albert s'il me le demandait. Sur le moment cela me semblait évident mais en le voyant, je ne peux m'empêcher d'avoir un frisson de recul. C'est impossible, je ne pourrai jamais baiser avec noir. Mais, je pense que je n'y échapperai pas, Monsieur Didier n'est pas un homme à dire les choses à la légère. Mais ce qui me fait le plus peur, c'est quand il a parlé de m'offrir à un groupe d'hommes. J'ai encore les images de Justine avec ses amis et celle de la Générale, le dimanche matin.

Malgré moi, le fait de penser à ces choses me fait mouiller. Je sens l'humidité au fond de ma culotte. C'est trop tard, je ne peux plus remonter me changer.

Devant l'école, je salue de loin Justine Chalon, je préfère ne pas croiser son regard et je pense qu'elle n'a pas envie de croiser le mien.

J'embrasse Natacha qui me semble inquiète et elle a des cernes, comme je lui en ai rarement vu.

Que t'arrive-t-il ?

Oh rien ! J'ai juste passé une mauvaise nuit, Baptiste doit commencer à faire ses dents…

Je n'insiste pas, mais il est encore petit pour ça, me dis-je. Je souris en voyant Clotilde et Noémie qui entrent en courant dans l'école.

En arrivant à l'agence, Adeline me demande si mon client particulier doit passer aujourd'hui. Que sait-elle, elle aussi, de ce que Monsieur Didier me demande dans mon bureau. Certes, si je ne doute pas de l'isolation de la pièce, je la sais assez observatrice pour avoir remarqué que ce n'est pas un client normal.

Je ne sais pas Adeline. Je n'ai rien dans mon agenda aujourd'hui ?

Non, Charlotte… Je n'ai rien vu de particulier.

Je m'enferme alors dans mon bureau et m'installe du mieux que je peux pour être le moins incommodée possible par le plug. Il n'y a rien à faire, je ne m'y habitue pas.

Tu vas bien Charlotte, me demande Adeline quand nous déjeunons ensemble.

Oui ! Merci, mais je me pose des questions sur mon couple avec François…

Pourquoi ?

Je le trouve de plus en plus distant, il est rentré il y a deux jours après presque quinze jours d'absence et le mercredi soir, c'est tout juste s'il a fait attention à moi…

Oh ! Tu sais, moi les hommes…

Oui je sais, mais…

J'hésite, je ne sais pas comment lui dire cela et nous n'avons encore jamais évoqué notre vie intime entre nous. Je sais qu'elle est lesbienne et je connais son amie qui est très sympathique.

Mais quoi ? 

Je rougis, puis je me lance.

Pendant son absence, je me suis amusée à m'épiler, et…

Elle me regarde, amusée.

Toi aussi, tu as succombé à cette mode…

Oui ! Je voulais savoir ce que cela donnait, et je voulais voir l'effet que cela aurait sur François…

Et ?

Rien… Comme s'il n'avait rien remarqué…

Là, elle me regarde et elle prend son air compatissant que je lui déteste.

En effet, tous ces efforts pour rien… Cela confirme ce que je pense depuis un moment, tu l'intéresse plus depuis un moment… il va voir ailleurs…

Comment peux-tu dire cela ? Tu viens de me dire que tu ne connais rien aux hommes.

Je suis peut-être lesbienne, mais quand la personne avec qui tu vis ne remarque plus tes détails intimes c'est qu'il y a quelque chose de casser entre vous. Et qu'est-ce qui brise, un couple, si ce n'est l'arrivée d'une tierce personne ?

Je ne peux qu'approuver ces paroles, mais je ne pouvais pas lui dire non plus que c'est plutôt moi qui aie un amant. Mais, je me promets d'être attentive pour découvrir si François me trompe ou pas.

Dans l'après-midi, François me téléphone pour m'annoncer que ses parents nous invitent pour le week-end. Il me dit qu'il y aura sa petite sœur et son grand frère, de retour des Etats-Unis avec ses enfants. Ce n'est pas ce qui m'enchante le plus, mais je sais que Thomas et Clotilde seront contents de voir leurs cousins américains.

Le dimanche soir, en rentrant, je réalise que cela fait trois jours que Monsieur Didier ne s'est pas manifesté. Je me prépare au pire le lundi et je n'oublie pas de remettre mon plug avant de partir travailler. Après deux jours sans l'avoir porté, je grimace en l'enfilant. Je suppose que je vais avoir droit à sa visite au bureau, je réfléchis à ce que je pourrais avoir commis comme erreur depuis notre dernière visite. Je n'en vois, pas je ne me suis pas caressée et j'ai simulé quand avec François nous avons fait l'amour dans le parc chez ses parents comme nous le faisions quand nous étions jeunes mariés.

Le samedi après-midi, alors que les enfants étaient partis faire un tour de poney avec leur oncle et leurs tantes, nous étions seuls avec François. Cela faisait longtemps que je ne l'avais pas vu aussi amoureux. Il m'a pris la main et il m'a demandé son absence n'avait pas été trop longue. Nous marchions dans les bois en nous éloignant de la maison.

Et, Didier le voisin, il a pris soin de toi comme il me l'avait promis ?

Oh oui ! Il a été très prévenant, il est passé au salon du tourisme et il s'est proposé de me ramener le dimanche soir. Maman l'a croisé et l'a trouvé aussi très sympathique.

J'en suis ravi, car vois-tu, on vient de me proposer de prendre la responsabilité de notre filiale en Arabie Saoudite…

Je l'ai regardé stupéfaite.

Et ? Tu leur as répondu quoi ?

Rien pour le moment, je voulais en parler avec toi, avant… Car tu ne pourras pas venir avec moi. D'une part, ce n'est pas un pays pour les femmes et d'autre part, tu as ton agence qui se développe bien d'après ce que j'ai pu voir.

Oui ! C'est sûr que je ne me vois passez mes journées avec un drap sur le corps… Mais, pour toi c'est une opportunité à ne pas rater. Accepte, tu reviendras régulièrement, n'est-ce pas ?

Oui, d'après ce que j'ai pu voir à peu près quinze jours tous les trois mois.

Alors fonce ! lui ai-je dit.

Et en même temps, je me suis jetée dans ses bras. J'ai aussitôt senti ses mains sur mes fesses. Nous étions arrivés dans cette petite clairière où nous avions l'habitude de faire l'amour il y a quelques années et où nous avions surement conçu Thomas. J'ai ressenti une pointe de nostalgie et je lui ai ouvert son pantalon et je me suis agenouillée pour le sucer. Quand il fut bien raide, j'ai rapidement retirer mon pantalon et ma culotte et je me suis allongée sur l'herbe et j'ai écarté les cuisses. Il m'a lentement pénétré, j'ai poussé un soupir de bien-être. Il a commencé à aller et venir en moi. Cependant, c'est le visage ce Monsieur Didier qui m'est apparu subitement, je me suis souvenue qu'il m'avait interdit de jouir. Heureusement François a rapidement éjaculé dans mon ventre. J'ai fait semblant de pousser des petits cris de ravissement. Nous sommes restés quelques minutes, étendus à nous souvenirs de nos ébats passés puis nous avons rejoint le reste de la famille.

Aujourd'hui, au bureau, je me dis que samedi prochain, je conduirais François à l'aéroport et que je ne le reverrai pas pendant trois mois.

Il va me falloir préparer les enfants à l'absence de leur père.

C'est en rentrant le soir, que je remarque que la voiture de Monsieur Didier ne se trouve pas sur dans le parking de l'immeuble. Je comprends alors la raison de son absence. Je me demande combien de temps, il va être absent. Malgré tout, je dois m'avouer qu'il me manque.

******

Natacha

Avouer à Charlotte que j'ai un amant, m'a soulagé, mais en même temps je suis inquiète. Puis-je avoir confiance en elle ? Va-t-elle garder cela pour elle ?

De plus ce matin en la croisant devant l'école elle voit bien que je suis perturbée, je lui dis que c'est à cause des dents de Baptiste, mais me croit-elle ?

En rentrant, je me décide de faire du tri dans les vêtements des enfants, je veux penser à autre chose. Je suis partagée entre Alain et Monsieur Didier. Chacun à leur manière, ils savent ce que je désire au fond de moi. Cela me fait peur mais je ne peux pas résister.

A onze heures, mon téléphone sonne, un numéro masqué. Je ne réponds pas mais quand j'entends le message, je suis affolée : "Alors Salope, on oublie sa photo ! Tu as deux minutes pour l'envoyer sinon…"

Aussitôt, je me rue dans la salle de bain, je me déshabille et retrace la lettre sur mon pubis lisse et prend la photo avant de l'envoyer.

Je reprends mes esprits. Qu'a-t-il voulu dure par sinon… ? Je n'ai pas reconnu la voix. Elle semblait avoir été trafiquée, était-ce Alain ou Monsieur Didier ?

Je me replonge dans mon rangement et le soir quand Pierre-Henri rentre, il me dit qu'il a déjeuné avec Alain et qu'ils ont parlé de moi. Je tremble. Que se sont-ils dits ? Qu'a raconté Alain ?

Alain t'a trouvé vraiment très gentille et très agréable. Il t'apprécie depuis toujours et il veut te proposer quelque chose quand je serais en mission…

Ah bon ! Quoi ?

Il serait ravi que tu viennes passez les week-ends avec les enfants. Il sait que tes parents sont loin dans le sud et que les miens ne sont pas à côté. Rosalinde sait très bien s'occuper des enfants et comme cela tu pourras souffler un peu.

En parlant, de sud, tu te souviens de Virginie ?

Oui bien sûr ! Quand on la croise une fois, on ne peut pas l'oublier.

Eh bien ! Elle m'a proposé de venir passer quelques jours dans leur propriété du Lubéron…

Mais bien sûr ! On t'organisera cela. Mais pour ce week-end, on reste tranquille à la maison.

Nous faisons un week-end cocooning dans l'appartement, malgré le beau temps, nous décidons de rester à l'aise. Nous jouons avec les enfants, nous regardons la télévision assis sur le canapé.

A l'heure fatidique, je trouve une excuse pour aller m'isoler dans la salle de bain, écrire le "S", prendre la photo, l'envoyer.

Dans l'après-midi, lorsque Pierre-Henri passe sa main sur ma cuisse sous ma robe avec les enfants pas loin, je réagis à ses caresses et quand le soir nous nous retrouvons au lit, je suis tellement trempée que je ne résiste pas longtemps et l'accueille en moi. Il entre dans ma chatte trempée. Je ferme les yeux et je jouis plusieurs fois avant qu'il ne jouisse à son tour et me remplisse de son foutre.

Le dimanche se passe de la même manière. Nous décidons même de ne pas nous rendre à l'église.

Le soir, alors que nous venons encore de faire l'amour, je réalise que Monsieur Didier a raison, ma vie se résume à m'occuper des enfants, de la maison, attendre le retour de mon mari, me faire baiser par lui quand il est là… Décidément, où est passé la Natacha Lambert-Wilson, jeune avocate féministe qui devait devenir un des ténors du barreau ? A quel moment, ai-je raté quelque chose ?

Il faudra que j'en parle à Pierre-Henri. Je pourrais peut-être reprendre une activité professionnelle. J'ai encore quelques relations et en demandant à mon père, il pourra surement me trouver une place dans un cabinet.

Le lendemain, quand je me lève, toutes mes idées du soir ont disparu. Il faut que je m’occupe des enfants et de mon mari. J’ai des remords de l’avoir trompé. Il faut que cela cesse. Satisfaite de ma résolution, je prépare les enfants pour l’école.

lundi 9 octobre 2023

Rééducation de Bourgeoises Hautaines -07- Confidences

 

Didier

Nous sommes mardi. Je pense que le mari de Charlotte va bientôt revenir. Et il faut que je voie si elle respecte mes instructions. Je décide alors que je passerai à l’agence quand nous aurons fini. 

Plus tard, me voilà devant l’agence de voyages de Charlotte. J’entre et je vois son employée me regarder et attendre que je lui dise ce que je veux. Je ne sais pas, mais sur l’instant elle ne me plaît pas. Sans un mot, j’avance et prends le couloir pour atteindre le bureau de Charlotte. La fille se lève et me poursuit. Je me dépêche d’entrer dans le bureau et je claque la porte au nez de l’employée. Charlotte lève le nez de ses dossiers, surprise par mon entrée en trombe. 

— Toc toc, Madame de Villaret, ça va ? dit Adeline en toquant à la porte que je viens de verrouiller. 

— Oui Adeline ça va ! Laissez-nous ! crie Charlotte. 

La jeune fille semble s’en aller. Je dis simplement : 

—Inspection ! 

– Oui Monsieur ! dit Charlotte avant de se lever de son bureau, le contourner et se mettre au milieu de la pièce. 

Pendant que je vais m’asseoir à sa place, elle se déshabille et se met dans sa position habituelle. 

— Tourne-toi et baisse-toi ! 

Elle m’obéit et je vois que le plug est bien en place. Je suppose qu’elle doit s’y habituer. 

— As-tu joui depuis dimanche ? 

— Oh non, Monsieur ! 

— Viens sur mes genoux ! 

Elle se dépêche et bientôt j’ai ses seins dans mes mains. Je les pétris sans douceur, puis je tire sur ses mamelons avant de les tordre. Charlotte grimace et pousse des petits cris de douleur. Je descends une main à son entrejambe et glisse un doigt dans sa petite fente. Bien sûr elle mouille. 

— Encore excitée salope ? 

— Oui Monsieur ! 

— Tu veux ma bite ? 

— Oui Monsieur s’il vous plaît ! 

— Où ? 

— Où vous le désirez, Monsieur ! 

— Bien ! Suce-moi ! 

Elle se lève de mes genoux et se penche pour défaire ma braguette. Après avoir sorti ma bite elle l’engouffre, avec bonheur j’ai l’impression. Je crois qu’elle aime bien mon sexe. Elle suce de mieux en mieux. Elle me garde en bouche quand j’éjacule afin de ne rien perdre de mon sperme. Puis elle me montre sa bouche vide. Je range mon matériel, me lève du fauteuil et me dirige vers la porte que j’ouvre. Puis la main toujours sur la poignée je dis : 

— Si un jour tu ne veux plus avoir à mettre le plug, viens me supplier de t’enculer ! 

Sur ces mots, je ferme la porte et avance dans l’agence. Adeline me regarde, un air méchant sur son visage. Je ne peux pas m’en empêcher, comme un gamin je lui tire la langue avant de sortir.

******

Charlotte

En ce lundi matin, en me préparant, je profite de ce ma mère soit toujours là pour prendre mon temps sous la douche. Je me savonne partout et je prends le temps de m'épiler. Monsieur Didier m'a dit qu'il pourrait passer n'importe quand, je ne veux pas risquer qu'il me surprenne alors que je ne suis pas aussi bien parée qu'il le souhaite.

Je réalise que je suis en train de tomber amoureuse de cet homme qui m'impose des choses que je refuserai à mon mari. Que m'arrive-t-il ? Je ne me reconnais pas. Où est passée la Charlotte sûre d'elle et totalement indépendante des hommes ?

Dans la chambre, je sors le plug de mes culottes et je me l'enfile. J'ai remarqué qu'une fois en place, il ne risque pas de quitter sa place, aussi je ne mets pas de culotte sous ma jupe droite. Je décide de prendre ma voiture. Prendre les transports en commun avec le plug dans mes fesses me semble impossible.

Avant de partir, j'embrasse ma mère et les enfants et je prends le chemin de l'agence. J'aurais dû m'y attendre, mais Monsieur Didier ne passe pas. Une part de mon espérait sa visite.

Quand je me couche le soir, c'est un peu dépitée que je m'endors. Après avoir passé deux jours intenses avec lui, je ressens son absence, bien plus que celle de mon mari.

C'est pour cela que lorsqu'il entre en claquant la porte de mon bureau ce mardi que je réponds sèchement à Adeline. J'irai peut-être m'excuser auprès d'elle ensuite.

Je me déshabille immédiatement et prends la pose. Il joue un peu avec le plug qui me perturbe de moins en moins.

Avec fierté, je lui annonce que je n'ai pas joui depuis ce week-end, aussi quand il me demande si je veux son sexe en moi, j'accepte avec plaisir.

En lui disant : où vous voulez, Monsieur ! J'espère qu'il va me baiser. Hélas ! Il me demande de le sucer. Bien entendu, je m'applique et je lui offre ma meilleure fellation. Je l'avale sans rechigner et je lui montre ma bouche vide.

Avant de partir, il me lance :

— Si un jour tu ne veux plus avoir à mettre le plug, viens me supplier de t’enculer !

Je réalise avec horreur qu'Adeline se trouve derrière la porte. A-t-elle entendu ce qu'il m'a dit. En tout cas, elle n'en laisse rien paraître. Même si elle me dit que ce client est des plus étranges.

Je profite de ce que ma mère est présente pour travailler plus longtemps à l'agence. Nous passons la soirée à discuter de la situation d'Élisabeth et d'un coup, elle me dit qu'elle me félicite d'avoir choisi Rachel comme baby-sitter.

— Tu n'es pas allée chercher les enfants à l'école ?

— Oh non ! Au moment où je sortais, j'ai croisé ton voisin qui rentrait, il m'a proposé de venir prendre un café chez lui. Et Rachel, qui rentrait de ses cours à ce moment, m'a dit d'y aller, elle irait chercher les petits. Après le café, elle avait fait leurs devoirs avec eux… C'est une perle cette petite !

Monsieur Didier a invité maman venir boire le café, ce n'est pas possible ! Je suis en panique, mais je le cache. Je suis presque soulagée quand ma mère me dit qu'elle rentrera en Normandie le lendemain. D'une part parce qu'elle sera loin de Monsieur Didier, d'autre part car François rentre et que je n'aime pas faire l'amour quand mes parents sont dans la même maison que nous. Et, lorsqu'il revient, François me fait toujours l'amour. Cette fois-ci cela sera-t-il différent, pour lui comme pour moi ?

Seule dans mon lit, je cherche un indice de ce qui a pu se passer chez Monsieur Didier. Il me semble avoir vu ses yeux briller quand elle en parlait, mais je n'ai rien pu savoir de plus. Qu'a-t-elle pu découvrir de lui ?

Les enfants sont ravis de retrouver leur père, il passe du temps avec eux, mais je le vois préoccuper. L'accident à l'usine a dû être bien plus grave que ce qui a été annoncé dans les journaux. Je ne l'ai jamais vu aussi abattu.

Quand les enfants sont couchés, je me dis que je dois prendre les choses en main. Lorsque j'arrive dans la chambre, j'ai enfilé une petite nuisette transparente noire qu'il m'avait offerte quelques mois après notre mariage. Je marche vers lui sensuellement. Il lève les yeux et me sourit. Il me tend la main. Aurais-je réveillé de l'envie chez François ?

Il m'attire contre lui. Je passe ma main sur son torse. Je sens la sienne glisser sur mes fesses. Il me caresse. J'embrasse sa peau doucement et descends ma bouche vers son sexe que je sors de son caleçon. Je ne peux m'empêcher de faire la comparaison avec celui de Monsieur Didier. Je le masturbe un peu, si je ne peux pas affirmer que celui de Monsieur Didier est plus gros ou plus grand, en revanche, il est plus dur. On dirait un vrai pieu contrairement à celui de mon mari qui reste un peu souple.

Je le branle un peu avant de le prendre entre mes lèvres. Il durcit à peine plus et il me retourne alors sur le dos pour me pénétrer. Après quelques va-et-vient et un grognement, il jouit en moi. Je fais semblant de jouir et je vais me rincer rapidement. Décidément, me fera-t-il jouir de nouveau ? J'en suis de moins en moins persuadée.

Ce jeudi matin à l'agence, j'ajuste ma robe avec mon plug entre les fesses. Je reçois la visite d'un futur partenaire brésilien. Cette année s'annonce bien, d'ici quelques mois, je vais peut-être avoir deux nouvelles agences, une à Dubaï et une à Sao Paulo. La discussion est cordiale et ouverte. L'enthousiasme de Gabriela, la représentante du voyagiste brésilien, est contagieux. Aussi quand Monsieur Didier apparaît dans l'agence, nous sommes encore en train de rire ensemble.

— Gabriela, une future partenaire ! Monsieur Didier, un important client !

— Enchantée ! lui dit-elle. J'espère que nous pourrons faire affaire ensemble ?

Je vois au regard de Monsieur Didier que les formes de Gabriela ne le laissent pas de marbre.

— Si vous voulez bien me suivre, Monsieur ! Je suis toute à votre disposition.

Je laisse Adeline voir avec Gabriela les derniers détails de notre accord de collaboration pour m'enfermer avec Monsieur Didier.

Dès la porte fermée, je me mets nue en position.

Il passe derrière moi et il joue à faire entre et sortir le plug de mon cul. Je grimace et gémis, puis il vient devant moi toujours silencieux. Il pénètre ma chatte avec trois doigts. Je gémis quand il les remue et que son pouce appuie sur mon clitoris. Je n'ai toujours pas l'autorisation de jouir. Je respire profondément. Il continue longuement comme dimanche après-midi. Je tremble. Je flageole sur mes jambes, je tremble puis il s'arrête. Je souffle.

Ma décision est prise.

— Monsieur Didier, enculez-moi, s'il vous plaît !

Il me regarde, il sourit et il va s'installer dans mon fauteuil.

J'en ai les larmes aux yeux. Je viens à genoux entre ses cuisses et le suce. Il gicle dans ma bouche. Je l'avale.

Il se relève et il me dit :

— Je t'ai demandé de me supplier…

Il sort et referme la porte. Nue, à genoux sur le sol de mon bureau, je pleure. Je ne sais plus que penser. Heureusement que ce soir, je vais au sport avec Natacha, peut-être que je pourrais lui parler de ce que je vis, de mon trouble.

Avant d'arriver à la salle de sport, c'est Natacha qui me surprend.

—Charlotte ! me dit-elle sur le chemin. J'ai un amant…

Cette nouvelle me surprend tellement, que je m'arrête. Je la regarde incrédule.

— Toi ! Un amant… Mais Pierre-Henri ? Tu ne l'aimes plus ?

— Oh si ! Mais c'est bien plus compliqué que cela…

Au lieu de nous rendre à la salle de sport, nous décidons de nous arrêter dans une brasserie pour discuter.

Je lui demande comment elle en est arrivée à avoir un amant.

Elle me raconte alors qu'un jour, elle a croisé un homme qui l'a conduite à réfléchir sur sa vie, sur son avenir. Son mari est souvent absent, elle est seule avec ses enfants, vit-elle pour elle ou pour ses enfants ? Elle devrait profiter de la vie.

Depuis cette rencontre, elle a beaucoup réfléchi et récemment, elle a croisé un homme qui l'a troublée. Elle a cédé à ses avances et depuis elle se sent enfin une femme, plus une mère ou une épouse, mais une femme.

Elle me demande ce que j'en pense.

Je me garde bien de la juger.

— SI tu es heureuse comme cela, c'est parfait. C'est même l'idéal…

J'hésite un peu avant d'ajouter :

— Tu sais ! Moi aussi depuis quelque temps, je vis quelque chose d'étrange et merveilleux avec un homme…

— Toi aussi ?

— Oui, je ne sais comment qualifier notre relation, mais si ce n'est pas de l'amour, c'est quelque chose qui en est très proche. J'accepte de faire avec lui des choses que je ne ferai jamais avec mon mari…

— Oui moi c'est pareil… me dit Natacha.

Je la vois rougir, je sens qu'elle veut me dire quelque chose, mais elle n'ose pas.

— Que veux-tu me dire ? Tu peux tout me dire, tu sais que ton secret est en sécurité avec moi…

Elle regarde partout et approche sa bouche de mon oreille et elle me chuchote :

— Il m'a enculée… et j'ai adoré…

Je ne dis rien. J'imagine Natacha à quatre pattes, ses petites fesses fermes occupées par un sexe masculin. L'idée me fait rougir.

— Ne rougit pas… C'était divin ! Tu as déjà essayé ?

— Non ! Mais je ne sais pas comment amener mon amant à me le faire, car j'en ai envie aussi.

Nous rigolons ensemble et c'est encore plus complice qu'avant que nous rentrions chacune chez nous. Retrouver nos maris qui ne se doutent de rien.

******

Natacha

La maison est vide, il n'y a plus un bruit. Baptiste dort et je viens de finir le ménage. Je me pose sur le canapé. Monsieur Didier avait bien raison samedi. Pourquoi fais-je tout cela ? Pour qui suis-je en train de vivre ?

Oui ! Samedi soir, j'ai trompé mon mari avec Alain. Oui ! Hier matin, j'ai léché Virginie. Et, dans les deux cas, j'ai aimé ce que je faisais. Il n'en saura jamais rien et cela ne risque pas d'arriver. Monsieur Didier a raison, je dois aussi penser à moi.

Il m'a dit qu'il viendrait faire mon éducation, si c'est de cela dont il parle, je suis partante. Je veux bien qu'il m'éduque pour que j'apprenne à vivre pour moi et mon plaisir.

Grâce à ces pensées, mes journées me sembleront bien moins monotones, mais il faut bien que je me l'avoue avec cinq enfants, cela ne va pas être simple.

Je pense toujours à cela le mardi après-midi au presbytère quand je suis seule pour préparer la salle du lendemain. Va-t-il surgir à l'improviste comme la semaine dernière en me surprenant en train d'allaiter mon bébé. Je fais même exprès de prendre mon temps pour cela, mais personne ne passe.

Aussi le mercredi, alors que je range après ma séance de catéchisme, je sursaute quand une voix m'interpelle :

— Bonjour Salope !

Je me retourne, surprise par les mots utilisés. "Salope." Qui peut bien oser m'appeler ainsi ? C'est alors que je le vois à la porte. Monsieur Didier est là.

Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, il entre et referme la porte.

— On ne sera pas dérangée. Je viens de dire au père Sylvain que je venais te donner un coup de main.

Je le regarde, étonnée. Pourquoi veut-il m'aider ?

Il est maintenant devant moi. Il me toise. Je devrais appeler à l'aide, mais il me subjugue. Autant d'assurant m'impressionne. Il tend alors sa main.

— Ta culotte…

Je baisse les yeux et en tremblant, je retrousse ma robe et je fais glisser mon string. Rouge de honte, je lui tends mon string de coton noir. Il le regarde en souriant vicieusement.

— Alain avait bien raison, tu es une vraie salope sous tes aires de Sainte-Nitouche… Qui t'a autorisé à redescendre ta robe… Et écarte les cuisses 

Je m'arrête et remonte à nouveau ma robe sur mes hanches en écartant les cuisses. Il avance sa main et je sens un doigt entrer en moi. Je me cambre un peu. Il fait entrer et sortir son doigt en moi avant de me le passer sous le nez.

— Sens ton odeur de femelle en chaleur…

Il caresse mes lèvres avec ce doigt qu'il cherche à faire pénétrer dans ma bouche, il finit par entrer. Je commence à le lécher, à l'aspirer, le téter.

— Suceuse aussi, comme Alain me l'a dit.

Je me sens humiliée, ainsi Alain a raconté ce que nous avions fait à cet homme. Je retiens mes larmes, mais j'aime ce que je suis en train de vivre. Je le vois alors ouvrir son pantalon et sortir son sexe.

— Montre-moi ! Alors !

Je comprends ce que je dois faire, et je m'agenouille devant lui. Je le prends entre mes lèvres pour lui prodiguer une caresse buccale comme j'ai pu le faire avec Alain. Il m'attrape par les cheveux et il guide mes mouvements. Il veut forcer ma bouche, mais je hoquette et recule. Il ne dit rien et recommence. Je le sens durcir dans ma bouche. Il est maintenant bien raide. Je me prépare à le recevoir dans ma bouche quand il se retire.

Je relève les yeux, intriguée.

— Allonge-toi sur la table, et attrape tes genoux avec tes mains…

Je prends la pose, de ce fait, ma robe me retombe sur le visage et je ne vois plus ce qu'il fait. Je l'entends fouiller dans la boîte où se trouvent les crayons. Puis je sens qu'il écrit quelque chose sur mon pubis lisse, une lettre.

— Comme cela ! Tout le monde saura ce qu'il en est de toi.

Puis, je le sens soulever mes reins avec ses mains et d'un coup, je sens son sexe forcer mon petit anneau.

Je crie de douleur. Cela ne semble pas l'émouvoir et il entre plus profondément dans mon cul. Je gémis, il commence à me pilonner en puissance. Je gémis. J'ai mal. Cette pénétration est moins agréable que celle que j'ai vécue avec Alain.

Enfin, il s'enfonce une dernière fois en moi et je le sens se répandre dans mon cul. Il se retire et me demande de me remettre à genou. Il approche à nouveau son sexe de mon visage. Je tourne la tête. Il me gifle.

— Tu dois me nettoyer… Je sais que tu ne l'as pas fait avec Alain, mais avec moi, tu le fais…

Je vois alors sa main se lever une nouvelle fois.

— Oui Monsieur !

J'ouvre la bouche et nettoie cette queue qui sort de mon cul. Cela me donne envie de vomir, plus en raison de ce que j'imagine que ce que je lèche. Je finis laborieusement et il se rhabille. Il me fait me relever. Je suis en larmes. Il me donne une claque sur les fesses en me disant :

— À bientôt, il y a du boulot…

Hébétée, je regarde la porte fermée. Il a emporté mon string, je vais devoir rentrer fesses nues sous ma robe. Heureusement qu'elle est longue.

Je m'aperçois que mon téléphone est posé sur la table où Monsieur Didier m'a enculée, une photo affichée. Je soulève ma robe. Je découvre qu'il m'a écrit un "S" sur mon pubis avec un marqueur noir. Comment vais-je cacher cela à Pierre-Henri ? Je sais pour m'en mettre parfois sur les mains que cette encre est dure à enlever et reste parfois quelques jours malgré le savon.

En prenant mon téléphone, je m'aperçois qu'il a envoyé cette photo à un numéro que je ne connais pas et à Alain avec pour légende, "S : salope, suceuse, soumise". Je m'empresse d'effacer la photo et le message

Je me maudis de ne pas avoir écouté mes amies qui me disait de mettre un code de verrouillage sur mon écran. Mais jamais, j'ai jugé utile de le faire. C'est trop tard maintenant.

De retour à la maison, je prends une longue douche pour essayer de faire disparaître cette marque, ce soir, je dormirai en culotte et je prétexterai un mal de tête.

Le lendemain, au milieu de la matinée, Albert frappe à la porte.

—Bonjour Madame Rivière !

—Bonjour, Albert, qu'est-ce qui t'amène ?

—Monsieur Didier m'a donné cette enveloppe pour vous. Il m'a dit que c'est en lien avec le catéchisme.

— Merci Albert !

Je prends l'enveloppe et je l'ouvre après le départ d'Albert. Je blêmis.

"Je veux que pour onze heures, tu aies envoyé une photo de toi intégralement nue face au miroir avec le S bien visible aux mêmes numéros qu’hier."

C'est impossible, je n'ai plus le numéro. J'ai tout effacé. Comment faire ? Je panique.

Malgré tout, je me mets nue dans la salle de bain et je me regarde dans la glace. Avec la douche, j'ai réussi à presque faire disparaître le "S". Honteuse et humiliée, je prends alors du rouge à lèvres pour le retracer, et je prends la photo. Quelques minutes avant onze heures, je reçois un message du numéro inconnu : "J'attends !"

Soulagée, j'ai enfin le numéro. Je m'empresse d'envoyer ma photo et à onze heures moins une, je reçois les deux accusés de réception.

Cela ne me soulage pas, car que va-t-il me demander ensuite ? Comment vais-je pouvoir garder cela pour moi ?

Heureusement, ce soir, je vois Charlotte. Je pourrais peut-être lui en parler. Je passe l'après-midi à y réfléchir. Et quand nous sommes sur le chemin de la salle de sport, je prends mon courage à deux mains et je me lance :

—Charlotte ! J'ai un amant…

Je comprends sa surprise, mais elle m'avoue qu'elle aussi vit une relation particulière avec un autre homme que son mari. La séance de sport se transforme en confidences autour d'un mojito géant.

Une complicité nouvelle vient de naître entre nous.

*******

Didier

Quand je rentre de l’agence de Charlotte un sourire sur les lèvres en repensant comment je m’amuse avec cette belle rousse, alors que je prends l’escalier pour monter à mon appartement, je rencontre une autre rouquine, Madame de Cuise, mère de Charlotte. Je m’arrête pour lui dire bonjour.

— Comment allez-vous, Madame ?

— Bien Monsieur… Oh je suis désolé, je ne me souviens pas de votre nom.

— Didier, appelez-moi simplement Didier !

— Bonjour Didier alors ! Excusez-moi, mais je dois aller chercher les enfants de ma fille à l’école.

C’est alors que je vois Rachel revenir de l’université. Je me dis que l’occasion fait le larron. Je demande alors avec une voix suave :

— Voudriez-vous venir prendre un café chez moi, Madame ? Je vois Rachel, la baby-sitter de votre fille qui arrive. Elle ira chercher les enfants, les fera goûter et les aidera pour leurs devoirs.

Je fixe la jeune fille qui dit, bientôt :

— Oui ne vous inquiétez pas Madame, ils m’aiment bien. Je vais aller les chercher.

Sur ces mots Rachel fait demi-tour et repart dans la rue.

— Bon alors j’accepte votre invitation.

Je l’invite à entre dans l’ascenseur pour monter à mon appartement. Arrivé chez moi, je lui propose de prendre sa veste et de s’asseoir sur le canapé. C’est bien le parfait sosie de sa fille. Elle a la même chevelure, je me dis qu’elle doit se teindre. Ses seins ont l’air plus gros et plus lourds. Ils remplissent totalement le soutien-gorge qui pousse le fin tissu du chemisier. Je me dis que si elle éternue, les boutons vont craquer tellement ils sont tendus. Elle porte une jupe qui descend juste au-dessous des genoux. Vu la saison elle n’a ni bas et ni collants. Ces mollets sont bien ciselés, sûrement dû au port de hauts talons. Alors qu’elle regarde la décoration de mon appartement, je m’éclipse à la cuisine pour préparer le café. Je crie alors :

— Je vais faire du café, ne vous impatientez pas !

— Merci Didier ! Dites-moi, vous connaissez ma fille et mon gendre depuis longtemps ?

— Je les rencontre parfois. Moins votre gendre, il est souvent absent. Votre fille a l’air très occupée aussi.

Je reviens dans mon salon avec un plateau, deux tasses, une cafetière, une sucrière et deux cuillères. Je pose le tout sur la table basse et verse du café dans une tasse. Je l’entends dire :

— Oui effectivement, Charlotte travaille trop et en plus elle s’occupe de l’intendance. Son mari étant trop absent, il n’a pas le temps de s’occuper d’elle et des enfants.

— Excusez-moi, mais je vous sens amer. Le couple n’irait plus très bien ?

— Oh je croyais jusque-là qu’ils s’aimaient. Mais ma fille m’a paru bizarre dernièrement, gênée, mais plus épanouie, plus femme. Je me demande si elle n’a pas rencontré quelqu’un. Mais excusez-moi, je vous ennuie avec mes affaires.

Je sens que si je la pousse un peu, elle va me faire plus de confidences. Je prends ma voix persuasive et en lui tendant la tasse je dis :

— Ça ne me dérange pas ! Je suis célibataire et je ne connais pas les problèmes que peut avoir un couple.

— Oh, un bel homme comme vous n’a pas trouvé chaussure à son pied ? C’est dommage. Pour en revenir à ma fille, je la connais bien, c’est une parfaite réplique de moi-même. Je suis persuadée qu’elle trompe son mari. Et je suis heureuse pour elle.

— Vous approuvez l’adultère ?

— Oh vous savez, une femme se flétrit si elle n’a pas un homme pour lui donner du plaisir.

Elle continue à parler, plongée dans ses pensées, sans se rendre compte qu’elle se livre à un étranger. Elle pose sa tasse et je m’assois à côté d’elle sur le canapé en la laissant continuer :

— Une femme ne vit pas d’amour et d’eau fraîche, elle a besoin d’assouvir des besoins sexuels. Et elle ne peut le faire seule, elle a besoin d’une bonne grosse bite en elle pour se sentir vivante.

C’est alors que je prends sa main et la pose sur mon entrejambe où pointe une bosse.

— Comme celle-là, vous voulez dire ?

Elle semble se réveiller d’un rêve. Elle veut retirer sa main, mais je la tiens solidement. Elle est effarée par ce qu’elle vient de dire.

— Oh excusez-moi Didier, je ne pensais pas ce...

Je l’interromps :

— Voyons Madame, nous savons très bien que vous pensiez tout ce que vous avez dit.

Elle rougit. Je prends ma voix autoritaire :

– Dites-moi depuis combien de temps n’avez-vous pas vu de bites ?

Elle rougit encore plus, baisse les yeux et bégaie :

– Euhhh non… Euhhh… cinq ans !

— Et pensez-vous être décrépie au point de rester abstinente ? Vous allez passer le reste de votre vie à vous rappeler ce qu’est une bonne bite dans votre chatte ? Vous morfondre dans votre lit sans plus jamais éprouver de plaisir ?

Je la laisse réfléchir tout en tenant sa main sur la bosse de mon pantalon. Je la sens appuyer un peu, fermer légèrement la main pour mieux sentir. Je sais que c’est gagné.

— Allez, ouvrez ma braguette et sortez ma queue, je sais que vous en avez envie !

Hésitante, sa main monte au premier bouton de ma braguette. Elle y joint bientôt sa deuxième main. Après avoir tout déboutonné, elle va pêcher délicatement mon sexe qui ne demande qu’à être libéré. Quand il est sorti, bien droit, elle le tient dans sa main et le regarde comme une apparition. Elle ne sait trop que faire alors je l’aide :

— Il ne va pas vous mordre : allez, sucez !

Elle hésite une nouvelle fois, mais se penche et ouvre la bouche. Elle avale ma bite et commence à la sucer. Puis elle s’arrête et lèche le gland tout en branlant la hampe, et elle recommence à me sucer. Elle n’est pas seulement experte, mais elle semble aussi affamée.

Comme elle est presque allongée sur moi, je pose une main sur sa jupe que je relève lentement. Mon autre main se faufile sous elle et déboutonne son chemisier. Elle continue docilement sa fellation. Sa jupe relevée, je vois qu’elle a une petite culotte toute fine et non pas la gaine que l’on pourrait attendre chez une personne de cet âge. Je lui caresse les fesses et je l’entends gémir sur mon membre. Je parie qu’elle mouille. Ma main s’engage sous sa culotte et glisse le long de sa raie. Je suis étonné, aucun poil ! Après cinq ans sans avoir été baisée, elle fait quand même attention à elle et se tient prête.

Elle s’active sur ma bite. Je dois la ralentir sinon je vais jouir trop vite.

— Attendez Madame de Cuise !

Je lui retire mon membre de sa bouche et sors du canapé. Je l’aide à se lever. Son regard est fixé sur ma virilité bien droite. Je lui laisse la prendre dans une main pour me branler, pendant que je la déshabille. Je lui ôte son chemisier, puis son soutien-gorge. Sa poitrine est magnifique même si elle tombe un peu. Je caresse ses seins et pince ses mamelons. Elle gémit, le bonheur s’affichant sur son visage. Il n’y a pas à dire, telle mère, telle fille, deux belles rousses avec de gros atouts.

Je lui fais lâcher ma bite, je la tourne et je la fais se pencher sur le canapé et écarter les jambes. Puis sans avertissement, je plonge ma queue dans sa chatte. Elle est tellement humide que ça rentre tout seul. La mère de Charlotte pousse un long gémissement avant de dire :

— Oh ouiiiii !

Je change alors de manières pour voir comment elle va réagir :

— Alors vieille salope, tu aimes ça ? Une bite dans ta vieille chatte, c’est trop bon n’est-ce pas ?

Je retire lentement mon sexe jusqu’à ce qu’il soit entièrement sorti. Puis je le replonge brutalement dans l’antre chaud.

— OOOOhhhhhhhh ! Oh oui j’aime ça ! Encore s’il vous plaît !

— Eh bien, qui aurait pensé qu’une vieille snob comme toi serait aussi chaudasse ? Tu veux être baisée ? Supplie-moi !

Et je retire ma queue de sa chatte.

— Oui s’il vous plaît monsieur Didier, baisez-moi ! S’il vous plaît, remettez votre queue en moi, je la veux, s’il vous plaît.

Elle a vraiment l’air désespérée. Je replonge mon membre dans son ventre et elle a son premier orgasme. Je vois son corps trembler. Elle pousse un long gémissement de plaisir. Sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, je commence à la pilonner avec force. Je sens qu’il s’agit d’une femme avec qui on se doit d’être brutal. Je lui claque les fesses tout en la baisant.

— Vieille salope, tu aimes ça ! Ton gros cul aime être fessé non ? Et tu sais que tu as vraiment de grosses mamelles de vache ! Tu voulais de la queue, en voilà !

Elle a alors son deuxième orgasme. Je sens qu’elle commence à être épuisée. Il ne faudrait pas qu’elle ait une crise cardiaque. Tout en la tenant par les hanches, j’accélère le rythme et bientôt je gicle au plus profond de sa chatte. Quand je retire ma bite et que je la lâche, elle s’écroule sur le canapé. Un sourire de pur plaisir s’étale sur son visage.

— Viens nettoyer ma bite ! Ordonné-je.

Elle se relève lentement et s’agenouille devant moi. Puis elle me lèche consciencieusement le sexe et les couilles. Il n’y a pas à dire, elle a de l’expérience.

Je range mon attirail, puis la laisse lentement se rhabiller. Ses gestes sont lents, elle n’a plus de force la mamie. Les deux orgasmes l’ont laissé sans énergie. Mais finalement, complètement habillée, elle se dirige vers la porte pour sortir. Mais avant elle se tourne et dit :

— Vous ne direz rien à Charlotte n’est-ce pas ?

Je prends mon sourire le plus énigmatique et je réponds :

— Je verrais !

Elle rougit et sort de chez moi en se demandant ce qui vient de lui arriver.

Le lendemain matin, en ce beau mercredi d’automne, je décide de passer voir Natacha après son cours de catéchisme. Il faut que je m’occupe sérieusement d’elle. Alain m’a raconté ce qu’il s’est passé le week-end. Il m’assure que c’est une vraie salope qui ne demande qu’à être baisée. Je m’en doutais un peu. Ce n’est pas son mari toujours absent qui peut la satisfaire. Je vais bien la dresser, je veux qu’elle soit à ma botte.

Je passe voir le père Sylvain auparavant pour lui dire que je vais l’aider à ranger. Malgré son étonnement, je pense que je serais tranquille. Je rejoins la salle où Natacha donne ses cours, entre et dit :

— Bonjour Salope !

Natacha se retourne, étonnée. Je ferme la porte et lui dit :

— On ne sera pas dérangée. Je viens de dire au père Sylvain que je venais te donner un coup de main.

Elle est étonnée. Je prends un air sévère et me place devant elle. Je tends ma main et dit :

— Ta culotte…

Elle n’hésite pas, elle baisse les yeux, rougit et en tremblant elle trousse sa robe. Bientôt elle me tend son string. C’est bien une salope, elle porte des sous-vêtements sexy et sa chatte est bien entretenue. Elle a besoin qu’un ou plusieurs hommes s’occupent d’elle. Je luis dis alors :

— Alain avait bien raison, tu es une vraie salope sous tes aires de Sainte-Nitouche… Qui t'a autorisé à redescendre ta robe… Et écarte les cuisses.

Elle m’obéit. Sans douceur, je pose ma main sur sa chatte et entre un doigt dans son sexe. Je le fais entrer et sortir. Elle mouille déjà. Je sors mon doigt et lui passe sous le nez en disant :

— Sens ton odeur de femelle en chaleur…

Je caresse ses lèvres avec mon doigt, puis j’essaie de le faire pénétrer dans sa bouche fermée. Elle résiste une demi-seconde avant de l’aspirer et bien le lécher.

— Suceuse aussi, comme Alain me l'a dit.

Je veux l’humilier, la rendre plus malléable, lui faire comprendre que nous n’avons pas de secrets entre amis. Je la vois refouler un sanglot, mais elle ne fait pas mine de s’enfuir comme le ferait une femme normale. Je descends alors ma braguette et je sors ma bite.

— Montre-moi alors !

Tout de suite elle s’agenouille. Elle avale ma bite et fait rouler sa langue autour. Mais c’est moi qui mène la danse. J’agrippe ses cheveux blonds et tire sa tête sur mon sexe. Elle a un haut-le-cœur. Je la regarde et recommence. Ma bite durcit dans la chaleur humide de sa bouche. Elle est bientôt bien raide. Je retire alors mon sexe. Elle me regarde sans comprendre.

— Allonge-toi sur la table, et attrape tes genoux avec tes mains…

Elle se retrouve allongée, ses mains écartant ses genoux, sa robe sur la tête. Je veux qu’elle sache ce qu’elle est vraiment. Je fouille dans une boîte contenant des crayons et en sors un marqueur indélébile. C’est très bien ça ! Je dessine alors un grand S sur sa chatte glabre et je commente.

— Comme cela ! Tout le monde saura ce qu'il en est de toi.

Je prends son téléphone portable qui est sur la table. J’ai de la chance il n’est pas verrouillé. Je prends une photo de sa chatte que j’envoie à Alain avec ce commentaire : « S : salope, suceuse, soumise » et je me l’envoie sur un téléphone dont je me sers peu souvent.

Puis je soulève son cul avec mes mains et sans avertissement je l’encule. Je force sur son petit trou qui cède rapidement. Elle crie de douleur, mais je m’en fous. Alain avait raison, son cul est vraiment confortable. Sans me soucier de ses gémissements, je martèle son cul avec force. Puis, après un dernier coup de reins bien appuyé, j’éjacule dans ses intestins.

Je me retire, lui ordonne de se mettre à genoux et je lui présente mon sexe. Elle tourne la tête de dégoût, alors je la gifle violemment. Il est hors de question qu’elle ne m’obéisse pas.

— Tu dois me nettoyer… Je sais que tu ne l'as pas fait avec Alain, mais avec moi, tu le fais…

Alors que je lève la main pour lui donner une autre claque, elle dit brisée :

— Oui Monsieur !

Elle engouffre ma bite qui sort de son cul et la nettoie. Elle fronce le nez de dégoût et s’applique laborieusement. Elle pleure. Il va falloir t’y faire ma fille, pensé-je. Quand enfin elle a fini, je range mon sexe, je la fais se relever et je lui mets une grosse claque sur son cul en disant :

— À bientôt, il y a du boulot…

La bouche ouverte, elle me regarde sortir.

Je rentre à mon appartement, prend une feuille est une enveloppe. J’écris un mot puis je descends l’enveloppe à Albert en lui demandant de le porter le lendemain tôt chez Natacha.

Le lendemain matin, je décide de passer à l’improviste à l’agence de Charlotte. Quand j’entre dans la boutique, je trouve à l’accueil Charlotte en train de parler à une très belle femme et Adeline qui tout de suite me regarde avec des yeux de tueurs. Je ne m’occupe pas de la jeune fille alors que Charlotte nous présente :

— Gabriela, une future partenaire ! Monsieur Didier, un important client !

— Enchantée ! me dit-elle. J'espère que nous pourrons faire affaire ensemble ?

Je la regarde de haut en bas, cette belle Brésilienne est à manger. Elle a tout ce qu’il faut et où il faut. Sa peau est dorée, ses seins bien ronds et sa croupe parfaite pour une fessée. C’est alors que Charlotte me sort de ma rêverie.

— Si vous voulez bien me suivre, Monsieur ! Je suis toute à votre disposition.

Elle laisse sa future partenaire avec son employée qui n’arrête pas de me fusiller du regard. Je crois vraiment qu’elle ne m’aime pas. Je suis ma belle soumise rousse dans son bureau que je ferme après être entré. Charlotte se met déjà en position, nue.

Je tourne autour d’elle et je joue avec le plug. Je le sors et je le remets. Charlotte grimace et gémit. Toujours sans un mot, je me place en face d’elle et brutalement j’enfonce sa chatte avec trois doigts. Bien sûr elle est déjà bien humide. Je sais qu’elle mouille dès qu’elle me voit ma petite chienne rousse. Avec mon pouce je titille son clitoris. Je m’amuse de la voir reprendre sa respiration et de faire son possible pour se retenir de jouir. En bon salaud, je continue mon manège un bon moment. Je la vois trembler et plier ses genoux. Si je continue, elle ne pourra se retenir et elle aura un orgasme. Mais je garde ça pour un autre jour. Je retire ma main. Je l’entends alors dire :

— Monsieur Didier, enculez-moi, s'il vous plaît !

Je souris alors en la regardant. C’est trop simple. Je vais m’asseoir toujours sans un mot dans son fauteuil. Les larmes aux yeux, elle me rejoint à quatre pattes pour me sucer. Elle va bientôt devenir aussi experte que sa mère. J’éjacule dans sa bouche et elle avale avant de bien nettoyer ma bite.

Je me lève et me dirige vers la porte. Avant de partir, je lui dis :

— Je t'ai demandé de me supplier…

Je ferme la porte derrière, et sors de l’agence, sans avoir oublié de faire un grand sourire hypocrite à Adeline.

Je dois rentrer à mon appartement pour préparer quelques affaires. Je vais passer quatre jours au haras de Philippe. Il a une nouvelle secrétaire, Agnès qu’il a amenée le week-end dernier au barbecue. Il voudrait que je l’aide à la faire tomber dans ses filets. Je reviendrai mardi et je verrai dans quel état d’esprit seront mes deux petites chiennes, Charlotte et Natacha. Je crois qu’une longue absence de ma part va les obliger à se poser des questions.