Didier
Il est 21
heures. Charlotte frappe à la porte. Je la fais entrer et lui dis de se mettre
au milieu de la pièce. Je la regarde attentivement. Ressemble-t-elle à une
femme sexy ou à une pute, je me le demande.
— Soulève
ta jupe ! Ordonné-je.
Elle obéit.
Je vois qu’elle a un string qui rentre bien dans ses fesses et qui devant moule
bien sa chatte. Pour m’amuser, j’attrape la ficelle du string sur le bas de son
dos et je tire brutalement. Elle a un cri de douleur. Je dis alors :
— Qu’y a-t-il ?
Le string te rentre trop dans les fesses. Tu peux l’enlever si tu veux.
Elle hésite
un peu et doit se dire qu’avec la jupe courte c’est vraiment trop osé, alors
elle répond.
— Non,
Monsieur !
Je passe
alors devant elle et je déboutonne deux boutons de son chemisier pour que l’on
puisse bien voir son soutien-gorge qui retient sa grosse poitrine.
— Voilà,
c’est mieux, suis-moi !
Nous sortons
de mon appartement, descendons au parking, et montons dans mon coupé de luxe.
Je démarre et sors du garage souterrain. Je vois que Charlotte est perplexe,
elle ne sait pas où je l’emmène. Je lui dis alors :
— Il faut que
je passe prendre quelqu’un !
Elle ne
bronche pas. Je la vois regarder par la fenêtre pour voir où l’on va. Je sors
dans la banlieue et prends des rues de plus en plus minables. Bientôt, devant
un petit immeuble défraîchi, on aperçoit une silhouette féminine, une jupe
extra courte, un décolleté honteux. Je suis sûr que Charlotte se demande si je
ne vais pas ramasser une pute. Je m’arrête devant la femme qui veut monter devant.
Elle ouvre la porte passager. Charlotte se tourne vers elle. Sur le visage des
deux femmes s’affichent de l’effroi et de l’horreur. Elles se regardent et
toutes les deux parlent en même temps :
— Madame de
Villaret, vous, que faites-vous ici ?
— Mademoiselle
Chalon, vous, que faites-vous ici ?
La femme
monte sur la banquette arrière. Je sens du remue-ménage dans ma voiture, les
deux femmes essayant de se couvrir du mieux qu’elles peuvent. Je suis obligé
d’intervenir :
— Stop !
Expliquez-moi !
— Mademoiselle
Justine Chalon est l’institutrice de Clotilde ma fille ! C’est honteux d’être
habillé ainsi ! Me dit Charlotte.
— Vous avez
vu votre accoutrement Madame de Villaret ! répond du tac au tac Justine.
Je sens que
l’ambiance va s’envenimer si je ne les calme pas. Alors je dis avec mon
autorité naturelle :
— Ça suffit !
Ce soir vous êtes mes deux chiennes et pas autre chose ! Je ne veux plus vous
entendre. Compris !
— Oui
Monsieur ! répondent-elles en cœur.
Nous roulons
pendant une vingtaine de minutes avant que je me gare devant un immeuble cossu
des beaux quartiers. Nous descendons de la voiture et je sonne à la porte. Un
homme assez gros et imposant vient ouvrir. Quand il me voit, il crie derrière
lui :
— C’est
Didier avec le divertissement !
Il me prend
dans ces bras et me fait une accolade qui manque me briser la colonne
vertébrale.
— Comment
vas-tu, je suis content de te voir ! me dit-il.
— Oh je sais
que tu n’en veux qu’à mon argent ! Rigolé-je.
Je vois qu’il
regarde derrière moi les deux femmes qui restent immobiles.
— Allez,
entrez ! On fera les présentations ensuite.
Il nous
conduit dans un grand salon. Au centre se trouve une table ronde avec des
jetons et six chaises. Contre le mur sont disposées deux tables couvertes de
petits fours et de bouteille. À l’opposé se trouve un grand canapé. Le sol est
couvert d’un immense tapis marocain. Au mur sont accrochées çà et là
différentes peintures.
Dans la pièce
se trouvent déjà quatre hommes qui sont au buffet en train de boire. Quand ils
me voient, ils sourient et viennent me dire bonjour. Ils ne peuvent s’empêcher
de regarder les deux femmes derrière moi. Justine semble sereine alors que
Charlotte, elle, semble vraiment gênée. Elle n’arrête pas de tirer sur sa jupe.
Pour régler les choses, je dis :
— Bon je vais
faire les présentations. Justine toi tu connais déjà ces messieurs.
— Oui
Monsieur !
— Mais
Charlotte ne les connaît pas elle. Messieurs, voici Charlotte, bourgeoise
coincée. Je tiens à vous avertir d’une chose. Ce soir elle n’est là que dans le
cadre de son éducation, donc on ne la touche pas !
Je vois mes
amis un peu dépités, mais ils savent que je ne parle pas pour rien dire, ils
respecteront mes paroles.
— Charlotte,
voici mes amis d’enfance, des vrais amis. Le gros imposant c’est Pierre,
banquier de son état. Le grand mince c’est Marc, ses restaurants font la
meilleure cuisine que je connaisse. Le petit trapu c’est Éric, entrepreneur du
bâtiment, la référence si on veut construire une tour de trente étages. Le
barbu musclé c’est Philippe, propriétaire d’une écurie de course qui a gagné
tous les grands prix. Et enfin le dernier, c’est celui qui a le moins réussi de
nous, Alain, il est fonctionnaire, colonel de l’armée de terre au
ministère.
Je vois Alain
faire la moue puis rire avec les autres de son statut de simple fonctionnaire.
Charlotte écarquille les yeux, ne sachant trop que dire ou faire. Elle essaie
de se cacher du mieux qu’elle peut derrière moi.
C’est alors
que Pierre s’avance vers Justine, lui met la main sur les fesses et l’emmène au
buffet pour lui servir un verre.
— Toujours le
même tarif ? Je suis pressé de commencer ! dis-je.
— Oui dix
mille ! L’enveloppe est dans le coin ! me répond Pierre du bout de la pièce en
tripotant les fesses de l’institutrice.
Je me déplace
et vais ajouter mes dix mille euros en espèces dans l’enveloppe qui en contient
déjà cinquante mille.
— Je vais
vous plumer les gars ! dis-je.
— Rêve toujours,
c’est pour moi, l’état paye trop mal ! me répond Alain avec un grand
sourire.
Nous nous
installons tous à la table de poker. Je dis à Charlotte de se mettre juste
derrière moi et de ne pas bouger. Les autres la regardent obéir docilement.
Elle est rouge pivoine, ce beau rouge que seules les rousses peuvent avoir.
Pendant ce temps-là, Justine, habituée de nos soirées poker s’est glissé à
genoux sous la table.
— Bon les
gars, comme d’habitude hein ! Gâterie pour celui qui gagne la main. Le premier
qui perd et sort de la table va s’amuser ailleurs, dit Pierre.
Il donne les
cartes et la partie commence. C’est Marc qui gagne la première main. Tout de
suite, il déboutonne sa braguette et sort son sexe. Immédiatement, Justine se
place entre ses jambes et engouffre sa bite. Mon ami ne peut retenir un petit
gémissement de bien-être. Toutefois, la partie continue et cette fois-ci c’est
Alain qui gagne cette main. Le même scénario se produit, il sort sa bite et
Justine vient le sucer. Je gagne la troisième main et je fais comme les autres,
je sors mon sexe et Justine vient me sucer. Elle est vraiment devenue une
experte. Je jette un coup d’œil par-dessus mon épaule et je vois Charlotte qui
fixe Justine d’un air meurtrier. Elle qui n’a pas encore eu droit de pouvoir me
sucer, elle voit l’institutrice de sa fille me faire une fellation experte.
J’ai l’impression qu’elle est un peu jalouse.
Peu importe,
bientôt Justine s’éloigne de moi pour aller voir un des autres joueurs. Marc
est éliminé par manque de jetons. Nous décidons alors de faire une pause et de
nous restaurer. Nous allons tous au buffet. Charlotte me suit comme un petit toutou.
Pierre me dit alors :
— Dis Didier,
nous ne pouvons pas toucher à ta princesse, mais nous pouvons peut-être
regarder.
— Pourquoi
pas ! dis-je.
Je me tourne
vers Charlotte et lui dis :
— En position
au milieu de la pièce !
Elle hésite,
rouge de honte. Alors je me contente de froncer les sourcils. Lentement elle se
déplace au milieu de la pièce, déboutonne son chemisier pour le laisser tomber
à ses pieds. Le soutien-gorge et le string suivent peu après. Enfin Charlotte
écarte les jambes et met les mains sur la tête. Elle regarde le plafond pour ne
pas nous voir. Elle est vraiment rouge, l’humiliation et la honte doivent être
à son comble. Mes amis tournent autour d’elle et se lancent des commentaires
sur sa plastique. Je crois qu’elle doit prier pour pouvoir disparaître.
Après avoir
grignoté et bu, nous décidons de reprendre la partie. Je passe derrière
Charlotte et je lui chuchote :
—
Rhabille-toi, tu as bien réagi !
Je la vois
sourire légèrement avant qu’elle ne se jette sur ses vêtements. Peu après elle
revient se placer derrière moi et la partie recommence à cinq. Pendant ce
temps, Marc s’est assis sur le canapé et se fait sucer par Justine à genoux
entre ses jambes. Les perdants ont la primeur sur l’institutrice.
Bientôt c’est
Philippe qui sort de la partie. Il ne perd pas de temps. Il avance vers le
canapé en défaisant son pantalon, puis il soulève le derrière de Justine pour
pouvoir l’embrocher facilement. L’institutrice pousse un gémissement. Philippe
la besogne pendant qu’elle suce Marc. Charlotte derrière moi est horrifiée.
L’institutrice de sa fille, si sévère d’habitude, se fait baiser comme une
vulgaire pute.
La partie de
poker continuant, c’est Alain puis Éric qui sortent de la partie. Ils
rejoignent le canapé et Justine doit s’occuper maintenant de quatre bites.
Alors que nous jouons en tête à tête Pierre et moi, la pièce s’emplit de
gémissements et de cris de plaisir. Justine tourne entre mes quatre amis qui
lui baisent à tout de rôle sa bouche, sa chatte et son cul.
Nous arrivons
presque à la fin de la partie. Pierre regarde ses cartes et me dit :
— Je te
propose un truc Didier ! Tu as moins de jetons que moi et je vais faire tapis !
Si tu veux suivre, tu peux mettre ta copine pour compléter. Si je gagne, elle
est à moi !
Je regarde
ses jetons, il doit bien avoir pour cinquante-cinq mille alors que moi il ne me
reste que cinq mille. Je me tourne pour regarder Charlotte et savoir ce qu’elle
en pense. Ses yeux me supplient de refuser alors que sa bouche esquisse un non.
Je continue de la regarder et je dis :
— OK Pierre,
ça marche ! Si tu gagnes, elle est à toi ! Tourne tes cartes !
Charlotte est
horrifiée, son visage se décompose et des larmes apparaissent au coin de ses
yeux. Pierre tourne ses cartes. Je le savais, il bluffait et je suis sûr qu’il
voulait faire peur à Charlotte. Je tourne les miennes et gagne ainsi la partie.
Pierre me fait un clin d’œil et fait semblant d’être dépité. J’entends derrière
moi, Charlotte souffler de soulagement.
Mon ami va
rejoindre les autres alors que je recule ma chaise et demande à Charlotte de
s’asseoir sur mes genoux. Nous regardons mes amis s’amuser avec l’institutrice.
Pierre s’est
déshabillé. Il est vraiment gros. Il se fait sucer puis s’assoit sur le canapé.
Il demande à Justine de venir s’empaler sur lui. Elle obéit. Pierre mordille
ses mamelons pendant qu’elle bouge de haut en bas sur sa bite. Bientôt, Alain
passe derrière elle et force sa queue dans son cul. Marc, Philippe et Éric se
placent de chaque côté d’elle et lui font sucer leur bite à tour de rôle.
L’orgie va
bien durer une bonne demi-heure. La jeune institutrice va se faire prendre par
tous les trous et dans toutes les positions. Mes amis vont jouir plusieurs fois
et lui faire avaler des litres de foutre. Son cul, sa chatte et sa bouche sont
constamment remplis. Les cris et gémissements emplissent la pièce.
Pendant ce
temps j’écarte les jambes de Charlotte toujours sur mes genoux et je glisse ma
main sous le tissu fin du string. Comme je m’y attendais, elle mouille
abondamment. Je la regarde et je vois qu’elle est fascinée par le spectacle qui
se déroule devant elle. Je lui chuchote alors :
— Tu as été
une bonne chienne. Tu as droit à une récompense. Tu as la permission de jouir !
Je plante
deux doigts dans son intimité et mon pouce sur son clitoris et je commence à
doucement à la titiller. Il ne faut vraiment pas longtemps avant qu’un orgasme
fasse trembler son corps et qu’elle ne s’écroule sur moi, ivre de
plaisir.
Alors que mes
copains, épuisés, abandonnent l’institutrice un à un, Charlotte se remet
lentement. Elle regarde Justine écroulée sur le canapé et complètement
éreintée, du sperme sortant de son cul et sa chatte. Je dis à Charlotte de se
lever et je vais boire un dernier verre avec mes amis pour laisser le temps aux
deux femmes de se préparer à partir.
Quelques
minutes après, je prends congé de mes amis en les remerciant. Ils me sourient
et me charrient un peu sur ma chance. Ils veulent prendre leur revanche le plus
tôt possible. Je sors de chez mon ami, les deux femmes me suivant
silencieusement. Justine a du mal à tenir sur ses jambes, elle est complètement
épuisée.
Je conduis
jusqu’à chez elle pour la déposer ? Alors qu’elle va sortir de la voiture, je
récupère l’enveloppe, contenant les mises que j’ai gagnées et je lui tends.
Étonnée elle hésite, mais après quelques secondes elle la saisit et rentre chez
elle. L’école va être dure demain matin. Je vois Charlotte me regarder
bizarrement. Je redémarre alors et je lui explique :
— Justine est
une gentille fille. Elle n’a simplement pas de chance. Pour son premier poste,
elle est affectée à cinq cents kilomètres de ses parents et son petit ami. Sa
mère est malade et son père au chômage. Elle leur envoie un peu d’argent tous
les mois. C’est normal que je l’aide un peu. Dis-je avec un sourire de
carnassier.
Charlotte ne
dit rien et réfléchit tout au long du voyage. Aurais-je donné une leçon à cette
bourgeoise hautaine ? Je rentre dans le parking, me gare et nous sortons du
véhicule. Je dis à Charlotte :
— Comme tu
t’es bien tenue ce soir tu as droit à une autre récompense. Accroupis-toi !
Elle obéit.
Je sors mon sexe et lui présente devant le visage. Elle n’hésite pas à ouvrir
la bouche et commence à me sucer. Elle s’applique du mieux qu’elle peut, mais
je vois bien qu’elle manque d’expérience. Je mets mes mains derrière sa tête et
commence à forcer sa gorge. Elle a du mal à respirer. Je relâche la tension et
je lui baise la bouche comme je le ferai d’une chatte. Quelques minutes plus
tard, j’éjacule dans sa bouche puis je me retire. Elle me montre sa bouche
pleine de mon foutre et elle déglutit avant de tirer la langue et de me montrer
qu’elle a bien tout avalé.
Nous rentrons
respectivement dans nos appartements après cette soirée bien animée.
******
Charlotte
Monsieur
Didier ouvre et je pénètre dans son entrée. Il me regarde de haut en bas en
silence. Je comprends qu'il m'évalue. Il me demande de soulever ma jupe, je
m'exécute. Il ne dit rien, mais il tire sur la ficelle du string. Cela me fait
mal et je ne peux pas retenir un cri de douleur.
— Qu’y a-t-il
? Le string te rentre trop dans les fesses. Tu peux l’enlever si tu veux.
—
Non-Monsieur ! dis-je.
Vu la
longueur de ma jupe, je ne peux décemment pas rester à poil dessous. Il vient
devant moi et ouvre deux boutons du chemisier. Je pense que c'est un moindre
mal même si le soutien-gorge est parfaitement visible. Je suis un peu surprise,
mais il me demande aussitôt de le suivre et nous prenons sa voiture pour aller
chercher quelqu'un. Au vu des quartiers que nous traversons, j'imagine qu'il a
dû demander à une pute de nous accompagner. Quelle n'est pas ma surprise quand
je découvre celle qui ouvre ma portière, n'ayant pas vu que la place passager
est occupée, Mademoiselle Chalon, la maîtresse de Clotilde. Elle est vêtue
encore plus vulgairement que moi. Que fait-elle là ? Monsieur Didier la connaît
aussi ?
— Madame de
Villaret, vous, que faites-vous ici ?
—
Mademoiselle Chalon, vous, que faites-vous ici ?
Je tente de
cacher autant que possible ma poitrine et je vois que Mademoiselle Chalon fait
de même. Aussitôt, Monsieur Didier nous demande de nous expliquer, il devait
ignorer que nous nous connaissons. Le ton monte vite entre elle et moi, mais
Monsieur Didier nous rappelle à l'ordre et nous nous taisons pendant qu'il
conduit.
Après une
petite demi-heure, il s'arrête devant un immeuble cossu où nous entrons. Je
découvre un homme bedonnant qui crie à la cantonade :
— C’est Didier
avec le divertissement !
Je suis un
peu surprise de voir ces deux s'embrasser de cette manière, cela m'étonne de
Monsieur Didier, mais je ne suis pas au bout de mes surprises. Comme Justine,
je reste immobile, je me dis que si j'imite son comportement, je ne risque pas
de faire d'erreur. Nous les suivons dans un grand salon où tout semble prêt
pour une soirée poker entre hommes, entre amis même.
La décoration
de la pièce est raffinée, le propriétaire des lieux n'est pas dans le besoin,
cela se voit. J'aperçois aussi quatre autres hommes devant un buffet qui
boivent du champagne dans des flûtes qui me semblent être en cristal. Ils nous
fixent. Je baisse les yeux et tire le plus possible sur ma robe en me dandinant
un peu.
La manière
humiliante dont il me présente me fait rougir encore plus, mais je suis
rassurée quand il dit que je suis intouchable. C'est vrai que j'avais un peu
peur de servir de morceau de choix pour ces hommes qui même s'ils semblent
fortunés n'en sont sûrement pas moins des hommes avec des envies à assouvir.
Il me
présente alors ces hommes. Ce sont des amis d'enfance, j'ai du mal à retenir
leurs prénoms, mais j'avais raison, ils ont tous des situations plus que
confortables, sauf un qui est officier au Ministère des Armées.
L'un d'eux,
Pierre, il me semble, s'approche de Justine et lui plaque la main sur les
fesses pour la conduire au buffet. Je reste près de Monsieur Didier et je
comprends alors qu'ils sont tous effectivement très fortunés. Même si je gagne
bien ma vie, la somme mise en jeu est plus que mon salaire mensuel.
Ils
s'installent autour de la table. Monsieur Didier me demande de rester immobile
derrière lui, je vais faire pot de fleurs, toute la soirée. Je me sens
frustrée, humiliée une fois de plus alors que je vois Justine passer sous la
table. En fait, je suis peut-être mieux debout. Surtout quand j'entends la
règle édictée par Pierre.
— Bon les
gars, comme d’habitude hein ! Gâterie pour celui qui gagne la main. Le premier
qui perd et sort de la table va s’amuser ailleurs, dit-il.
La partie
commence, Marc l'emporte et je vois Justine filer entre ses cuisses. Et ainsi
de suite, elle va sucer les gagnants. J'ignore s'ils éjaculent sa bouche, mais
je peux entendre leurs gémissements de bien-être. C'est alors que Monsieur
Didier gagne. Justine vient donc lui prodiguer une fellation qui le met dans un
état de contentement absolu. Elle sait y faire cette garce. Pour le moment, je
n'ai pu que le masturber avec mes doigts et les lécher ensuite.
Au bout d'un
nombre de tours que je n'ai pas suivi, Marc est éliminé. Ils font alors une
pause pour aller se restaurer, cela me fera du bien de bouger aussi, je
commence à avoir mal aux pieds à rester immobile.
Soudain
Pierre demande à Monsieur Didier, s'ils ne peuvent pas toucher, ils aimeraient
voir. Je comprends vite qu'il s'agit de moi. En effet, il me demande de me
mettre en position au milieu d'eux. Je suis rouge de honte, moi qui suis assez
pudique, je vais devoir me mettre nue devant ces six hommes dont cinq que je ne
connais pas et devant l'institutrice de ma fille. Comme je le fais devant
Monsieur Didier, je commence à me dévêtir, mes vêtements forment un tas à côté
de moi. Vu la chaleur que je ressens à mes joues, je dois être rouge écarlate
quand je pose mes mains sur ma tête et que j'écarte mes cuisses.
Les hommes ne
se gênent pour me reluquer sous toutes les coutures et pour faire des
commentaires salaces et grivois sur mes fesses, ou plutôt mon cul, comme ils
disent et mes seins. Là, ils parlent de mamelles de vache. J'aimerais pouvoir
quitter cette pièce à toutes jambes. Ils mangent et boivent tandis que je reste
immobile, plantée au milieu de la pièce. Enfin, Monsieur Didier m'autorise à me
rhabiller.
Je me replace
derrière lui et la partie continue, derrière moi je peux entendre les
gémissements de Justine, besognée par les perdants, et les grognements de
ceux-ci. Au bout de nombreux tours, ils ne restent plus que Monsieur Didier
avec une toute petite pile de jetons face à Pierre qui semble être en veine ce
soir.
— Je te
propose un truc Didier ! Tu as moins de jetons que moi et je vais faire tapis !
Si tu veux suivre, tu peux mettre ta copine pour compléter. Si je gagne, elle
est à moi !
À ces mots,
je suis tétanisée. Monsieur Didier me regarde. Je l'implore du regard de
refuser, va-t-il me comprendre, je lui dis non en silence. Et je l'entends
accepter
— OK Pierre,
ça marche ! Si tu gagnes, elle est à toi ! Tourne tes cartes !
Une bouffée
de chaleur m'envahit, ce n'est pas possible. Je retiens mes larmes. Mais quand
les cartes sont révélées, je pousse un soupir de soulagement.
Monsieur
Didier me demande alors de m'asseoir sur ses genoux. Je peux voir le groupe
formé par les cinq hommes et Justine. Je suis bien contente de ne pas être à sa
place. Pendant ce qui me semble être une éternité, je vois les hommes se
succéder en elle, aussi bien sa chatte et sa bouche que son cul. Ils jouissent
plusieurs fois, jamais je n'avais vu cela, chez François, c'est plutôt
j'éjacule et je m'endors. Justine boit plusieurs giclées de sperme. Son vagin
déborde de foutre, je réalise même que les hommes viennent se faire sucer alors
qu'ils viennent de l'enculer. Comment imaginer cela quand on la voit si austère
à l'entrée de l'école pour nous accueillir. Je ne pourrais plus jamais la voir
comme avant, et elle ne me verra plus comme la maman hautaine de Clotilde qui
prend de haut cette jeune institutrice sans expérience, je l'avoue. Une
question me taraude quand même, comment a-t-elle pu en arriver là ?
Pendant que
je fixe ces corps comme un lapin hypnotisé par les phares d'une voiture, je
sens la main de Monsieur Didier écarter mes cuisses et se glisser sous mon
string. Il me dit alors quelque chose qui me fait plaisir, j'en aurais presque
joui instantanément quand j'ai senti ses doigts entrer dans ma chatte trempée.
Il ne me faut
pas longtemps pour jouir sous ses doigts.
Il me demande
alors de me lever, je le vois se diriger vers ses amis qui en ont enfin fini
avec Justine allongée inerte sur le canapé. Ils boivent un dernier verre et
nous repartons.
Après avoir
déposé Justine chez elle, je regarde Monsieur Didier, interloquée. Il vient de
donner l'intégralité de ses gains soit 60 000 euros à la jeune institutrice,
cela représente deux ans de salaire pour elle. Il a beau m'expliquer que ses
parents connaissent de grandes difficultés financières, j'ai du mal à
l'accepter. Je réalise que Justine n'est qu'une pute de luxe. Elle est en
couple pourtant, mais je sais maintenant que cela ne trouble pas Monsieur
Didier. Cela va-t-il m'arriver aussi ? Veut-il cela avec moi ?
Dans le
parking de l'immeuble, il me regarde en souriant, et me dit :
— Comme tu
t’es bien tenue ce soir tu as droit à une autre récompense. Accroupis-toi !
Sans hésiter,
je prends la position et quand il sort son sexe de son pantalon devant mon
visage, je sais ce que je dois faire.
Je commence à
le sucer. Je n'ai pas le savoir-faire de Justine, mais je m'applique. Quand il
appuie sur ma tête pour s'enfoncer davantage, je manque de vomir. Il me tient
alors et il utilise ma bouche comme un sexe, c'est lui qui contrôle et non,
moi. Il finit par jouir dans ma bouche et il se recule. Toujours accroupi,
j'ouvre la bouche pour lui montrer son sperme, puis avale et lui remontre ma
bouche vide.
Il semble
satisfait et sans un mot, nous prenons l'ascenseur pour regagner nos
appartements.
Quand
j'arrive, Rachel est endormie sur le canapé. Je la laisse dormir, mais je
dépose son enveloppe sur la table du salon, avec un petit mot pour lui demander
si jeudi entre 19h00 et 20h00, elle peut venir garder Thomas et Clotilde. Et je
me dirige vers mon lit pour me coucher. La nuit va être courte, il me reste à
peine trois heures avant que mon réveil sonne.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire