Didier
Nous sommes
mardi. Je pense que le mari de Charlotte va bientôt revenir. Et il faut que je
voie si elle respecte mes instructions. Je décide alors que je passerai à
l’agence quand nous aurons fini.
Plus tard, me
voilà devant l’agence de voyages de Charlotte. J’entre et je vois son employée
me regarder et attendre que je lui dise ce que je veux. Je ne sais pas, mais
sur l’instant elle ne me plaît pas. Sans un mot, j’avance et prends le couloir
pour atteindre le bureau de Charlotte. La fille se lève et me poursuit. Je me
dépêche d’entrer dans le bureau et je claque la porte au nez de l’employée.
Charlotte lève le nez de ses dossiers, surprise par mon entrée en trombe.
— Toc toc,
Madame de Villaret, ça va ? dit Adeline en toquant à la porte que je viens de
verrouiller.
— Oui Adeline
ça va ! Laissez-nous ! crie Charlotte.
La jeune
fille semble s’en aller. Je dis simplement :
—Inspection
!
– Oui
Monsieur ! dit Charlotte avant de se lever de son bureau, le contourner et se
mettre au milieu de la pièce.
Pendant que
je vais m’asseoir à sa place, elle se déshabille et se met dans sa position
habituelle.
— Tourne-toi
et baisse-toi !
Elle m’obéit
et je vois que le plug est bien en place. Je suppose qu’elle doit s’y
habituer.
— As-tu joui
depuis dimanche ?
— Oh non,
Monsieur !
— Viens sur
mes genoux !
Elle se
dépêche et bientôt j’ai ses seins dans mes mains. Je les pétris sans douceur,
puis je tire sur ses mamelons avant de les tordre. Charlotte grimace et pousse
des petits cris de douleur. Je descends une main à son entrejambe et glisse un
doigt dans sa petite fente. Bien sûr elle mouille.
— Encore
excitée salope ?
— Oui
Monsieur !
— Tu veux ma
bite ?
— Oui
Monsieur s’il vous plaît !
— Où ?
— Où vous le
désirez, Monsieur !
— Bien ! Suce-moi
!
Elle se lève
de mes genoux et se penche pour défaire ma braguette. Après avoir sorti ma bite
elle l’engouffre, avec bonheur j’ai l’impression. Je crois qu’elle aime bien
mon sexe. Elle suce de mieux en mieux. Elle me garde en bouche quand j’éjacule
afin de ne rien perdre de mon sperme. Puis elle me montre sa bouche vide. Je
range mon matériel, me lève du fauteuil et me dirige vers la porte que j’ouvre.
Puis la main toujours sur la poignée je dis :
— Si un jour
tu ne veux plus avoir à mettre le plug, viens me supplier de t’enculer !
Sur ces mots,
je ferme la porte et avance dans l’agence. Adeline me regarde, un air méchant
sur son visage. Je ne peux pas m’en empêcher, comme un gamin je lui tire la
langue avant de sortir.
******
Charlotte
En ce lundi
matin, en me préparant, je profite de ce ma mère soit toujours là pour prendre
mon temps sous la douche. Je me savonne partout et je prends le temps de
m'épiler. Monsieur Didier m'a dit qu'il pourrait passer n'importe quand, je ne
veux pas risquer qu'il me surprenne alors que je ne suis pas aussi bien parée
qu'il le souhaite.
Je réalise
que je suis en train de tomber amoureuse de cet homme qui m'impose des choses
que je refuserai à mon mari. Que m'arrive-t-il ? Je ne me reconnais pas. Où est
passée la Charlotte sûre d'elle et totalement indépendante des hommes ?
Dans la
chambre, je sors le plug de mes culottes et je me l'enfile. J'ai remarqué
qu'une fois en place, il ne risque pas de quitter sa place, aussi je ne mets
pas de culotte sous ma jupe droite. Je décide de prendre ma voiture. Prendre
les transports en commun avec le plug dans mes fesses me semble impossible.
Avant de
partir, j'embrasse ma mère et les enfants et je prends le chemin de l'agence.
J'aurais dû m'y attendre, mais Monsieur Didier ne passe pas. Une part de mon
espérait sa visite.
Quand je me
couche le soir, c'est un peu dépitée que je m'endors. Après avoir passé deux
jours intenses avec lui, je ressens son absence, bien plus que celle de mon
mari.
C'est pour
cela que lorsqu'il entre en claquant la porte de mon bureau ce mardi que je
réponds sèchement à Adeline. J'irai peut-être m'excuser auprès d'elle ensuite.
Je me
déshabille immédiatement et prends la pose. Il joue un peu avec le plug qui me
perturbe de moins en moins.
Avec fierté,
je lui annonce que je n'ai pas joui depuis ce week-end, aussi quand il me
demande si je veux son sexe en moi, j'accepte avec plaisir.
En lui disant
: où vous voulez, Monsieur ! J'espère qu'il va me baiser. Hélas ! Il me demande
de le sucer. Bien entendu, je m'applique et je lui offre ma meilleure
fellation. Je l'avale sans rechigner et je lui montre ma bouche vide.
Avant de
partir, il me lance :
— Si un jour
tu ne veux plus avoir à mettre le plug, viens me supplier de t’enculer !
Je réalise
avec horreur qu'Adeline se trouve derrière la porte. A-t-elle entendu ce qu'il
m'a dit. En tout cas, elle n'en laisse rien paraître. Même si elle me dit que
ce client est des plus étranges.
Je profite de
ce que ma mère est présente pour travailler plus longtemps à l'agence. Nous
passons la soirée à discuter de la situation d'Élisabeth et d'un coup, elle me
dit qu'elle me félicite d'avoir choisi Rachel comme baby-sitter.
— Tu n'es pas
allée chercher les enfants à l'école ?
— Oh non ! Au
moment où je sortais, j'ai croisé ton voisin qui rentrait, il m'a proposé de
venir prendre un café chez lui. Et Rachel, qui rentrait de ses cours à ce
moment, m'a dit d'y aller, elle irait chercher les petits. Après le café, elle
avait fait leurs devoirs avec eux… C'est une perle cette petite !
Monsieur
Didier a invité maman venir boire le café, ce n'est pas possible ! Je suis en
panique, mais je le cache. Je suis presque soulagée quand ma mère me dit
qu'elle rentrera en Normandie le lendemain. D'une part parce qu'elle sera loin
de Monsieur Didier, d'autre part car François rentre et que je n'aime pas faire
l'amour quand mes parents sont dans la même maison que nous. Et, lorsqu'il
revient, François me fait toujours l'amour. Cette fois-ci cela sera-t-il
différent, pour lui comme pour moi ?
Seule dans
mon lit, je cherche un indice de ce qui a pu se passer chez Monsieur Didier. Il
me semble avoir vu ses yeux briller quand elle en parlait, mais je n'ai rien pu
savoir de plus. Qu'a-t-elle pu découvrir de lui ?
Les enfants
sont ravis de retrouver leur père, il passe du temps avec eux, mais je le vois
préoccuper. L'accident à l'usine a dû être bien plus grave que ce qui a été
annoncé dans les journaux. Je ne l'ai jamais vu aussi abattu.
Quand les
enfants sont couchés, je me dis que je dois prendre les choses en main. Lorsque
j'arrive dans la chambre, j'ai enfilé une petite nuisette transparente noire
qu'il m'avait offerte quelques mois après notre mariage. Je marche vers lui
sensuellement. Il lève les yeux et me sourit. Il me tend la main. Aurais-je
réveillé de l'envie chez François ?
Il m'attire
contre lui. Je passe ma main sur son torse. Je sens la sienne glisser sur mes
fesses. Il me caresse. J'embrasse sa peau doucement et descends ma bouche vers
son sexe que je sors de son caleçon. Je ne peux m'empêcher de faire la
comparaison avec celui de Monsieur Didier. Je le masturbe un peu, si je ne peux
pas affirmer que celui de Monsieur Didier est plus gros ou plus grand, en
revanche, il est plus dur. On dirait un vrai pieu contrairement à celui de mon
mari qui reste un peu souple.
Je le branle
un peu avant de le prendre entre mes lèvres. Il durcit à peine plus et il me
retourne alors sur le dos pour me pénétrer. Après quelques va-et-vient et un
grognement, il jouit en moi. Je fais semblant de jouir et je vais me rincer
rapidement. Décidément, me fera-t-il jouir de nouveau ? J'en suis de moins
en moins persuadée.
Ce jeudi
matin à l'agence, j'ajuste ma robe avec mon plug entre les fesses. Je reçois la
visite d'un futur partenaire brésilien. Cette année s'annonce bien, d'ici
quelques mois, je vais peut-être avoir deux nouvelles agences, une à Dubaï et
une à Sao Paulo. La discussion est cordiale et ouverte. L'enthousiasme de
Gabriela, la représentante du voyagiste brésilien, est contagieux. Aussi quand
Monsieur Didier apparaît dans l'agence, nous sommes encore en train de rire
ensemble.
— Gabriela,
une future partenaire ! Monsieur Didier, un important client !
— Enchantée !
lui dit-elle. J'espère que nous pourrons faire affaire ensemble ?
Je vois au
regard de Monsieur Didier que les formes de Gabriela ne le laissent pas de
marbre.
— Si vous
voulez bien me suivre, Monsieur ! Je suis toute à votre disposition.
Je laisse
Adeline voir avec Gabriela les derniers détails de notre accord de
collaboration pour m'enfermer avec Monsieur Didier.
Dès la porte
fermée, je me mets nue en position.
Il passe
derrière moi et il joue à faire entre et sortir le plug de mon cul. Je grimace
et gémis, puis il vient devant moi toujours silencieux. Il pénètre ma chatte
avec trois doigts. Je gémis quand il les remue et que son pouce appuie sur mon
clitoris. Je n'ai toujours pas l'autorisation de jouir. Je respire
profondément. Il continue longuement comme dimanche après-midi. Je tremble. Je
flageole sur mes jambes, je tremble puis il s'arrête. Je souffle.
Ma décision
est prise.
— Monsieur
Didier, enculez-moi, s'il vous plaît !
Il me
regarde, il sourit et il va s'installer dans mon fauteuil.
J'en ai les
larmes aux yeux. Je viens à genoux entre ses cuisses et le suce. Il gicle dans
ma bouche. Je l'avale.
Il se relève
et il me dit :
— Je t'ai
demandé de me supplier…
Il sort et
referme la porte. Nue, à genoux sur le sol de mon bureau, je pleure. Je ne sais
plus que penser. Heureusement que ce soir, je vais au sport avec Natacha,
peut-être que je pourrais lui parler de ce que je vis, de mon trouble.
Avant
d'arriver à la salle de sport, c'est Natacha qui me surprend.
—Charlotte !
me dit-elle sur le chemin. J'ai un amant…
Cette
nouvelle me surprend tellement, que je m'arrête. Je la regarde incrédule.
— Toi ! Un
amant… Mais Pierre-Henri ? Tu ne l'aimes plus ?
— Oh si !
Mais c'est bien plus compliqué que cela…
Au lieu de
nous rendre à la salle de sport, nous décidons de nous arrêter dans une
brasserie pour discuter.
Je lui
demande comment elle en est arrivée à avoir un amant.
Elle me
raconte alors qu'un jour, elle a croisé un homme qui l'a conduite à réfléchir
sur sa vie, sur son avenir. Son mari est souvent absent, elle est seule avec
ses enfants, vit-elle pour elle ou pour ses enfants ? Elle devrait profiter
de la vie.
Depuis cette
rencontre, elle a beaucoup réfléchi et récemment, elle a croisé un homme qui
l'a troublée. Elle a cédé à ses avances et depuis elle se sent enfin une femme,
plus une mère ou une épouse, mais une femme.
Elle me
demande ce que j'en pense.
Je me garde
bien de la juger.
— SI tu es
heureuse comme cela, c'est parfait. C'est même l'idéal…
J'hésite un
peu avant d'ajouter :
— Tu sais !
Moi aussi depuis quelque temps, je vis quelque chose d'étrange et merveilleux
avec un homme…
— Toi aussi ?
— Oui, je ne
sais comment qualifier notre relation, mais si ce n'est pas de l'amour, c'est
quelque chose qui en est très proche. J'accepte de faire avec lui des choses
que je ne ferai jamais avec mon mari…
— Oui moi
c'est pareil… me dit Natacha.
Je la vois
rougir, je sens qu'elle veut me dire quelque chose, mais elle n'ose pas.
— Que veux-tu
me dire ? Tu peux tout me dire, tu sais que ton secret est en sécurité avec
moi…
Elle regarde
partout et approche sa bouche de mon oreille et elle me chuchote :
— Il m'a
enculée… et j'ai adoré…
Je ne dis
rien. J'imagine Natacha à quatre pattes, ses petites fesses fermes occupées par
un sexe masculin. L'idée me fait rougir.
— Ne rougit
pas… C'était divin ! Tu as déjà essayé ?
— Non ! Mais
je ne sais pas comment amener mon amant à me le faire, car j'en ai envie aussi.
Nous rigolons
ensemble et c'est encore plus complice qu'avant que nous rentrions chacune chez
nous. Retrouver nos maris qui ne se doutent de rien.
******
Natacha
La maison est
vide, il n'y a plus un bruit. Baptiste dort et je viens de finir le ménage. Je
me pose sur le canapé. Monsieur Didier avait bien raison samedi. Pourquoi
fais-je tout cela ? Pour qui suis-je en train de vivre ?
Oui ! Samedi
soir, j'ai trompé mon mari avec Alain. Oui ! Hier matin, j'ai léché Virginie.
Et, dans les deux cas, j'ai aimé ce que je faisais. Il n'en saura jamais rien
et cela ne risque pas d'arriver. Monsieur Didier a raison, je dois aussi penser
à moi.
Il m'a dit
qu'il viendrait faire mon éducation, si c'est de cela dont il parle, je suis
partante. Je veux bien qu'il m'éduque pour que j'apprenne à vivre pour moi et
mon plaisir.
Grâce à ces
pensées, mes journées me sembleront bien moins monotones, mais il faut bien que
je me l'avoue avec cinq enfants, cela ne va pas être simple.
Je pense
toujours à cela le mardi après-midi au presbytère quand je suis seule pour
préparer la salle du lendemain. Va-t-il surgir à l'improviste comme la semaine
dernière en me surprenant en train d'allaiter mon bébé. Je fais même exprès de
prendre mon temps pour cela, mais personne ne passe.
Aussi le
mercredi, alors que je range après ma séance de catéchisme, je sursaute quand
une voix m'interpelle :
— Bonjour
Salope !
Je me
retourne, surprise par les mots utilisés. "Salope." Qui peut bien
oser m'appeler ainsi ? C'est alors que je le vois à la porte. Monsieur
Didier est là.
Avant que je
ne puisse dire quoi que ce soit, il entre et referme la porte.
— On ne sera
pas dérangée. Je viens de dire au père Sylvain que je venais te donner un coup
de main.
Je le regarde,
étonnée. Pourquoi veut-il m'aider ?
Il est
maintenant devant moi. Il me toise. Je devrais appeler à l'aide, mais il me
subjugue. Autant d'assurant m'impressionne. Il tend alors sa main.
— Ta culotte…
Je baisse les
yeux et en tremblant, je retrousse ma robe et je fais glisser mon string. Rouge
de honte, je lui tends mon string de coton noir. Il le regarde en souriant
vicieusement.
— Alain avait
bien raison, tu es une vraie salope sous tes aires de Sainte-Nitouche… Qui t'a
autorisé à redescendre ta robe… Et écarte les cuisses
Je m'arrête
et remonte à nouveau ma robe sur mes hanches en écartant les cuisses. Il avance
sa main et je sens un doigt entrer en moi. Je me cambre un peu. Il fait entrer
et sortir son doigt en moi avant de me le passer sous le nez.
— Sens ton
odeur de femelle en chaleur…
Il caresse
mes lèvres avec ce doigt qu'il cherche à faire pénétrer dans ma bouche, il
finit par entrer. Je commence à le lécher, à l'aspirer, le téter.
— Suceuse
aussi, comme Alain me l'a dit.
Je me sens
humiliée, ainsi Alain a raconté ce que nous avions fait à cet homme. Je retiens
mes larmes, mais j'aime ce que je suis en train de vivre. Je le vois alors
ouvrir son pantalon et sortir son sexe.
— Montre-moi
! Alors !
Je comprends
ce que je dois faire, et je m'agenouille devant lui. Je le prends entre mes
lèvres pour lui prodiguer une caresse buccale comme j'ai pu le faire avec
Alain. Il m'attrape par les cheveux et il guide mes mouvements. Il veut forcer
ma bouche, mais je hoquette et recule. Il ne dit rien et recommence. Je le sens
durcir dans ma bouche. Il est maintenant bien raide. Je me prépare à le
recevoir dans ma bouche quand il se retire.
Je relève les
yeux, intriguée.
— Allonge-toi
sur la table, et attrape tes genoux avec tes mains…
Je prends la
pose, de ce fait, ma robe me retombe sur le visage et je ne vois plus ce qu'il
fait. Je l'entends fouiller dans la boîte où se trouvent les crayons. Puis je
sens qu'il écrit quelque chose sur mon pubis lisse, une lettre.
— Comme cela
! Tout le monde saura ce qu'il en est de toi.
Puis, je le
sens soulever mes reins avec ses mains et d'un coup, je sens son sexe forcer
mon petit anneau.
Je crie de
douleur. Cela ne semble pas l'émouvoir et il entre plus profondément dans mon
cul. Je gémis, il commence à me pilonner en puissance. Je gémis. J'ai mal.
Cette pénétration est moins agréable que celle que j'ai vécue avec Alain.
Enfin, il
s'enfonce une dernière fois en moi et je le sens se répandre dans mon cul. Il
se retire et me demande de me remettre à genou. Il approche à nouveau son sexe
de mon visage. Je tourne la tête. Il me gifle.
— Tu dois me
nettoyer… Je sais que tu ne l'as pas fait avec Alain, mais avec moi, tu le
fais…
Je vois alors
sa main se lever une nouvelle fois.
— Oui
Monsieur !
J'ouvre la
bouche et nettoie cette queue qui sort de mon cul. Cela me donne envie de
vomir, plus en raison de ce que j'imagine que ce que je lèche. Je finis
laborieusement et il se rhabille. Il me fait me relever. Je suis en larmes. Il
me donne une claque sur les fesses en me disant :
— À bientôt,
il y a du boulot…
Hébétée, je
regarde la porte fermée. Il a emporté mon string, je vais devoir rentrer fesses
nues sous ma robe. Heureusement qu'elle est longue.
Je m'aperçois
que mon téléphone est posé sur la table où Monsieur Didier m'a enculée, une
photo affichée. Je soulève ma robe. Je découvre qu'il m'a écrit un
"S" sur mon pubis avec un marqueur noir. Comment vais-je cacher cela
à Pierre-Henri ? Je sais pour m'en mettre parfois sur les mains que cette encre
est dure à enlever et reste parfois quelques jours malgré le savon.
En prenant
mon téléphone, je m'aperçois qu'il a envoyé cette photo à un numéro que je ne
connais pas et à Alain avec pour légende, "S : salope, suceuse,
soumise". Je m'empresse d'effacer la photo et le message
Je me maudis
de ne pas avoir écouté mes amies qui me disait de mettre un code de
verrouillage sur mon écran. Mais jamais, j'ai jugé utile de le faire. C'est
trop tard maintenant.
De retour à
la maison, je prends une longue douche pour essayer de faire disparaître cette marque,
ce soir, je dormirai en culotte et je prétexterai un mal de tête.
Le lendemain,
au milieu de la matinée, Albert frappe à la porte.
—Bonjour
Madame Rivière !
—Bonjour,
Albert, qu'est-ce qui t'amène ?
—Monsieur
Didier m'a donné cette enveloppe pour vous. Il m'a dit que c'est en lien avec
le catéchisme.
— Merci
Albert !
Je prends
l'enveloppe et je l'ouvre après le départ d'Albert. Je blêmis.
"Je veux
que pour onze heures, tu aies envoyé une photo de toi intégralement nue face au
miroir avec le S bien visible aux mêmes numéros qu’hier."
C'est
impossible, je n'ai plus le numéro. J'ai tout effacé. Comment faire ? Je
panique.
Malgré tout,
je me mets nue dans la salle de bain et je me regarde dans la glace. Avec la
douche, j'ai réussi à presque faire disparaître le "S". Honteuse et
humiliée, je prends alors du rouge à lèvres pour le retracer, et je prends la
photo. Quelques minutes avant onze heures, je reçois un message du numéro
inconnu : "J'attends !"
Soulagée,
j'ai enfin le numéro. Je m'empresse d'envoyer ma photo et à onze heures moins
une, je reçois les deux accusés de réception.
Cela ne me
soulage pas, car que va-t-il me demander ensuite ? Comment vais-je pouvoir
garder cela pour moi ?
Heureusement,
ce soir, je vois Charlotte. Je pourrais peut-être lui en parler. Je passe
l'après-midi à y réfléchir. Et quand nous sommes sur le chemin de la salle de
sport, je prends mon courage à deux mains et je me lance :
—Charlotte !
J'ai un amant…
Je comprends
sa surprise, mais elle m'avoue qu'elle aussi vit une relation particulière avec
un autre homme que son mari. La séance de sport se transforme en confidences
autour d'un mojito géant.
Une
complicité nouvelle vient de naître entre nous.
*******
Didier
Quand je
rentre de l’agence de Charlotte un sourire sur les lèvres en repensant comment
je m’amuse avec cette belle rousse, alors que je prends l’escalier pour monter
à mon appartement, je rencontre une autre rouquine, Madame de Cuise, mère de
Charlotte. Je m’arrête pour lui dire bonjour.
— Comment
allez-vous, Madame ?
— Bien
Monsieur… Oh je suis désolé, je ne me souviens pas de votre nom.
— Didier, appelez-moi
simplement Didier !
— Bonjour
Didier alors ! Excusez-moi, mais je dois aller chercher les enfants de ma fille
à l’école.
C’est alors
que je vois Rachel revenir de l’université. Je me dis que l’occasion fait le
larron. Je demande alors avec une voix suave :
—
Voudriez-vous venir prendre un café chez moi, Madame ? Je vois Rachel, la
baby-sitter de votre fille qui arrive. Elle ira chercher les enfants, les fera
goûter et les aidera pour leurs devoirs.
Je fixe la
jeune fille qui dit, bientôt :
— Oui ne vous
inquiétez pas Madame, ils m’aiment bien. Je vais aller les chercher.
Sur ces mots
Rachel fait demi-tour et repart dans la rue.
— Bon alors
j’accepte votre invitation.
Je l’invite à
entre dans l’ascenseur pour monter à mon appartement. Arrivé chez moi, je lui
propose de prendre sa veste et de s’asseoir sur le canapé. C’est bien le
parfait sosie de sa fille. Elle a la même chevelure, je me dis qu’elle doit se teindre.
Ses seins ont l’air plus gros et plus lourds. Ils remplissent totalement le
soutien-gorge qui pousse le fin tissu du chemisier. Je me dis que si elle
éternue, les boutons vont craquer tellement ils sont tendus. Elle porte une
jupe qui descend juste au-dessous des genoux. Vu la saison elle n’a ni bas et
ni collants. Ces mollets sont bien ciselés, sûrement dû au port de hauts
talons. Alors qu’elle regarde la décoration de mon appartement, je m’éclipse à
la cuisine pour préparer le café. Je crie alors :
— Je vais
faire du café, ne vous impatientez pas !
— Merci
Didier ! Dites-moi, vous connaissez ma fille et mon gendre depuis longtemps ?
— Je les
rencontre parfois. Moins votre gendre, il est souvent absent. Votre fille a
l’air très occupée aussi.
Je reviens
dans mon salon avec un plateau, deux tasses, une cafetière, une sucrière et
deux cuillères. Je pose le tout sur la table basse et verse du café dans une
tasse. Je l’entends dire :
— Oui
effectivement, Charlotte travaille trop et en plus elle s’occupe de
l’intendance. Son mari étant trop absent, il n’a pas le temps de s’occuper
d’elle et des enfants.
—
Excusez-moi, mais je vous sens amer. Le couple n’irait plus très bien ?
— Oh je
croyais jusque-là qu’ils s’aimaient. Mais ma fille m’a paru bizarre dernièrement,
gênée, mais plus épanouie, plus femme. Je me demande si elle n’a pas rencontré
quelqu’un. Mais excusez-moi, je vous ennuie avec mes affaires.
Je sens que
si je la pousse un peu, elle va me faire plus de confidences. Je prends ma voix
persuasive et en lui tendant la tasse je dis :
— Ça ne me
dérange pas ! Je suis célibataire et je ne connais pas les problèmes que peut
avoir un couple.
— Oh, un bel
homme comme vous n’a pas trouvé chaussure à son pied ? C’est dommage. Pour
en revenir à ma fille, je la connais bien, c’est une parfaite réplique de
moi-même. Je suis persuadée qu’elle trompe son mari. Et je suis heureuse pour
elle.
— Vous
approuvez l’adultère ?
— Oh vous
savez, une femme se flétrit si elle n’a pas un homme pour lui donner du
plaisir.
Elle continue
à parler, plongée dans ses pensées, sans se rendre compte qu’elle se livre à un
étranger. Elle pose sa tasse et je m’assois à côté d’elle sur le canapé en la
laissant continuer :
— Une femme
ne vit pas d’amour et d’eau fraîche, elle a besoin d’assouvir des besoins
sexuels. Et elle ne peut le faire seule, elle a besoin d’une bonne grosse bite en
elle pour se sentir vivante.
C’est alors
que je prends sa main et la pose sur mon entrejambe où pointe une bosse.
— Comme
celle-là, vous voulez dire ?
Elle semble
se réveiller d’un rêve. Elle veut retirer sa main, mais je la tiens solidement.
Elle est effarée par ce qu’elle vient de dire.
— Oh
excusez-moi Didier, je ne pensais pas ce...
Je
l’interromps :
— Voyons
Madame, nous savons très bien que vous pensiez tout ce que vous avez dit.
Elle rougit. Je
prends ma voix autoritaire :
– Dites-moi
depuis combien de temps n’avez-vous pas vu de bites ?
Elle rougit
encore plus, baisse les yeux et bégaie :
– Euhhh non…
Euhhh… cinq ans !
— Et
pensez-vous être décrépie au point de rester abstinente ? Vous allez passer le
reste de votre vie à vous rappeler ce qu’est une bonne bite dans votre chatte ?
Vous morfondre dans votre lit sans plus jamais éprouver de plaisir ?
Je la laisse
réfléchir tout en tenant sa main sur la bosse de mon pantalon. Je la sens
appuyer un peu, fermer légèrement la main pour mieux sentir. Je sais que c’est
gagné.
— Allez,
ouvrez ma braguette et sortez ma queue, je sais que vous en avez envie !
Hésitante, sa
main monte au premier bouton de ma braguette. Elle y joint bientôt sa deuxième
main. Après avoir tout déboutonné, elle va pêcher délicatement mon sexe qui ne
demande qu’à être libéré. Quand il est sorti, bien droit, elle le tient dans sa
main et le regarde comme une apparition. Elle ne sait trop que faire alors je
l’aide :
— Il ne va pas
vous mordre : allez, sucez !
Elle hésite
une nouvelle fois, mais se penche et ouvre la bouche. Elle avale ma bite et
commence à la sucer. Puis elle s’arrête et lèche le gland tout en branlant la
hampe, et elle recommence à me sucer. Elle n’est pas seulement experte, mais
elle semble aussi affamée.
Comme elle
est presque allongée sur moi, je pose une main sur sa jupe que je relève
lentement. Mon autre main se faufile sous elle et déboutonne son chemisier.
Elle continue docilement sa fellation. Sa jupe relevée, je vois qu’elle a une
petite culotte toute fine et non pas la gaine que l’on pourrait attendre chez
une personne de cet âge. Je lui caresse les fesses et je l’entends gémir sur
mon membre. Je parie qu’elle mouille. Ma main s’engage sous sa culotte et
glisse le long de sa raie. Je suis étonné, aucun poil ! Après cinq ans sans
avoir été baisée, elle fait quand même attention à elle et se tient prête.
Elle s’active
sur ma bite. Je dois la ralentir sinon je vais jouir trop vite.
— Attendez
Madame de Cuise !
Je lui retire
mon membre de sa bouche et sors du canapé. Je l’aide à se lever. Son regard est
fixé sur ma virilité bien droite. Je lui laisse la prendre dans une main pour
me branler, pendant que je la déshabille. Je lui ôte son chemisier, puis son
soutien-gorge. Sa poitrine est magnifique même si elle tombe un peu. Je caresse
ses seins et pince ses mamelons. Elle gémit, le bonheur s’affichant sur son
visage. Il n’y a pas à dire, telle mère, telle fille, deux belles rousses avec
de gros atouts.
Je lui fais
lâcher ma bite, je la tourne et je la fais se pencher sur le canapé et écarter
les jambes. Puis sans avertissement, je plonge ma queue dans sa chatte. Elle
est tellement humide que ça rentre tout seul. La mère de Charlotte pousse un long
gémissement avant de dire :
— Oh ouiiiii
!
Je change
alors de manières pour voir comment elle va réagir :
— Alors
vieille salope, tu aimes ça ? Une bite dans ta vieille chatte, c’est trop bon
n’est-ce pas ?
Je retire
lentement mon sexe jusqu’à ce qu’il soit entièrement sorti. Puis je le replonge
brutalement dans l’antre chaud.
—
OOOOhhhhhhhh ! Oh oui j’aime ça ! Encore s’il vous plaît !
— Eh bien,
qui aurait pensé qu’une vieille snob comme toi serait aussi chaudasse ? Tu
veux être baisée ? Supplie-moi !
Et je retire
ma queue de sa chatte.
— Oui s’il
vous plaît monsieur Didier, baisez-moi ! S’il vous plaît, remettez votre queue
en moi, je la veux, s’il vous plaît.
Elle a
vraiment l’air désespérée. Je replonge mon membre dans son ventre et elle a son
premier orgasme. Je vois son corps trembler. Elle pousse un long gémissement de
plaisir. Sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, je commence à la
pilonner avec force. Je sens qu’il s’agit d’une femme avec qui on se doit d’être
brutal. Je lui claque les fesses tout en la baisant.
— Vieille
salope, tu aimes ça ! Ton gros cul aime être fessé non ? Et tu sais que tu as
vraiment de grosses mamelles de vache ! Tu voulais de la queue, en voilà !
Elle a alors
son deuxième orgasme. Je sens qu’elle commence à être épuisée. Il ne faudrait
pas qu’elle ait une crise cardiaque. Tout en la tenant par les hanches,
j’accélère le rythme et bientôt je gicle au plus profond de sa chatte. Quand je
retire ma bite et que je la lâche, elle s’écroule sur le canapé. Un sourire de
pur plaisir s’étale sur son visage.
— Viens
nettoyer ma bite ! Ordonné-je.
Elle se
relève lentement et s’agenouille devant moi. Puis elle me lèche
consciencieusement le sexe et les couilles. Il n’y a pas à dire, elle a de l’expérience.
Je range mon
attirail, puis la laisse lentement se rhabiller. Ses gestes sont lents, elle
n’a plus de force la mamie. Les deux orgasmes l’ont laissé sans énergie. Mais
finalement, complètement habillée, elle se dirige vers la porte pour sortir. Mais
avant elle se tourne et dit :
— Vous ne
direz rien à Charlotte n’est-ce pas ?
Je prends mon
sourire le plus énigmatique et je réponds :
— Je verrais
!
Elle rougit
et sort de chez moi en se demandant ce qui vient de lui arriver.
Le lendemain
matin, en ce beau mercredi d’automne, je décide de passer voir Natacha après
son cours de catéchisme. Il faut que je m’occupe sérieusement d’elle. Alain m’a
raconté ce qu’il s’est passé le week-end. Il m’assure que c’est une vraie
salope qui ne demande qu’à être baisée. Je m’en doutais un peu. Ce n’est pas
son mari toujours absent qui peut la satisfaire. Je vais bien la dresser, je
veux qu’elle soit à ma botte.
Je passe voir
le père Sylvain auparavant pour lui dire que je vais l’aider à ranger. Malgré
son étonnement, je pense que je serais tranquille. Je rejoins la salle où
Natacha donne ses cours, entre et dit :
— Bonjour
Salope !
Natacha se
retourne, étonnée. Je ferme la porte et lui dit :
— On ne sera
pas dérangée. Je viens de dire au père Sylvain que je venais te donner un coup
de main.
Elle est
étonnée. Je prends un air sévère et me place devant elle. Je tends ma main et
dit :
— Ta culotte…
Elle n’hésite
pas, elle baisse les yeux, rougit et en tremblant elle trousse sa robe. Bientôt
elle me tend son string. C’est bien une salope, elle porte des sous-vêtements
sexy et sa chatte est bien entretenue. Elle a besoin qu’un ou plusieurs hommes
s’occupent d’elle. Je luis dis alors :
— Alain avait
bien raison, tu es une vraie salope sous tes aires de Sainte-Nitouche… Qui t'a
autorisé à redescendre ta robe… Et écarte les cuisses.
Elle m’obéit.
Sans douceur, je pose ma main sur sa chatte et entre un doigt dans son sexe. Je
le fais entrer et sortir. Elle mouille déjà. Je sors mon doigt et lui passe
sous le nez en disant :
— Sens ton
odeur de femelle en chaleur…
Je caresse
ses lèvres avec mon doigt, puis j’essaie de le faire pénétrer dans sa bouche
fermée. Elle résiste une demi-seconde avant de l’aspirer et bien le lécher.
— Suceuse
aussi, comme Alain me l'a dit.
Je veux
l’humilier, la rendre plus malléable, lui faire comprendre que nous n’avons pas
de secrets entre amis. Je la vois refouler un sanglot, mais elle ne fait pas
mine de s’enfuir comme le ferait une femme normale. Je descends alors ma
braguette et je sors ma bite.
— Montre-moi
alors !
Tout de suite
elle s’agenouille. Elle avale ma bite et fait rouler sa langue autour. Mais
c’est moi qui mène la danse. J’agrippe ses cheveux blonds et tire sa tête sur
mon sexe. Elle a un haut-le-cœur. Je la regarde et recommence. Ma bite durcit
dans la chaleur humide de sa bouche. Elle est bientôt bien raide. Je retire
alors mon sexe. Elle me regarde sans comprendre.
— Allonge-toi
sur la table, et attrape tes genoux avec tes mains…
Elle se
retrouve allongée, ses mains écartant ses genoux, sa robe sur la tête. Je veux
qu’elle sache ce qu’elle est vraiment. Je fouille dans une boîte contenant des
crayons et en sors un marqueur indélébile. C’est très bien ça ! Je dessine
alors un grand S sur sa chatte glabre et je commente.
— Comme cela
! Tout le monde saura ce qu'il en est de toi.
Je prends son
téléphone portable qui est sur la table. J’ai de la chance il n’est pas
verrouillé. Je prends une photo de sa chatte que j’envoie à Alain avec ce
commentaire : « S : salope, suceuse, soumise » et je me l’envoie sur un téléphone
dont je me sers peu souvent.
Puis je
soulève son cul avec mes mains et sans avertissement je l’encule. Je force sur
son petit trou qui cède rapidement. Elle crie de douleur, mais je m’en fous.
Alain avait raison, son cul est vraiment confortable. Sans me soucier de ses
gémissements, je martèle son cul avec force. Puis, après un dernier coup de
reins bien appuyé, j’éjacule dans ses intestins.
Je me retire,
lui ordonne de se mettre à genoux et je lui présente mon sexe. Elle tourne la
tête de dégoût, alors je la gifle violemment. Il est hors de question qu’elle
ne m’obéisse pas.
— Tu dois me
nettoyer… Je sais que tu ne l'as pas fait avec Alain, mais avec moi, tu le
fais…
Alors que je
lève la main pour lui donner une autre claque, elle dit brisée :
— Oui
Monsieur !
Elle
engouffre ma bite qui sort de son cul et la nettoie. Elle fronce le nez de
dégoût et s’applique laborieusement. Elle pleure. Il va falloir t’y faire ma
fille, pensé-je. Quand enfin elle a fini, je range mon sexe, je la fais se
relever et je lui mets une grosse claque sur son cul en disant :
— À bientôt,
il y a du boulot…
La bouche ouverte,
elle me regarde sortir.
Je rentre à
mon appartement, prend une feuille est une enveloppe. J’écris un mot puis je
descends l’enveloppe à Albert en lui demandant de le porter le lendemain tôt
chez Natacha.
Le lendemain
matin, je décide de passer à l’improviste à l’agence de Charlotte. Quand
j’entre dans la boutique, je trouve à l’accueil Charlotte en train de parler à
une très belle femme et Adeline qui tout de suite me regarde avec des yeux de
tueurs. Je ne m’occupe pas de la jeune fille alors que Charlotte nous présente
:
— Gabriela,
une future partenaire ! Monsieur Didier, un important client !
— Enchantée !
me dit-elle. J'espère que nous pourrons faire affaire ensemble ?
Je la regarde
de haut en bas, cette belle Brésilienne est à manger. Elle a tout ce qu’il faut
et où il faut. Sa peau est dorée, ses seins bien ronds et sa croupe parfaite
pour une fessée. C’est alors que Charlotte me sort de ma rêverie.
— Si vous
voulez bien me suivre, Monsieur ! Je suis toute à votre disposition.
Elle laisse
sa future partenaire avec son employée qui n’arrête pas de me fusiller du
regard. Je crois vraiment qu’elle ne m’aime pas. Je suis ma belle soumise
rousse dans son bureau que je ferme après être entré. Charlotte se met déjà en
position, nue.
Je tourne
autour d’elle et je joue avec le plug. Je le sors et je le remets. Charlotte
grimace et gémit. Toujours sans un mot, je me place en face d’elle et brutalement
j’enfonce sa chatte avec trois doigts. Bien sûr elle est déjà bien humide. Je
sais qu’elle mouille dès qu’elle me voit ma petite chienne rousse. Avec mon
pouce je titille son clitoris. Je m’amuse de la voir reprendre sa respiration
et de faire son possible pour se retenir de jouir. En bon salaud, je continue
mon manège un bon moment. Je la vois trembler et plier ses genoux. Si je
continue, elle ne pourra se retenir et elle aura un orgasme. Mais je garde ça
pour un autre jour. Je retire ma main. Je l’entends alors dire :
— Monsieur
Didier, enculez-moi, s'il vous plaît !
Je souris
alors en la regardant. C’est trop simple. Je vais m’asseoir toujours sans un
mot dans son fauteuil. Les larmes aux yeux, elle me rejoint à quatre pattes
pour me sucer. Elle va bientôt devenir aussi experte que sa mère. J’éjacule
dans sa bouche et elle avale avant de bien nettoyer ma bite.
Je me lève et
me dirige vers la porte. Avant de partir, je lui dis :
— Je t'ai
demandé de me supplier…
Je ferme la
porte derrière, et sors de l’agence, sans avoir oublié de faire un grand
sourire hypocrite à Adeline.
Je dois
rentrer à mon appartement pour préparer quelques affaires. Je vais passer
quatre jours au haras de Philippe. Il a une nouvelle secrétaire, Agnès qu’il a
amenée le week-end dernier au barbecue. Il voudrait que je l’aide à la faire
tomber dans ses filets. Je reviendrai mardi et je verrai dans quel état
d’esprit seront mes deux petites chiennes, Charlotte et Natacha. Je crois
qu’une longue absence de ma part va les obliger à se poser des questions.
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