jeudi 5 octobre 2023

Erika : Dresseuse de Couples - 08 - Médiation Conjugale

 

— Demain soir, j’ai invité une amie à dîner. J’espère que tu ne feras pas la tête comme tu me le fais depuis plus d’un mois, dit Marie-Gabrielle à Olivier.

La tête dans son assiette, Olivier hausse les épaules et répond tout aussi sèchement à sa femme.

— Je ne fais pas la tête, c’est toi qui ne m’adresse plus la parole ! Et toutes ces cachoteries, ces dimanches après-midi avec tes copines ! Depuis quand tu as des copines qui sortent le dimanche après-midi. Vous êtes toutes des grenouilles de bénitier !

— Et toi ? tu n’es jamais parti aussi souvent, en déplacement ! A ce rythme, on ne se verra bientôt plus…

Déjà que, avant, tu me touchais à peine, pense-t-elle silencieusement. Heureusement que j’ai rencontré Erika. Au moins avec elle, j’ai une vie sexuelle ! Particulière, c’est sûr, mais elle existe.

— Ne t’inquiète pas, pour ton “amie”, je serai coopératif, lui dit Olivier avant de quitter la table.

Comme tous les soirs, il monte dans la chambre d’ami afin de dialoguer soit avec Patricia, soit avec Erika, en laissant Marie-Gabrielle s’occuper seule des tâches ménagères.

Qui peut être cette amie ? se demande-t-il. Ce n’est pas Laure, son employée, ni ces dames de la paroisse, encore que ! Il y en a peut-être une qui se sépare de son mari et qui a besoin d’une épaule consolatrice.

La soirée promet d’être compliquée. En plus, pour ne pas lui faciliter les choses, Erika lui a demandé d’être connecté à vingt-et-une heures précises, un nouveau sujet de discorde en perspective avec Marie-Gabrielle. Si seulement, elle pouvait être comme cette femme dans la boite qu’il avait baisée sans retenue l’autre jour.

***

Afin de ne pas trop excéder Marie-Gabrielle, Olivier décide de faire un effort vestimentaire pour recevoir cette amie. Il porte un pantalon et une chemise de lin, lui seul sait que sous le pantalon et le caleçon, il porte sa cage et son plug. Pendant l’après-midi, il a passé la tondeuse. Ils pourront profiter de la terrasse.

Olivier vient de recevoir un message de Marie-Gabrielle qui lui indique qu’elle quitte sa boutique et qu’elle arrive. Cela lui laisse le temps de sortir ce qu’il faut pour l’apéritif et d’allumer le barbecue.

Quand le portail automatique s’ouvre, il est tranquillement installé à lire sur la terrasse. Il voit Marie-Gabrielle sortir de sa voiture. Il n’avait pas remarqué que sa jupe était particulièrement courte, elle lui couvre à peine les fesses. Il en ressent un frisson d’excitation qui retombe aussitôt quand il découvre l’amie de sa femme.

Maîtresse Erika ! Que fait-elle là ? Ce n’est pas possible, Marie-Gabrielle ne peut pas être amie avec cette femme ! Elles sont si dissemblables !

Marie-Gabrielle ne comprend pas la réaction de son mari. Pourquoi devient-il si nerveux ? Connaîtrait-il Erika.

Olivier immobile, voit les deux femmes s’approcher. Erika précède Marie-Gabrielle. Sa femme garde les yeux vers le sol. Il n’a plus de doute. Marie-Gabrielle est soumise à Erika.

— Bonjour Petit Chien, je vois que tu connais Petite Pute !

— A ces mots, Olivier et Marie-Gabrielle se regardent interloqués. Chacun réalise que lors de l’épisode de la boite, il s’agissait de l’autre. Marie-Gabrielle se sent humiliée, Olivier a vu ses tatouages.

— Qu’est-ce que vous attendez pour vous mettre en tenue ?

Aussitôt, avec fébrilité, ils se mettent nus. Si Marie-Gabrielle n’a plus rien à cacher à Olivier, celui-ci se demande comment sa femme va réagir en découvrant la cage de chasteté et le plug.

— Petit Chien ! il te manque quelque chose !

— Excusez-moi Maîtresse ! Je ne savais pas que vous viendriez ce soir, je vais le chercher.

Marie-Gabrielle, surprise par les accessoires portés par son mari, se demande ce qu’il peut bien avoir oublié. Mais, elle n’a pas le temps de se poser plus de questions car Erika s’installe dans un fauteuil et lui demande de venir la lécher. Elle s’exécute et quand Olivier revient avec le collier et la laisse, il découvre sa femme occupée à donner du plaisir à Maîtresse Erika.

Il peut voir la chevelure rousse de Marie-Gabrielle, ou doit-il dire Petite Pute, remuer au rythme de ses coups de langue dans la chatte de Maitresse Erika. Celle-ci entrouvre les yeux quand elle l’entend revenir. Elle repousse Marie-Gabrielle qui reste à genoux sur le béton de la terrasse.

— Approche Petit Chien ! Mets-toi à genoux à côté de Petite Pute ! Et faites le beau, tous les deux comme deux bon chien de compagnie !

Aussitôt le couple prend la pose demandée, redressés, les bras repliés le long du corps avec les mains pendantes devant eux. Elle leur demande de tirer la langue, ils s’exécutent docilement. Elle prend deux petites saucisses cocktail et se frotte la chatte avec avant de les poser entre les dents de Marie-Gabrielle et Olivier. Elle les regarde manger cet amuse-gueule en souriant. Elle les félicite en leur caressant les cheveux. Le couple de soumis ne réfléchit même plus à ce qu’il fait, il est d’une docilité sans limite. En quelques minutes Erika se retrouve la maîtresse de maison !

— Petit Chien tu vas faire le service ! Mets l’assiette de Petite Pute à mes pieds ! Elle va manger comme une chienne, à quatre pattes.

— Oui Maîtresse, répond Olivier, en obéissant immédiatement.

Marie-Gabrielle regarde Erika, frustrée de devoir rester comme cela. Elle se demande comment elle va pouvoir manger la ratatouille qu’elle a préparée, en restant à quatre pattes. Olivier s’applique à servir Erika, il est assis à l'autre bout de la table en attendant ses demandes. Il est surpris par la quantité de verres d’eau qu’il doit lui servir, pourtant le repas n’est pas si salé que cela. Marie-Gabrielle, elle, attend sagement qu’Erika veuille l’autoriser à manger. Parfois sa maîtresse lui demande de lui lecher la chatte entre deux bouchées. Olivier voit alors Erika ramasser l’assiette vide de Marie-Gabrielle. Elle la remplit avec de la ratatouille froide et des morceaux de viande qu’elle avait recrachés de sa bouche. Il est désolé pour sa femme, mais en même temps, il en est jaloux. Il aurait aimé être à la place de Marie-Gabrielle aux pieds de sa maîtresse.

— Petit Chien approche !

Olivier vient à côté d’Erika qui, à sa grande surprise, le libère de la cage. Il n’en peut plus de retenir son érection, surtout quand les doigts fins de sa belle Maîtresse brune viennent masser son sexe. Il se mord les lèvres, il veut se retenir mais son excitation est trop forte.

— Jouis ! Petit Chien, je t’en donne le droit !

Il lâche alors un long jet de sperme épais qu’Erika dirige sur l’assiette destinée à Marie-Gabrielle.

— Donne son repas à Petite Pute !

Olivier prend l’assiette et la dépose devant sa femme qui grimace en découvrant son assiette.

— Tu n’aimes pas, Petite Pute ! Et regarde ! Tout est prémâché !

— Merci Maîtresse ! dit Marie-Gabrielle les larmes aux yeux.

Elle se penche en avant pour manger son assiette comme elle peut, juste avec sa langue et ses dents. Elle n’arrive pas à être en colère contre sa Maîtresse qui lui fait subir cela. Même si ses yeux sont brouillés de larmes, elle ressent de l’excitation. Elle est sûre que Maîtresse Erika peut voir sa chatte de pute commencer à mouiller.

Pendant qu’elle mange, elle peut voir Erika se diriger vers le jardin, en tenant Olivier en laisse. Il la suit à quatre pattes. Erika s’approche d’un arbre et Olivier sait ce qu’il doit faire. Marie-Gabrielle le voit lever une jambe et uriner contre un arbre. Elle se demande si sa Maîtresse lui demandera de faire la même chose. Toutefois elle se dit qu’elle est une petite pute, pas une petite chienne.

Quand ils reviennent du jardin, cela à pris du temps car Erika a voulu voir tous les recoins de leur propriété, Marie-Gabrielle a réussi à finir son assiette malgré quelques haut-le-cœur. Elle relève la tête de son assiette, le visage couvert de sauce.

— Petit Chien ! Nettoie Petite Pute, donne-lui un air présentable !

Olivier commence à lécher le visage de sa femme. Il retrouve mélangé à la sauce de la ratatouille le goût de son sperme. Cela l’excite et il recommence à bander.

Erika le remarque comme elle a remarqué l’état de la chatte de Marie-Gabrielle. Elle décide de les récompenser, mais à sa manière.

— Petit Chien ! Montre-moi comment tu montes ta chienne !

Olivier hésite un peu, il lui faut du temps pour comprendre ce que désire sa maîtresse, puis lorsqu’il réalise ce qu’elle attend de lui, il vient derrière Marie-Gabrielle. Comme un chien, il commence à lui renifler les fesses, puis il lèche sa femme. Il sent très vite sous sa langue le goût des jus intimes de Marie-Gabrielle. Il bande de plus en plus. Erika tire alors sur la laisse et Olivier monte sa femme. Il va et vient dans la chatte trempée de Marie-Gabrielle et jouit rapidement. Mais à la différence d’un mâle de la race canine, il ne reste pas coincé dans le vagin de sa femme. Il ressort et s’applique à bien nettoyer ce qui coule de la fente de Marie-Gabrielle qui jouit alors sous cette caresse.

Erika demande à Marie-Gabrielle de nettoyer le sexe de son mari avant de lui remettre sa cage.

— Petit Chien, tu peux débarrasser ! Pendant ce temps Petite Pute, tu vas venir me donner du plaisir !

Marie-Gabrielle revient entre les cuisses d’Erika et s’applique à la lécher comme elle a appris à le faire. Sa langue passe partout dans les plis intimes de sa maîtresse. Elle joue avec le clitoris turgescent. Erika écrase le visage de la petite rousse contre sa fente, elle gémit et se frotte avec énergie. Elle finit par jouir, inondant le visage de Marie-Gabrielle. Mais, avec toute l’eau qu’elle a bue pendant le repas, Erika éprouve le besoin pressant de se soulager. Avant que Marie-Gabrielle ne se soit reculée, elle lâche un puissant jet de pisse sur le visage de sa soumise. Marie-Gabrielle, surprise et choquée, pousse un cri et recule.

Erika la regarde durement. Marie-Gabrielle comprend que cette fois, elle ne va pas échapper à la punition.

***

Quand Olivier a fini de tout ranger, Erika leur demande d’aller à la cave qu’elle a repérée en arrivant et de l’attendre debout mains sur la tête. Marie Gabrielle et Olivier se demandent ce qui va bien se passer dans la cave qu’ils avaient nettoyée il y a quelques mois sans penser qu’elle allait les accueillir pour subir une punition ! Bien sûr elle était propre, quasiment vide ; mais une telle salle voûtée était plutôt faite pour y mettre du bon vin et des victuailles précieuses. Pas de lucarne, des escaliers raides et très peu de lumière. Mis à part quelques cagettes de pommes et une étagère avec des bouteilles de vin, rien de particulier.

Le couple descend sans un mot. Erika arrive quelques minutes plus tard avec le sac qu’elle avait en arrivant. Elle attrape les poignets de Marie-Gabrielle et la menotte au tuyau de chauffage qui passe au plafond puis, elle place une barre télescopique entre les cheville de sa nouvelle soumise qui se retrouve sur la pointe des pieds, écartés de presque un mètre. Olivier voit Erika sortir trois pinces avec des poids de son sac.

— Petit Chien, pose-les sur les nichons et le clito de Petite Pute !

— Oui, Maîtresse !

Olivier passe devant Marie-Gabrielle qui le supplie du regard, ses yeux embués de larmes. Elle craint la douleur qui va arriver, d’autant plus que c’est la première fois qu’elle va faire connaissance avec ce genre de pinces. Sans un mot, Olivier accroche les pinces sur les tétons de Marie-Gabrielle. Il prend soin de les lâcher doucement pour ne pas accroître la douleur. Mais, Marie Gabrielle laisse échapper un cri et surtout elle sursaute, ce qui entraîne le balancement des poids qui pendent à chacune des pinces. Olivier attend quelques secondes avant de s’agenouiller devant l’entre jambe de sa femme pour y fixer la dernière pince sur le clitoris, ce qui arrache un hurlement de douleur à Marie-Gabrielle.

— Bien, Petit Chien. Maintenant c’est toi qui va punir Petite Pute pour n’avoir pas su rester en place lorsque j’ai pissé.

— Oui, Maitresse, dit Olivier en prenant la cravache qu’Erika lui tend.

— Combien de coups penses-tu que Petite Pute mérite pour sa faute ?

— Je ne sais pas Maîtresse !

— Dis un chiffre et si tu te trompes c’est toi qui recevra ce qu’elle aurait dû recevoir. Mais Petite Pute en recevra le double de la différence avec ce que j’avais pensé lui infliger.

Olivier est confronté à un dilemme. D’un côté, il a aussi envie de recevoir une punition, d’un autre côté, il ne veut pas trop faire souffrir Marie Gabrielle. Sans vraiment réfléchir, il annonce vingt coups en espérant ne pas s’être trop trompé.

— Pas trop mal Petit Chien mais c’est dommage. J’avais décidé de lui en donner trente. Donc ce sera cinquante pour elle, trente plus deux fois dix et trente pour toi.

De toute manière, pense Erika, quel que soit le chiffre qu’il lui aurait donné, elle en aurait ajouté dix de plus.

Olivier est affolé, comment Marie Gabrielle va-t-elle résister à cinquante coups de cravache, elle est loin d’avoir son expérience, il en est certain. Surtout qu’Erika ajoute qu’il va devoir lui en donner trente sur les fesses et les vingt supplémentaires sur le ventre et que si elle trouve qu’il n’est pas assez généreux dans ses coups, elle lui en donnera trente supplémentaires de sa propre main.

Debout, derrière Marie-Gabrielle, Olivier commence à cravacher la croupe pâle de sa femme. Rapidement, elle se couvre de stries et les cris de Marie-Gabrielle remplissent la cave. Au bout du moment, Marie-Gabrielle ne crie plus mais gémit, malgré la douleur sur ses fesses, dans ses tétons et son clitoris, elle sent l’excitation monter entre ses cuisses. Quand Olivier vient devant sa compagne de soumission pour lui infliger les vingt coups sur le ventre, Erika qui s’est mise nue, vient derrière elle et la pénètre avec un gode ceinture. Marie-Gabrielle pousse un long feulement de bien-être.

— Vas-y Petit Chien ! Termine la punition.

Olivier recommence à frapper. Marie-Gabrielle gémit. A chaque coup, elle sursaute et s’empale sur le gode d’Erika, dont elle sent la poitrine dans son dos.

— Petite Pute, remercie Petit Chien pour cette punition.

— Merci Petit Chien ! Merci de m’avoir punie comme je le méritais, lui dit Marie-Gabrielle en souriant, malgré son visage plein de larmes.

Elle n’en revient pas, elle a joui en étant punie.

Erika s’occupe alors d’Olivier. Comme pour Marie-Gabrielle, elle le menotte au tuyau, en le mettant face à sa femme. Elle retire les pinces qui torturaient les tétons et le clitoris de Marie-Gabrielle qui gémit. Elle relie alors les anneaux aux tétons d’Olivier par une chainette avec une pince aux tétons de Marie-Gabrielle. Pour le clitoris, elle le relie à la cage d’Olivier. Elle vient alors derrière l’homme et commence à lui infliger sa punition. Chaque mouvement d’Olivier est transmis aux seins et au clitoris de Marie-Gabrielle. Les coups pleuvent et semblent ne jamais se terminer !

Une fois le dernier coup donné, Erika les laisse récupérer quelques instants avant de les libérer. De retour dans le salon, elle propose à Marie-Gabrielle et Olivier une pommade apaisante pour leur peau et elle les regarde se pommader mutuellement.

— Montre-moi ma chambre, Petite Pute !

— Oui Maîtresse !

Marie Gabrielle précède Erika, qui tient en laisse Olivier à quatre pattes, dans l’escalier. Elle lui montre leur chambre.

— Bien ! Petit Chien, tu vas dormir sur une couverture au pied du lit. Et toi ma Petite Pute, tu as le privilège de partager mon lit, mais je vais te préparer avant. Va chercher mon sac et une couverture pour Petit Chien.

Quand Marie-Gabrielle remonte dans la chambre, elle installe la couverture où Olivier va s’étendre tandis qu’elle s’allonge sur le lit pour qu’Erika la prépare pour la nuit. Telle une Maîtresse expérimentée, elle veut sa soumise à sa merci mais “inoffensive” ! Ainsi elle lui met un bâillon-boule pour l’empêcher de parler et de l’importuner pour rien et surtout une ceinture de chasteté avec un plug énorme qui l’empêchera de se toucher et lui signifiera que son corps ne lui appartient plus ! 

— Demain, je veux mon petit déjeuner au lit pour neuf heures, compris, Petite Pute ?

Marie-Gabrielle hoche la tête pour lui faire comprendre qu’elle a compris. Elle a du mal à trouver le sommeil, on peut la comprendre ! Et quand elle finit par s’endormir, Erika la réveille, lui retire momentanément son bâillon pour qu’elle la lèche, car elle vient d’aller aux toilettes et lui demande de la nettoyer.

Dès le petit matin, Marie-Gabrielle surveille l’heure pour se lever suffisamment tôt pour préparer le plateau de sa Maîtresse. Ensuite, elle lave et habille Erika qui va promener Olivier dans le jardin. Marie-Gabrielle reste nue, juste couverte par un petit tablier blanc.

Le soir venu, Erika donne de nouvelles consignes pour la nuit à Olivier et Marie-Gabrielle qui écoutent religieusement. Elle les autorise à dormir dans la même chambre mais Olivier doit dormir nu sur le tapis au bout du lit avec le collier et la laisse attachée au pied de leur couche. Quant à Marie-Gabrielle, elle peut dormir dans le lit, nue bien évidemment, mais Olivier prendra soin de lui attacher les chevilles et les poignets aux quatre coins du lit et lui enfilera sa cagoule aveugle après lui avoir bâillonné la bouche. De plus, toutes les deux heures, Olivier doit venir la lecher pendant cinq minutes. Pour prouver qu’ils exécutent ses ordres, Olivier devra envoyer des photos de Marie-Gabrielle attachée et une autre de lui-même chaque fois qu’il la lèchera.

Après le départ d’Erika, ils restent nus et pendant le dîner, Olivier avoue à Marie-Gabrielle que cela fait des années qu’il rêve de vivre ce qu’ils sont en train d’expérimenter, mais il n’imaginait pas qu’elle puisse le comprendre et encore moins qu’elle partage de tels moments avec lui.

— Mais, comment as-tu découvert ta nature soumise ? Moi, je l’ignorais avant ma rencontre avec Maîtresse Erika !

— Je n’ai jamais osé t’en parler car en fait j’avais honte de moi, mais tu te souviens de mon stage en Allemagne pendant mes études ?

— Oui, bien-sûr ! Que ces six mois me parurent longs !

— Et bien ! dit Olivier en baissant les yeux. Là-bas, j’avais rencontré une femme, elle avait trente ans à l’époque et moi vingt-deux, encore fou…

— Tu as couché avec ?

— Oui, euh non, en fait ! Ida, je me souviens de son prénom, était une dominante. Pendant plusieurs semaines, j’allais la voir et je me soumettais à ses désirs, mais nous n’avons jamais fait l’amour. Et puis, quand je suis rentré et que nous avons de nouveau été ensemble, j’ai mis de côté cette facette de ma personnalité.

— Oui ! En effet ! tu faisais plutôt le macho que le soumis.

— Je le reconnais et je m’en excuse !

— Je te pardonne mon chéri, mais il est temps que tu m’attaches.

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