— Demain soir, j’ai invité une amie à dîner.
J’espère que tu ne feras pas la tête comme tu me le fais depuis plus d’un mois,
dit Marie-Gabrielle à Olivier.
La tête dans son assiette, Olivier hausse les
épaules et répond tout aussi sèchement à sa femme.
— Je ne fais pas la tête, c’est toi qui ne
m’adresse plus la parole ! Et toutes ces cachoteries, ces dimanches après-midi
avec tes copines ! Depuis quand tu as des copines qui sortent le dimanche
après-midi. Vous êtes toutes des grenouilles de bénitier !
— Et toi ? tu n’es jamais parti aussi souvent, en
déplacement ! A ce rythme, on ne se verra bientôt plus…
Déjà que, avant, tu me touchais à peine,
pense-t-elle silencieusement. Heureusement que j’ai rencontré Erika. Au moins
avec elle, j’ai une vie sexuelle ! Particulière, c’est sûr, mais elle existe.
— Ne t’inquiète pas, pour ton “amie”, je serai
coopératif, lui dit Olivier avant de quitter la table.
Comme tous les soirs, il monte dans la chambre
d’ami afin de dialoguer soit avec Patricia, soit avec Erika, en laissant
Marie-Gabrielle s’occuper seule des tâches ménagères.
Qui peut être cette amie ? se demande-t-il. Ce
n’est pas Laure, son employée, ni ces dames de la paroisse, encore que ! Il y
en a peut-être une qui se sépare de son mari et qui a besoin d’une épaule
consolatrice.
La soirée promet d’être compliquée. En plus, pour
ne pas lui faciliter les choses, Erika lui a demandé d’être connecté à
vingt-et-une heures précises, un nouveau sujet de discorde en perspective avec
Marie-Gabrielle. Si seulement, elle pouvait être comme cette femme dans la
boite qu’il avait baisée sans retenue l’autre jour.
***
Afin de ne pas trop excéder Marie-Gabrielle,
Olivier décide de faire un effort vestimentaire pour recevoir cette amie. Il
porte un pantalon et une chemise de lin, lui seul sait que sous le pantalon et
le caleçon, il porte sa cage et son plug. Pendant l’après-midi, il a passé la
tondeuse. Ils pourront profiter de la terrasse.
Olivier vient de recevoir un message de
Marie-Gabrielle qui lui indique qu’elle quitte sa boutique et qu’elle arrive.
Cela lui laisse le temps de sortir ce qu’il faut pour l’apéritif et d’allumer
le barbecue.
Quand le portail automatique s’ouvre, il est
tranquillement installé à lire sur la terrasse. Il voit Marie-Gabrielle sortir
de sa voiture. Il n’avait pas remarqué que sa jupe était particulièrement
courte, elle lui couvre à peine les fesses. Il en ressent un frisson
d’excitation qui retombe aussitôt quand il découvre l’amie de sa femme.
Maîtresse Erika ! Que fait-elle là ? Ce n’est pas
possible, Marie-Gabrielle ne peut pas être amie avec cette femme ! Elles sont
si dissemblables !
Marie-Gabrielle ne comprend pas la réaction de son
mari. Pourquoi devient-il si nerveux ? Connaîtrait-il Erika.
Olivier immobile, voit les deux femmes s’approcher.
Erika précède Marie-Gabrielle. Sa femme garde les yeux vers le sol. Il n’a plus
de doute. Marie-Gabrielle est soumise à Erika.
— Bonjour Petit Chien, je vois que tu connais
Petite Pute !
— A ces mots, Olivier et Marie-Gabrielle se
regardent interloqués. Chacun réalise que lors de l’épisode de la boite, il
s’agissait de l’autre. Marie-Gabrielle se sent humiliée, Olivier a vu ses
tatouages.
— Qu’est-ce que vous attendez pour vous mettre en
tenue ?
Aussitôt, avec fébrilité, ils se mettent nus. Si
Marie-Gabrielle n’a plus rien à cacher à Olivier, celui-ci se demande comment
sa femme va réagir en découvrant la cage de chasteté et le plug.
— Petit Chien ! il te manque quelque chose !
— Excusez-moi Maîtresse ! Je ne savais pas que vous
viendriez ce soir, je vais le chercher.
Marie-Gabrielle, surprise par les accessoires
portés par son mari, se demande ce qu’il peut bien avoir oublié. Mais, elle n’a
pas le temps de se poser plus de questions car Erika s’installe dans un
fauteuil et lui demande de venir la lécher. Elle s’exécute et quand Olivier
revient avec le collier et la laisse, il découvre sa femme occupée à donner du
plaisir à Maîtresse Erika.
Il peut voir la chevelure rousse de
Marie-Gabrielle, ou doit-il dire Petite Pute, remuer au rythme de ses coups de
langue dans la chatte de Maitresse Erika. Celle-ci entrouvre les yeux quand
elle l’entend revenir. Elle repousse Marie-Gabrielle qui reste à genoux sur le
béton de la terrasse.
— Approche Petit Chien ! Mets-toi à genoux à côté
de Petite Pute ! Et faites le beau, tous les deux comme deux bon chien de
compagnie !
Aussitôt le couple prend la pose demandée,
redressés, les bras repliés le long du corps avec les mains pendantes devant
eux. Elle leur demande de tirer la langue, ils s’exécutent docilement. Elle
prend deux petites saucisses cocktail et se frotte la chatte avec avant de les
poser entre les dents de Marie-Gabrielle et Olivier. Elle les regarde manger
cet amuse-gueule en souriant. Elle les félicite en leur caressant les cheveux.
Le couple de soumis ne réfléchit même plus à ce qu’il fait, il est d’une
docilité sans limite. En quelques minutes Erika se retrouve la maîtresse de
maison !
— Petit Chien tu vas faire le service ! Mets
l’assiette de Petite Pute à mes pieds ! Elle va manger comme une chienne, à
quatre pattes.
— Oui Maîtresse, répond Olivier, en obéissant
immédiatement.
Marie-Gabrielle regarde Erika, frustrée de devoir
rester comme cela. Elle se demande comment elle va pouvoir manger la
ratatouille qu’elle a préparée, en restant à quatre pattes. Olivier s’applique
à servir Erika, il est assis à l'autre bout de la table en attendant ses
demandes. Il est surpris par la quantité de verres d’eau qu’il doit lui servir,
pourtant le repas n’est pas si salé que cela. Marie-Gabrielle, elle, attend
sagement qu’Erika veuille l’autoriser à manger. Parfois sa maîtresse lui
demande de lui lecher la chatte entre deux bouchées. Olivier voit alors Erika
ramasser l’assiette vide de Marie-Gabrielle. Elle la remplit avec de la
ratatouille froide et des morceaux de viande qu’elle avait recrachés de sa
bouche. Il est désolé pour sa femme, mais en même temps, il en est jaloux. Il
aurait aimé être à la place de Marie-Gabrielle aux pieds de sa maîtresse.
— Petit Chien approche !
Olivier vient à côté d’Erika qui, à sa grande
surprise, le libère de la cage. Il n’en peut plus de retenir son érection,
surtout quand les doigts fins de sa belle Maîtresse brune viennent masser son
sexe. Il se mord les lèvres, il veut se retenir mais son excitation est trop
forte.
— Jouis ! Petit Chien, je t’en donne le droit !
Il lâche alors un long jet de sperme épais qu’Erika
dirige sur l’assiette destinée à Marie-Gabrielle.
— Donne son repas à Petite Pute !
Olivier prend l’assiette et la dépose devant sa
femme qui grimace en découvrant son assiette.
— Tu n’aimes pas, Petite Pute ! Et regarde ! Tout
est prémâché !
— Merci Maîtresse ! dit Marie-Gabrielle les larmes
aux yeux.
Elle se penche en avant pour manger son assiette
comme elle peut, juste avec sa langue et ses dents. Elle n’arrive pas à être en
colère contre sa Maîtresse qui lui fait subir cela. Même si ses yeux sont
brouillés de larmes, elle ressent de l’excitation. Elle est sûre que Maîtresse
Erika peut voir sa chatte de pute commencer à mouiller.
Pendant qu’elle mange, elle peut voir Erika se
diriger vers le jardin, en tenant Olivier en laisse. Il la suit à quatre
pattes. Erika s’approche d’un arbre et Olivier sait ce qu’il doit faire.
Marie-Gabrielle le voit lever une jambe et uriner contre un arbre. Elle se
demande si sa Maîtresse lui demandera de faire la même chose. Toutefois elle se
dit qu’elle est une petite pute, pas une petite chienne.
Quand ils reviennent du jardin, cela à pris du
temps car Erika a voulu voir tous les recoins de leur propriété,
Marie-Gabrielle a réussi à finir son assiette malgré quelques haut-le-cœur.
Elle relève la tête de son assiette, le visage couvert de sauce.
— Petit Chien ! Nettoie Petite Pute, donne-lui un
air présentable !
Olivier commence à lécher le visage de sa femme. Il
retrouve mélangé à la sauce de la ratatouille le goût de son sperme. Cela
l’excite et il recommence à bander.
Erika le remarque comme elle a remarqué l’état de
la chatte de Marie-Gabrielle. Elle décide de les récompenser, mais à sa
manière.
— Petit Chien ! Montre-moi comment tu montes ta
chienne !
Olivier hésite un peu, il lui faut du temps pour
comprendre ce que désire sa maîtresse, puis lorsqu’il réalise ce qu’elle attend
de lui, il vient derrière Marie-Gabrielle. Comme un chien, il commence à lui
renifler les fesses, puis il lèche sa femme. Il sent très vite sous sa langue
le goût des jus intimes de Marie-Gabrielle. Il bande de plus en plus. Erika
tire alors sur la laisse et Olivier monte sa femme. Il va et vient dans la
chatte trempée de Marie-Gabrielle et jouit rapidement. Mais à la différence
d’un mâle de la race canine, il ne reste pas coincé dans le vagin de sa femme.
Il ressort et s’applique à bien nettoyer ce qui coule de la fente de
Marie-Gabrielle qui jouit alors sous cette caresse.
Erika demande à Marie-Gabrielle de nettoyer le sexe
de son mari avant de lui remettre sa cage.
— Petit Chien, tu peux débarrasser ! Pendant ce
temps Petite Pute, tu vas venir me donner du plaisir !
Marie-Gabrielle revient entre les cuisses d’Erika
et s’applique à la lécher comme elle a appris à le faire. Sa langue passe
partout dans les plis intimes de sa maîtresse. Elle joue avec le clitoris
turgescent. Erika écrase le visage de la petite rousse contre sa fente, elle
gémit et se frotte avec énergie. Elle finit par jouir, inondant le visage de
Marie-Gabrielle. Mais, avec toute l’eau qu’elle a bue pendant le repas, Erika
éprouve le besoin pressant de se soulager. Avant que Marie-Gabrielle ne se soit
reculée, elle lâche un puissant jet de pisse sur le visage de sa soumise.
Marie-Gabrielle, surprise et choquée, pousse un cri et recule.
Erika la regarde durement. Marie-Gabrielle comprend
que cette fois, elle ne va pas échapper à la punition.
***
Quand Olivier a fini de tout ranger, Erika leur
demande d’aller à la cave qu’elle a repérée en arrivant et de l’attendre debout
mains sur la tête. Marie Gabrielle et Olivier se demandent ce qui va bien se
passer dans la cave qu’ils avaient nettoyée il y a quelques mois sans penser
qu’elle allait les accueillir pour subir une punition ! Bien sûr elle était
propre, quasiment vide ; mais une telle salle voûtée était plutôt faite pour y
mettre du bon vin et des victuailles précieuses. Pas de lucarne, des escaliers
raides et très peu de lumière. Mis à part quelques cagettes de pommes et une
étagère avec des bouteilles de vin, rien de particulier.
Le couple descend sans un mot. Erika arrive
quelques minutes plus tard avec le sac qu’elle avait en arrivant. Elle attrape
les poignets de Marie-Gabrielle et la menotte au tuyau de chauffage qui passe
au plafond puis, elle place une barre télescopique entre les cheville de sa
nouvelle soumise qui se retrouve sur la pointe des pieds, écartés de presque un
mètre. Olivier voit Erika sortir trois pinces avec des poids de son sac.
— Petit Chien, pose-les sur les nichons et le clito
de Petite Pute !
— Oui, Maîtresse !
Olivier passe devant Marie-Gabrielle qui le supplie
du regard, ses yeux embués de larmes. Elle craint la douleur qui va arriver,
d’autant plus que c’est la première fois qu’elle va faire connaissance avec ce
genre de pinces. Sans un mot, Olivier accroche les pinces sur les tétons de
Marie-Gabrielle. Il prend soin de les lâcher doucement pour ne pas accroître la
douleur. Mais, Marie Gabrielle laisse échapper un cri et surtout elle sursaute,
ce qui entraîne le balancement des poids qui pendent à chacune des pinces.
Olivier attend quelques secondes avant de s’agenouiller devant l’entre jambe de
sa femme pour y fixer la dernière pince sur le clitoris, ce qui arrache un
hurlement de douleur à Marie-Gabrielle.
— Bien, Petit Chien. Maintenant c’est toi qui va
punir Petite Pute pour n’avoir pas su rester en place lorsque j’ai pissé.
— Oui, Maitresse, dit Olivier en prenant la
cravache qu’Erika lui tend.
— Combien de coups penses-tu que Petite Pute mérite
pour sa faute ?
— Je ne sais pas Maîtresse !
— Dis un chiffre et si tu te trompes c’est toi qui
recevra ce qu’elle aurait dû recevoir. Mais Petite Pute en recevra le double de
la différence avec ce que j’avais pensé lui infliger.
Olivier est confronté à un dilemme. D’un côté, il a
aussi envie de recevoir une punition, d’un autre côté, il ne veut pas trop
faire souffrir Marie Gabrielle. Sans vraiment réfléchir, il annonce vingt coups
en espérant ne pas s’être trop trompé.
— Pas trop mal Petit Chien mais c’est dommage.
J’avais décidé de lui en donner trente. Donc ce sera cinquante pour elle,
trente plus deux fois dix et trente pour toi.
De toute manière, pense Erika, quel que soit le
chiffre qu’il lui aurait donné, elle en aurait ajouté dix de plus.
Olivier est affolé, comment Marie Gabrielle
va-t-elle résister à cinquante coups de cravache, elle est loin d’avoir son
expérience, il en est certain. Surtout qu’Erika ajoute qu’il va devoir lui en
donner trente sur les fesses et les vingt supplémentaires sur le ventre et que
si elle trouve qu’il n’est pas assez généreux dans ses coups, elle lui en
donnera trente supplémentaires de sa propre main.
Debout, derrière Marie-Gabrielle, Olivier commence
à cravacher la croupe pâle de sa femme. Rapidement, elle se couvre de stries et
les cris de Marie-Gabrielle remplissent la cave. Au bout du moment,
Marie-Gabrielle ne crie plus mais gémit, malgré la douleur sur ses fesses, dans
ses tétons et son clitoris, elle sent l’excitation monter entre ses cuisses.
Quand Olivier vient devant sa compagne de soumission pour lui infliger les
vingt coups sur le ventre, Erika qui s’est mise nue, vient derrière elle et la
pénètre avec un gode ceinture. Marie-Gabrielle pousse un long feulement de
bien-être.
— Vas-y Petit Chien ! Termine la punition.
Olivier recommence à frapper. Marie-Gabrielle
gémit. A chaque coup, elle sursaute et s’empale sur le gode d’Erika, dont elle
sent la poitrine dans son dos.
— Petite Pute, remercie Petit Chien pour cette
punition.
— Merci Petit Chien ! Merci de m’avoir punie comme
je le méritais, lui dit Marie-Gabrielle en souriant, malgré son visage plein de
larmes.
Elle n’en revient pas, elle a joui en étant punie.
Erika s’occupe alors d’Olivier. Comme pour
Marie-Gabrielle, elle le menotte au tuyau, en le mettant face à sa femme. Elle
retire les pinces qui torturaient les tétons et le clitoris de Marie-Gabrielle
qui gémit. Elle relie alors les anneaux aux tétons d’Olivier par une chainette
avec une pince aux tétons de Marie-Gabrielle. Pour le clitoris, elle le relie à
la cage d’Olivier. Elle vient alors derrière l’homme et commence à lui infliger
sa punition. Chaque mouvement d’Olivier est transmis aux seins et au clitoris
de Marie-Gabrielle. Les coups pleuvent et semblent ne jamais se terminer !
Une fois le dernier coup donné, Erika les laisse
récupérer quelques instants avant de les libérer. De retour dans le salon, elle
propose à Marie-Gabrielle et Olivier une pommade apaisante pour leur peau et
elle les regarde se pommader mutuellement.
— Montre-moi ma chambre, Petite Pute !
— Oui Maîtresse !
Marie Gabrielle précède Erika, qui tient en laisse
Olivier à quatre pattes, dans l’escalier. Elle lui montre leur chambre.
— Bien ! Petit Chien, tu vas dormir sur une
couverture au pied du lit. Et toi ma Petite Pute, tu as le privilège de
partager mon lit, mais je vais te préparer avant. Va chercher mon sac et une
couverture pour Petit Chien.
Quand Marie-Gabrielle remonte dans la chambre, elle
installe la couverture où Olivier va s’étendre tandis qu’elle s’allonge sur le
lit pour qu’Erika la prépare pour la nuit. Telle une Maîtresse expérimentée,
elle veut sa soumise à sa merci mais “inoffensive” ! Ainsi elle lui met un
bâillon-boule pour l’empêcher de parler et de l’importuner pour rien et surtout
une ceinture de chasteté avec un plug énorme qui l’empêchera de se toucher et
lui signifiera que son corps ne lui appartient plus !
— Demain, je veux mon petit déjeuner au lit pour
neuf heures, compris, Petite Pute ?
Marie-Gabrielle hoche la tête pour lui faire
comprendre qu’elle a compris. Elle a du mal à trouver le sommeil, on peut la
comprendre ! Et quand elle finit par s’endormir, Erika la réveille, lui retire
momentanément son bâillon pour qu’elle la lèche, car elle vient d’aller aux
toilettes et lui demande de la nettoyer.
Dès le petit matin, Marie-Gabrielle surveille
l’heure pour se lever suffisamment tôt pour préparer le plateau de sa
Maîtresse. Ensuite, elle lave et habille Erika qui va promener Olivier dans le
jardin. Marie-Gabrielle reste nue, juste couverte par un petit tablier blanc.
Le soir venu, Erika donne de nouvelles consignes
pour la nuit à Olivier et Marie-Gabrielle qui écoutent religieusement. Elle les
autorise à dormir dans la même chambre mais Olivier doit dormir nu sur le tapis
au bout du lit avec le collier et la laisse attachée au pied de leur couche.
Quant à Marie-Gabrielle, elle peut dormir dans le lit, nue bien évidemment,
mais Olivier prendra soin de lui attacher les chevilles et les poignets aux
quatre coins du lit et lui enfilera sa cagoule aveugle après lui avoir
bâillonné la bouche. De plus, toutes les deux heures, Olivier doit venir la
lecher pendant cinq minutes. Pour prouver qu’ils exécutent ses ordres, Olivier
devra envoyer des photos de Marie-Gabrielle attachée et une autre de lui-même
chaque fois qu’il la lèchera.
Après le départ d’Erika, ils restent nus et pendant
le dîner, Olivier avoue à Marie-Gabrielle que cela fait des années qu’il rêve
de vivre ce qu’ils sont en train d’expérimenter, mais il n’imaginait pas
qu’elle puisse le comprendre et encore moins qu’elle partage de tels moments
avec lui.
— Mais, comment as-tu découvert ta nature soumise ?
Moi, je l’ignorais avant ma rencontre avec Maîtresse Erika !
— Je n’ai jamais osé t’en parler car en fait
j’avais honte de moi, mais tu te souviens de mon stage en Allemagne pendant mes
études ?
— Oui, bien-sûr ! Que ces six mois me parurent
longs !
— Et bien ! dit Olivier en baissant les yeux.
Là-bas, j’avais rencontré une femme, elle avait trente ans à l’époque et moi
vingt-deux, encore fou…
— Tu as couché avec ?
— Oui, euh non, en fait ! Ida, je me souviens de
son prénom, était une dominante. Pendant plusieurs semaines, j’allais la voir
et je me soumettais à ses désirs, mais nous n’avons jamais fait l’amour. Et
puis, quand je suis rentré et que nous avons de nouveau été ensemble, j’ai mis
de côté cette facette de ma personnalité.
— Oui ! En effet ! tu faisais plutôt le macho que
le soumis.
— Je le reconnais et je m’en excuse !
— Je te pardonne mon chéri, mais il est temps que
tu m’attaches.
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