Je ne me le fais pas répéter deux fois et je pénètre le cul de ma femme avec délectation. Je l’entends gémir. Excité par ce que j’ai vu au cours de la soirée, je jouis rapidement dans son cul. Sans que je ne lui demande rien, elle vient me nettoyer la bite.
Quand elle a fini, je la prends dans mes bras et nous allons nous coucher.
— Ma chérie, me feras-tu plaisir au réveil ?
— Oui, bien sûr !
— Je voudrais qu’avant que je me lève, tu me suces dans le lit, puis quand j’irais sous la douche, tu me prépareras nue mon café et tu viendras à côté de moi sur le canapé pendant que je le boirai. Tu me feras tout cela ?
— Oui je te ferais cela, pour te faire plaisir !
— Merci ma chérie ! Et autre chose…
— Oui mon amour ?
— Avec ton Maître, tu agiras comme si tu ne m’avais rien dit, d’accord ?
— Oui mon cœur !
— Une dernière chose !
— Dis-moi ?
— Peux-tu me répéter ce que tu as dit que tu étais dans l’intimité.
Si la lumière de la chambre avait été allumée, je suis sûr que je l’aurais vu rougir. Elle hésite un peu. Je glisse ma main sur son bas ventre, elle est trempée.
— Je suis une salope, une pute, une chienne…
— Merci ma douce, alors puisque tu es une chienne, ne crois-tu pas que pour me faire plaisir, tu devrais demander à ton Maître de t’acheter un collier de chienne ? Que tu porterais quand nous serons tous les deux… Ça me ferait plaisir qu’une belle chienne comme toi ait un beau collier.
— Oui, je le lui demanderais, me répond-elle en venant m’embrasser.
Nous nous endormons l’un contre l’autre rapidement, Sophie totalement nue contre moi.
***
Au matin, je sens les lèvres de ma femme s’enrouler autour de mon sexe qui ne tarde pas a réagir quand je lui ai rempli la bouche de mon nectar, elle se lève pour aller préparer le café.
Elle vient se mettre près de moi, je lui caresse le dos et les fesses. Je l’entends soupirer. Je lui donne ma tasse sale et je vais m’habiller pour partir au travail.
— Cette semaine a été fatigante, lui dis-je. Demain je traînerai au lit.
— Oui, mon chéri. Je m’occuperai de tout.
Je lui souris et je l’embrasse avant de quitter la maison, et je lui ai dit de rester nue en attendant les directives de son Maître. Elle ne devait pas le décevoir, j’en serais triste. Je la quitte en lui donnant une petite claque sur ses fesses.
Dans le train, je fais des messages à Bernard pour le féliciter de son travail avec Sophie “je crois qu’elle accepte son nouveau statut et que tu n’as plus besoin de la menacer avec le chantage, elle fera tout ce que tu voudras même si parfois elle hésite, il te suffira juste de dire : pour faire plaisir à Hervé”
Je dis à Frédéric que j’ai apprécié ce qu’il fait avec Marie-Catherine, mais je préférerais qu’il me prévienne de ce qu’il envisage de faire avec elle, avant de le faire.
Je finis par un texto à Marie-Catherine pour lui envoyer mes ordres pour la journée. C’est vendredi, j’aimerais finir cette semaine en beauté. C’est un jour où je peux finir plus tôt, donc je lui demande d’être à la gare pour dix-sept heures en robe portefeuille et nue dessous. J’envisage d’aller faire un tour vers l’aire de repos des routiers.
Ces messages envoyés, je somnole jusqu’à mon arrêt
***
Comme à son habitude, Bernard s’est levé aux aurores. Il est sept heures et demie quand il reçoit mon message lui parlant de l’évolution de Sophie.
Quelques minutes plus tard, son téléphone sonne une nouvelle fois.
— Allo monsieur Mazière ! Ici la secrétaire de monsieur le maire… samedi en fin d’après-midi il doit faire une petite réunion publique auprès d’une puissante association de retraités très influente, plutôt machiste… Ainsi, il aimerait bien voir Madame Mazière, votre épouse, et Madame Berlon. Pourriez-vous faire en sorte qu’elles puissent venir ?
— Oui, je pense que cela soit possible.
— Parfait ! Merci, mais il faudrait… disons… certaines choses…
— C’est-à-dire ?
— Leurs tenues devraient si possible être ainsi…
— Oui, dites ?
— Soutien-gorge très arachnéen, string ficelle minimum, porte-jarretelle et bas.
— Dessus : chemisier parfaitement transparent avec une mini-jupe mi-cuisse et escarpins, pensez-vous que cela puisse se faire ?
— Je ne promets rien, mais cela doit pouvoir se faire !
— Merci !
— C’est dix-sept heures, samedi dans la salle “de Gaulle” à la mairie.
— C’est noté ! D’accord !
***
Ce problème réglé, il appelle Paul après avoir eu mon accord pour lui proposer le barbecue, après la messe, dimanche vers midi et demi. Ce qui convient à tout le monde.
Avant de se rendre chez Frédéric, Bernard m’informe de cette réunion, pour nos femmes, à laquelle je donne mon accord, de mon côté, je serai occupé dans le jardin.
— Bonjour Frédéric ! Tu m’as bien roulé dans la farine hier soir !
— Oui, je m’en veux ! Excuse-moi, mais tu m’as agacé à négliger ta belle femme et j’ai perdu la tête ! Tu ne m’en veux pas ?
— On fait avec, mais ta tondeuse m’aurait bien plu.
Tout en parlant, il regarde autour de lui. Il découvre le capharnaüm régnant dans la maison de son voisin célibataire.
— Dis donc ! tu n’as pas de femme de ménage ?
— Pfuuuuuu… L’association qui doit m’envoyer quelqu’un n’est pas efficace. Elles sont nulles ne viennent pas ça fait quinze jours qu’il n’y a personne.
— Ah oui ! Pas terrible, mais il me vient une idée. Je pourrais peut-être t’envoyer quelqu’un !
— Ah oui ! c’est sympa mais pas trop cher ?
— T’inquiète ! Mais en fait, je suis venu te dire qu’il y a un barbecue chez moi dimanche à midi et demi, tu es invité !
— Super ! Merci, je viendrai.
— Ok, à dimanche !
***
Rentré chez lui Bernard envoie un texto à Sophie : “il faudrait que tu ailles faire le ménage chez Frédéric en étant gentille, tenue adaptée pour le ménage”
“Oui monsieur Bernard”
Elle est paniquée, monsieur Bernard sait-il qu’il l’envoie chez l’homme qui fait chanter son épouse et qui l’a forcé à le sucer et a accepté Paul dans sa chatte et son cul. Elle se demande si elle doit me prévenir. Chamboulée, elle essaye de se souvenir de ce que je lui ai dit hier soir. “Dépasse tes limites ! Cela me fait plaisir “
“Cela fera-t-il vraiment plaisir à mon mari ?” se demande-t-elle malgré tout.
Elle reçoit un nouvel SMS de Monsieur Bernard : “Cela fera plaisir à ton mari.”
“Très bien, j’irai faire le ménage chez Frédéric”
Comment Monsieur Bernard pouvait-il savoir ce qui me ferait plaisir ? Mais elle est trop chamboulée pour chercher à comprendre. Il est vrai se dit-elle que nous nous connaissions depuis que les Mazière étaient arrivés et que Bernard et moi étions souvent fourrés ensemble, malgré notre différence d’âge. Nous nous entendions comme larrons en foire.
“Que Monsieur Bernard veut-il dire par être gentille ? Elle est toujours gentille, polie, serviable, et une tenue adaptée. Chez elle, elle fait son ménage en jogging et t-shirt. Cette tenue ne doit pas être celle à laquelle pense Monsieur Bernard.” Mais au fait, pourquoi le ferait-elle puisqu’elle se moque qu’il me prévienne. “Mais d’un autre côté ne m’a-t-il pas demandé de me lâcher et de dépasser mes limites ????” pense-t-elle.
Elle envoie alors un message à Frédéric : “Bernard vient de me dire de passer chez toi pour faire le ménage. Quand veux-tu que je passe, et as-tu des exigences comme avec Marie-Catherine ?”
Frédéric est surpris par ce message. La personne que Bernard avait en tête est donc sa voisine, la petite grosse, la femme de son compagnon de turpitude. Bernard veut-il se venger de ce qui s’est passé la veille ? Mais pourquoi Sophie ? Pas grave, il fantasme depuis longtemps sur le gros cul de sa voisine.
“Tu peux passer maintenant en chemisier et jupe ?”
“juste chemisier et jupe, rien d’autre ?”
“oui comme habits oui bien sûr”
Sophie choisit une jupe et un chemisier un peu ancien pour ne pas les abîmer et enfile des escarpins à petits talons pour pouvoir se déplacer facilement dans la maison. Elle sonne à la porte de son voisin.
— Bonjour ! Entre, c’est gentil de venir me dépanner.
Quand elle voit le désordre, elle réalise qu’il y a un moment que personne n’est venu.
“Oh, mon dieu… il va me falloir plusieurs jours pour tout faire !” se dit-elle.
C’est plus fort qu’elle. Elle pose la question qui lui brûle les lèvres en se disant qu’elle fait peut-être une bêtise, mais la curiosité est plus forte.
— Frédéric pourquoi fais-tu ça à Marie-Catherine ?
— Parce qu’elle aime ça, ça se voit, elle mouille dès qu’elle reçoit un ordre qui lui fait honte… Serais-tu comme elle ? Hier soir tu t’es facilement mise à poil devant tout le monde ! Tu avais l’air d’apprécier.
— Heu… non, non pas du tout !
— N’as-tu pas dit que t’étais une pute ? D’ailleurs c’est écrit sur ta chatte !
— Heu… c’est pour Hervé !
— Tu es comme Pinocchio… Ton nez ne pousse pas quand tu mens, mais tu rougis…
— Je je je heu je…
— Quoi ?
— Peu.. peut-être !
— Quoi peut-être ? Tu as envie d’être punie comme une gamine ? Exprime-toi comme une adulte !
— Oui, je… je su… suis une… heu… pu… pute !
— Juste une pute ? Lui demande-t-il se souvenant de tous les mots qu’elle avait dit la veille.
En pensant à une punition, serait-il Zorro, le complice du Maître-chanteur de sa voisine ? Elle avoue par peur.
— Oooh… je… je suis une salope, une pute, une chienne.
— Vu ton volume, je parlerai plutôt de truie ou de vache que de chienne, mais bon…
— Oui si tu veux, Frédéric.
— Oui, si je veux quoi ?
— Je suis une vache et une truie.
— Une vache à traire et une truie qui aime se rouler dans la boue ?
— Si vous voulez.
— Si je veux quoi ?
— Que je suis une truie aimant se rouler dans la boue.
— Alors, puisque tu es une truie, fous-toi à poil… une truie ça n’a pas de vêtements !
— Ooh ! Heu… oui d’accord !
— Qu’est-ce que tu attends ? Le ménage ne va pas se faire tout seul ! Mais, maintenant que tu es en tenue, sors donc les poubelles ! La benne ne devrait pas tarder à passer.
— S’il te plait, Frédéric, je ne peux pas sortir nue dans la rue…
— Pourquoi ?
— Les voisins ? S’ils me voient, que vont-ils penser ?
— Que tu es une truie non ? D’ailleurs on devrait l’écrire sur toi, pour que tout le monde le sache, comme tout le monde peut lire que tu es une pute !
— Ooh ! non, pas ça, s’il vous plaît !
— Tu vas choisir ou je vais te l’écrire… Tes reins, ton cul, tes seins ou…
— Oh non ! Non ! Non !
— Tu veux sur le front ou être punie ?
— Non non d’accord sur le cuul !
— Tu as hésité, donc je te propose le front ou la punition ?
Ma femme est terrorisée, mais elle n’imagine pas avoir le mot “TRUIE” écrit sur le front. Elle choisit la punition.
— Bien… Tu seras donc punie plus tard pour le moment, tu vas commencer par faire la vaisselle après avoir sorti les poubelles. Dépêche-toi ! J’entends au loin la benne à ordure.
— Oui, Monsieur Frédéric, je vais sortir les poubelles !
Elle prend les sacs qui traînent dans la cuisine et les mets dans le container qu’elle va déposer sur le trottoir alors que la benne est à deux maisons. Sa tension monte et sa chatte s’inonde, ses tétons sont durs. Quand elle veut rentrer dans la maison, la porte est fermée. Elle panique. Ce qui augmente la montée d’adrénaline. Frédéric remarque la benne qui s’approche et attend que les éboueurs la voient un instant avant d’ouvrir. La laissant entrer sous un sifflement, il voit les tétons tout durs et qui pointent.
— Tu es excitée ma truie ?
— Oooh… oui Frédéric ! Dit-elle toute tremblante avec des papillons dans le ventre.
— Oui quoi ?
— Je suis excitée.
— Faire le ménage t’excite ma truie ?
— Heu… oui… oui…
— Bien… Je ne suis pas du tout un homme de parole. Je vais donc inscrire “TRUIE” sur ton front. Tu fais le ménage le temps que je vais dans le jardin. Tu as une heure quand je reviens, tu auras ta punition !
— Heu… Oui monsieur…
Elle est effrayée quand il lui parle à nouveau de la punition. Il lui indique où est l’aspirateur et sort. Au bout d’un moment, elle entend une machine. Entre le bruit de la tondeuse et celui de l’aspirateur, elle se concentre à rendre moins sale cette maison. Elle s’applique. Elle pense que cela fait une heure parce que la tondeuse s’arrête. De son côté, il y a tant de choses à faire qu’elle continue.
En rentrant du jardin, il la félicite de son travail.
— Allez ! Un dernier truc pour aujourd’hui. Tu vas dans la salle de bain dans le panier à linge sale et tu prends mes caleçons !
Elle est intriguée mais obéit et elle revient, en grimaçant.
— Pourquoi cet air de dégoût, petite truie ?
— Heu… Ils ne sont pas très propres.
— Tu t’attendais à quoi dans le panier à linge sale ?… Qu’est-ce qui te fait dire qu’ils sont sale cochonne ?
— Heu… il y a des tâches ! répond-elle en se sentant stupide.
— Des tâches de quoi ?
— Heu… enfin… je… de… d’urine et je… heu… ça… heu… ça… caca !
— Ppppfuuuu comme tu dis ça ! Cela fait prout-prout. Dis-moi ça comme il faut, salope !
— Heu… ils sont sales de… heu… pisse et… rhumheu…, se raclant la gorge, de merde !
— Ça m’étonnerait ! T’es sûre grosse truie ?
— Oui !
— Pas convaincu ! Sens les ! colle à ton nez… Tu peux lécher pour être sûre, comme une parfaite grosse truie !
— Heu… Non, non merci…
— OK mais pour une truie, tu me déçois. Enfin, comme tu veux. Mais par contre, tu vas les laver en frottant bien dans le lavabo avec du savon
— Heu… oui… d’accord !
Toute troublée, Sophie lave les caleçons tandis que Frédéric lui caresse la chatte. Elle mouille de plus en plus, se rapprochant de l’extase quand les sous-vêtements sont propres. Son bourreau lui montre l’étendoir dans le jardin. Alors qu’elle s’affaire, nue, espérant que personne ne la regarde depuis la fenêtre de la maison voisine. Frédéric ne se prive pas de lui palucher les mamelles, le cul et sa chatte qui dégouline.
Quand ils rentrent dans la maison, elle n’en peut plus. Son ventre la travaille, sa moule pleure et ses seins sont tendus.
— Maintenant ! Chose promise chose due : on passe à ta punition !
— NOON ! NOON ! crie-t-elle se remémorant la scène de Marie-Catherine sous les coups de Zorro.
— Tais-toi lui dit-il, attachant ses mains ensemble et raccordées à un crochet qui pend.
Debout, les bras en l’air, exposée, vulnérable, elle pleure d’avance. Elle le voit enfiler une paire de gants de jardin et attraper une poignée d’ortie. Elle est surprise et contente que cela ne soit ni la ceinture ni le fouet quand il corrige sa lourde poitrine avec la plante urticante. Au bout d’un moment, la démangeaison se fait sentir. Ses tétons, ses mamelles deviennent rouges. C’est horrible ! Ça pique ! Le sang afflue dans ses mamelons. Il enchaîne sur ses fesses puis il frappe le pubis et ses cuisses pour finir en apothéose sur sa chatte et son clitoris. La pauvre a le corps en feu. Elle pleure. Elle supplie. Elle s’agite, pendue comme un goret.
Les orties sont efficaces pour faire circuler le sang. Elle n’en peut plus, elle suffoque quand il s’arrête. Elle espère qu’il en a fini, mais il enfile une capote pour se protéger ainsi que des gants avant de la pénétrer d’un coup. Elle est tellement inondée qu’il entre sans difficulté. Il lui fait remarquer que sa chatte ressemble à un hall de gare ouvert à tous vents, tout en lui étirant les tétons.
A peine prise, après quelques aller-retours, un tsunami la submerge. Elle jouit comme jamais et cela ne s’arrête pas. Vague après vague, les spasmes orgasmiques l’envahissent. Elle jouit, jouit encore et il continue à la pilonner jusqu’au moment où, tellement excité, il remplit la capote. Elle s’affaisse épuisée et comblée.
Il retire la capote qu’il vide sur ses mamelles rouges avant de la détacher et de l’aider à se reposer dans le canapé en lui disant qu’elle est une bonne grosse truie, bien baisable.
Dans un état euphorique, elle ne bronche pas, un peu ailleurs.
— Ça va mieux, tu te remets ?
— Heu oui dit-elle le souffle court avec un corps
— Ne dis surtout pas merci, sale truie !
— heu… Je… ou… oui… merci
— Bon ! Puisque c’est comme ça, va te peser dans la salle de bain, tu m’as l’air bien grasse !
— Alors combien ??? demande-t-il ?
Humiliée, ce type est vraiment ignoble. Elle le sait, elle a quelques kilos en trop ! Elle fait ce qu’elle peut pour en perdre, mais rien ne marche.
Il lui montre la balance. Elle monte dessus.
— Alors ? Dis-moi
— Euh… quatre… quatre-vingts…
— Tu es sûre ?
— Quatre-vingt-huit… Monsieur, dit-elle effondrée.
— Quatre-vingt-huit ! Presque le quintal… Une truie avec des mamelles de vache ! Mets-toi à quatre pattes comme une grosse truie !
Choquée par les remarques acerbes de son voisin, Sophie prend la pose.
— Regarde ce que j’ai trouvé ! Le collier et la laisse de ma vieille chienne, je suis sûr qu’il t’ira parfaitement !
Sans un mot, ma femme laisse Frédéric fixer ce collier en cuir usé rouge autour de son cou. Elle le sent tirer sur la laisse. Sans un mot, elle le suit à quatre pattes, sentant sa lourde poitrine pendre et remuer à chaque mouvement. Elle dépasse ses limites comme je le lui ai demandé. Après lui avoir fait faire le tour de la maison, Frédéric la sort dans le jardin. Heureusement, la pelouse est proche de la maison et ses genoux ne sont pas trop longtemps en contact avec le béton de sa terrasse. Il se complaît à la voir comme cela. Il la promène quelques minutes dans le jardin et c’est avec regret qu’il la libère enfin, non sans lui avoir demandé de revenir faire le ménage le lendemain matin.
Il l’autorise à remettre sa jupe et son chemisier pour rentrer chez elle. Après que Frédéric lui ait donné une bonne claque bien sonore sur sa fesse en guise d’au revoir, Sophie ne traîne pas pour traverser la rue, car elle a toujours l’inscription “TRUIE” sur son front.
***
Dès qu’il se retrouve seul, Frédéric envoie des photos et des vidéos de sa victime à Bernard. Avec ce simple commentaire : “Sophie, la truie”. Je reçois ces images alors que je suis en train de déjeuner. J’apprécie ce que je découvre et je me demande comment Sophie va m’expliquer l’inscription sur son front quand je vais rentrer.
Je profite de mon temps de repas pour envoyer un message à Marie-Catherine pour l’informer de la réunion à la mairie. Selon les exigences du maire, je lui ordonne de se vêtir d’une jupe courte et un chemisier léger qu’elle doit porter sur un ensemble en dentelle rouge.
Comme prévu, Marie-Catherine m’attend à la gare, nue sous une robe à fleurs qui se boutonne devant. Je prends le volant et je lui demande d’ouvrir sa robe pour dévoiler sa poitrine. Je sais que cette situation l’excite malgré la honte qui l’envahit lorsqu’à un feu rouge, un motard regarde dans notre direction.
Comme les jours précédents, je fais une petite halte dans la forêt et je la conduis nue la clairière des voyeurs. Aujourd’hui, nous sommes seuls. Cela ne m’empêche pas de profiter de sa chatte et de son cul avant de rentrer.
— N’oublie pas de rendre hommage à Bernard comme il le mérite, lui dis-je avant de sortir de la voiture.
***
Quand j’ouvre la porte, je découvre ma femme assise sur le canapé. L’inscription est bien visible sur son front. Avant qu’elle ne commence à parler, je lui ouvre :
— Tu as vu ton maître-chanteur !
— Oui, je n’ai pas eu le choix…
— Ce n’est pas grave ! Je t’aime comme cela aussi.
Je la prends dans mes bras. Elle s’effondre en larmes. Je la cajole de longue minutes avant de lui proposer de préparer le repas.
Nous dînons sur la terrasse. Je perçois son mal-être. Il faut dire que ce mot m’hypnotise. Malgré tous ses efforts, elle n’a pas réussi à faire disparaître l’inscription. Le marqueur utilisé par Frédéric est indélébile, il faudra plusieurs jours avant que son front retrouve sa virginité.
Lorsque nous nous retrouvons dans l’intimité de la chambre. Alors que je suis allongé dans son dos contre elle, mon sexe entre ses fesses. Je lui murmure en la caressant.
— Tu es ma truie préférée.
Je la sens se détendre et j’en profite pour pénétrer son anus de plus en plus souple. Je l’entends gémir, une main joue avec sa poitrine, l’autre sur son clitoris. Je prends mon temps. Elle gémit, je la guide ainsi jusqu’à son plaisir avant de jouir dans son cul.
Dès que je suis sorti, elle se retourne et vient me nettoyer le vit en me remerciant.
Bernard fait un travail extraordinaire sur ma femme. J’espère que de son côté, il est satisfait de ce que je réalise avec Marie-Catherine.
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