mercredi 23 juillet 2025

Chantage à la Campagne - 21

 

Chapitre 21


En ce samedi matin, je laisse mon épouse se reposer et tandis que je prépare tranquillement avant d’aller faire le marché, j’envoie un message à ma soumise en vue de sa réunion à la mairie.

Ma chienne pour ta réunion avec le maire, met des bas porte jarretelles, string et soutien assorti en fine dentelle rouge, tu porteras aussi une jupe bleu marine à mi-cuisses et un chemisier blanc léger”

Sa réponse ne tarde pas, je quitte la maison satisfait.

***

Après le déjeuner, alors que je suis allongé dans la chambre pour prendre un peu de repos avant d’aller m’occuper du jardin. Il me faut nettoyer une haie qui commence à être envahie par des ronces, j’entends ma petite répondre au téléphone. Je devine les paroles de Bernard plus que je ne les comprends.

Sophie est sortie dans le jardin pour répondre, mais elle ne s’est pas rendu compte que derrière les volets tirés que la chaleur n’entre pas dans la chambre, la fenêtre est ouverte pour faire un peu d’air. Je dois avouer que ce que j’entends m’excite et me plaît.

— Je ne peux pas sortir comme cela ! Avec ce qui est écrit sur mon front, dit ma femme.

— Qu’est-ce qui te gêne ? dis-moi ce qui est écrit ?

— Euh… Le voisin a écrit Truie…

— C’est bien et véridique non ?

— Non… je ne suis pas une truie… enfin…

— Allons soit honnête !

— Si peut-être… je suis grosse… j’ai des grosses fesses, des grosses cuisses, des gros seins…

— Alors tu es bien aussi une truie ?

— Oui, je suis une truie…

— Bien ! Et je peux te dire que le maire va aimer ça ! Une bonne truie pour ses amis ! Ça te plaît, n’est-ce pas ?

— Oui, ça me plaît, Monsieur Bernard…

— Tu te ferais prendre par un cochon, alors ?

— Oui Monsieur Bernard…

— Et je ne parle pas d’un balance ton porc… Mais d’un vrai cochon, avec une queue en tire-bouchon !

Sophie déglutit, craignant de comprendre.

— Alors ?

— C’est impossible…

— Qu’est-ce qui est impossible ?

— Un cochon… son sexe est trop long…

— Comment sais-tu ça ? Tu fantasmes tellement dessus que tu ne manques jamais de lorgner les bites de porcs. Ça t’excite n’est-ce pas ?

— Euh… non… mais j’ai vu une fois… Elle grimace.

— Je répète, tu en rêves et ça t’excite !

— Non Monsieur Bernard… enfin j’ai imaginé une fois…

— Réponds-moi ou on en parle à Hervé !

— Oui, ça m’excite Monsieur Bernard !

— Tant mieux ! Mais il faudra attendre que tu pipes d’abord un chien… Mais patience pour notre réunion tu mettras une perruque blonde avec une frange…

— Oui monsieur Bernard, merci !

J’entends le soupir de soulagement de Sophie, il est vrai que sortir avec le mot “TRUIE” écrit en gros sur le front est particulièrement déstabilisant et surtout très peu discret. J’imagine que la situation dans laquelle nos deux femmes vont se trouver sur l’estrade ne va pas être particulièrement facile pour elles qui vont être le point de mire de tous ces vieux vicieux et pervers, si en plus Sophie est étiquetée truie, cela risque de l’effrayer complètement et de la bloquer. Mais je continue de tendre l’oreille pour écouter cette conversation particulièrement intéressante et excitante. Finalement, je me demande si je ne suis pas comme Bernard. Un homme qui aime savoir sa femme prise en main par d’autres hommes.

— Pourquoi merci ? lui demande-t-il. Au contraire, tu devrais être triste et m’en vouloir de t’empêcher de forniquer avec un porcin !

— Oui, lui répond Sophie. Mais, je sais que vous saurez me rendre encore plus excitée… et cela plaira à mon mari. Il veut que je dépasse mes limites…

Là, je ne peux que l’approuver. Je souris, ma femme accepte sa nouvelle condition sans vraiment protester.

— À la bonne heure ! En attendant voici ta tenue :

— Bas, porte-jarretelles, soutien-gorge en dentelle très fine rouge, string assorti sous une jupe courte mais ample et un chemisier léger.

— Oui monsieur Bernard, je porterai cela.

— Et bien maquillée ! Voit-on encore tes anciennes marques ?

— Non, Monsieur Bernard

— Très bien. C’est une réunion sérieuse, les putes n’y sont pas autorisées !

— Oui je comprends bien Monsieur Bernard.

— Bon, je vais te laisser te préparer. Tu viendras prendre Marie-Catherine et vous irez ensemble à ce meeting. Si on a le temps, peut-être y passerons-nous avec Hervé !

— Oui monsieur Bernard, je serai à l’heure.

Sophie raccroche et rentre dans la maison. Faisant semblant d’être endormie, je la vois venir prendre les vêtements exigés par son Maître avant de se rendre dans la salle de bain.

Quelques minutes plus tard, j’entends la voiture sortir du jardin. Je me lève et prends mon téléphone pour envoyer un message à ma soumise.

Ma salope, accueille Sophie en l’embrassant comme une amante.”

mais ??? Maître c’est votre épouse”

Oui et alors…”

je ne peux pas”

Pense aux photos”

bien Maître”

***

Quand Sophie sonne chez Bernard et Marie-Catherine, elle est surprise par le baiser de notre voisine. Quand Marie-Catherine pose ses lèvres sur les siennes, elle recule. Mais quand Marie-Catherine, lui dit que c’est une exigence de son Maître chanteur, elle accepte ce baiser malsain, même s’il est prude et court. Malgré tout, ma femme frissonne, troublée. Elle sourit à sa voisine et cherche ses lèvres où elle y trouve un peu de tendresse.

Les deux femmes prennent alors la route pour se rendre à la mairie. Elles papotent et Marie-Catherine ose lui demander.

— Tu as mis une perruque de blonde ?

Sophie qui hésitait à lui parler de l’inscription sur son front et de ce qu’elle avait subi chez Frédéric, la veille, finit par se détendre.

— Oui… Pas le choix…

— Pourquoi ?

— Regarde ! dit ma femme en soulevant sa perruque, dévoilant l’inscription.

— AAH, mon dieu pourquoi t’as fait ça ?

— C’est pas moi, c’est ton Maître chanteur… Frédéric…

— Quoi ???? mais… mais, Frédéric n’est pas mon Maître chanteur !

— Pourtant hier soir… et ce matin, j’ai dû aller faire le ménage chez lui à la demande de Bernard.

— Ah bon ??? Et ?? Pourquoi crois-tu que Frédéric est celui qui me fait chanter ?

— À cause de ce qu’il t’a fait l’autre soir… tu as obéis sans protester…

— Heu ? Oui, bon oui d’accord parlons d’autres choses !

— Oui bien sûr… on arrive…

Sophie se gare et voit la secrétaire du maire venir vers elles.

***

Tout sourire, Jacqueline vêtue d’un tailleur avec une jupe droite et une veste cintrée regarde ma femme et ma voisine sortir de la voiture. Elle constate avec satisfaction que les deux femmes ont respecté le dress-code que le maire leur a imposé. Elles font vraiment putes, pense-t-elle.

— Suivez-moi, je vais vous donner vos consignes…

En silence, baissant la tête, un peu inquiètes de la suite, Marie-Catherine et Sophie suivent la secrétaire qui leur explique qu’elles vont être assises, chacune à une extrémité de la table, sur l’estrade où le maire sera présent avec trois adjoints : Thierry Malingeot, Marguerite Dufoulin et Patrick Vagorini. Sophie sera à la gauche de ce dernier et Marie-Catherine à la droite de Thierry. Quant à Marguerite, la première adjointe sera à la droite du maire.

La petite salle de conférence qui peut contenir une centaine de personnes est loin d’être pleine. Seule une trentaine de personnes, majoritairement des hommes, sympathisants politiques du maire, plutôt bobos, sont présents. Le maire veut tester auprès de ce parterre l’opportunité de son programme, avant de faire une grande présentation à la presse.

Le vigile explique à nos deux “invitées” surprises qu’au fond de la salle, que chacune pourra lire sur le panneau à affichage luminescent qui lui est attribué les instructions qui s’afficheront et qu’elles devront exécuter. Cela ne rassure pas vraiment les deux femmes qui se doutent bien qu’elles ne n’ont pas été conviées pour prendre une tasse de thé.

Une fois installés, les présents sur l’estrade, assis, attendent l’arrivée de l’édile, comme l’auditoire quelque soixante-dix centimètres plus bas.

Sophie et Marie-Catherine sont assises, les jambes serrées comme il leur a été demandé. Chacune scrute avec vigilance son panneau et les ordres qui vont s’afficher. Elles sont les seules en jupes.

Quand le maire apparaît, tout le monde se lève et applaudit. Les bras levés, il harangue son auditoire en leur promettant une agréable conférence.

Alors qu’avec lui tout le monde se rassied, les panneaux lumineux affichent le premier ordre. Elles ne doivent pas s’asseoir sur leur jupe. Rougissantes, elles obéissent discrètement, dévoilant un peu plus de jambes qu’elles gardent serrées. Des yeux exercés peuvent deviner les attaches des jarretelles. Le discours enthousiaste enflamme le parterre et suite à un bon mot, les panneaux affichent l’ordre de d’écarter les cuisses. Les applaudissements de ceux qui ne perdent rien du spectacle offert par les deux femmes redoublent.

Le discours continue et il leur est demandé de croiser les jambes. Cela a pour effet de dévoiler de la chaire blanche au-dessus des bas. Si au fond de la salle, les spectateurs ne voient rien, les premiers rangs se rincent l’œil.

Quand le maire annonce une promesse électorale de choc sous les vivats enthousiastes de l’auditoire, une nouvelle instruction tombe. Elles doivent décroiser les jambes et écarter un peu plus les cuisses. Le premier rang devinant les strings rouges assure la claque, dont il est difficile de savoir si c’est en réponse aux promesses électorales ou au spectacle offert par les deux femmes. Malgré leur honte, les deux femmes ne peuvent pas s’empêcher de ressentir une certaine excitation d’être ainsi exhibées. Marie-Catherine revit ainsi ce qu’elle avait déjà vécu plus jeune et Sophie espère ainsi que je serais satisfait de sa prestation.

Au bout d’une bonne demi-heure, le maire propose un entracte de dix minutes. Tout le monde se lève pour discuter.

Le vigile invite les deux femmes à le suivre dans une pièce à côté où il les félicite pour leur coopération. Il leur demande de retirer leur string et d’ouvrir trois boutons de leur chemisier ce qui à pour effet immédiat de dévoiler la dentelle rouge de leur soutien-gorge. Elles obtempèrent sachant qu’il ne servira à rien de résister, de plus, elles n’en ont pas envie. Il en profite pour mesurer leur degré d’excitation en leur roulant une pelle et en glissant un doigt dans leur chatte humide, chacune laissant échapper un ronronnement de bien-être.

Quand le “spectacle” recommence, elles s’assoient cul nu sur leur chaise, obéissantes. Le maire reprend son discours, toujours aussi jovial en disant :

— Certains m’ont demandé qui étaient les deux sexys et charmantes personnes sur l’estrade à chaque extrémité de la table. Eh bien ! Sachez qu’elles sont deux fidèles partisanes prêtes à donner de leur personne pour m’accompagner dans ma campagne, pour faciliter l’engagement de certains hésitants. Je vous présente Marie-Catherine.

Le panneau affiche alors : “lève-toi et salue en t’inclinant bien.”

Quand Marie-Catherine se penche son décolleté baille. Elle est ovationnée, surtout par les premiers rangs qui découvrent avec plaisir les deux obus recouverts de dentelle. À son tour, Sophie est présentée et doit faire la même chose avec autant de ferveur dans les applaudissements et quelques remarques comparatives et approbatives sur les deux poitrines ainsi exposées.

— Bien revenons à notre programme, dit le maire.

Les panneaux ordonnent aux deux femmes de s’asseoir cul nul et d’écarter les jambes de vingt centimètres. À chaque proposition programmatique percutante pour déclencher les applaudissements, elles doivent successivement écarter un peu plus les cuisses puis s’avancer davantage sur leur chaise et de remonter leur jupe. Plus le temps passe, plus elles en montrent aux voyeurs qui applaudissent avec frénésie. Pour finir, leurs chattes nues, lisses et luisantes d’excitation sont bien exposées aux privilégiés triés sur le volet, du premier rang.

L’édile se lève enfin et termine sa conférence en invitant les invités à venir prendre le verre de l’amitié dans la pièce d’à côté. La salle se vide par les derniers rangs et quand il ne reste que les premiers rangs, les panneaux affichent la directive de défaire tous les boutons du chemisier et de descendre de l’estrade pour aller saluer les hommes du premier rang.

Les invités de Monsieur le maire ne se privent pas pour bien regarder les décolletés en les complimentant. Les panneaux leur demandent alors de sortir leurs seins des bonnets. Elles sont interloquées. Elles hésitent mais l’insistance de l’injonction les pousse à obéir.

Il ne reste plus que six hommes d’âge différent.

Au moment où l’un d’eux demande s’il peut toucher, un nouvel ordre apparaît : celui de répondre “OUI”.

Elles sont horrifiées mais elles prononcent le “oui” honteux. Alors, les mains ne se privent plus et malaxent leurs mamelles en pinçant les tétons.

Les panneaux affichent : “Souriez et remerciez vos admirateurs généreux donateurs.”

Tout cela ne les laisse pas indifférentes. La honte et l’humiliation excitent leur libido et leur chatte s’inondent. “Soulevez vos jupes !” leur disent les panneaux. Elles obéissent troublées. Des mains viennent les fouiller entre les jambes, les cuisses, les fesses, leurs cramouilles sont investies sans vergogne. Leurs seins sont maltraités. Elles sont excitées malgré elles. Le souffle court, elles agitent leur bassin, frottant leur vagin contre ces doigts inquisiteurs.

Les panneaux affichent qu’elles vont, avant de rejoindre le maire, prendre leur apéro-foutre.

Sophie et Marie-Catherine restent ébahies devant cet ordre. Face aux sexes qui sortent, elles n’ont que le choix de les prendre en bouche tout en entretenant l’érection des autres dans les mains.

Les mâles sont tellement excités qu’en moins de trente minutes, les six paires de couilles sont vidées par la technique des vases communicants, des bites aux gorges.

Elles rejoignent le maire dans la salle désertée, entourées par ces hommes, sans avoir pu rentrer leurs nichons exposés dans les bonnets, le chemisier ouvert.

— Mesdames, je vous félicite ! Vous avez été parfaites ! leur dit le maire en souriant.

Puis, s’adressant aux hommes, il leur dit :

— Alors qu’en pensez-vous ? je vous avais bien dit que vous en auriez pour votre argent en finançant ma campagne. Et cerise sur le gâteau par tranche de cinq mille euros, vous aurez d’autres prestations intimes de ces fidèles sympathisantes ! N’est-ce pas mesdames ?

Surprises, elles ne savent que dire. Marie-Catherine plus expérimentée dans ces turpitudes répond : “Oui, bien sûr monsieur le maire !”

Imitant son amie d’infortune, Sophie répond à son tour par l’affirmative.

— Nous sommes bien d’accord ainsi, mes poulettes, reprend le maire.

— Oui Monsieur le Maire, confirment-elles honteuses.

— Que venez-vous de faire à nos amis ?

— Heu… des… des fellations… répond Marie-Catherine troublée.

— Dis-le autrement ! La grosse ! Ordonne gentiment le maire.

— Uu… une… ne… pi… pipe ! Dit-elle alors, rouge de honte.

— Vous voyez messieurs pour votre don de mille euros vous avez eu une gâterie buccale mais, si vous passez à la vitesse supérieure par tranche de cinq mille euros, comme je l’ai dit, ces charmantes chaudasses vont vous dire ce qu’elles feront, n’est-ce pas la bigote ?

Marie-Catherine, humiliée, détaillé affolée, les prestations qu’elles vont assurer :

— Pour… pour cinq-mille euros, nous… heu… disons… offrirons un rapport se… sexuel.

Jacqueline lui souffle quelques mots à l’oreille et ma vieille voisine se reprend.

— Heu… oui… oui ! Vous pourrez nous… nous baiser ! Heu… enfin oui, nous baiser la chatte !

— Et pour dix-mille, qu’offrirez-vous ? reprend le maire.

La secrétaire glisse la réponse à l’oreille de Sophie qui malgré sa honte est de plus excitée comme en témoigne sa poitrine gonflée, ses tétons dressés et surtout sa chatte qui dégouline. Elle se dit que je serais sûrement aux anges d’apprendre tout ce qu’elle ose faire.

— Hooo… je… nous… nous ofr… offrirons no… notre cul… Vou… vous pourrez nous enculer, dit ma femme en esquissant un sourire.

Jacqueline susurre ensuite à Marie-Catherine qui reprend à haute voix :

— Gloup ! Et pour les tranches au-dessus, des doublettes, voire multiprises seront possibles, bouche moule cul à votre guise.

Les applaudissements redoublent. Les deux voisines baissent la tête, avilies de tant d’humiliation. Mais, le maire est heureux sachant que la pêche au fric va être bonne avec ces deux recrues inespérées vu la dépravation de certains riches parvenus.

La secrétaire, les yeux pétillants, se penche vers son patron pour murmurer à son oreille.

— Mais oui ! Tu as raison ! C’est vrai qu’elles ont donné du plaisir mais n’en ont pas reçu. Il faut remédier à cela… Mes amis ! Que diriez-vous si ces charmantes dames nous offraient un nouveau spectacle ? Il y a un canapé contre ce mur, elles pourraient nous montrer comment elles se donnent mutuellement du plaisir, n’est-ce pas mesdames ?

— Heu ! Ou… oui… monsieur, dit Marie-Catherine.

Sophie reste silencieuse, laissant son aînée parler pour elle, maintenant prête à accepter toutes les dépravations qu’on pourrait lui demander.

Elles se déplacent, se tenant par la main, vers le canapé. Marie-Catherine n’étant pas du tout gouine est très mal à l’aise. Elle ne sait pas vraiment quoi faire. Mais l’ordre discret de Jacqueline claque comme une gifle les obligeant à se rouler une pelle une fois assises face aux spectateurs.

Pendant que leurs bouches sont soudées, que leurs langues s’écroulent l’un autour de l’autre, Sophie, qui avait léché la secrétaire quelques jours plus tôt, pose sa main sur la cuisse de Marie-Catherine. Elle remonte à la lisière des bas et atteint l’entrejambe. Ses doigts sentent la chaleur et l’humidité de la chatte de sa voisine. Elle glisse un doigt sous le tissu fin et commence à jouer avec le clitoris.

Marie-Catherine écarte bien ses cuisses. Les spectateurs ne perdent pas une miette de ce spectacle vivant et d’autres chèques tombent dans l’urne.

— Lèche-la ! La grosse ! Lance une voix dans l’assemblée.

Sophie, comme un automate, s’agenouille entre les cuisses de Marie-Catherine et pose ses lèvres sur la moule luisante. La langue de ma femme explore les moindres recoins de cette fente qui ne demande plus qu’à être remplie.

A quatre pattes, elle expose ainsi sa croupe large aux hommes de plus en plus excités.

— Dix milles ! lance alors Jacqueline. Messieurs, vous pouvez y aller.

Sophie sent alors des mains prendre ses hanches en étau et un sexe pénétrer sa chatte sans douceur.

Un homme s’approche de Marie-Catherine et lui présente son membre à sucer. Ma voisine ne se fait pas prier.

Rapidement les deux femmes sont séparées et chacune doit s’occuper de trois hommes. Tous leurs trous y passent. Le maire avait prévu le coup et a mis à disposition de ses généreux donateurs quelques pilules bleues magiques.

La nuit est tombée depuis plusieurs heures quand les deux femmes sont enfin libérées de la convoitise et des turpitudes de ces huit hommes en rut.

***

Je suis installé devant la télévision quand j’entends la porte d’entrée s’ouvrir. Je suis en train de regarder, sur mon téléphone, la vidéo que Bernard m’a envoyée. Le maire lui avait envoyé le film de la prestation de nos femmes.

— Alors cette réunion avec Monsieur le Maire ! Tout s’est bien passé ?

Sophie entre dans le salon, décoiffée, les cheveux encore couverts de sperme, son maquillage a coulé. Elle ne porte rien d’autre que son chemisier et sa jupe. Je lui souris.

— Oui mon chéri, très bien !

— C’est ce que j’ai cru comprendre… Monsieur le Maire m’a envoyé un message pour me remercier de t’avoir autorisé à participer à sa campagne… Il espère que sera présente lors de sa prochaine réunion électorale…

— C’est-à-dire que…

— Cela me ferait plaisir que tu y participes…

— Vraiment ?

— Oui je t’assure… Approche que je t’embrasse…

Quand elle est contre moi, elle ne peut que sentir mon érection contre son ventre.

— Tu vois l’effet que tu me fais quand tu es comme cela… J’ai envie de te baiser comme une chienne !

— Oui mon chéri, baise-moi comme une chienne !

— Comme une salope ?

— Oui comme une salope, dit-elle.

— Mets-toi à quatre pattes !

Sans hésiter, je la vois prendre la pose. Je lui relève sa jupe et d’un coup de rein puissant, je l’encule. Excité comme je le suis, je ne tarde pas à jouir dans son cul. Je lui demande de se retourner et docile, elle vient nettoyer ma queue pendant que je lui caresse la tête.

Je ne peux m’empêcher de penser à Marie-Catherine qui, je l’ai vu, a aussi bien profité de cette soirée malgré sa honte.

Après ma jouissance, j’aide ma femme à se relever et je l’accompagne dans la salle de bain pour que nous prenions une douche ensemble. Sans que je ne lui demande rien, il m’a suffi de poser mes mains sur ses épaules pour que Sophie s’agenouille devant moi et me gratifie d’une fellation experte. Je pense que Bernard va pouvoir faire progresser l’éducation de mon épouse pour qu’elle devienne ce qu’il a en tête.


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