mercredi 30 avril 2025

Erika : Dresseuse de Couples -18- Découverte du Donjon

 


Erika profite d’un après-midi libre de Florence, notre jeune enseignante, pour faire du shopping. Elles arrivent toutes deux devant la boutique de Laure et Marie-Gabrielle.

— Voilà où je voulais t'emmener, tu vas voir, tu vas trouver ton bonheur ici !

— Mais ! Je connais cette boutique !

— Ah bon, dit Erika.

— Oui c’est ici ou je viens acheter mes strings, elles ont des produits de bonne qualité.

— Je ne te le fais pas dire en effet ! Mais entrons !

Florence est tout de suite surprise par la nouvelle ambiance de la boutique. Dans son souvenir, ce magasin lui avait paru austère et elle n’y était entrée uniquement parce qu’elle savait pouvoir y trouver ce qu’elle souhaitait et seul ce magasin lui convenait. Mais aujourd’hui, c’est complètement différent. Quand on y entre, on a envie d’y rester, de s'installer, de prendre son temps pour essayer les tenues.

— Bonjour Mesdames, dit Laure en s’approchant.

— Bonjour Laure, comment vas-tu ?

— Bien Madame, merci !

— Mais je ne vois pas Petite Pute, est-elle punie ?

— Oh non Madame ! répond l'employée. Elle est en train de finir de ranger la dernière livraison.

Florence est extrêmement surprise de ce début de conversation, néanmoins, intelligente comme elle est, elle comprend immédiatement la particularité de cette boutique avant même qu’elle ne soit présentée à cette vendeuse qui semble de connivence avec Erika.

— Voici Petite Salope qui vient acheter quelques tenues pour plaire à son mari. Petite Salope, je te présente Mademoiselle, je vais te laisser entre ses mains. Ne me déçois pas !

— Non Maîtresse, je vous le promets.

Avant de s’occuper de Florence, Laure la regarde intensément. Elle la déshabille du regard. Elle essaye de deviner ce que peut cacher cette petite jupe courte, ce chemisier qui dévoile la courbe de ses seins. La petite blonde est appétissante et apparemment Madame Erika lui a donné l’autorisation de faire ce qu’elle avait envie…

— Suis moi dans la zone d'essayage et mets-toi à poil ! lui ordonne Laure.

— T'ai-je autorisé à entrer dans la cabine ? Non, alors tu te déshabilles ici et tu m'attends !

Cependant Laure ne bouge pas. Elle attend que Florence retire ses vêtements pour aller chercher des ensembles.

— Tu fais quelle taille ? En nichon et en culotte, enfin en string, apparemment.

Florence répond timidement et Laure disparaît dans la réserve, laissant la pauvre professeure seule, nue, dans le magasin ouvert.

Florence, pour qui l'attente paraît extrêmement longue, sursaute au moindre bruit qui peut lui laisser croire qu'une cliente ou pire un client entre dans la boutique. Laure revient enfin les bras chargés, en compagnie d'Erika le visage éclairé par un large sourire.

— Voici ce qui, je pense, va le mieux convenir à une petite salope comme toi ! annonce Laure.

Florence accuse le coup, ce qualificatif, elle a l'habitude de l'entendre sortir des lèvres d'Erika, mais pas d'une autre personne. Une nouvelle barrière vient de tomber dans son esprit. Elle prend vraiment conscience de son infériorité et de son statut de soumise.

Elle regarde les ensembles présentés, des nuisettes transparentes, très courtes et à fine bretelles, des vêtements prévus pour exciter le partenaire. Laure lui a aussi sorti des guêpières et des serre tailles de différentes couleurs. Malgré son étonnement, car jamais elle ne serait allée vers ce type de vêtements, Florence est curieuse de voir comment son corps peut être mis en valeur par ces articles un peu passés de mode. Erika lui demande d'essayer une guêpière violette.

Laure, en professionnelle, vient l'aider à attacher les agrafes dans le dos et à ajuster les bonnets qui présentent plus qu'ils ne soutiennent sa poitrine ainsi que les attaches des bas. Elle a quand même pris le temps de caresser les fesses et la poitrine de la professeure.

— Marche un peu que l'on voit comment tu es ! lui demande Erika.

Florence fait quelques pas sous les regards approbateurs des deux femmes. La guêpière comprime son ventre et fait ressortir sa poitrine comme la courbe de ses fesses. Elle est contrainte par ce vêtement. Elle se dit qu'elle ne pourra jamais porter cela toute une journée.

— Parfait ! Dit Erika. Elle prend le tout, n'est-ce pas Petite Salope ?

— Oui Maîtresse, bien sûr.

Derrière le comptoir, Laure encaisse le paiement de Florence et mets les fragiles vêtements dans des sacs.

— Petite Salope, dit Erika. Je pense qu'il serait bienvenu de remercier Mademoiselle !

— Oui Maîtresse, mais comment ?

— Sous le comptoir ! Tu en as l'habitude.

Florence est interloquée. Elle rougit et passe sous le comptoir comme quand elle passe sous le bureau de Marguerite. Laure retrousse sa jupe pour que Florence puisse lui retirer son string. Une fois le string baissé par les soins de Florence, Laure ferme les yeux pour apprécier le travail de la langue de la blonde sur sa chatte excitée.

— Hummm ! Gémit Laure. Elle sait y faire !

— Elle s'entraîne tous les jours ou presque ! commente Erika.

Pendant que Florence s'applique à donner du plaisir à la jeune vendeuse, Erika appelle Pierre et lui demainde de les rejoindre chez elle.

***

Les deux femmes retrouvent Pierre à la descente de la navette, Florence tenant les sacs contenant ses achats à bout de bras.

— Pierre, peut-être devrais tu aider ta femme ?

— Oh oui, excuse-moi ma chérie ! Donne-moi un de tes sacs.

— Merci !

Florence donne un sac à Pierre qui est un peu vexé de la remontrance d'Erika. La Maîtresse femme tient à être la seule à diriger. Elle sait que les prochaines minutes ou heures vont être décisifs pour la suite de sa relation avec Florence et Pierre. En marchant en direction de la maison de la grande brune, Pierre se rapproche de sa femme pour essayer de savoir ce qu'elle a acheté.

— Sois patient, Florence se fera un plaisir de te montrer cela, n'est-ce pas ? le sermonne Erika une nouvelle fois.

— Euh, oui, Maîtresse ! Bien sûr ! répond la blonde troublée.

— Tu es adorable ma chérie ! dit Pierre tête basse.

Erika fait poser les achats sur une petite table dans l’entrée puis Ils s'installent tous les trois dans le salon pour prendre le thé. Elle laisse un moment les deux époux seuls pour aller se changer. Elle revient dans une tenue qui laisse Florence mais surtout Pierre, sans voix ! Bottes noires en cuir, bas résilles, petite robe noire en cuir de qualité et des gants en cuir noir également qui couvrent les avant-bras, coude compris. Une autorité naturelle émane de cette magnifique femme brune.

Erika demande alors à Florence de dire à son mari ce qu'elle a trouvé chez "O Belles Dames". Florence rougit, gênée de devoir décrire ses achats devant Pierre en présence d'Erika. Ces descriptions excitent Pierre qui est pressé de voir ces tenues sur le corps de sa femme.

— Attends un peu ! Florence va te les montrer mais ce salon n'est peut-être pas le lieu idéal. Nous allons procéder à cette découverte dans une pièce plus adéquate. Mais avant cela j’ai un cadeau à vous offrir à tous les deux.

Erika tend alors à Pierre une petite boîte en velours rouge qu’il ouvre avec délicatesse. Florence regarde et, une fois le couvercle mis de côté, elle découvre en même temps que Pierre, un collier original : un cœur en acier d’où partent deux bandes de cuir qui se referment avec une boucle en fer et, enroulée avec précaution, une chaîne légère mais significative, comme celle d’un chien de compagnie.

— C’est un cadeau que je voulais vous faire avant de vous emmener dans une salle que j’ai aménagée au dernier étage de ma maison et qui sera des plus adaptées aux essayages des vêtements achetés par Florence.

— Pierre, mets le collier à Florence ! ajoute la chaîne ! Tu vas conduire ta femme avec la laisse jusqu’à l’entrée pour récupérer les paquets et vous me suivez ainsi tous les deux !

C’est pathétique de les voir ainsi l’un derrière l’autre. Pierre a exécuté l’ordre d’Erika en silence. Il ne sait pas s’il doit regarder sa femme qui tient les sachets dans les mains, baissait les yeux de honte.

***

Erika les conduit au dernier étage, à son donjon. Une fois la porte ouverte, Pierre et Florence découvrent la pièce avec stupéfaction. Si Florence est effrayée par les objets qu'elle voit, Pierre au contraire est fasciné. Il a laissé tomber la laisse du collier de Florence sans même s’en rendre compte pour caresser le tabouret modifié, il joue avec le pilori, soulève et replace la poutre supérieure. Il s'approche de la croix de Saint-André, il vérifie les sangles de cuir qui permettent d'immobiliser le supplicié.

Il se souvient des récits des hommes des unités de renseignements quand il était en opération contre les groupes rebelles. Certains de ses collègues n'hésitaient pas à raconter comment ils effrayaient les prisonniers pour les faire parler. Il pense que ces hommes auraient un usage bien différent de celui qu'Erika en fait, un usage bien moins récréatif. Seule la boîte le laissait dubitatif, ne pas voir le visage de sa partenaire ne l'attire pas.

Il a complétement oublié sa femme, debout, la laisse pendant devant elle, entre les seins et jusqu’au bas de sa jupe.

— Tu vas bien ? lui demande Erika.

— Oh oui ! Je me sens comme un enfant qui découvre Disneyland pour la première fois ! Cet endroit est un rêve éveillé, le fantasme de beaucoup d'hommes et le cauchemar des femmes !

— Tu ne crois pas si bien dire… Mais regarde dans l'armoire !

Florence regarde tétanisée son mari ouvrir l'armoire et rester longues secondes devant les fouets, martinets, godes et autres jouets. Il se retourne une cravache à la main.

— Voilà de quoi rappeler à l'ordre une pouliche rétive !

— Tu as parfaitement raison ! Cette pièce est faite pour cela.

Florence frissonne, une boule au ventre. Elle sait parfaitement que si sa maîtresse lui demande de se mettre sur un de ces objets, elle le fera. Elle est encore plus surprise d'entendre Pierre avouer à Erika qu’il aurait aimé tellement utiliser la contrainte pour faire l’amour.

— Bien sûr, Pierre ! Nous verrons cela ! Mais nous sommes là pour que Florence nous face un défilé ! Tu ne vas pas la laisser là comme une âme en peine ! Retire-lui sa laisse qu’elle puisse nous faire voir comment ce qu’elle a acheté lui sied !

— Oui c'est vrai ! dit Pierre en lui retirant la chaîne tout en la regardant au fond des yeux. Ce petit cœur en acier bien positionné autour de son cou avec des sangles de cuir lui va à merveille et rehaussera sans aucun doute sa tenue.

— Vas te préparer, dans la petite pièce ! lui lance Erika !

Florence prend ses sacs et disparaît dans la petite pièce où Erika se change lors de ses séances avec ses soumis. Elle découvre un dressing bien organisé avec les différentes tenues de sa maîtresse.

Florence se change et enfile la première nuisette, une nuisette blanche presque virginale. Elle sort et vient faire quelques pas devant Pierre et Erika, chacun assis dans un fauteuil. Pierre est excité de voir sa femme chérie dans cette tenue. La nuisette ne cache rien de son corps, la transparence du tissu dévoile ses mamelons gonflés et ses tétons tendus, plus bas, il voit le fin triangle blond de sa toison pubienne. Il sent son sexe en érection dans son pantalon. Florence se tourne et comme si elle avait toujours fait cela, elle soulève le bas de la nuisette et remue son bassin en exposant ses fesses.

Florence se met à nouveau face au couple et fait glisser les bretelles de la nuisette pour exposer sa poitrine. Pierre n'en revient pas sue sa petite femme chérie puisse faire cela devant eux. S’ils avaient été seuls, il n'aurait pas été étonné de sa conduite, elle s'amusait parfois à écarter les cuisses pour lui montrer sa culotte, quand ils sont chez eux et que les enfants regardent ailleurs ou que sur les plages désertes, lorsqu’elle retire quelques minutes le haut de son maillot. Mais, devant Erika, il est surpris et troublé. Cela l'excite encore plus ; peut-être est-ce à cause du lieu qui respire la luxure.

— Ne trouves-tu pas que c'est une belle petite salope quand même ?

— Euh, oui ! C'est sûr !

— Et elle aime ça en plus ! Regarde ses tétons ! Je suis sûre que si vous étiez seuls, elle viendrait te sucer !

Pierre est de plus en plus perturbé par les paroles d'Erika. Il voit sa femme s'exhiber, impudique. Il est excité, son sexe est dur, prêt à exploser dans son pantalon.

— Dis-le Florence, que tu aimes faire la petite salope devant ton mari !

Florence aussi est troublée par ce qu'elle fait, elle est comme dans un état second. La montée au donjon tenue par la chaîne de son collier avait déjà fait son effet. Et là, quand elle s'est retournée pour exhiber son cul, elle voulait jouer avec les sens de son mari, mais maintenant c'est elle qui est excitée d’entendre Erika lui rappeler qu'elle est une petite salope. Cela la fait mouiller. Aussi, quand Erika lui demande de venir sucer Pierre, elle obéit.

Elle est maintenant à genoux entre les cuisses de son mari. Sa bouche entouré sa bite dure et gonflée, elle l'aspire. Sa langue tourne autour du gland. Elle le pompe. Elle entend les gémissements de Pierre qui ne peut plus se retenir et sans prévenir, il lui remplit la bouche de son sperme.

Florence veut se reculer, mais elle entend Erika lui ordonner d'avaler. Elle grimace, elle déteste ce goût, cette texture. Mais elle obéit à sa maîtresse.

— Montre-nous ! Ouvre la bouche !

Florence, humiliée mais excitée, obéit encore et leur montre sa bouche vide.

— C'est bien, petite salope. Tu peux continuer à montrer tes achats à Pierre.

Florence se relève et va se changer. Après les nuisettes, Florence s'exhibe avec les guêpières et le serre-taille.

Pierre est de nouveau excité quand Erika lui propose ce qu'il n'aurait jamais osé lui demander.

— Pierre, je crois que tu devrais punir ta femme d'être aussi indécente et salope !

— Oui, Madame Erika, c'est vrai !

— Attache-la sur la croix ! Tu pourras mieux jouer avec le martinet !

Florence veut protester, montrer qu'elle n'est pas d'accord. Elle est surtout effrayée par la douleur. Mais, depuis les mots et l’attitude de Pierre lors de leur découverte de ce donjon, elle a aussi envie de lui faire plaisir.

Erika se délecte de voir que Pierre lui obéit au doigt et à l'œil. Il ne se rend pas compte qu’il est sous sa coupe ! Elle le laisse attacher les poignets et les chevilles de Florence sur la croix. Sa croupe est complètement exposée aux regards de Pierre. Il admire ce cul qu'il a l'impression de découvrir pour la première fois. Ce cul pâle que le noir des bas, du serre-taille et du collier de cuir fait ressortir. Il bande à nouveau.

Erika lui donne le martinet.

— Vas-y Pierre ! Punis cette salope comme elle le mérite !

Pierre lève le bras et commence à frapper. Florence surprise par le premier coup, pousse un cri. Quelques coups plus tard, ses fesses rouges brûlent.

— Dis-nous ce que tu es ? demande Erika.

— Je suis une salope Maîtresse !

— Très bien salope ! Tu sais pourquoi tu es punie, n'est-ce pas ?

— Oui, Maîtresse !

— Est-ce que tu veux faire plaisir à ton mari !

— Oui je veux lui faire plaisir…

— Pierre, dis-nous ce dont tu as envie !

Sans réfléchir, excité par la situation, Pierre demande à pouvoir sa femme.

— Non ! Pierre s'il te plaît ! Pas ça ! le supplie Florence.

— Tu ne veux pas faire plaisir à ton mari ? demande Erika d'un air taquin.

— Si bien sûr, Maîtresse ! Mais pas par-là !

— Et pourquoi pas ! Nous les femmes, nous avons trois orifices pour satisfaire les hommes… nous sommes comme cela !

— Oui, mais… ça fait mal !

— Qu'est-ce que tu en sais ? Tu as déjà essayé ?

— Non maîtresse !

— Alors ! Et ne t'inquiète pas, je vais le préparer !

Quelques secondes plus tard, Florence entend Pierre gémir. Elle tourne la tête pour tenter de voir ce qu'il se passe dans son dos et elle aperçoit du coin de l'œil Erika en train de sucer son mari. Florence sent un liquide froid lui couler entre les fesses. Elle comprend que son mari la prépare pour la suite avec un lubrifiant intime. Puise Pierre la tient par les hanches et présente son gland entre ses fesses.

— Tu es prête ma chérie ?

— Oui ! dit-elle en reniflant.

— A quoi es-tu prête, petite salope ? Dis-le-nous ? demande Erika.

— Je suis prête à être prise par derrière.

— Et comment dit-on cela ?

— Je suis prête à être sodomisée…

— Non, pas sodomisée mais enculée… demande le lui !

— Pierre ! Encule-moi !

Lentement mais sûrement, Pierre s'enfonce dans le fondement de Florence. Il grogne en forçant le cul étroit de sa femme qui pleure doucement. Il progresse doucement, s'arrête pour profiter des sensations exquises de cet anus vierge avant de reprendre sa progression jusqu'à ce que son ventre entre en contact avec les fesses rebondies de la petite blonde en larmes.

Il passe ses mains devant pour caresser la poitrine et l'entrejambe de Florence avant de commencer des va et vient.

La douleur de la pénétration s'estompe doucement mais sûrement. Florence commence à gémir. Elle entend son mari grogner plus fort et d'un coup de rein puissant, il s'enfonce complètement dans ce cul accueillant et jouit en même temps que sa femme.

Il la libère de la croix et elle tombe à genoux épuisée et choquée tant par ce qu'elle vient de subir que par le plaisir qui l'a traversée en étant enculée. Elle ne comprend pas comment elle a pu avoir du plaisir de cette manière. Elle n'a pas le temps de réfléchir qu'un ordre de sa Maîtresse tombe.

— Il faut nettoyer !

Florence regarde la grande brune, intriguée.

— Oui ma petite salope, tu ne vas pas la laisser comme cela ! Il faut nettoyer !

Florence Hésite mais sous le regard sévère de son mari et de sa maîtresse, elle se décide à lécher ce sexe qui vient de sortir de son cul. Elle grimace mais quelques minutes plus tard, Pierre peut ranger ses attributs propres.

Florence va ensuite ranger ses achats dans les sachets et tous les trois redescendent au salon pour boire une coupe de champagne afin de célébrer cette initiation qui n’est qu’un début sans doute.  Pierre range précieusement la laisse dans la jolie boîte rouge… laissant le collier sur le cou de Florence qui semble s’en accommoder ! Bientôt elle en sera fière.

Quand ils partent, Erika propose à Pierre de revenir profiter de son parc d'attraction quand il le voudra. Sans que Florence ne l'entende, elle ajoute, avec un clin d'œil.

— Avec Florence ou une autre !

***

Dans l'intimité de leur chambre, Florence après avoir pris une bonne douche relaxante, rejoint Pierre au lit revêtue d'une de ses nouvelles nuisettes.

Elle se blottit contre le corps musclé de son mari et au milieu de la nuit, elle écarte ses cuisses pour l'accueillir dans son ventre.

mardi 29 avril 2025

Journal d'un impuissant - 04 -

Après ma relation avec Carole, je me suis reconnecté sur le site de rencontres. Je savais qu’elle l’avait aussi fait et nous nous échangions des messages pour savoir où nous en étions dans notre quête d’une âme “solitaire”.

Après de longues minutes pour faire le tri dans les messages qui avaient été laissés sur mon profil et éliminer tous les pseudo-contacts ou ceux qui n’étaient plus présents sur le site, il ne me restait plus qu’une dizaine de profils avec lesquels je pouvais potentiellement avoir des affinités.

C’est ainsi que j’envoyais un message à une Anne-Lise, une femme d’une quarantaine d’années, professeur dans un lycée d’une commune voisine.

Sa présentation était sobre, elle s’affichait avec une robe blanche à bretelle, un beau sourire illuminait son visage rond, sublimé par une chevelure châtaine tirant sur le roux. Les taches de rousseurs sur sa peau trahissaient une rousseur naturelle.

Je fus étonné de recevoir une réponse rapidement, même si le site indiquait qu’elle était connectée, il était rare que les messages obtiennent une réponse dans la soirée. Il arrivait même que parfois certaines femmes ne répondent que plusieurs semaines après.

Nous avons commencé à discuter et nous avons convenu d’un rendez-vous, un samedi après-midi. Une fois encore, tout comme moi, elle devait jongler avec le planning de garde de ses deux filles. Nous étions au printemps et plutôt que de nous retrouver en ville, nous avons décidé de nous rencontrer sur le parking d’une forêt voisine. Nous pourrions ainsi commencer ou terminer notre promenade forestière dans le bar-restaurant situé au milieu de ce bois.

Elle était arrivée avant moi, sa petite Twingo verte était garée au fond du parking, non loin de l’entrée de la route forestière. Je garais mon vieux Partner à côté. Je suis d’accord ce n’est pas une voiture qui fait rêver mais c’est un bon compromis qualité-prix quand on est une famille avec trois enfants. De plus, ayant racheté ma part de la maison après le divorce, j’étais content d’avoir trouvé cette voiture pour un prix raisonnable qui pouvait à la fois servir pour les déplacements quotidiens, partir en vacances en famille et accessoirement servir pour déplacer des objets encombrants.

Quand je fus sorti, Anne-Lise m’apparut. Elle s’était avancée dans l’allée en m’attendant. Je me dirigeais lentement vers, prenant le temps de la regarder. Elle portait un pantalon d’équitation qui lui moulait les jambes et les cuisses et une veste en polaire, chaussée de chaussures de randonnée. Elle était au naturel, ce qui correspondait parfaitement avec la femme avec laquelle j’avais échangé. J’étais aussi vêtu de manière adaptée, un jean, des baskets, une veste en cuir élimée. Au moins, aucun de nous n’avait l’avantage sur l’autre et cela nous permettait de marcher en forêt sans soucis.

Je savais qu’elle était petite mais, quand nous fûmes face à face, je réalisais à quel point cela était vrai. Elle faisait presque une tête de moins que moi, qui ne suis déjà pas particulièrement grand. Elle me fit un grand sourire, passa ses deux bras autour de mon cou, se hissa sur la pointe des pieds pour poser ses lèvres sur les miennes.

Si avec Carole, mon premier baiser fut un baiser furtif, avec Anne-Lise, il en alla tout autrement. J’osai tenter de glisser ma langue, elle ne se recula pas, au contraire. Nos bouches restèrent soudées un long moment et j’en profitais pour poser mes mains sur ses hanches. Si Christelle et Carole étaient des femmes plutôt élancées, Anne-lise avait un physique complètement différent. Ses hanches étaient particulièrement larges par rapport à sa petite taille. Elle me faisait penser à un culbuto…

Je sentais sa poitrine s’écraser contre moi, ses efforts pour se maintenir sur la pointe des pieds. Je finis par relever la tête ce qui termina à notre baiser.

— Merci ! me murmura-t-elle.

— Pourquoi ?

— Pour ce baiser…

— Mais c’est normal ! lui répondis-je un peu surpris.

Je la pris par la taille et nous avons commencé à marcher. Elle connaissait ce bois mieux que moi et me faisait découvrir les mystères de cette forêt. Quand nous sommes arrivés au bord d’un petit étang, nous nous sommes arrêtés pour discuter. Aussitôt, elle est venue se mettre contre moi. Je m’étais appuyé contre un rocher et comme un enfant, elle s’est installée devant moi, assise entre mes cuisses, son dos contre moi. Dans cette position, elle n’avait qu’à tourner la tête pour m’embrasser, je passais mes mains autour de son ventre.

Notre marche et le soleil nous avaient donné chaud et nous avions retiré nos vestes. Mes mains passèrent rapidement sous son pull et accédèrent à sa poitrine maintenue par un soutien-gorge de dentelle.

— J’aime ce que tu me fais, me souffla-t-elle à l’oreille.

Je considérais ces mots comme un encouragement à continuer. Je jouais toujours avec sa poitrine pendant qu’une de mes mains descendait sur son ventre et passa sous la ceinture de son pantalon. Elle comprenait ce que je désirais et elle dégrafa le bouton de son pantalon. Je lui pris les lèvres et mes doigts s’insinuèrent sur sa culotte de dentelle. Ses dessous étaient-ils assortis ?

Ses cuisses écartées me permettaient de la caresser à travers le tissu. Une de ses mains me tenait par le cou, m’obligeant à garder mes lèvres soudées aux siennes. Même si nous étions assez loin du parking, un promeneur pouvait surgir à tout moment, ce qui rendait notre situation encore plus troublante.

Heureusement, les cris d’enfants approchant nous permirent de retrouver une attitude correcte avant l’arrivée d’une petite famille. De retour au parking, je lui ai offert un rafraîchissement au bar. Elle me regardait les yeux brillants, pétillants d’impatience. Mes caresses au bord de l’étang avaient éveillé sa libido et mon excitation n’était pas tombée, loin de là.

J’avais quelques questions sans réponses, avait-elle une culotte assortie à son soutien gorge ? D’ailleurs était-ce une culotte ? Sa poitrine semblait ferme mais était-elle aussi pâle que je l’imaginais ? Et surtout, il m’avait semblé que sous la dentelle, son pubis était glabre…

Toutes ces questions méritaient une réponse et je ne désirais pas attendre notre prochaine rencontre pour les obtenir.

— Si tu venais dîner chez moi ?

— Pourquoi pas ! Oui ! Juste dîner ?

— On verra, lui répondis-je en souriant.

Elle se haussa sur la pointe des pieds, me fit un rapide baiser avant de monter dans sa voiture.

— Vas-y ! Je te suis.

***

Quelques heures plus tard, mes questions avaient eu leurs réponses. J’avais improvisé un repas relativement simple. Mais nous n’étions pas là pour un repas gastronomique. Cependant nous avions beaucoup parlé, enfin surtout elle. J’appris que cela faisait dix ans qu’elle s’était séparée du père de ses filles et qu’elle avait eu quelques histoires qui s’étaient toutes mal finies. Ce soir-là, je ne lui posais pas plus de questions surtout que rapidement nous nous sommes retrouvés dans la chambre.

Si son pantalon et sa veste n’étaient pas particulièrement sexy, elle avait tout misé sur ses dessous : un string et un soutien gorge de dentelle bleu pâle. Je lui ai dégrafé son soutien gorge, dévoilant ainsi la peau pâle parsemée de tache de rousseurs de ses seins dont les tétons pointaient, couronnant chacun une petite pomme. Je la déposais sur le lit pour embrasser sa peau, insistant sur ces pointes en les mordillant doucement. Quand ma bouche arriva sous son nombril, je fis glisser son string et posais mes lèvres sur son pubis lisse.

Je sortis ma langue pour me délecter de cette fente impatiente d’être dégustée. Je la passais dans tous les replis de la chatte d’Anne-Lise. Je l’entendais soupirer. Elle me caressait la tête. Je faisais durer cette caresse, appréciant l’absence de poils. Son clitoris gonflait un peu, le pris entre mes lèvres, jouait avec lui. Elle mouillait de plus en plus. Elle plaquait ma tête pour que je continue de lui faire du bien, mais je voulais rester le maître du jeu. Je me relevai. Elle me regarda, déçue. Dressé au-dessus de mon amante, appuyé sur mes mains de chaque côté de sa tête, je lui souris. Mon sexe était dressé, raide, gonflé a son maximum et mon gland décalotté par lequel s’écoulait le pré-éjaculat était prêt pour conquérir son intimité. Je répondis à son mouvement de hanche en la pénétrant d’un coup. J’entrais dans son ventre comme dans du beurre. Elle feulait. Sa chatte était accueillante et souple. Elle avait eu deux enfants, comme Carole, mais elle était même beaucoup plus détendue que Christelle. Anne-Lise m’en donna la raison quelques semaines plus tard.

Pour le moment, je la ramonais avec ardeur. Ses cuisses étaient repliées sur son ventre, ses jambes sur mes épaules. Ce n’était plus la petite professeure de philosophie réservée, toujours bien apprêtée devant ses collègues et ses élèves, ni même la fidèle paroissienne qui accompagnait ses filles à la messe dominicale. Je faisais l’amour à une femelle en chaleur, une femelle en manque de sexe. C’était un accouplement animal, bestial. Je la défonçais et elle aimait cela. La chambre était remplie par le son des clapotis de mon pieu allant et venant dans la moule inondée du jus d’Anne-Lise. Elle cherchait son plaisir, je cherchais le mien. Finalement, nos égoïsmes furent payants. Nous avons joui ensemble. Je me vidais dans un vagin qui n’attendait que cela.

Anne-Lise tremblait de tout son corps. Je reprenais mon souffle, allongé sur elle. Mon membre reprenant lentement sa taille de repos sortait lentement du sexe de la petite rousse.

— Hummmm… Non… Reste…

Je ne voulais pas la décevoir, mais je ne pouvais pas lutter contre la nature. Je ne disais rien, mon visage dans le creux de son épaule, je me repaissais de son odeur.

— Tu es lourd…

Pour la soulager, je me mis sur le dos, en l’entraînant avec moi. Nous nous sommes endormis dans cette position.

***

Au matin, elle m’a fait une surprise au réveil. J’étais encore dans un demi-sommeil quand je sentis la bouche d’Anne-Lise se refermer autour de ma queue. Elle me prodiguait une fellation matinale des plus agréables. En soulevant la couette, je pouvais voir sa chevelure châtain-roux monter et descendre sur mon ventre. Je fus déçu et frustré quand elle se retira au moment où mon plaisir jaillit. Elle se releva et vint m’embrasser.

— Merci ! lui dis-je en l’embrassant.

— C’est normal, me dit-elle avant de se lever pour aller chercher un mouchoir pour m’essuyer le ventre.

Je la regardais se promener nue dans la maison. Elle avait vraiment un corps fait pour l’amour me disais-je. Quand elle marchait, j’avais l’impression de voir une danseuse se déplacer.

Elle enfila juste son pull et son string pour prendre le café avant de rentrer chez elle. Elle voulait prendre une douche et se changer avant d’aller à la messe, comme elle le faisait tous les dimanches matin.