mercredi 9 avril 2025

Chantage à la Campagne -12-

 

 

Je me change pour enfiler le costume que Bernard me propose. Quand je me regarde dans un miroir, avec le masque et le chapeau, je suis totalement méconnaissable. 

Je retrouve Marie-Catherine qui grimace dans ses liens. La position qui lui est imposée n’est pas très confortable. Tout est prêt pour sa punition.

Sophie est là première à se connecter. Elle m'apparaît sur l'écran en string, soutien gorge et porte-jarretelles rouge qui retiennent des bas résilles noir. Je suppose que c'est une suggestion de Bernard, c'est la première fois que je la vois dans une tenue aussi provocante, voire vulgaire. Je remarque qu'elle s'est maquillée outrageusement. Bernard lui aurait-il ajouté d'autres exigences par rapport à son ordre précédent ?

Quand elle découvre Marie-Catherine, elle a un mouvement de recul. Je me demande ce qu'elle peut ressentir en voyant sa voisine et amie dans cette position. Elle n'a jamais été attachée et encore moins battue. Quelle va être sa réaction à la punition ?

Je me place à côté de Marie-Catherine, un fouet enroulé à la main.

Ma femme se recule en me découvrant, elle semble terrorisée. Je sais qu'elle ne peut pas me reconnaître. Serait-ce le fouet, la vision de ce justicier masqué, autre chose ? Je ne sais pas.

Le maire rapidement suivi par Jacquelin se connectent à leur tour. Cette fois-ci, ce n'est plus seulement Sophie qui tremble mais Marie-Catherine aussi.

— Madame, Monsieur, je suis ravi de vous voir. Je vous avais promis une surprise, la voici ! J'espère que vous l'apprécierez.

— Cela commence par une vision agréable, répond le maire.

— Tout à fait d’accord, confirme Jacqueline.

— Mais pourquoi cette femme est-elle attachée ainsi ? demande le Maire.

— Elle va vous le dire. Mais avant de commencer, j’aimerai savoir qui est la charmante pute qui nous offre une si belle vision de ses charmes ?

Je vois Sophie indécise. Elle ne sait que répondre.

— N'est-ce pas Sophie, la femme de Monsieur Berlon à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession, dit Jacqueline. Pauvre homme, si gentil ! Sait-il que sa femme est une traînée qui aime sucer des bites de nègres ?

— Jacqueline, surveille tes mots, si l'opposition t'entendait !

— C'est pourtant vrai ! Ce matin, elle a avalé avec gourmandise le bite de Bona.

Je vois le visage de ma femme se décomposer, elle ne pouvait pas nier l'évidence. J'avais vu la vidéo de sa prestation matinale.

— Est-ce vrai Madame Berlon, ou doit-on plutôt vous appeler “pute à blacks” ?

— Oooh… Nooon… Pas pute à blakcs…

— Est ce vrai ? Avez vous aimez sucer la bite d’un homme qui n'est pas votre mari ?

Je la vois baisser la tête et murmurer un “oui”.

— Je n'ai pas entendu !

— Oui, Monsieur ! C'est vrai !

— Qu'est ce qui est vrai ?

— Que j’ai…

— Oui, faite quoi ? Dites-le !

— Sucé… 

— Répétez bien, dites-nous tout !

En tremblant, Sophie nous répète : “j'ai sucé la bite d’un autre homme que mon mari et avalé son foutre !”

— Ne devriez-vous pas plutôt nous dire : "j'ai aimé sucer la bite d'un autre homme que mon mari !"

— Si Monsieur !

— Alors dites-le, clairement !

Au bord des larmes, elle nous dit clairement qu'elle a aimé sucer la bite et avaler le foutre de Boniface.

Jacqueline ajoute avec perversité que ma femme aussi a accepté de la lécher pendant que le maire la baisait.

— Vous êtes donc une salope ! N'est ce pas comme cela que l'on appele les femmes qui font cela dans le dos de leur mari ?

— Oui Monsieur, je suis une salope, une pute, une chienne…

— Bien, c'est bien que tu le reconnaisses !

Je regarde alors le maire, Jacqueline sur l'écran ainsi que Bernard invisible pour les connectés.

— Je pense que cette pute aurait sa place ici aussi pour être punie, ne le pensez-vous pas ?

— Vous avez bien raison Monsieur Zorro, répond le maire, un sourire vicieux aux lèvres.

— Mais pour le moment, je suis ici pour en punir une autre. Ma salope dis-leur pourquoi tu dois être punie !

***

Marie-Catherine explique en reniflant que sa punition est due à son refus d'obéir à un ordre de son maître. Le maire et Jacqueline approuvent et lui demandent quelle sera sa punition.

— Mon maître m'a promis vingt coups de ceinture sur mes fesses et dix coups sur ma poitrine !

— Très bien ma Salope. Mais j'ai une autre idée. Tu vois ce cintre avec ce sac accroché ?

— Oui Maître !

— Sais tu ce qu'il contient ?

— Non Maître !

— Devine, ma Salope !

— Je ne sais pas Maître… 

— Tes vêtements souillés par la pisse…

Je vois Marie-Catherine baisser les yeux, honteuse.

— Monsieur le Maire, Jacqueline ! Je vous propose de remplacer les coups de ceinture sur la poitrine par ce cintre !

— Comment cela Monsieur Zorro ? Demande le Maire.

— Je vais fixer le cintre avec ces pinces sur ses tétons et accrocher le sac avec les vêtements. Qu'en pensez vous ?

— Excellente idée ! Dit Jacqueline.

—J'approuve ! Complète le Maire.

— Bien ! Qu'en penses-tu ma Salope ?

— Vous êtes le maître ! Vous décidez !

— Vous voyez Madame Berlon, comment une salope doit se comporter !

— Oui… oui… dit Sophie tétanisée devant son écran.

Je fixe le cintre sur les nichons de Marie-Catherine qui grimace. Puis, je retire ma ceinture et vient caresser le visage de ma soumise avec.

— Aïe ! Aie ! Ouille ! Ça fait mal maître !

— Tu es prête, dis-je sans me préoccuper de ses plaintes.

— Mon dieu ! Snif Oui maître !

Je lève mon bras et j’abats le premier coup sur la croupe de Marie-Catherine qui couine et se tortille dans ses entraves.

— Compte !

— Ça fait trop mal maître. Pardon, je ne désobéirai plus… Ouuuiiille ! Je… je ferai tout ! Ooouuillle ! Tout ce que vous voulez...  UN !

En lui infligeant le deuxième coup sur l’autre fesse, je lui dis alors que je serai indulgent et qu’elle n’aura que dix coups au lieu des vingt prévus.

— Oooh… Ouille ! Mer… merci mai… maître !

— TROIS !

— Dix sur la fesse droite et dix sur la fesse gauche.

— Ooooh noon ! Sal… snif ! Oui maître !

— Et c'est toi qui va me dire quelle fesse va recevoir le coup !

— Ooooh ! Gauche, hhaaïïle !

Je vise la fesse gauche, la marquant une deuxième fois. 

— QUATRE ! Dro… droite ! Ou… ouille ! CINQ !

Les coups se suivent en fonction des choix de la pauvre septuagénaire lui martyrisant son postérieur fripé. Après le dernier coup, je regarde ces fesses bien rouges et j'approche la caméra pour qu’elles soient bien exposées aux voyeurs. Après avoir demandé à Marie-Catherine de se présenter à ses voyeurs, je regarde Bernard pour avoir son approbation. Sans un mot pour ne pas révéler sa présence, il lève son pouce. Il trouve assez rigolo que le maire pense découvrir une chose sans que le mari le sache. Devant l’hésitation de ma soumise, je lui présente à nouveau la ceinture.

— Dépêche- toi ma Salope, ou tu vas avoir droit à dix coups de plus.

— Noooon ! Maître, je vous en prie, pas devant Monsieur le maire.

— Madame Berlon te connaît peut-être ? Peut-être que je vais lui demander de dire qui tu es ?

— Ooh non ! Non, je… je va… vais le dire !

— Dis nous qui tu es Salope ! dit Jacqueline, excitée. 

— Ooh mon dieu ! Snif ! Je… Je suis Madame Mazière Marie-Catherine !

— Pas possible ! dit le maire.  La femme de Bernard ! La grenouille de bénitier ? Et il est au courant ?

— Non… non…  S’il vous plaît !

— C’est une salope comme madame Berlon, qui fait ça dans le dos de son mari, dit Jacqueline de plus en plus excitée. Et que peut nous dire d’autre cette vieille Madame Mazière ?

Je caresse les fesses endolories de Marie-Catherine et je lui dis de nous dire ce qu'elle est. En glissant un doigt entre ses cuisses, je sens qu’elle mouille. Cette situation l’excite mais pour le moment je garde cette information pour moi.

— Je suis une sa… salope, une chienne, bafouille-t-elle face à la caméra.

A ma grande surprise, Jacqueline s’adresse à Sophie :

— Quand ton mari va rentrer du travail, tu vas l’accueillir dans cette tenue et tu nous feras une photo pour nous le prouver… Une photo que tu donneras nue à Bona qui viendra la chercher chez vous, discrètement.

Sophie blêmit, se demandant comment elle allait expliquer cela à son mari. Cette vision m’amuse et m’excite alors que je sens que Marie-Catherine n’en peut plus d’être suspendue les tétons étirés douloureux et le fessier en feu.

— Monsieur le Maire, je vais enculer cette salope qui mouille comme une pute !

Le maire en est tout excité et me dit qu’il a bien envie de voir cela. Sur l’écran, je vois Jacqueline disparaître, mais en voyant le visage du maire, je comprends ce qu’elle est en train de lui faire

— Veux-tu que je t’encule ma salope ?

— si vous voulez, maître !

— Demande-le alors ! 

— Maître, s’il vous plaît, enculez-moi !

— Qui dois-je enculer ?

— Enculez votre chienne, maître !

Je dégrafe mon pantalon et j’attrape ses hanches, dans son dos, elle peut sentir mon sexe raide. Je pénètre dans sa chatte trempée et le coït commence, agitant les seins, ravivant la douleur des tétons violés. Après quelques aller et retours, je sors du vieux vagin souple et présente mon gland devant l’anus fripé, sous les applaudissements du maire.

— Tu vas t’empaler toute seule et commenter pour les spectateurs !

— Oooh, mon Dieu… J’ai… J’ai le petit trou perforé et je pousse pour augmenter son… Haaa, intro… Houu, mission qui… Ahh, me dilate. J’ai mal aux seins. Je force pour que l’enculage soit pr… Hhha, fond. Je bouge du bassin ce que torture mes mamelles.

Je prends le cintre et tire d’un coup. Elle hurle sous la douleur horrible qu’elle ressent et dans un réflexe, elle recule son bassin ce qui fait enfoncer ma bite qui la perfore encore plus profondément. Je commence à jouer avec ses tétons en les faisant rouler entre mes doigts. Je constate que le maire apprécie ce spectacle ce qui lui fait prendre du retard sur son prochain rendez-vous. Mais, il ne veut rien rater du spectacle pendant que sa secrétaire le suce.

Je ne me retiens pas et par une curieuse coïncidence, le maire, Marie-Catherine et moi, jouissons ensemble.

— Zorro devrait m’amener Marie-Catherine quand son mari n’est pas là pour que je me m’amuse dans son dos… Mais excusez-moi, j’ai un rendez-vous, dit le maire en coupant la visio.

Je libère Marie-Catherine qui est plus ou moins inconsciente et avec l’aide de Bernard, nous la déposons sur un canapé pour qu’elle récupère.

***

Bernard s’adresse alors à Sophie.

— Tu as compris ?

— Oui… oui… Mais comment vais-je faire pour qu’Hervé ne sache rien ?

— C’est ton problème, épuise-le qu’il s’endorme. En tout cas merci de n’avoir rien dit petit pute, quant à ma présence. On ne pourra que mieux s’amuser dans les quiproquos je ne sais rien mais je dirais tout c’est follement amusant de ne pas savoir qui est le chat et qui est la souris 

— Oui maître !

Après avoir coupé les deux compères s’amusent et gambergent sur tout ce que cela ouvre comme opportunité d’excitation. Bernard dit à Hervé que Zorro pourrait peut-être changer de bonhomme pour Sophie ?

— Exactement à qui penses-tu ?

— Ben moi ! Sauf si tu veux quelqu’un d’autre ?

— Au contraire, c’est parfait, tu veux aller la voir ce soir ?

— Non, il faut que je m’occupe de mon épouse en piteux état. Je vais lui faire une magnifique minette pour la réconforter quand elle se réveillera.

— Je compte sur toi.

J’envoie alors un message à Sophie pour lui dire que je ne vais pas tarder à arriver.

— Ça va aller avec Marie-Catherine, je n’y ai pas été trop fort ? dis-je, un peu inquiet malgré tout de la voir dans cet état là.

— Un peu ! La pauvre n’a plus vingt ans. Elle va avoir des courbatures quelques jours mais elle se remettra et elle comme moi préférons l’exhibition humiliante même si un peu de sévérité ne peut nuire.

— Promis, je ne lui ferais plus subir cela. Mais pour Sophie, je te rappelle qu'es-tu peux y aller ! Aussi loin que tu veux.

— Si ça te dit, je la ferai bien sucer un chien !

— Pas sur qu’elle accepte… et je ne connais personne qui ait des chiens dressés pour cela. 

– Si elle ne veut pas être sur les panneaux lumineux de la ville, elle devrait accepter et même se faire enculer par un danois…. Je sais que le maire fraie dans ces milieux glauques. Je devrais trouver ça avec son accord. D’autant qu’il appréciera beaucoup me faire cocu et qu’ainsi, pervers comme il est, il m’aidera.

— Il faudra que Zorro lui présente Marie-Catherine…

— Oui ou qu’elle y aille d’elle-même sur tes ordres sous la pression d’un chantage illusoire du maire se croyant maître du jeu.

— Pour son association… y aller avec Sophie ?

— Oui ou non ou autre raison. Il ne faut pas que l’on perde la main. A demain… pardon à deux mains !

— A deux mains cher ami… Donne moi des nouvelles de Marie-Catherine.

— Je te tiens au courant.