vendredi 25 avril 2025

Chantage à la Campagne -13-

 

Quand je rentre, satisfait de la prestation de ma voisine soumise et de ma discussion avec Bernard, je découvre ma femme en plein travail. Il est clair que la visio l’à troublée.

Elle a mis son peignoir en soie jaune sur ses sous-vêtements.

— Bonsoir ma chérie, je viens de rentrer. J’ai eu une journée éprouvante, dis-je depuis l’entrée. Et toi, ta journée ?

— Heu… le train-train habituel ! me dit-elle du rose au joues.

— Mais… tu as travaillé comme ça ? Dans cette tenue avec ce maquillage ? lui dis-je, feignant de découvrir sa tenue et son maquillage outrancier.

— Oh non ! C’est… c’est pour t’attendre et te plaire tu n’aimes pas ?

Elle prend l’air déçu en voyant mon visage étonné, ma surprise et mon incrédulité de la découvrir dans une telle tenue.

— Tu sais après les gendarmes et la mairie, j’ai besoin de décompresser et je t’aime et j’ai envie de toi !

— Oh si j’aime… mais je ne savais pas que tu aimais ce genre de sous-vêtements !

— C’est parce que tu es un homme bon et généreux que tu ne fouilles pas dans ma commode mais j’avais commandé sur Amazon pour te faire plaisir.

— Oui c’est vrai, peut-être que je devrais fouiller un peu plus… qu’est ce que je trouverais ? Oui ça me fait plaisir… Vraiment très plaisir !

— Ne perd pas ton temps et vient m’embrasser ! dit-elle en faisant glisser son peignoir.

Je m’approche d’elle pour la serrer contre moi.

— Tu sais que tu me donnes envie…

— Aimes-tu mon apparence ? J’ai lu dans une revue féminine qu’il fallait oser la provoc pour plaire à son homme !

— Et là, tu es très provocante… très pute…

— Heu… ho oui, enfin je crois. Tu voudrais plus ou c’est trop ?

— Je ne sais pas ma chérie… tu aimerais faire plus ?

Je me demande jusqu'où elle oserait aller pour moi, mais je ne sais pas comment le lui demander sans éveiller ses soupçons.

— Pour te plaire et te garder parce que j’ai vu que tu louchais sur Marie-Catherine, je peux essayer de faire plus. Si tu me le demande mon amour.

— Tu sais même avec vingt kilos de plus, tu me plairas toujours… mais tu oserais faire plus que Marie-Catherine ? Il te faudra peut-être lui demander des conseils, car je crois qu’elle était à ton âge bien plus provocante.

— Faire plus que Marie-Catherine ? me dit-elle en rougissant ne pouvant avouer ce qu’elle a vu pendant la visio. Je ne vois pas ce que tu veux dire : que fait-elle que je n’ai pas vu et qui à l’air de te plaire ? Je t’en prie ne t’entiche pas d’elle ! Je ne supporterai pas ! Que veux-tu que je fasse ?

— Tu as vu ses tenues l’autre jour, et ses maillots ? Et j’ai entendu dire, mais ce ne sont que des rumeurs qu’avec Bernard, ils fréquentaient des clubs libertins ! Tu oserais ?

— Non, quand même pas, mais je ne crois pas ces qu’en dira-t-on, quant aux maillots tu parles des miens qui étaient trop grands pour elle ?

— Moi non plus, rassure-toi, lui dis-je. Je ne crois pas aux rumeurs. Et pour le maillot, c'est de celui qu’elle t'avait prêté…

— Ah oui ! Mais, c’était un vieux maillot de bain aux élastiques fatigués, je crois.

— Tu irais à la plage avec ?

— Si tu me le demandais, oui ! Mais j’aurai honte !

— Et si demain, tu allais avec Marie-Catherine pour renouveler ta garde robe. J’ai eu une prime !

Tout en parlant, je lui caresse le dos et les fesses. Mon sexe durcit contre son ventre. Elle doit le sentir car pour éviter de me répondre, elle colle sa bouche ouverte sur mes lèvres avec une langue chercheuse. Je ferme les yeux, mes doigts glissent entre ses fesses.

— J’ai envie de toi… là, dans ton bureau.

— Oui ! Baise-moi !

— En levrette, comme une pute ?

— Oui si tu y tiens !

— Non, dis-moi ce que tu as envie !

— Si ça te plait encule-moi comme une… une… une pu… pute !

Même si je suis au courant ce qu’elle a fait dans la journée, ces mots me surprennent. Je ne m’attendais pas à les entendre de sa bouche. Du moins, pas pour me demander ce genre de chose.

— Écarte le string alors ! Et tes fesses !

— Et si je le retire ?

— Oui ce sera mieux !

— Et le soutien gorge aussi, non ? Tu pourras jouer avec mes seins !

— Euh ! Oui, bien sûr !

— Voilà ! Encule-moi maintenant comme une salope !

Je présente mon gland devant son petit trou. J’hésite un peu.

— Tu es sûre ma chérie ? Tu n’aimes pas trop d’habitude !

— Oui, vas-y ! Tout pour te garder, Encule-moi mon chéri, s’il te plait !

Je rentre ma queue d’un coup, sa rondelle résiste à peine, je l’entends gémir.

— Houuuu… ou… oui ! Ha ! Encore ! Ça te plait mon amour ?

Je commence à la ramoner, je presse ses gros seins dans mes mains. Je la baise ou plutôt je l’encule comme une pute et plus comme ma femme chérie. Mon ventre claque contre ses fesses.

— Oh oui ça me plait… je ne vais pas pouvoir me retenir… 

Sophie pense surtout en subissant cette violente pénétration peu habituelle, qu’elle doit épuiser son mari pour donner la photo au gardien, ne sachant pas comment la prendre.

— Oui… Ho oui ! Vas- à fond ! C’est bon ! C’est bon ! Il faudrait immortaliser ça ! C’est la première fois que je vais vraiment jouir du cul. Prends-nous en photo avec mon appareil !

— Tu aimes ?

— Oooh ouiiiii !!!! Je vais jouir !

Je prends son téléphone en voyant le dernier message de Bernard. Sans rien dire, je prends la photo en me demandant si elle a vu que ce message apparaissait.

— Je jouiiiis mon amour ! C’est trop bon ! Pourquoi ai-je rechigné avant ? Vide-toi dans mes entrailles, chéri !

Je me vide complètement dans son cul. Puis, je me recule, le sexe couvert de sperme.

— Oh oui ! c’est bon… on recommencera ?

Sophie, pour continuer de m’épuiser, prend en bouche mon vit maculé et cherche à lui redonner de la vigueur.

— C’est sale ma chérie, laisse-moi aller me laver avant…

— Venant de toi, rien n’est sale, mon amour ! Je suis tellement dans le bonheur. Laisse-moi te faire jouir dans ma bouche, mon amour !

— Oui, ma chérie, on va commander de quoi manger… je suis épuisé.

— Laisse-moi te finir en bouche. Je te sens durcir un peu, je veux ta liqueur dans ma gorge. 

— Oui vas-y…

Loin d’une érection d’enfer, le sexe arrive par sortir un reliquat de semence dans la bouche de ma pauvre femme qui se sent avilie mais aussi de manière incompréhensible, heureuse. Je finis de vider le peu de restes dans sa bouche, je suis affalé sur le canapé. Je fais celui qui est fatigué, épuisé.

Elle se remet de cette situation rocambolesque en regardant son mari qui s’est assoupi. Elle regarde la photo sur son smartphone, constatant qu’elle devrait satisfaire ses tortionnaires. Elle attend le gardien sans se rhabiller, le guettant par la fenêtre. Quand elle voit sa voiture, pour éviter qu’il ne sonne, elle entrouvre la porte, cachant sa nudité derrière le battant. Monsieur Bonaventure la regarde à deux mètres de la porte, sur le grand perron.

— Tu as quelque chose pour moi ! Tu m’envois ta photo à ce numéro, salope ! Et ne reste pas derrière ta porte. Approche un peu !

Effrayée, elle ouvre la porte, scrutant, gênée, les alentours tout en envoyant la photo au numéro que lui donne le black. Cela ne dure pas longtemps, mais elle a l’impression que cela dure une éternité. Quand le clic d’un message “arrivé” se fait entendre dans le smartphone du gardien, il lui dit avant de tourner les talons.

— Ok ! Tu restes là jusqu'à ce que tu ne vois plus la voiture.

Elle est effrayée, elle est nue hormis son porte-jarretelles et ses bas. Elle voit enfin la voiture disparaître au tournant. Elle se sent pire qu'une pute, exposée au public dans ces vitrines du quartier rouge d'Amsterdam. Mais cette pensée la fait mouiller. Qu'est-elle en train de devenir ? Elle rentre prestement et enfile son peignoir

— Qui était-ce ? lui demandé-je, alors que je fais celui qui est dans le cirage.

— Heu… Des témoins de Jéhovah !

— Tu as dû les effrayer dans cette tenue ma chérie.

— Derrière la porte avec mon peignoir et je les ai vite chassés ! C’est une secte !

— Je sais, une secte de cul bénis et de mal baisées…

Je la vois rougir, n'osant rien me dire. 

— Mais, dis-moi ! Tu parles souvent de maquillage avec Bernard ?

— Heu hein ? Pourquoi dis-tu ça ? Surprise par ce qu’elle n’a pas vu le dernier message.

— Ton téléphone… Ton téléphone, donne-le-moi, je vais te montrer…

Elle reste scotchée, tétanisée, craignant qu’Hervé ne découvre tous les messages qu’elle n’a pas bêtement effacés

— Ben alors ? dis-je en tendant la main.

Je lui souris, naïvement.

— Je veux juste voir si j'ai bien lu ou si j'ai rêvé… Je peux aussi demander à Bernard de venir ?

— Mais, je ne comprends pas ! Que veux-tu dire que vas-tu imaginer ? je… je… ??

— Mais rien ma chérie… mais ta tenue, ton comportement… r

— Ça ne t’a pas plu ! Je le savais ! Tu veux te faire Marie-Catherine, vous avez une liaison c’est sûr ! Rien ne sert d’inventer des histoires sur moi pour cacher votre aventure ! Je te déteste ! J’ai fait de gros efforts pour te plaire et tu me soupçonnes d’histoire sans fondement. Je te hais ! crie-t-elle en tombant en pleurs.

— Si tu n'as rien à te reprocher, je peux appeler Bernard alors ? Et je t'assure ma chérie que je n'aime que toi… Et même si tu avais une aventure avec Bernard, je ne t'en voudrais pas. Je sais que je suis très souvent absent, je rentre tard… je ne m'occupe pas assez de toi… et Bernard… 

— C’est ça ! Snif ! Appelle Bernard si tu veux…

— Je préfère que tu me dises la vérité…

— Je ne peux plus entendre ça ! Je fais ma valise ! Tu es ignoble ! Inventer des histoires avec le voisin pour cacher tes coucheries avec sa femme ! C’est ignoble ! Je fais ma valise…

— Je t'assure que même si tu as une liaison avec le voisin, je ne t'en veux pas… 

— Ça te plairait, pour excuser ta liaison. Mais non, moi je ne prends pas Bernard comme amant contrairement à toi qui file la parfaite baise avec cette vieille salope de Marie-Catherine…

— Alors qui ? Car tu as facilement accepté ma bite dans ton cul ! Que voulais-tu cacher ?

— Je m’en vais tu es malade !

— Tu m'accuses sans fondement ! Moi, j'ai vu un message de Bernard sur ton téléphone.

***

Elle refuse de discuter, monte dans sa chambre, s'habille et s’en va ne pouvant plus supporter cette situation inextricable. Sa vie est foutue pense-t-elle. Elle veut partir, en finir. C’est horrible. Rapidement habillée avec un pull et un jean, avec une petite valise, elle s’enfuit laissant son mari comme un con ne comprenant rien à rien alors qu'il n’a même pas su la protéger de tous les prédateurs qui trainent comme ces salauds de voisins pervers. En larmes, elle prend sa voiture et s’enfuit.

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