dimanche 27 avril 2025

Erika : Dresseuse de Couples -17- Un Beau Petit Couple

 

Marguerite est sur le point de s’habiller pour partir au lycée quand son téléphone vibre, un message d’Erika. En le lisant, elle est surprise l

Ma grosse vache ! Aujourd’hui, tu vas au lycée sans culotte sous ta jupe et tu m'envoies une photo de ta grosse chatte et de ton visage sur la même photo ; et cela toutes les heures. À midi je veux aussi une photo de Petite Salope en train de te lécher la chatte ! Maîtresse Erika”

Aller au lycée sans culotte, se prendre en photo c'est réalisable, mais se faire lécher par Florence ! Comment le lui demander ! C’est impossible ! Elle n'est pas digne de Maîtresse Erika, pense-t-elle.

Malgré cette pensée, elle enfile sa robe sans mettre de culotte et se contorsionne un peu pour envoyer la photo exigée par Erika.

***

Au lycée, Marguerite s'approche de Florence, gênée. Elle n'arrive pas à lui parler, lui demander ce qu'Erika désire. Les mots ne sortent pas. C'est Florence qui va débloquer la situation.

— Tu as quelque chose à me demander de la part d'une amie commune, n’est-ce pas ? J'ai été prévenue !

— Euh oui mais c'est délicat.

— Dis-moi !

— Ben voilà, elle veut une photo de nous deux…

— Ben c’est simple ! On va la lui faire ! Allez viens à côté de moi !

— Ce n’est pas si simple, bafouille Marguerite. Elle veut une photo où tu es à genoux entre mes cuisses en train de me lécher la chatte.

— Elle est folle ! Comment peut-on faire cela au lycée ?

— Je ne sais pas…

— On trouvera, ne t'inquiète pas, lui dit Florence en tentant de rassurer son amie. Mais pour le moment, prends la photo de ta chatte, ou… veux-tu que je la prenne ?

— Non merci, ça va aller. Je vais me rendre aux toilettes.

Florence regarde Marguerite se diriger vers les toilettes des professeurs. Cette situation l'excite. Elle en aurait mouillé son string si elle en portait un. Si Marguerite connaissait la consigne qu’elle a reçue d’Erika… : ne porter aucun sous-vêtement, aller ainsi cul nu et seins libérés, mais surtout lui envoyer une photo d’elle nue dans une classe, debout au tableau. Florence sait maintenant comment le faire, elle demande à Marguerite de prendre cette photo.

Marguerite envoie la photo à Erika qui lui répond que c'est bien mais que la prochaine, elle la veut dans la salle de classe.

Pendant ses heures de cours, elle est troublée, et ses élèves le remarquent et tentent plusieurs fois de profiter de sa faiblesse pour organiser des chahuts qu'elle réussit à maîtriser tant bien que mal, non sans avoir plusieurs fois entendu son sobriquet fuser de voix non identifiable.

L'heure du déjeuner approche et elle n'a toujours pas réussi à trouver comment réaliser la photo avec Florence. C’est alors qu'elle remarque qu'elle est toujours dans une salle équipée de vieux et imposants bureaux de bois complètement fermés. Voyant une issue à sa situation difficile, elle envoie alors un message à Florence pour lui demander de la rejoindre en salle 313.

***

— Regarde ! dit Marguerite à Florence en lui montrant le bureau.

— Non ! Tu n’y penses pas quand même. Florence avait de suite compris à quoi pensait Marguerite.

— Tu as une meilleure idée ?

— Non, tu as sûrement raison, dit-elle sans conviction…

— Alors glisse-toi vite dessous !

Florence se met à genoux sous le bureau. Heureusement qu'elle n'est pas très grande. Marguerite vérifie que sa collègue est totalement cachée au cas où quelqu’un ferait irruption dans la classe puis elle vient s’asseoir en écartant ses cuisses et relève le devant de sa robe.

— Allez vas-y ! dit-elle en prenant son téléphone. Dépêche-toi ! L’interclasse va bientôt finir.

Florence a le nez dans la toison brune hirsute et la tête immobilisée entre les grosses cuisses pleines de cellulite. Elle sent la forte odeur intime de Marguerite et sort sa langue.

Marguerite prend une photo sur laquelle on voit bien la langue de Florence passer entre ses poils. Elle pousse un petit gémissement et remue un peu son bassin. Elle a toujours aimé les cunnilingus mais c’est la première fois qu'une femme le lui fait, elle veut en profiter un peu.

Ce petit temps de bien-être pris par Marguerite est fatal à Florence. La sonnerie annonçant la fin de la pause retentit et les premiers élèves s’agglutinent à la porte. Heureusement, elle n'a pas de cours à cette heure-ci, mais elle comprend qu'elle est condamnée à rester immobile sous le bureau pendant toute l'heure. Discrètement, Marguerite envoie la photo à Erika qui en accuse réception d'un simple : “Bien, ma grosse vache.”

L'heure semble interminable pour la petite professeure blonde. Son nez dans la toison de Marguerite, elle se dit qu'elle ne pourra plus rien sentir d'autre que l'odeur de la chatte de sa collègue. Plusieurs fois durant l’heure, Marguerite s’est levée pour écrire au tableau… mais à aucun moment elle n’a appelé un élève pour venir y écrire lui-même, de peut qu’il ne remarque Florence. Celle-ci pensait à Erika, à l’ordre qu’elle lui avait donné. Puis alternativement elle pensait à cette situation incroyable : recroquevillée, enfermée pour que Marguerite puisse réaliser son ordre ! Au fur et à mesure du temps, elle commençait à récriminer au fond d’elle-même vis-à-vis de Marguerite. Elle aurait pu faire plus vite !

Quand la fin du cours retentit, Florence a dû attendre le feu vert de Marguerite pour sortir de sa cachette. Elle se redresse toute ankylosée en lui jetant un regard assez sombre. Les remerciements appuyés de sa collègue n’ayant pas effacé totalement son mécontentement.

Dans le couloir en direction de la salle des professeurs, elles croisent Barbara, la proviseure. Celle-ci les salue poliment en leur souhaitant un bon appétit. Si cette dame, si coincée, pleine de principes, savait ce que ses deux meilleures enseignantes viennent de faire, elle en aurait une crise d’apoplexie.

A une interclasse de l'après-midi, Florence va voir Marguerite dans sa classe et lui avoue la consigne d'Erika. Le soir, avant de partir, elles s’assurent que plus personne n’est là, y compris les femmes de ménage et, après avoir fermé la porte de l’étage et de la classe, pour plus de sécurité. Florence se met nue, avec une certaine appréhension, vu les circonstances. Marguerite peut alors prendre la photo d’elle devant le tableau, toute suintante entre ses cuisses car cela l'excite particulièrement. Marguerite est tellement heureuse, elle a enfin ressenti un certain pouvoir sur Florence.

***

Dans la soirée, Marguerite reçoit un message d'Erika : “Tu marques des points, je suis satisfaite. Continue de respecter mes consignes.”

Ce message remplit Marguerite de fierté, elle pense pouvoir rejoindre le niveau de Florence sur le curseur d’Erika. Les jours suivants, Marguerite attend avec impatience le message matinal d'Erika. Les ordres à exécuter sont plus simples à réaliser mais non moins troublants.

Un jour, elle reçoit un message inattendu : “Organise un dîner chez toi avec ton mari”

Quand elle l'annonce à Clément, celui-ci est ravi. Il va pouvoir faire profiter de ses talents culinaires à cette Erika dont sa femme lui dit le plus grand bien.

***

Le soir tant attendu est là. Clément a mis les petits plats dans les grands, Marguerite est nerveuse. Elle ouvre la porte de leur modeste appartement à Erika, vêtue de sa jupe et de sa veste de cuir noir avec juste un soutien-gorge dessous et de ses bottes à talons.

— Tu m’as dit que Clément collectionne les cristaux !

— Oui Madame !

Erika sort un petit paquet de son sac et le tend à Clément qui vient de les rejoindre.

— Merci, dit-il en prenant le paquet. Il ne fallait pas.

— Cela me fait plaisir, vous le méritez, je vois.

— Oh merci Madame, comment puis-je vous remercier ?

Quand il a ouvert le paquet, il a découvert une superbe géode d’améthyste. En amateur, il en devine le prix, c’est un cadeau qu’il n'aurait jamais osé se faire, préférant mettre cette somme dans un objet utile au quotidien.

— Oh, simplement en venant vous asseoir avec moi et laisser Marguerite faire le service, n'est-ce pas Marguerite ?

— Oui Madame bien sûr.

— Bien Clément, je peux vous appeler Clément ?

— Oui évidemment !

Ils s’installent et commencent à discuter. Marguerite fait le service sous le regard attentif d’Erika. Elle écoute avec attention Clément lui parler de son métier, de sa passion pour les minéraux depuis qu'il est enfant. Marguerite aimait l'accompagner dans sa chasse aux pierres et c’est ainsi qu'ils se sont rapprochés, elle, la petite grosse méprisée par leurs camarades et lui le garçon solitaire, toujours le nez au sol.

Comme toujours Erika mémorise les informations qui lui sont données et quand Clément aborde son accident et la gêne résiduelle qui en découle.

— Venez à mon cabinet avec votre dossier médical ! Je verrais ce que je peux faire. C’est mon domaine de compétence.

— Oui merci !

Erika ouvre son agenda et lui annonce qu'elle a un créneau de libre le lendemain après-midi. Marguerite en devient jalouse mais un regard appuyé d’Erika lui fait comprendre qu'elle doit accepter cela.

***

Dans la salle d'attente, Clément baisse les yeux. Il est gêné par les regards en coin de la secrétaire. Il sait que son physique lui vaut souvent ce genre de regard de la part de femme qui ne comprennent pas comment un gars aussi séduisant peut être accompagné d'une femme comme Marguerite.

— Madame Karminka va vous recevoir bientôt ! Elle termine avec un patient.

— Oui bien sûr, je ne suis pas pressé.

Le patient sort, Clément croit reconnaître un joueur du FC Nantes, mais il s'intéresse trop peu à ce sport pour en être sûr. Quelques minutes plus tard, Erika apparaît à la porte du cabinet. Il reste incrédule.

Elle est devant lui en blouse blanche à mi–cuisses et apparemment, elle est nue en dessous. Même Maeva regarde sa patronne stupéfaite, que fait-elle ? Ce n'est pas son style.

— Entrez ! dit Erika à Clément qui se lève.

Quand il franchit la porte, il sent le parfum fruité de la doctoresse qui pose sa main sur son épaule. Il frissonne

— Voici tous mes dossiers, dit Clément en posant une épaisse pile de documents sur le bureau d'Erika.

Consciencieusement, elle les feuillette, les lit, fait quelques commentaires, parfois note un détail sur une feuille. D'où il est assis Clément peut voir la blouse s'écarter et dévoiler un soutien-gorge de dentelle noire et sur les cuisses, il voit le haut des bas d'Erika. Il lui est impossible de rester insensible à ces visions même s'il aime Marguerite plus que tout.

— Bien, je vais examiner cette hanche. Pouvez-vous vous mettre en caleçon ?

Erika s'amuse de la gêne de Clément quand il se déshabille en lui tournant le dos pour retarder le moment où il va devoir lui dévoiler son érection dans le boxer. Très gêné, Clément s'installe sur la table d'examen. Dans un faux mouvement volontaire, les pressions qui retiennent la blouse d'Erika cèdent et dévoilent au jeune homme la séduisante parure de la doctoresse. C'est est trop pour Clément qui ne peut plus maîtriser son érection qui tend le tissu.

— Belle pièce ! commente Erika qui fait celle pour qui cette situation est normale.

Elle commence à faire faire quelques mouvements à la cuisse de Clément pour tester la capacité de son articulation et régulièrement, elle vient caresser de ses doigt le membre de Clément qui serre les dents pour ne pas gémir.

— Je te fais mal ?

— Non, non pas du tout !

— Et là ? lui dit-elle en plaquant sa main sur la bosse.

— Oh non ! répond-il en se mordant la lèvre.

— Bien, alors pour bien voir le mouvement de ta hanche, j'aimerais que tu retires ton boxer.

Clément n'en peut plus, il est dans un état second. Il se met intégralement nu. Erika admire le sexe qui se dresse sous ses yeux. Décidément, quel gâchis ! Il en ferait des heureuses ce braquemart dressé. Délicatement, elle le prend entre ses doigts.

— Non Madame, s’il vous plaît ! Supplie Clément.

— Vraiment ? Tu veux que j'arrête !

— Non… euh ! Oui, s'il vous plaît !

— Tu veux que j'arrête ou tu veux plus ?

— Je veux… je veux… je veux plus, finit-il par craquer.

Erika se penche sur le bas ventre de Clément et le prend entre ses lèvres. De sa bouche expérimentée, elle le fait jouir rapidement. Elle avale tout et se relève en se léchant les lèvres.

— Eh bien, mon vieux ! Ça faisait longtemps que je n'en avais pas reçu autant d'un coup ! Ça fait combien de temps que vous n'avez pas baisé Marguerite et toi ! Un moment je suppose ! Tu me diras, je peux le comprendre, Marguerite est bien brave, mais ce n'est pas un prix de beauté.

— Trois semaines, un mois, Madame.

— Vraiment ?

— Oui je crois, vous savez je ne note pas cela sur le calendrier… mais que va dire Marguerite ! réalise-t-il d'un coup.

— Pourquoi le saurait-elle ? Avoue que tu as aimé !

— Oui bien sûr mais…

— Mais quoi ? Demande à Marguerite de te sucer… Tu sais, tu devrais le lui demander tous les jours !

— Elle ne va jamais vouloir, cela la dégoûte !

— Crois-moi ! Si tu le lui demandes ferment elle le fera !

— Vous croyez ?

— Oui bien sûr, fais-moi confiance, laisse-moi te guider et tu verras !

— D’accord je ferais ce que vous me dites.

— Très bien !

— Mais… pour ma hanche ?

— Ah oui, ta hanche ! Rien de méchant, je vais te prescrire un nouveau traitement que je donne au sportif de haut niveau et normalement dans un mois tu pourras marcher sans douleur !

— Merci Madame.

— Merci à toi ! Et je promets que si tu obéis bien à mes consignes, Marguerite ne te refusera plus rien…

Clément la regarde, sans vraiment y croire, mais après tout, il a tout à y gagner. Quand le jeune homme quitte le cabinet, Erika envoie un message à Marguerite.

***

Assise à son bureau, devant ses élèves, Marguerite entend son téléphone vibrer. Elle se retient de regarder, car elle se doute qu’il s’agit d’un message de Clément qui lui donne des informations après sa visite chez Erika. Les élèves ont interdiction d'avoir leur téléphone en cours. Elle ne peut donc pas montrer le mauvais exemple. Elle attendra la fin de l'heure.

Seule dans la classe, elle se penche vers son sac à main pour prendre son téléphone quand Florence entre.

— Florence que fais-tu là ?

— Je viens exécuter ma tâche.

— Laquelle ?

— Je dois à nouveau passer mon heure sans cours, le nez dans la chatte de Grosse Vache, comme me le demande Maîtresse Erika.

— Alors installe-toi Petite Salope !

Florence se glisse sous le bureau. Quand Marguerite s’installe, elle constate que la toison de son amie commence à envahir ses cuisses. Son odeur intime est plus forte, mélangée avec une odeur d'urine comme si elle ne s'était pas essuyée. Florence commence à lécher pendant que Marguerite prend la photo.

Elle peut enfin regarder son message.

Ma Grosse Vache, à partir de ce soir, tu passes tes soirées à genou devant Clément. Tu le suces et tu avales son sperme. Je veux une photo de toi en train de sucer et la bouche ouverte pleine de son sperme.”

— Ce n’est pas possible ! Je ne peux pas faire cela !

— Quoi donc ? demande Florence sous le bureau.

— Regarde ! Lis ! C’est dégoûtant !

— Mais non, c’est juste question d’habitude, tu verras !

— Beurk !

— Pour Maîtresse ! dit Florence.

— Oui, pour notre Maîtresse ! répond Marguerite.

Florence mordille alors le clitoris de Marguerite qui doit serrer les dents pour ne pas gémir alors que les premiers élèves entrent dans sa classe.

***

Le soir, après avoir fini la vaisselle, Marguerite vient dans le salon où Clément est assis devant un match de football. Elle ne sait pas comment lui demander de prendre la photo que sa maîtresse demande.

— Mon chéri… tu sais ce que j'aimerais…

— Non, mais moi j'aimerais que tu me suces !

— Oui mon chéri, je vais le faire ! Mais…

Surpris par le fait que Marguerite accepte sans protester, il la regarde s’agenouiller devant lui.

— Mais quoi ?

— J'aimerais que tu immortalises ma première pipe avec une photo !

— Oui, si tu veux ! répond-il un peu surpris, mais il n'ose pas dire non à sa femme.

— Tiens ! Prends mon téléphone !

Clément prend le téléphone que lui tend Marguerite et il la photographie alors qu’elle commence à le sucer. Elle n'a pas la technique d’Erika mais, excité par la situation, il jouit rapidement. Marguerite ouvre sa bouche pleine de sperme. Elle lui fait comprendre qu’elle veut une autre photo ainsi. Amusé, il le fait. Marguerite avale son sperme et se relève.

— Non ! Reste à genoux et reprends-moi dans ta bouche.

Marguerite ne proteste pas et se remet entre les cuisses de son mari, obéissant aux instructions d’Erika, et le reprend en bouche. Malgré le fait, qu’il ait déjà joui, il va jouir encore deux fois dans la bouche de sa femme qui avale à chaque fois.

A la fin du match, elle envoie les deux photos à Erika qui la félicite et lui dit que, maintenant, elle doit prodiguer cette caresse tous les soirs à Clément lorsqu’il rentre du travail.

***

Quelques jours plus tard, Erika appelle Clément pour un prétexte médical, mais, bien sûr, elle en profite pour lui demander de lui raconter ses soirées depuis sa dernière visite deux semaines plus tôt. Il lui répond qu’il n’a même pas eu à exiger de Marguerite qu’elle le suce, elle le lui a proposé d’elle-même, et même qu'elle avale son sperme à chaque fois.

— Très bien ! Donc ce soir, tu vas l'enculer !

— Mais je n’ai jamais fait ça !

— Il faut un début à tout…

— Oui Madame Erika !

Durant tout le trajet de son retour à la maison, Clément n’arrêtait pas de penser à la manière dont il allait exiger d’enculer Marguerite. Elle était rentrée la première et l’attendait en train de regarder la télévision. Il trouva qu'elle avait l'air préoccupé mais il posa ses affaires pour aller prendre une douche.

Quand il la rejoint au salon, ils se mettent à parler de leur journée respective. Il lui raconte sa visite chez Erika et il perçoit qu'elle est curieuse de savoir comment cela s’est passé, si elle lui a parlé d’elle. Mais, il n'ose pas encore lui avouer ce qu'Erika lui a demandé, ou plutôt ordonné de faire.

Après le repas, quand Marguerite sort de la douche qu’il découvre le tatouage en plein milieu de sa fesse, bien visible, il comprend tout de suite que ce "K" est celui d’Erika ! Cette fois, pas de doute, c’est Erika qui donne le ton ! Elle contrôle totalement leur vie de couple. Ils sont complètement dépendants d’elle. Cela lui plaît, elle vient donner pimenter leur sexualité qui commençait à devenir tellement insignifiante !

— Marguerite, qu’est-ce que tu as sur ta fesse ?

— Un tatouage répond-elle timidement.

— Je vois bien, je ne suis pas aveugle, mais pourquoi ? Tu n’as jamais voulu en avoir un alors que je te l’ai proposé tant de fois ? Répond Clément qui veut entendre Marguerite raconter comment cela s’est passé…

— Oh ! Clément, c’est Erika, elle m’a obligé à aller chez le tatoueur pour me faire inscrire un beau “K” sur la fesse… Et maintenant, je n’ose plus rien lui refuser dit-elle la tête basse. J’ai dû me dénuder et m’étendre sur le dos pour qu’il puisse mieux utiliser les aiguilles. Cela n’a pas été facile, mais j’ai réussi et j’ai beaucoup pensé à toi pendant qu’il me tatouait… Tu vas peut-être m’en vouloir ?

Elle n’ose pas lui avouer qu’elle a dû sucer le tatoueur et qu’elle est rentrée avec son sperme entre ses gros seins. Clément se lève pour faire face à Marguerite qui n'est pas très fière.

— J’ai l’impression qu’Erika a beaucoup d’influence sur toi et je crois pouvoir dire que cela me plaît bien puisque maintenant tu es capable de me sucer ! Mais sache qu’elle en demande plus ! Oui, ce soir j’ai ordre de t’enculer !

— Mais comment allons-nous faire ? répond Marguerite complètement interloquée.

— Comme tout le monde ! Tu ne seras pas la première à vivre ce moment !

— Mais on ne l’a jamais fait ! Je ne crois pas pouvoir supporter !

Clément, face à cette situation, prend un ton plus ferme :

— Tu veux que je fasse un SMS à Erika pour lui dire que tu refuses ?

— Non, s’il te plaît, dis-moi comment je dois me mettre, on va essayer.

— Mets-toi à genoux sur le tapis du salon et attends-moi !

La situation était cocasse. Marguerite à genoux , tête sur le sol, désolée de la situation et Clément qui se déshabille après être allé chercher un gode, du lubrifiant et des kleenex ! Il bandait comme un âne. Il se demandait s’il pourrait pénétrer l’anus de Marguerite, avec ses grosses fesses. Mais, elles seraient sans doute très accueillantes.

Le gode qu’ils utilisaient de temps à autre est rentré tout seul dans le cul de Marguerite que Clément avait lubrifié à souhait. Il est en bonne posture pour faire aller et venir ce jouet et commence à imaginer passer aux choses sérieuses.

Marguerite finit par apprécier les aller et retour mais angoisse pour la suite. Elle n’ose pas le dire à Clément mais celui-ci le devine !

— Tu es prête ?

— Oui, mais vas-y doucement !

Clément met un doigt puis deux dans l’anus de Marguerite pour s’assurer que le trou est bien préparé puis il se présente d’abord doucement, commence à enculer Marguerite qui serre les dents. C'est bien plus facile qu’il ne le croyait, il est tellement heureux qu’il ne se rend pas compte qu’il venait d’entrer complètement dans le cul de marguerite et que son pubis est maintenant contre les fesses de Marguerite. Comme par miracle les échanges entre eux deviennent inimaginables !

— Vas-y mon chéri ! s’exclame Marguerite qui a fini par accepter la situation et ressentir un plaisir charnel qui l’étonnait elle-même.

— Tu es ma salope, j’aime ça, répondit Clément en la défonçant complètement.

Et dans un dernier coup de rein il éjacule dans le cul de Marguerite qui sue en grognant comme un animal !

Cette séance a duré un bon moment et le silence s’est imposé comme un point final de cette première expérience. Clément essuie le cul de Marguerite qui, sans que personne ne lui dise quoi que ce soit, se retourne pour aller sucer le sexe de Clément qui commençait à débander.

Quelques minutes plus tard, il reçoit un message d’Erika qui lui demande s’il a réalisé l’ordre qu’elle lui avait donné. Clément ne peut pas résister au plaisir d’envoyer une photo des grosses fesses de Marguerite endormie, dont l'anus laissait échapper un filet de sperme.

Excellent, va voir dans ta boîte à lettres !” répond Erika.

Clément enfile un jogging pour descendre prendre le petit paquet qu'Erika avait fait déposer.

Il l’ouvre, un petit mot accompagnait l'objet du paquet. “Fais porter cela à Marguerite et tu pourras bientôt l'enculer sans lubrifiant.”

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