mercredi 16 avril 2025

L'Institutrice - Une Soirée de Folie

 

L'acteur suivant arrive, un grand gaillard très musclé, impressionnant. Elle se sent toute petite devant lui.

— Bonjour Monsieur, vous êtes le papa de …, jouant le rôle qui lui avait été demandé.

— Bonjour Madame l'institutrice ! Je suis le père de Miroslav, disait-il avec un fort accent slave.

— Ravie de vous recevoir...

Elle se souvenait de cet élève, son premier élève sans-papier dont elle n'avait jamais pu voir les parents effrayés par la police.

Le père commence la scène avec dureté.

— Pourquoi me faire venir, Miroslav pas gentil ?

L'homme joue mal. Mais, elle est hypnotisée par la taille de ses mains et cette énorme bosse a son entrejambe, visible sous son survêtement. Elle devine que ce gros sexe est tendu.

— Je voulais vous rencontrer, vous connaître...

Il la regarde avec son regard dur mais plein d'envies.

— Moi aussi, je voulais voir la jeune femme blonde très sexy, ajouta-t-il.

— Merci… répondit-elle gênée.

Il s'avance d'un pas, puis d'un second. Laurence, intimidée par cette montagne qui la domine, recule et se retrouve acculée contre le mur. Les gros doigts de l'homme ouvrent sans délicatesse le chemisier dont quelques boutons tombent au sol. La poitrine de l’institutrice est ainsi découverte et exposée aux regards de l’homme et à l'objectif de la caméra.

— Miroslav parlé de toi...et de ta blanche poitrine, Miroslav très curieux, a pris photos pour moi.

Surprise par cette phrase, Laurence ne proteste pas quand il pose sa grande main sur son ventre pâle. Elle est coincée contre le tableau et elle commence à être excitée par la situation.

D’une main, il saisit sa jupe, la retrousse sur sa taille et il saisit fermement ses fesses tandis que son autre main se plaque sur sa poitrine. Laurence sent les doigts s’enfoncer entre ses fesses, elle se sent comme une poupée entre les mains de ce géant.

Il la retourne et il lui plaque le torse contre le bureau, exposant, offrant ses fesses. L’homme explore sa raie avec ses doigts, il finit par les appuyer sur la chatte encore humide de la scène précédente. Puis, sans prévenir, il la pénètre sévèrement.

Le caméraman peut saisir les expressions de détresse de la jeune institutrice qui sent les gros doigts aller et venir dans son vagin brûlant et trempé.

— Petite maîtresse très excitée et coquine... C'est ton heure ! dit le slave.

— Cadrez son visage et ses fesses ! lance Arthur à ses assistants. Faites deux plans différents !

Elle gémit, le parent ne la ménage pas quand elle voit son téléphone se mettre à vibrer. Elle fixe l’écran qui annonce un appel de son mari. Elle ne peut pas répondre. Elle imagine l’inquiétude de son époux mais sous la dextérité de l'homme qui la doigte, elle gémit. Soudain, elle sent le pouce presser l'entrée de son anus. Elle en pleure presque car jamais elle n’avait accepté d’être sodomisée.

"Bon courage pour ta rencontre parents profs de fin d'année" voit elle apparaître sur l’écran avant qu’un des assistant ne prenne le téléphone pour répondre.

"Merci mon chéri, ça être long aujourd'hui, beaucoup de parent sont présent, ne m'attends pas pour le repas"

Elle souffle quand elle sent les doigts quitter son sexe mais elle devine que l’homme baisse son pantalon dans le reflet d’une vitre. Elle peut apercevoir le reflet de ce sexe qui lui semble énorme. Le gland se présente devant son vagin et d’une poussée puissante il la pénètre. Malgré le fait d’être trempée et d’avoir été dilatée par les doigts, cela force quand même. C’est gros : très gros !

Elle gémit, lâche des petits cris de douleur. L’homme entre en elle bien plus profondément que son mari et surtout sans sa douceur. Il la pilonne en lui tenant fermement les hanches. Elle est secouée dans tous les sens. On entend les claquements de son ventre sur ses fesses pâles. Le visage de Laurence change d'expression, elle a le regard vide alors qu’il la prend comme une chose, qu’elle se fait défoncer, baiser.

Le gaillard râle comme une bête, roque… dur… grave ! Puis il enfonce un grand doigt dans son anus, il le fouille. Elle hurle :

— Pas mon cul

Cela le fait rire et il continue dans un état second, bestial. Jamais, elle n’avait connu cela.

Le réalisateur annonce : “ trente secondes !”

Il accélère, son doigt jouant avec l’anus étroit. Elle crie, pleure

— Quinze secondes !

L’homme se bloque au fond de son vagin et jouit dans un cri de bête, un râle qui remplit le studio.

— Coupez !

Il se retire et s'en va, la laissant gisante sur le bureau. Un assistant arrive et lui essuie la chatte rapidement, puis il lui dit :

— Tu as cinq minutes !

***

Laurence se relève hagarde. Elle réajuste ses dessous en dentelle et remet son chemisier qui ne tient plus, fermé avec un unique bouton en dessous de la poitrine, ayant survécu à la hargne du slave.

Elle ressent désagréablement le sperme de son assaillant couler dans son string. Mais elle n’a pas le temps d’y penser plus longuement qu’un autre homme se présente à la porte.

Il a un style tout autre, plus fin, plus poète. Elle l’invite à entrer, il ne lui semble pas dangereux.

"En ce doux matin qui s'éveille,

Je viens saluer votre travail merveille,

Ode à votre dévouement sans pareil,

Ô institutrice au cœur fidèle."

Quelle surprise pour Laurence, ce moment de poésie après ce moment de sexe bestial ! Elle sourit. Il lui caresse le visage en continuant de déclamer ses vers.

"Votre passion pour la transmission,

Vos efforts pour guider la formation,

Sont des trésors d'éducation,

Offerts avec générosité et passion.""

Laurence l’écoute subjuguée alors qu’il fait tomber le chemisier au sol.

"Vous êtes le phare de la connaissance,

La gardienne de la persévérance !"

Il caresse ses seins, les dévoile en laissant tomber le soutien-gorge.

"Nous suivons votre lumière avec confiance,

Avec vous, nous avançons avec assurance."

Ses doigts filent sur son corps tout en finesse.

"Alors, je vous adresse mes salutations,

Avec le respect dû à votre fonction."

Il saisit un de ses poignets et l'attache à un barreau du radiateur

"Je vous remercie pour votre attention,

Et vous souhaite une journée remplie de satisfaction."

Il fait de même avec l'autre main.

Laurence reste debout, alors que, prudemment, il fait glisser son string au sol avant de le lui mettre dans la bouche entre les dents, comme une rose. Elle est complètement nue, pour la première fois de sa vie, nue sous le regard d’un homme autre que son mari.

Délicatement, il lui écarte les cuisses et passe son visage devant son pubis, l'embrasse avec douceur. De petits baisers descendent sur son clitoris et là, sa langue entre en jeu. Fine, délicate, précise, la langue joue avec le clitoris. Elle tourne autour, le titille, l'aspire.

Rarement Laurence n’avait ressenti autant de sensations en un seul lieu. Tout en finesse, il la lèche et la caresse. Elle est perdue par cette douceur inattendue et ces attentions. Il masse ses fesses délicatement, il prend soin d’elle. Il mordille, aspire le clitoris tout gonflé. Il veut la faire jouir avec sa langue.

Laurence ne cherche pas à résister et en quelques minutes elle explose de plaisir. Cela ne satisfait pas le poète qui veut la rendre folle de plaisir, la faire couler de plaisir. Il presse alors le clitoris entre deux doigts alors qu’il lape la mouille qui coule du vagin brûlant. L’institutrice jouit encore et encore

"Chère maîtresse, il est temps pour moi de partir

De vous dire adieu, de m'en aller sans rien dire

Je suis rempli d'un sentiment de tristesse

De vous quitter, vous, ma douce maîtresse."

Il se relève et l'embrasse avec un fougueux baiser.

"Nos moments ensemble resteront gravés

Dans mon cœur pour toujours,

Ils ne seront jamais effacés.

Vous m'avez appris tant de choses,

Tant de douceur !

Je vous en suis reconnaissant, de tout mon cœur."

Épuisée par les jouissances successives, Florence tombe à genoux. Arthur s’approche et lui dit sèchement qu’elle a cinq minutes pour se remettre en place. Le réalisateur demande de se préparer pour la scène suivante.

— Dépêche-toi... Allez debout ! lui dit l’assistant qui vient la détacher.

Le réalisateur crie "En place"

— Allez Laurence, ne traîne pas !

Elle remet son chemisier sans le refermer.

***

En allant accueillir le troisième “parent”, elle voit deux hommes totalement différents, l’un en costume et l'autre en jogging et basket. Elle voit aussi sur le mur derrière eux de nouvelles photos prises pendant les scènes précédentes et certaines de son intimité, chez elle, sur la plage et même sous la douche pendant ses dernières vacances chez ses parents où elle se caresse. Pour la jeune femme ces images ne peuvent être que truquées, jamais ses parents n’auraient autorisé que de telles photos puissent être prises chez eux.

Les deux hommes se présentent.

— Nous sommes les pères de Enzo ! L'un, le géniteur, l'autre, l'adoptif !

— Oui, entrez ! je savais bien que ce petit avait des parents un peu différents du schéma classique !

— Oui comme sa maîtresse, dit l’homme en costume.

Les deux hommes se tiennent à ses côtés, l’un à droite, l’autre à gauche. Elle ne peut pas voir ce que fait l’un en regardant l’autre. Comme dans un miroir, les deux hommes bougent ensemble. Chacun saisit le tissu du chemisier et ils le font tomber au sol, rapidement. Ils s’approchent au même instant, caressent sa joue au même moment, font glisser leur main le long de ses bras à la même vitesse et s’emparent de ses mains qu’ils posent sur leur sexe. Elle les caresse ensemble, des sexes presque identiques en longueur et en épaisseur. Les deux hommes se laissent branler mais ils ont un projet. Une double pénétration !

Celui en costume la prend par la taille et la fait mettre face à lui. Pour la première fois, ils ne sont plus en miroir. Celui derrière elle fait glisser sa jupe et son string à ses pieds et la prend par la taille à son tour. Elle sent leurs deux glands frotter ses intimités. Celui devant elle se baisse légèrement et guide son sexe dans sa chatte. Tandis que celui derrière elle pousse son gland sur son anus Laurence gémit, regarde vers Arthur, vers la caméra inquiète. Derrière elle, l’homme force son anus étroit. Ils pénètrent en même temps. Elle est soulevée par cette double sensation. Deux bites en elle, les deux hommes la soulèvent légèrement pour la pénétrer ainsi.

Ne reposant plus sur ses pieds, Laurence les sent entrer profondément leur sexe en elle. Elle en a des larmes aux yeux. Même s'ils ne sont pas démesurés cette nouvelle sensation est étrange, entre la douleur de son dépucelage anal et le bien être d'être prise sans trop de violence dans le vagin.

Prise en sandwich entre ces deux papas, elle est troublée par ces nouvelles sensations. Cela fait plus d'une heure qu’elle est caressée, baisée… Et à chaque fois, des nouvelles sensations.

Les deux queues en elle, Laurence aperçoit Arthur discuter avec le réalisateur devant des graphiques qui représentent l'audience de ses vidéos sur le site de la production. L'audience prévue a doublé, les abonnements aussi. Une pluie d’euros tombe pour la société. Une égérie vient de naître.

Les deux hommes prennent un rythme alternatif. L'un entre, l'autre sort et inversement. Elle est balancée d'avant en arrière, totalement secouée. Ils jouent avec elle comme avec une poupée, encore une fois pense-t-elle. Laurence, en pleine jouissance, n'entend pas le décompte du réalisateur, “ moins trente secondes… moins vingt secondes… “ Elle est ailleurs, en pleine extase par cette double pénétration inédite.

— Moins dix secondes !

Les deux amants jouissent en elle en la serrant fort entre eux. Elle est à la limite de s’évanouir sous cette nouvelle sensation. Elle sent la chaleur de leur sperme dans deux endroits distincts.

— Coupez, on passe à la scène suivante !

L'assistant lui donne de quoi s’essuyer, elle tient à peine debout et se retient au bureau. Elle a tout juste la force de répondre à l'assistant qui la presse de revenir à elle car la prise suivante va débuter.

***

— Pour la prochaine scène, Laurence commence nue d'entrée de jeu ! ordonne le réalisateur.

Elle reprend ses esprits mais elle sent un vide en elle. Ces deux sexes lui manquent déjà !

Un nouveau papa-acteur entre sur le plateau, en maillot de bain. Laurence ne comprend pas trop puis son regard se porte sur le visage de cet homme. Ce papa ! Ici ! Là !

Elle le connaît bien, voire trop bien ! Cet homme était présent aux sorties à la piscine avec la classe. C'est le président de l'association de parents d'élèves, souvent présent à l'école et proche de Madame Buisson, sa directrice. Cet homme qui l’avait vu en maillot de bain. Cet homme avait qui elle avait failli tromper son mari sur un coup de tête, ayant été à deux doigts de craquer

— ON TOURNE !

— Bon… bon… jour ! bégaye-t-elle.

— Bonjour Maîtresse Laurence ! répond-il plein d’assurance et de désir dans les yeux.

— Bonjour monsieur...

— A notre dernière rencontre, c'était vous en maillot et moi nu… Vous vous en rappelez ?

Elle hoche timidement la tête pour approuver.

— Oui je me souviens !

La rencontre avait eu lieu dans les vestiaires de la piscine. Laurence était tombée sur ce papa nu dans les vestiaires en train de la mater pendant qu'il se changeait. Elle en avait rougi, gênée, impressionnée par ce sexe dressé. Elle avait osé l’effleurer, attirée mais elle s’était ravisée et avait vivement retiré sa main. Cependant, elle avait toujours en tête cet acte manqué. Cet homme lui plaisait beaucoup, elle l’aurait branlé pendant qu’il lui caressait les seins, voire même sucé.

Là, il est devant elle, elle a une seconde chance et c’est elle qui est nue cette fois, troublée par sa présence sur le plateau royaume du sexe. Il s'approche et effleure ses seins. Elle est toute timide, elle lui sourit, emportée par le moment, perdue entre des désirs sexuels et l’émoi de ses sentiments pour cet homme dont elle a tellement rêvé la nuit dans son lit.

Il s'approche. Il devine sa gêne. Il lui saisit le visage et l'embrasse avec passion, comme un amant de retour du passé. Ces mains la parcourent avec gourmandise.

Elle vient de passer deux heures à se faire baiser et là, elle se retrouve comme une adolescente amoureuse. Elle passe par tous les sentiments, elle en frissonne de bien être.

Son cerveau ne répond plus, elle veut cet homme pour elle et en elle. Laurence passe ses cuisses autour de lui, pour lui signifier qu'elle le veut, qu'elle s'offre à lui, qu'elle va être sa maîtresse. Elle veut jouir encore et encore avec cet homme dont elle a tellement rêvé.

Elle lui ôte son maillot avec envie et frénésie.

— Prends moi… Là, comme tu veux, je te veux !

Il savoure cet instant. Elle sent son sexe raide frotter entre ses lèvres.

— Tourne-toi… lui demande-t-il

En souriant, elle se tourne, se cambre et lui offre son sexe en levrette.

— Va-y ! Baise-moi ! Fais-moi hurler...

Il l'attrape par les hanches et mais ne bouge pas. Il veut qu'elle s'offre.

Elle est méconnaissable, un mélange de fatigue, de désir. Ce n'est plus l'institutrice timide du matin. Non ! c'est une femme pleinement réveillée à qui on amène son fantasme secret. Impatiente, elle recule sur ce sexe… et elle se l'enfonce au plus profond de son corps. Elle remue son bassin pour en simuler des va et vient. Elle gémit, ronronne de plaisir.

Elle est déchaînée ! Même Arthur et le réalisateur en sont surpris.

Le responsable multimédia annonce des pics d'audience sur le live. Les abonnements pleuvent.

Laurence est prise par ce sexe qui avait si souvent hanté ces nuits depuis quelques semaines.

Lui, il s'offre son rêve, prendre la jolie maîtresse d'école. Il se met à saisir fermement ses hanches et à prendre le dessus, en imposant son rythme, ses à-coups.

Elle gémit, hystérique, s'abandonne à son plaisir. Ses seins lourds se balancent au rythme des pénétrations.

Très excité, il sort son sexe de la chatte béante et le présente sur son anus encore ouvert. il pousse fort en elle. Elle crie.

— Ouiiiiii ! vas-y ! Encule-moi !

Malgré sa douleur, elle lui demande de continuer. Sans se faire davantage prier, l'homme entre profondément en elle, dans son cul. Laurence est en extase, à la limite de la jouissance. Elle est rayonnante de plaisir. Elle se fait baiser par son amant, son fantasme secret, c'est inespéré !

La ramenant à la réalité, le réalisateur hurle :

— Suce le !

Sans hésitation, elle se retourne, se jette sur le sexe de l'homme, elle le suce. Non, elle le pompe !

Elle le pompe sans réaliser que ce bâton de chair sortait de son anus. Surexcitée, baisée depuis plus de deux heures elle a à sa merci un sexe désiré depuis des nuits et des nuits.

L'homme sort de sa bouche, elle le branle sur son visage pour recevoir toute la crème, ce nectar qui souille ses lunettes, son visage, ses cheveux. Il frappe ses joues avec sa bite, étalant son sperme.

Elle aurait aimé qu'il jouisse en elle mais, lui, il veut créer un manque chez cette institutrice, lui donner envie de recommencer plus tard, plus souvent.

Devant elle, à genoux, secouée de spasmes, le cameraman se régale de pouvoir filmer en gros plan le visage de la blonde, de capturer toutes ses expressions, de désirs, de plaisirs, de frustration.

— Coupez !

L'assistant tend à Laurence du papier absorbant tandis qu'Arthur vient l'aider à se relever.

—Tu as été parfaite ! Lui dit-il. Le chauffeur va te reconduire chez toi. On te contactera pour un autre tournage.

Arthur lui glisse l'enveloppe de billets d'euros correspondant à ses ébats du soir.

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