Introduction
Après avoir enfilé ma robe de chambre, je sortis silencieusement de la chambre. Je laissais ma femme dormir et rejoignis mon ami Gérard qui nous avait invité avec sa femme à venir passer quelques jours dans leur villa en bord de mer.
— Comment va Laurence ? me demanda-t-il en me présentant une tasse de café.
— Elle dort encore !
— Avec la soirée qu'elle a passée, je peux le comprendre… intervint l'épouse de Gérard qui venait d'arriver sur la terrasse où son mari avait préparé le brunch.
Je lui souris. Marie-Christine, égale à elle-même, ne portait ce matin-là qu'une nuisette très légère qui ne cachait rien de son corps. Malgré son âge, cette blonde était toujours une véritable bombe. Je comprenais pourquoi, il y a une vingtaine d'années, encore étudiante, Laurence avait succombé au charisme de ce couple. Ils avaient non seulement la beauté mais aussi l'intelligence. Si je n'avais pas eu cette maladie mon sexe serait raide dans mon caleçon, comme devait l'être celui de Gérard.
Tout en embrassant sa femme, il lui caressait les fesses sans se soucier de ma présence. Je savais comment cela allait se finir.
Marie-Christine se mit à genoux devant son mari et sortit un membre de belle taille. Gérard était un septuagénaire encore bien vert. Cela faisait presque cinquante ans qu'ils se connaissaient et ils étaient toujours aussi amoureux et la blonde toujours aussi gourmande.
Cette fellation matinale, au petit déjeuner, était leur rituel pour commencer la journée sur de bonnes bases.
***
Laurence m'avait présenté ce couple, comme de vieux amis qui étaient ses voisins de palier quand elle était étudiante. Elle s’était peu à peu éloignée d’eux quand elle avait rencontré son ex-mari avec lequel elle avait vécu plus de quinze ans et avec qui elle avait deux enfants. Celui-ci ne partageait pas le monde des amis quadragénaires de sa fiancée.
Ayant appris à les connaître, je comprenais sa réticence, Gérard et Marie-Christine étaient ce que l'on appelle un couple libertin. Mais je savais que ce n'était pas cela qui avait effrayé Jean-Luc. Ce qui lui avait fait peur, c'était que ce couple était un couple dominant. Et ce qui le terrifiait encore plus, c'était que Laurence était une femme naturellement soumise.
Il n'était pas prêt à accepter cette situation. Par amour pour lui, Laurence espaça ses contacts avec le couple qui ne chercha pas à la retenir. Mais, après dix ans de mariage, Jean-Luc trompa Laurence. Comme on pouvait s'en douter, elle le prit très mal, d'autant plus qu'elle n'avait rien à envier à la nouvelle compagne de son ex-mari.
Après cette trahison, Laurence chercha à reprendre contact avec le couple, mais ceux- ci avaient déménagé à plusieurs centaines de kilomètres pour prendre leur retraite au soleil, au bord de la mer.
***
Seule avec deux enfants encore jeunes, Laurence retourna vivre chez ses parents en attendant de retrouver un logement à la mesure de ses moyens. Elle venait d'être licenciée de son poste d'assistante administrative, un poste fourre-tout dans la PME où elle travaillait. Elle y avait été à la fois hôtesse d'accueil, assistante de la comptable, du responsable de l'atelier et même du patron quand sa secrétaire personnelle était absente
Cette situation ne favorisait pas les rencontres aussi, elle décida de s'inscrire sur divers sites de rencontres en ligne.
Elle rencontra plusieurs hommes mais aucun ne sut la retenir. Pourquoi moi ? Qu'avais-je de différent des autres ? Le mystère de l'attraction des âmes !
Peut être parce que je fus le seul qui l'encula sans lui avoir demandé l'autorisation avant de forcer son anus ? Qui sait !
Toujours est-il que quelques mois plus tard nous nous installions ensemble et que nous allions officialiser notre union quand la maladie me frappa.
***
Le gémissement de satisfaction de Gérard me sortit de ma rêverie, il venait de jouir dans la bouche de sa femme.
Marie Christine se redressa et essuya la bave qui avait un peu couler sur son menton avec une serviette.
— Occupe-toi de notre invité, lui ordonna Gérard.
Je lui souris. Il le savait. Nous en avions parlé, même si je n'étais plus capable d'avoir d'érection, j'étais toujours capable d'avoir du plaisir et d'évacuer de bonne rasade de sperme.
Je laissais faire mon hôtesse. Elle libéra mon sexe flasque de mon caleçon et le prit en bouche. Elle savait que cela allait prendre un peu de temps. En l'absence d'érection, elle ne pouvait pas vraiment faire coulisser ses lèvres le long de mon pénis. Elle devait le gober entièrement et ensuite jouer avec sa langue sur mon gland, titiller les zones les plus sensibles pour que j'y trouve mon plaisir. Elle ressentait cela presque comme une punition, mais, si elle était de nature dominante, elle obéissait aux demandes de son mari.
Ce n'était pas la première fois qu'elle me suçait, mais elle n'avait pas encore le savoir-faire qu'avait acquis Laurence pour me prodiguer cette caresse. Il fallait admettre que ma femme avait plusieurs années de pratiques.
— Alors ? me demanda Gérard.
— Il y a du progrès mais elle a encore du travail à faire…
Je sentais le plaisir monter. Je plaquais la tête de Marie-Christine contre mon ventre et je me laissais aller. Je ne libérais la blonde que lorsqu'elle eut tout avalé.
Marie-Christine se releva et s'assit à table avec nous.
— Merci, lui dis-je.
— Ce fut un plaisir…
Je souris car je n'étais pas certain que cette réponse fut sincère, mais peu importait.
Je réalisais qu'il y a encore quelques années j'aurais été gêné de prendre mon plaisir de cette manière devant le mari de la femme qui me suçais, dans le dos de mon épouse et tout cela sans en éprouver le moindre remords.
Avec Gérard j'avais découvert une autre facette des relations entre adultes consentants mais surtout libérés des conventions sociales.
Laurence avait appris cela, il y a des années mais avait dû le refouler trop longtemps par amour pour son ex-mari. Je lui avais permis de le vivre à nouveau.
Quand ma femme nous rejoignit sur la terrasse, elle était nue, enfin presque. Elle avait pris le temps d'enfiler une paire de bas noirs retenus par un porte-jarretelle.
— Vas remercier nos hôtes avant notre départ, lui dis-je.
Marie-Christine écarta les cuisses, Laurence se mit à genoux entre ses cuisses.
— A quatre pattes que Gérard puisse profiter de ton cul, ma salope adorée !
Elle ne me fit pas répéter et Gérard prit place derrière ma femme qui léchait la blonde avec application. De ma place, je pouvais voir sa poitrine balloter à chaque pénétration de Gérard.
Marie-Christine lui maintenait la tête contre sa fente. Elle se frottait sur son visage. Aux gémissements qu’elle ne retenait pas, je me doutais que la sexagénaire allait bientôt jouir. La connaissant maintenant assez bien, elle allait inonder le visage de Laurence de ses divers jus. Gérard aurait une nouvelle occasion d’humilier ma femme en lui ordonna de nettoyer le carrelage avec sa langue.
***
Sur le trajet du retour, nous avions plusieurs heures de route, Laurence somnolait. Elle ne portait qu'une simple robe portefeuille sur ses bas et son porte-jarretelles. La circulation sur l'autoroute est très clairsemée et quand je le pouvais, je caressais sa cuisse que j'avais dégagée. Je l'entendais soupirer. Je me demandais si à la prochaine aire de repos, nous serions assez tranquilles pour qu'elle puisse me sucer.
Si ce n'était pas sur ce trajet, ce serait pour un prochain week-end chez Gérard et Marie-Christine.
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