Bernard rentre chez lui et me fait un rapport circonstancié, avec des vidéos jointes. Il me demande si je ne suis pas fâché, s'il n'est pas allé trop loin.
Je lui réponds que je lui avais donné carte blanche.
“que comptes-tu faire ensuite ?”
“je ne sais pas encore il faut que je réfléchisse. D'abord il faut que j’aille discuter au resto pour faire les aménagements adaptés. pour la mairie, je ne sais pas encore”
“Au fait, je crois que MC n'aime pas trop passer l'aspirateur et repasser, Sophie pourrait te servir de bonniche aussi.”
“oui pourquoi pas.”
“par contre j’ai été scotché par la secrétaire elle pourrait être utile pour MC non ?”
“Oui je pense… MC ne va pas aimer”
“tant mieux mais moi ça me plait”
“D'accord mais il faudrait que je la contacte elle ne va pas être surprise ? Tu as une idée”
“je vais y réfléchir”
***
Quelques heures plus, alors que j'étais dans mon train, j'avais envoyé un message à Marie-Catherine lui ordonnant de sucer Frédéric dans son jardin entre sa voiture et la maison. J'avais informé Bernard de se mettre à la fenêtre, il pourrait admirer un spectacle qui devrait lui plaire.
Quand Marie-Catherine rentra avec sa voiture, le voisin l'attendait. Cette attente avait un peu refroidi ses ardeurs mais il anticipait cette bouche qui allait envelopper sa queue d'une douce chaleur humide.
Cachée de la route par la voiture, Marie-Catherine s'accroupit devant Frédéric. Ses cuisses écartées dévoilaient sa fente lisse. Obéissante, elle sortit le membre du pantalon et commença à le lécher, le sucer comme elle savait si bien le faire.
Derrière sa fenêtre, Bernard ne perdait pas une miette du show offert par sa femme.
En dépit de l'annonce que son mari était aussi sous le contrôle de son abominable voisin, elle ne pouvait s'empêcher d'obéir à ses exigences et cela la faisait mouiller.
Elle avait la bite de Frédéric dans sa bouche. Elle aspirait, pompait ce sexe de taille toute à fait ordinaire. Frédéric commençait à gémir. Il n'allait pas tarder à jouir.
— Relève toi ! Je veux te baiser sur le capot de la voiture !
C'était un fantasme qu'il avait depuis toujours qu'il n'avait jamais pu assouvir.
— Oh non pas ça c’était pas prévu mon maître n’a rien dit !
— Tu es sûre, il m'a dit que je pouvais le faire, regarde son message sur mon téléphone…
— Ooooh mon dieu !
— Dépêche-toi si tu ne veux pas que je lui dise que tu n'es pas obéissante…
— Non, non ! D’accord ! D’accord !
Marie-Catherine prit la pose et souleva sa jupe. Frédéric encore plus excité par la vue de ses fesses nue, la pénétra d'un coup. Elle regardait de partout craignant d’être vue mais, seul son mari pouvait la voir derrière la fenêtre. Après quelques allez retour, trop excité, le voisin éjacula dans sa chatte.
Elle n’a même pas pu jouir, mais sait ce qu'elle doit faire, le nettoyer.
Elle lèche consciencieusement toutes les traces avant de ranger le service trois pièces dans le caleçon. Ne sachant pas si elle pouvait rabaisser sa jupe, elle reste la tête basse angoissée mais des papillons dans le ventre. Frédéric la remercie et rentre chez lui, la laissant ainsi, frustrée.
Elle baisse vite sa jupe et en se retournant, elle aperçoit son mari qui lui fait un signe derrière la fenêtre. Elle est gênée et troublée et rentre chez elle où le café est servi.
— Alors, ta matinée a bien commencé ? Lui demande-t-il.
Baissant la tête, elle répond qu’il n’y a pas de quoi être fière et que ce n’est plus de son âge.
— Que t’a raconté Hervé ? Il va bien ?
— J’ai pas envie d’en parler. Cela me met trop mal à l’aise ! ça ne va pas recommencer comme avant dis ?
— Je ne sais pas, ça ne dépend pas de moi… Moi ! Il m’a demande d’accompagner sa femme à la gendarmerie et ensuite, je l’accompagne à la mairie où elle a rendez-vous avec le maire.
— Mais ça te plait ce que me fait Hervé ? c’est ton fantasme !
— Oh ! Sois honnête, ça ne te laisse pas indifférente mon amour ! et oui ça me plait et j’aimerai qu’il fasse plus encore !
— Tu es fou ! Il n’en est pas question !
— Pourtant, cela ne te déplait pas non plus… que t'a t il dit ?
— A quel propos ?
— De toi, de nous ?
— A chaque jour suffit sa peine !
— De son couple ?
— Il veut que je soumette Sophie, dis Bernard.
— Dit qu'as tu dis ? Toi ou moi ?
— Moi je n’ai pas le choix ! J’ai dit oui mais à la seule condition que je n’ai aucun rapport avec elle…
— Mais tu peux intervenir voire devoir intervenir !
— Oui il l'a bien compris. Il m’a donné carte blanche… Et je ne sais pas ce que cela veut dire réellement ? Est-il vraiment conscient de ce que cela peut impliquer ? BDSM, gang bang, urologie, zoophilie ? Comme pour toi, si ça le tente, accepterais-tu ?
— Oh non mon dieu ! C’est ignoble et abject !
— Mais s’il te force en envoyant les photos ?
— Ooh, noon ! Noon pas ça ! Noon !
— Avons-nous le choix ?
— Je crains que non c’est horrible ! Que va-t-on devenir ?
— Cependant, je ne crois pas qu’il nous veut du mal. Il veut profiter de notre expérience… mais je dois y aller. J’ai aussi prévenu le maire qu’il aurait une surprise
— Je vais me doucher
— Oui tu as une réunion ? Il m’a aussi promis de ne pas compromettre auprès de la paroisse et de notre famille, si nous faisons ce qu’il veut.
— Alea jacta est !
— Exactement, je retrouve une seconde jeunesse…
— Ah c’est malin mais j’avoue que moi-aussi ça me travaille ! Mais c’est pas bien !
— Pourquoi ?
— Ce n’est pas correct et conventionnel c’est de la dépravation scandaleuse ! Malheureux à celui par qui le scandale arrive !
— Cela ne nous déplaisait pas… et nous pourrons toujours dire que ce n'est pas de notre faute.
— C’est hypocrite mais vu comme ça, ça pourrait nous déculpabiliser.
— Et comment trouves-tu Sophie ? Jusqu'où pourrons-nous aller ? Enfin, on verra bien. J'espère que Monsieur le maire aimera sa surprise…
— Je la trouve sympathique avec un regard coquin.
Un sms arrive “ma salope, pour ta réunion à la paroisse, tu vas y aller avec le plug dans le cul, au retour de Bernard à midi, je pense qu'une fellation lui fera du bien et cet après midi, tu as rdv à 15h avec Monsieur Raffalli”
“Oh non il exagère” pense Marie-Catherine, mais elle répond par sms : “bien maître”
“Bien, tu m’en apporteras la preuve, et peut être que Bernard peut te mettre le plug”
“quelle preuve voulez vous maître”
“Soit imaginative”
“vous voulez une photo ?”
“Cela me semble le minimum”
“bien maître je ferai une photo à la maison paroissiale”
“Très bien”
“Dis moi ce que tu es”
“votre soumise maître”
“Et aussi ?”
“votre chose”
“Et ?”
“votre pute”
“Bien, peut être que pour t’en souvenir tu devrais l’écrire sur ton pubis, demande à Bernard ce qu'il en pense, peut être aura-t-il envie de l’écrire lui même ou autre chose qui lui passera par la tête…”
“oh oui maître il trouve cela très bien”
“Bien je te laisse te préparer, n’oublie pas les preuves et à ce soir à la gare”
“bien maître.”
Après s’être préparée Marie-Catherine et que son mari a écrit sur son pubis et introduit le plug, elle file à sa réunion, un peu en avance, pour pouvoir faire les photos discrètement de façon que son maître reconnaisse les lieux. Dans le parking à l’écart, portes ouvertes, elle se trousse, baisse le string et photographie son plug, la maison paroissiale dans le champ de vision.
Elle en fait une seconde avant que la réunion commence dans un couloir peu utilisé.
Elle envoie ces photos à son tortionnaire et file à la réunion où une dizaine de personnes s’installent.
Tout le monde lui dit qu'elle est radieuse ce matin et la remercie pour l'obtention du prêt à la banque en particulier l'économe de la paroisse, le notaire de la commune. Elle rougit en repensant à ce qu’elle a vécu pour avoir ce prêt sans oublier ce qui l’attend encore. Hypocritement, elle remercie en souriant disant qu’elle n’a fait que son devoir. C’est là que Armand, l'économe, avec un sourire narquois dit qu’effectivement c’est un sacré don de soi pour la paroisse. Elle le regarde rougissante et troublée connaîtrait-il la vérité ?
“Très bien ma pute, je vois que tu obéis. Continue comme cela et tu n’auras pas le martinet.”
Il lit discrètement ce sms en s’excusant. Il se demande qui peut bien être ce correspondant dont il arrive à relever le numéro. Tandis que la réunion se poursuit. Elle ne craint que d’avoir un sms mais son maître la laisse tranquille.
Puis elle rentre chez elle pour faire à manger et pratiquer une fellation à son mari qui finit par arriver tardivement de la mairie, bien excité, le chibre bien dur. La pipe ne dure pas longtemps du coup… Dans un silence gêné, ils mangent.
Après avoir rangé la cuisine, elle se rendit à son rendez-vous avec Monsieur Raffalli qui avait reçu un message du mystérieux correspondant qui lui avait permis de profiter de Madame Mazière il y a quelques jours. Il en était tout excité quand elle entra dans son bureau.
Le message de cet homme avait été clair. Il devait accueillir Madame Mazière et lui montrer ce sms : “Ma salope, fais une fellation à Monsieur Raffalli sous son bureau”
Depuis mon bureau, j'imaginais ses yeux stupéfaits de lire ce message. “Oh Non !” “C'est pas possible !” “Je peux pas !”
Mais malgré tout, elle se mettra à genou sous le bureau du banquier et lui prodiguera une magistrale comme elle sait si bien les faire. Je sais aussi que sa chatte mouille et que ce sera un vrai bonheur de la pénétrer quand elle viendra me chercher à la gare.
Je ne sais pas encore si je la prendrai dans les WC publics à cité de la gare, dans la forêt où devant sa maison sous les yeux de Bernard.
Il faut aussi que je tienne compte de ce message que je viens de recevoir d'un inconnu sur le téléphone avec lequel j'ai contacté Marie-Catherine pendant sa réunion.
“Je veux bien vous aider à donner le martinet !”
“A qui voulez-vous donner le martinet ?
“A Marie-Catherine Mazière”
“Qui êtes-vous ?”
Je suis stupéfait quand je reçois sa réponse. Il s'agit d'Armand, le notaire. Il a environ une cinquantaine d'années et son épouse, comme Sophie et Marie-Catherine, participe aux activités paroissiales. C'est une jolie rousse un peu plus jeune que lui.
Une idée perverse me traverse l'esprit. J'envoie un message à Bernard “que penses-tu de Svetlana, la femme de Paul le notaire ?”
Je n'ai pas le temps d'attendre sa réponse car mon activité professionnelle me réclame si je veux pouvoir prendre le train et avoir le temps de m'occuper de Marie-Catherine.
J'envoie un message à Sophie pour lui demander comment sa journée s'est passée. En particulier sa visite à la gendarmerie et son rendez-vous avec le maire.
Pour moi cette journée fut riche en nouveautés, offrir Marie-Catherine au voisin, savoir Sophie entre les mains et le savoir faire pervers de Bernard. J'étais curieux de savoir jusqu'où il réussirait à l'entraîner sur les chemins de la dépravation. Il m'avait parlé de BDSM, d'urophilie, de zoophilie et autres perversions. En ferait-il une prostituée, la fera-t-il tourner dans films ? Comme il me le promettait. Sophie finira-t-elle comme simple boniche chez Bernard et Marie-Catherine ? Se fera-t-elle utiliser par les clients du restaurant choisis par Bernard ? Que lui réservent le maire et Jacqueline ?
Je lui ai donné carte blanche, pour le moment, rien de ce qu'il avait contraint Sophie à accepter ne me révulsait. Je sais qu'il acceptera mon veto si un jour, j'estime qu'il va trop loin, tout comme j'ai bien compris qu'il arrive à faire accepter à Sophie des situations qui la dépassent.
Quand j'arrive à la gare, j'ai encore ces pensées dans ma tête. Marie-Catherine est là à m'attendre.
Je laisse les usagers sortir de la gare pour que nous soyons seuls ou presque quand je la rejoins.
— Bonsoir ma salope ! As-tu passé une bonne journée ?
— Euh… oui Maître.
— Tu me raconteras plus tard. Mais dis-moi ! Quel orifice de la chienne que tu es, à le plus envie de me donner du plaisir ?
Je la fixe, elle réfléchit quelques secondes avant me répondre :
— M…
— Alors ou veux tu donner ce plaisir, les WC publics, la forêt ou devant chez toi ?
— Mais je ne sais pas maître
— Je te laisse le choix,
— Des wc publics ???? peut-être…
— les WC comme une pute, avec quel trou ?
— Ooh ! Non, non ! Pas une pute… une pipe ? maître !
— Tu avalera tout ?
— Non, je vous en prie maître !
— Qui décide ?
— Mon dieu ! C’est vous, maître !
— Donc ce sera une pipe après que j'ai pissé ! Tu es d'accord
— Oooh ! Je… je n’ai pas le choix, je crois ! Maître !
— Je ne crois pas, non… Allons-y alors ! Tu vas me tenir la bite pendant que je pisse …
— Oui maître
Nous entrons dans ces toilettes, je la regarde.
— Fais ton office ma chienne !
Elle s’accroupit devant moi, défait la braguette et sort mon vit.
— Tu veux boire ce liquide aussi ?
— Oh pitié pas ça pas ça je vous en prie…
— Tu le boiras un jour, tu le sais… tu l'as déjà fait, non ?
— Je n’ai jamais bu, mais j'ai reçu des douches dorées.
Tout en me parlant, elle prend mon sexe en main et le dirige le plus loin possible de sa figure pour orienter le jet dans l’urinoir alors que je commence à uriner.
— Alors tiens ma queue, tu lécheras la dernière goutte
— Bien maître ! Que la dernière goutte, s’il vous plaît !
— Pour aujourd'hui, oui !
— Vous êtes sûr ?
— Oui, je ne suis pas un maître mauvais, je sais qu'il faut que je prenne soin de toi. Je te dois bien cela.
— Mais un maître pervers…
— Oui et sache que je n'ai encore atteint toute la profondeur de ma perversité !
Bravache, elle ajoute : “et si j’avais voulu ?”
— Vraiment… prends moi en bouche alors, au lieu de discuter.
— Mais vous devez faire votre besoin avant !
— Tu as voulu… Ne discute pas…
— Ooooh noon ! pitié ! je… je…
Je commence à retirer ma ceinture en me demandant ce qui l'effraie le plus.
— La ceinture ou le jet doré ?
— Oooh ! d’accord maître, le jet doré !
— Ouvre la bouche
Elle prend mon sexe mou dans sa bouche. Je me détends et lâche doucement ce qui me reste dans la vessie. Je la regarde. Ses yeux effrayés, affolés alors qu'elle prend le jet chaud acide au fond de la gorge, s’étouffant et ne pouvant tout avaler. Il y en a trop. Elle s’étouffe, tousse, déglutit comme elle peut. Cela coule sur son chemisier, le souillant. Elle en a trop honte alors qu'elle en prend sur la figure en se débattant. Le jet finit par se tarir et elle arrive à en avaler encore un peu.
— Fais moi jouir maintenant ! Je t’autorise même à te caresser en même temps…
Je laisse faire Marie-Catherine qui suce mon membre qui commence à grossir dans sa bouche. Elle en a les larmes aux yeux mais elle monte et descend avec ses lèvres gobant cette hampe de plus en plus dure. Je sens ses lèvres m'envelopper, mon gland au fond de sa bouche, attendant qu'elle le prenne plus profondément. Elle l’embouche au maximum, sentant le gland percuter sa luette avec un haut le cœur. Je la tiens par les cheveux pour forcer. Ses deux mains s'agrippent à mon fessier. Elle a du mal à respirer mais sa langue s’active sur le prépuce vibrant d’excitation.
— Gobe-moi à fond ma salope ! Je sens que ça vient !
Elle va et vient un petit peu, pour mieux pomper ce phallus envahissant. Je ne me retiens plus. Elle sent le premier jet de foutre inonde le fond de sa gorge, suivi d’un second. Avec sa tête fermement tenue, elle ne peut qu’avaler pour ne pas s’étouffer puis un troisième jet et sa tête recule pour que les deux suivants viennent lui refaire le maquillage. Elle a la figure maculée de sperme. Elle a fermé ses yeux craignant la conjonctivite. Je grogne. Je regarde son visage repeint avec mon foutre.
— Ce maquillage te va bien, tu devrais le faire tous les matin, hahahaha !
Je la vois s'effondrer en pleurs, terriblement humiliée.
— Nettoie bien et range tout, il est l'heure de rentrer !
Elle reprend ma bite en bouche et aspire les dernières gouttes pour la faire reluire. Je la regarde faire et tout remballer dans mon pantalon. Je l'aide à se relever pour que nous retournions vers le parking désert.
— Puis-je m’essuyer maître ?
— Pourquoi ? N'es tu pas fière de ce maquillage ?
— Non pas vraiment maître, j’ai trop honte si on me voit comme ça ?
— Rassure-toi, on ne te verra pas… Donne-moi tes clés de voiture !
Elle regarde partout autour de nous pour s'assurer qu’il n'y ait personne puis en tremblant, elle me tend ses clés. J'ouvre le coffre de sa voiture, un petit SUV.
— Tu es une chienne, n'est ce pas ?
— Ooh ! snif… oui maître !
— Alors, fous toi à poil… Et monte à la place qui te convient…
— Mais maître on est sur le parking !
— Oui et alors ? Il n'y a personne, mais si tu discutes de trop le prochain train va arriver… à toi de voir !
— Non, je vous en supplie maître ! Il y a des immeubles autour d’où on peut me voir !
Plus tu traînes et plus les gens vont se poser des questions…
— Soyez sérieux maître, s'il vous plaît !
— Il te reste trois minutes avant l'arrivée du train et tout le monde va voir ton maquillage.
— Je ne peux pas, maître !
— Ce sera vingt coups de ceinture devant Bernard.
— Si vous voulez mais je ne peux être nue sur le parking.
Je sors le collier et la laisse de mon sac et je le lui tends.
— Tu sais quoi faire avec…
— Oui maître, me répond-elle en mettant le collier autour de son cou avec la laisse accrochée dessus.
— Monte… à ta place…
— Oui maître ! Dit-elle, soulagée de ne pas avoir à se mettre nue sur le parking alors que le flot de voyageurs arrive venant prendre leur voiture.
— Où est la place qui te convient ?
— Je ne sais pas maître, à côté du conducteur ?
— Tu pues la pisse et tu as le visage enspermé, tu crois que je vais le montrer avec une souillon telle que toi ? Réfléchis !
— Heu… je… je… non… dans…dans le… le coffre ?
—Alors, dépêche-toi !
Anéantie, elle monte dans le coffre, heureuse de ne pas être nue.
— Attention je referme !
Je la vois se recroqueviller quand la porte se rabat. Je ferme la voiture et me dirige vers le café de la gare où je décide de prendre un demi avant de rentrer, laissant Marie-Catherine mariner dans son jus.
***
Quand j'arrive dans le jardin de mes voisins, je me gare pour que le coffre ne soit pas visible de la rue. Je l'ouvre et invite Marie Catherine à en sortir.
— Mets toi nue !
Elle se déplie, ankylosée et aveuglée par l’ouverture ne sachant pas très bien où elle est, elle refuse de se déshabiller.
— Tu auras dix coups de ceinture sur la poitrine… en plus des vingt sur ton cul devant Bernard… À poil, vite !
— Mais, je suis devant la maison, dans ma cour !
— Oui, je t’ai ramenée et je crois que Bernard te regarde.
— Mais il pourrait ne pas être le seul, on peut me voir de la rue
— Non, je t’assure…
— Je vous assure que si, le voisin en face et des cyclistes ou voitures qui passeraient…
— Tu veux dix coups de plus ?
— Non, mais s’il le faut ?
— Dépêche-toi de te mettre à poil pour que je te rende à Bernard…
— Mais pourquoi vous n’en avez pas assez eu ?
— C’est moi qui décide !
Je comprends alors qu'il me faut employer les grands moyens pour lui faire accepter cet ordre. Je sors mon téléphone et lui montre les photos avec le prénom de sa fille.
— Je lui envoie une photo ? Ce matin, tu as sucé Frédéric ici ! Non ? Tu n'as pas fait tant de manières…
— Non pas d’envoi de photos, s’il vous plaît !
— Tu sais ce que tu as à faire…
Elle commence à se dévêtir en essayant de se cacher derrière la voiture. Quand elle est nue, je prends la laisse et me dirige vers la porte ou je frappe. Bernard vient de suite ouvrir. Il découvre son épouse nue, tenue en laisse. Je vois un sourire satisfait sur son visage.
— Bernard, je te ramène Marie-Catherine, elle a eu un problème aux toilettes ce qui explique sa tenue.
— Et ? Me répond-il.
— Et… elle a quelque chose à te dire.
— Il m’a fait boire son urine et j’ai dû le piper en avalant…
— Oui bien et ? reprend Bernard
— Continue ! dis-je.
— Il voulait que je mette toute nue sur le parking et je n’ai pas voulu.
— Parfait et où est le problème alors ? dit-il.
— Continue ! dis-je à nouveau.
— J’ai dû me mettre, sans autorisation de m’essuyer, le collier et la laisse puis monter dans le coffre où je suis restée longtemps à me morfondre puis on a roulé jusqu’ici sans que je m’en aperçoive ensuite il a voulu encore que je me déshabille et je n’ai pas voulu mais quand il m'a menacé d’envoyer des photos dégradantes à nos filles je me suis déshabillée entièrement.
— N'oublies-tu rien ? Lui dis-je.
— Il veut me fouetter pour désobéissance.
— Je lui ai promis vingt coups de ceinture sur les fesses et dix coups sur la poitrine devant toi, qu'en penses-tu ?
— Ah oui ? C’est pas bien de désobéir, mais pourquoi devant moi ou que devant moi ?
— Je pense que tu dois être au courant et tu es son mari, il est normal que tu assistes à ses punitions.
— Bien sûr, je t’en remercie. Mais je ne sais pas si cela peut être efficace devant moi ?
— Une autre fois, cela pourra être devant d'autres personnes.
— Pourquoi procrastiner ?
— Le voisin n'est pas chez lui…
— C’est toi qui vois. Es-tu sûr que Frédéric n’est pas là ?
— Sa voiture n'est pas dans son allée et sa maison est fermée.
— Alea jacta est !
— Alors que décide-t-on ?
— Hihihi ! une visio ! hahaha !
— Bonne idée
— Vas-y ! Connecte-toi ! Me dit-il.
— Avec qui ? je ne connais personne !
— N’as-tu pas de contacts ? des amis ? des collègues ?
— Hélas, personne qui ne comprendrait cette situation particulière, répondis-je désolé.
— Tu parlais du notaire ? ou l’employé de banque ?
— Je préférerais être sûr de leur fiabilité avant. Ne le crois-tu pas ?
— Je ne sais pas bof peut-être !
— Le maire ?
— Bonne idée, lol !
— Tu as ses coordonnées ? Tu l'appelles ?
— Oui, c’est possible oui ! Mais j’aimerai mieux ne pas apparaître pour des raisons personnelles à propos de qui tu sais, mais tiens ! Voilà son numéro tu peux l’appeler !
— Je comprends, oui. Je vais faire… mais où si tu ne veux pas apparaître ?
— Où tu veux du moment où je ne suis pas dans le champ de vision.
— Dans votre garage ?
— Oui ! ou jardin ou la rue en fond de vision ?
— J'ai une idée perverse, dis-moi si tu es d'accord…
— Oui ?
— As-tu un vêtement qui me permette de rester anonyme ?
— Oui ! On a quel costume de carnaval avec masque, genre Zorro ou bourreau ou Thierry la Fronde ???
— Zorro me va très bien !
— Ok ! Pas de problème, il me faut cinq minutes. C’est bien rangé.
— OK ! Je contacte le maire et toi tu contactes Sophie. Il est bon qu'elle voit à quoi ressemble une punition… on leur dit de se connecter dans quinze minutes. Ça te va ?
— Parfait bonne idée
— Je te laisse contacter Sophie et lui dire comment tu veux qu'elle soit.
Bernard appelle Sophie en lui demandant d'être en sous-vêtement visible dans l’échange visio. Surprise par cette demande alors qu'elle est toujours en train de télétravailler, elle en demande la raison à son Maître.
— Pour découvrir ce qui arrive quand on pose des questions au lieu d’obéir ! Répond Bernard fermement.
— Oui je vais me connecter, dit-elle effrayée. Mais si mon mari arrive…
— On obéit c’est tout c’est simple ! c’est inéluctable !
Je l'entends répondre “Oui Monsieur Bernard !”
Pendant ce temps, je compose le numéro du maire qui décroche rapidement.
— Monsieur le Maire, un ami commun avec des centres d’intérêt commun m’a communiqué votre numéro.
— Oui et ?
— Dans quinze minutes, connectez-vous en visio à ce numéro et je vous promets une surprise.
— Je suis très occupé de quelle genre la surprise parce que mes opposants adorent m’en faire.
— Je ne suis pas un de vos opposants et cela n’a rien de politique. Cela a un rapport avec votre rendez vous de onze heures ce matin.
— Houla bigre ! Je suis joueur ! Je vais me connecter.
— A tout de suite ! Et je raccroche.
Avant de passer à la suite, je trouve le numéro de Jacqueline. Comme elle possède un centre équestre réputé dans le secteur, ce ne fut pas difficile. Je lui propose la même connexion qu'au maire. Je constate que la référence au rendez-vous de onze heures a le même effet sur Jacqueline que sur le Maire.
***
Je demande ensuite à Marie-Catherine de me suivre dans le jardin, se sachant victime expiatoire, acceptant son châtiment pour n’avoir pas obéis, mais la redoutant terriblement.
Pendant que Bernard installe ce qu'il faut pour la visio, je fais passer une corde au-dessus d'une branche. Je ligote les poignets de ma victime à la corde. Je tends la corde ce qui oblige Marie-Catherine à se mettre sur la pointe des pieds.
— Tu as quelque chose pour lui tenir les pieds écartés ?
— J’ai plus, non !
— Une branche avec de la ficelle ? Ça peut le faire ?
— Ou un manche à balais.
— Oui. Très bien !
Bernard m'apporte ce matériel. Je finis de préparer Marie-Catherine et quand elle est bien attachée, je passe une main entre ses cuisses. Sans surprise, elle est trempée. Je joue un peu avec son clitoris, elle se tortille dans ses liens en gémissant.
— Bernard, as-tu un cintre à pantalon ?
— Avec des pinces ? Oui j’ai ça.
Je lui souris. Je n'ai rien besoin de lui demander qu'il va en chercher un. Pendant ce temps, je vais chercher les vêtements sales de Marie-Catherine que je mets dans un sac.
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