samedi 26 avril 2025

Chantage à la Campagne - 14

 

J'appelle Bernard pour l'informer de la situation.

— Alors mon gars t’a merdé je crois... tu as cassé ton jouet… Bon on va voir comment réparer ça. Il faut que j’y réfléchisse. Ta femme a du caractère et la prendre bille en tête ne fut pas le bon choix.

— Possible ! Pourtant, je ne l’ai accusée de rien, je lui ai juste posé une question.

— Je ne sais pas ce qui s'est réellement passé mais bon cela doit pouvoir s’arranger… il ne reste plus qu’à te venger sur ma femme, me dit en rigolant.

— Elle est sur les nerfs et du coup, elle a disjoncté…

— C’est ce que j’ai compris… mais, là, même mon chantage ne pourra plus vraiment fonctionner, dans l’immédiat…

— J'ai rien mangé, je réfléchirai mieux le ventre plein… Elle a une réputation à tenir. La menace de la vidéo sur les écrans sera plus forte que si tu la menaces de me montrer les photos… 

— Pour le moment dans son état elle préférera se foutre en l’air et tout le reste lui semblera surfait… Laisse passer la nuit… que le volcan se calme

— Oui, je sais bien.

— Si tu as faim, on pourrait aller au restaurant tous les trois avec ta soumise ? 

— Avec plaisir, je vous invite. Choisis le resto !

— C’est gentil ! OK, le Buffalo Grill ça te convient ?

— Oui, il y a des petits recoins tranquilles, mais Marie-Catherine sera en état ?

— Absolument ! Et oui, elle va mieux. Marquée physiquement mais excitée par tout cela. Envoie-lui tes instructions !

***

Ma salope, on sort dîner au resto, tu remets les habits qui son dans le sac, sans sg ni string”

mais Maître ils sont pas propre

Comme cela tout le monde saura que tu ne sais pas bien tout avaler”

oooh bien Maître”

Et demande à Bernard d'écrire Salope sur tes mamelles avant de mettre ton chemisier”

bien Maître”

J'arrive dans 5 minutes, soit prête.”

***

Quand je sonne, Marie-Catherine porte son chemisier et sa jupe auréolée. Je devine les inscriptions. Elle me salue en baissant la tête. Je prends le temps de la regarder de haut en bas, je grimace. Bernard arrive derrière elle et ferme la porte en me disant qu’elle sent un peu fort.

— Oui et la jupe est un peu trop longue à mon goût…

— Ah bon ? elle est pourtant déjà à mi-cuisse.

— Comme elle va avoir des vêtements propres j'aimerais mi-fesses

— Des vêtements propres ? Mi-fesses ? faut-il que je me change, Maître ?

— Oui on ne va pas aller manger avec une pute qui sent la pisse !

— Bien Maître !

Bernard rouvre la porte et nous montons tous les trois dans la chambre.

— Je change de porte-jarretelles ?

— Non, il n'est pas souillé !

— Bien Maître ! Quelle jupe voulez-vous ? Qu’entendez-vous par mi-fesses ?

— Montre-moi ce que tu as !

Marie-Catherine me montre ses jupes courtes, je jette mon dévolu sur une jupette de tennis blanche.

— Mais Maître ! Cela ne cachera pas mes jarretelles !

— Et ? lui dis-je.

— C’est indécent Maître !

— Tu mettras ton string rouge dessous ça fera moins indécent.

— Oooh, bien Maître ! Et pour le chemisier, en voilà plusieurs plus ou moins transparents.

— Celui en voile rouge, il sera assorti au string.

— Bien Maître !

Elle ne veut plus être fouettée et obéit, rougissant en se regardant dans la glace. Ses jarretelles dépassent de la micro-jupe et ses seins sont visibles sous le chemisier. Bernard accepte que sa femme sorte dans cette tenue en me disant que je devrais gérer l’environnement. Pour ne pas faire trop de scandale dans la rue, je demande à Marie-Catherine de prendre sa veste, un blazer avec deux boutons qui fermés, ne laissera pas trop visible sa poitrine.

— Ouvre un bouton de plus au chemisier !

Avec ce bouton ouvert, nous constatons que le sillon mammaire devient bien visible, je lui demande malgré tout d’ouvrir un second bouton ce qui lui dégage un peu les seins et du coup, aussi, les hauts des inscriptions, devinable, sous la transparence du chemisier.

— Bien ! Tu as les plugs que je t'ai offert ?

— Oui, Maître !

— Va les chercher !

Elle revient quelques minutes plus tard avec ses trois plugs métalliques. Je choisis celui qui fais cinq centimètres. Elle grimace, l’intromission va être délicate. Sachant que cela arriverait, elle avait pris un tube de lubrifiant. Elle enduit le monstre et commence à l’introduire en serrant les dents.

— Souris ma pute, lui dis-je.

— Bien Maître, me répond-elle, en esquissant un sourire.

Le plug finit par être en place en dilatant son rectum. Je lui montre alors mon dernier achat, un œuf vibrant commandable depuis mon téléphone.

— J'ai acheté cela, il n'y a pas longtemps, tu connais ?

— Oui Maître, je connais !

— Tu sais donc quoi en faire !

— Oui Maître, le mettre dans ma chatte !

— Dans ta chatte de... ?

— De salope, Maître !

— Bien ! je pense que tu es prête. Tu conduis, Bernard ?

— Oui donne-moi les clés.

Je lui donne mes clés. Tandis que Marie-Catherine s’installe à l’arrière, je lui demande de s’asseoir au milieu et de mettre ses mains sur les appuie-têtes sans oublier de garder ses genoux bien écartés. Elle se sent vulnérable, exposée ainsi d’autant plus que d’avoir les bras en croix cela lui remonte sa poitrine. Je vais ouvrir tous les boutons du chemisier et j’écarte les pans, dévoilant les inscriptions.

Bernard attend que je monte pour démarrer. Il va nous falloir un bon quart d’heure pour arriver au Buffalo Grill. D’autant plus qu’il traverse la ville avec tous ses feux tricolores. Pendant qu’il conduit, Je joue avec les vibrations de l’œuf après avoir ouvert les vitres arrière ce qui expose encore plus ma soumise.

— Si quelqu’un te regarde, tu lui souriras et tu sortiras ta langue, lui ordonné-je.

— Bien Maître !

— Tu peux y aller Bernard !

— C’est parti OK.

Comme il est assez tard et que nous sommes en milieu de semaine, il y a peu de monde dans les rues. Mais, au premier feu rouge, j'augmente les vibrations ce qui fait sursauter Marie-Catherine qui serre les genoux. La menace du retour de Zorro lui fait écarter à nouveau les jambes ce qui dévoile ses jarretelles ainsi que le blanc de sa peau au dessus des bas. Au quatrième feu, je lui demande :

— Comment est ta chatte de pute ?

— Je mouille, Maître !

— Prête à servir ?

— A votre service, Maître, j’ai pas le choix !

— Au service des mâles !

— Oooh ! Si vous voulez, Maître !

— Bernard, le Buffalo n'est pas loin du Mac Do et de l'aire de repos ?

— Effectivement, mon cher !

— Nous pourrions donc y aller à pied pour une balade digestive ?

— Cela peut se faire bien sûr !

— Ma salope, peut-être que tu reverras tes amis routiers ?

— Mon Dieu ! pas ça, Maître !

— Tu veux voir Zorro ?

— Non, non, oui!Cela serait bien de revoir mes amis routiers, Maître !

— Tu te souviens des tarifs ?

— Non, je ne sais plus je suis fatiguée !

Je souris à Bernard, en lui demandant s'il se souvient des tarifs dont nous avions parlé lors de notre barbecue. Concentré sur sa conduite, il surveille trois motards au comportement louche qui font du rodéo, derrière nous, il ne peut pas me répondre. Je vois dans le rétroviseur le comportement de ces petits cons mais Bernard arrive à les semer et avant que nous arrivions sur le parking, je donne une dernière impulsion à l'œuf, ce qui fait gémir Marie-Catherine. A ma demande, Bernard gare la voiture sur le parking le plus loin possible de l’entrée.

— Très bien Bernard, cette place est parfaite ! Ma salope ! Enfile ton blazer mais garde le chemisier ouvert.

Marie-Catherine recouvre son chemisier ouvert par son blazer. Je lui autorise à fermer les boutons lorsque nous traversons le parking où des familles viennent récupérer leur voiture après avoir dîner. Cela cache l’ouverture du chemisier mais laisse encore un le décolleté vertigineux.

— Tu connais ce restaurant Bernard ?

— Celui-là, non, mais ils sont tous pareil, avec des petits box sympathiques !

— Oui, tu as eu une bonne idée de venir ici.

— Tout est fait pour te faire plaisir

— Je te remercie.

La jeune employée qui nous accueille, reste un peu indécise en découvrant Marie-Catherine, enfin surtout sa tenue, je pense.

— Qu'y a-t-il mademoiselle ? lui demandé-je.

— Rien monsieur, me dit-elle, le rose aux joues. Quelle place désirez-vous ? Un box ou la salle ?

— Une place dans un box tranquille, s’il vous plaît. Mes amis aiment le calme.

— Suivez-moi !

Nous la suivons. Je vois quelques regards vers Marie-Catherine, choqués ou admiratifs. J’entends des commentaires : “t’as vu ?” “on voit ses jarretelles !”

Marie-Catherine les entends aussi ce qui la fait rougir et elle sent sa moule couler. Malgré la honte de cette exposition, elle commence à être excitée.

— Tu as du succès ma chère ! Bernard tu as de la chance d'avoir une femme qui attire autant les regards !

— Hahaha ! La faute à qui ? Hahahah ! me dit-il.

— C'est notre table ? demandé-je à la serveuse qui nous présente un box isolé loin des autres clients, au calme comme je le lui avais demandé.

— Oui, elle ne vous convient pas ?

— Si, très bien ! Bernard qu'en penses-tu ?

Il jette un regard complet autour d’eux et voyant qu’il y a un peu de monde, sans enfants, il répond que cela lui convient parfaitement. Je remercie l’employée et nous nous installons de manière à ce que Marie-Catherine tourne le dos à la salle.

— Retire ton blazer, ma pute !

— Je… Bien Maître ! dit-elle en le retirant pour l’accrocher à la patère installée sur le box.

— Ferme un bouton. Il faut un minimum de décence en public, n'est ce pas Bernard ?

— Tout à fait, il ne faut pas faire scandale.

Après qu’elle a attaché un bouton, je lui demande de retirer son string, car il n’est pas vraiment utile. Nous la regardons essayer d’être la plus discrète possible pour le faire glisser, en espérant ne pas être vue, par les clients des tables de la salle.

— Pose-le sur la table !

— Oooh… Oui, bien Maître ! dit-elle, en le roulant en boule sur la table.

— Tu as honte des dessous que j’ai choisis pour toi ?

— Oh ! Heu… Non, non, Maître ! Ils sont très beaux !

— Alors pourquoi le mets-tu en boule ?

— Pour qu’il n’attire pas les regards, Maître !

A cet instant, la serveuse arrive pour prendre la commande.

— Mademoiselle, mon amie a trouvé ceci sous sa chaise !

— Oh, excusez-nous ! dit-elle en rougissant.

— J’espère que ce n’est pas le vôtre, dis-je en rigolant.

— Oh ! Monsieur, non, non, bien sûr, je en… Enfin, non !

— Je n’en doutais pas mademoiselle, mais je voulais en être certain. Vous n’êtes pas le genre de jeune femme à porter ce type de sous-vêtements vulgaires.

Elle rougit sans répondre et nous demande ce que nous avons choisi. Elle note nos commandes et retourne en cuisine sans oublier d’emporter le string.

Quelques minutes plus tard, un jeune homme nous amène les apéritifs avec les amuse-gueules. Bernard et moi remarquons son regard vers la poitrine de Marie-Catherine.

— Merci, dis-je. Quelque chose semble vous perturber ?

— Heu… non, non, monsieur, pas de problème… mais… non, non, rien…

— Mais si, dites…

— Non ! Tout va bien, rien à dire. Bon appétit !

— Allez ! Dites-nous ce qui vous perturbe…

— Vous ne direz rien au patron…

— Mais non, bien sûr….

— Le patron nous a engueulés pour le string… Alors que je pense que c’est celui de madame que j’ai vu quand vous êtes passé à côté de moi. Je relaçais ma chaussure… je suis sûr que... enfin c’est… c’est celui de madame !

— Excusez-nous, en effet c'est celui de madame. Elle se sent mieux sans string. N'est-ce pas ma chère ?

— Oui Maître !

— Explique à ce jeune homme pourquoi tu te sens mieux sans string.

— Heu… C'est-à-dire… enfin que… Voilà, je… j’ai… j’aime être vue !

— Alors, montre à ce jeune homme ce que tu as envie que les gens voient !

— Gloup ! Bien Maître ! 

Sous les yeux exorbités du garçon qui rougit, elle déboutonne son chemisier et le laisse s'entrouvrir.

— Vous savez lire, je suppose ?

— Heu… oui !

— Que lisez-vous ?

— Heu… Slurp !

— N'ayez pas peur, cela restera entre nous !

— Heu… Salope ! Finit-il par dire.

— Pourquoi est-il écrit salope sur tes seins ?

— Parce que je suis une salope qui aime être vue…

— Juste vue ?

— Non, Maître !

— Quoi d'autre ?

— Heu j’aime être caressée, Maître !

— Et ?

— Oh non, Maître !

— Zorro va arriver…

— Non, non, s’il vous plaît ! Heu… j’aime sucer, Maître !

— Aimez-vous être sucé jeune homme ? Lui demandé-je.

— C’est gênant et je travaille monsieur, il faut que j’y aille, d’ailleurs !

— Je comprends. On continuera cette discussion au prochain plat.

— Bien monsieur, merci, bon appétit !

— Merci jeune homme.

Je regarde Bernard, par rapport à lui je me sens en formation. Je compte sur lui pour renforcer mes compétences. Bernard sourit d’un air approbateur en sirotant sa Suze et grignotant les cacahuètes

— Ma salope, tu vois cette carafe d'eau ?

— Oui, bien sûr Maître !

— Tu vas en boire trois, avant la fin du repas.

— Heu, oui Maître ! Trois carafes ça doit faire trois litres ?

— Non, trois fois soixante-quinze centilitres, ça fait deux litres et demi, précise Bernard.

— Alors tu en boiras quatre pour faire trois litres…

— Oooh, non ! Non, Bernard je t’en prie, ne laisse pas faire ça !

— Cela te pose un problème ma salope ?

— No… non, Maître !

— Bien ! Alors, commence à boire.

— Oui, Maître !

— Bernard, penses-tu pouvoir avoir de la sauce spéciale pour la salade de Marie-Catherine ?

— Pardon ?

— Un peu de jus d'homme !

— Oui j’ai les couilles bien pleines mais, je ne vois pas ?

— C'est dommage, Sophie m'a totalement vide… Je ne la pensais pas aussi salope et gourmande.

— Et donc ? dit Bernard.

— Marie-Catherine n'aura pas de vinaigrette spéciale. Car je ne vois pas comment faire.

— Regarde autour de toi !

— Il n'y a personne… 

— Il y a au moins quatre hommes… pas loin… et les serveurs, sans parler du patron…

— Oui bien sûr… mais on risque le scandale ?

— Bien sûr, mais avec de l’imagination, est-il difficile de savoir demander aux bonnes personnes ?

— Il faut savoir les repérer et avoir les bonnes paroles. Je n’ai pas ton expérience !

— Le serveur peut peut-être faire un effort si bien demandé ou un de ses copains en cuisine.

Je regarde partout, je me demande comment réussir à satisfaire cette envie perverse de voir Marie-Catherine manger sa salade assaisonnée au sperme. Je suis un peu déçue que cela ne puisse se réaliser. A la maison, c’était amusant mais en public dans un restaurant, cela aurait été jouissif. Je me résous à abandonner cette idée.

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