jeudi 22 mai 2025

Erika : Dresseuse de Couples -21- Un Week-End à la Campagne


— Allô ! Melody… je te laisse ce message que tu écouteras plus tard… si tu veux venir passer un week-end à la ferme, j’ai organisé une surprise pour mes petits couples.

Erika ne s’attendait pas à ce que son amie lui réponde rapidement car chez elle, Melody a l’habitude de laisser son téléphone dans son sac à main.

Ce n’est pas grave, elle mettait le point final à ce week-end. Elle a convié les quatre couples qu’elle a pris sous son aile, ou plutôt sous contrôle. Elle voulait qu’en rentrant chez eux, ils comprennent que dorénavant c’est elle qui régirait leur vie.

Le vendredi soir, comme prévu, Gilles et Élise arrivent les premiers. Dès qu’ils sortent de voiture, Erika leur impose de se mettre nus, Gilles toujours avec sa cage et Élise avec sa ceinture de chasteté. Elle demande à Gilles de mettre un nœud papillon et à Élise, un petit tablier blanc de soubrette. Elle les met au travail immédiatement pour que les chambres soient prêtes pour l’arrivée des autres couples. Elle avait prévu quatre chambres, une bleue, une rouge, une jaune et une verte en plus de la sienne et de celle de Melody.

Pour le repas, pour faire simple, elle a commandé chez un traiteur du village voisin. Ses deux esclaves n’auront plus qu’à dresser les tables pour le buffet.

Elle a planifié l’arrivée des couples pour qu’ils n’arrivent pas tous en même temps. À l’heure prévue, Jean-Bernard et Monique arrivent. Erika les accueille dans un tailleur noir, chaussée de grandes bottes de cuir. En retrait derrière Erika, Gilles et Élise se tiennent debout. Tout comme Jean-Bernard qui les reconnaît, ils esquissent un frisson de crainte.

— Bonsoir, je vous félicite pour votre ponctualité !

— Merci Madame Erika…

— Bien je vous explique brièvement ce qu’il va se passer maintenant…

Le couple l’écoute attentivement.

— Tout d’abord vous allez chacun tirer une boule dans ce pot. Une rouge pour Monique et une noire pour Jean-Bernard… Ouvrez-les et dites-moi ce qui est écrit sur le papier !

— Rouge ! dit Monique.

— Bleu ! dit Jean-Bernard.

— Bien, donc vous allez suivre Soubrette qui va vous indiquer vos chambres respectives où vous vous conformerez aux instructions qui se trouvent sur la coiffeuse.

— Oui Madame Erika, disent-ils avant de monter derrière Élise.

— Jean-Bernard a du mal à détacher les yeux de la croupe de la jeune médecin qui monte devant lui tandis que Monique frissonne en voyant la ceinture de chasteté qui emprisonne ce ventre.

Dans leurs chambres respectives, ils découvrent les consignes qu’ils devront suivre tout au long de ce week-end. Jean-Bernard sera Sieur Bleu, Monique, Dame Rouge. Ils doivent se déshabiller complètement. Jean-Bernard trouve un bandana bleu à porter autour de son cou et Monique un ruban de velours rouge. Ils partageront la chambre avec celui ou celle qui tirera la même couleur dans le pot. Quand ils sont prêts, ils doivent attendre dans la chambre le signal d’Erika pour redescendre.

Quelques minutes plus tard, c’est le couple formé par Pierre et Florence qui arrive. Florence tire la chambre jaune et Pierre l’orange.

Erika se demande comment les couples vont se recomposer, quand les quatre pièces seront occupées. Elle s’en est remise totalement au hasard.

Olivier se retrouve dans la chambre rouge avec Monique. Il est très gêné d’être ainsi devant sa belle-mère nue. Il n’ose pas lui adresser la parole. Ses yeux ont beaucoup de mal à se diriger vers les seins et le pubis de celle qui partagera son logis. Une fois qu’il a découvert son corps et son petit cul, il ne la trouve finalement pas si abîmée par le temps ! Quant à Monique, en découvrant le sexe d’Olivier enfermé, elle est plus qu’étonnée et, commence à en être excitée, tout comme l’avait été quand elle avait vu la ceinture de chasteté d’Élise.

Marie-Gabrielle se retrouve avec Pierre, qui, lui, est ravi de découvrir cette petite rousse appétissante.

À leur arrivée, Clément rejoint Florence, un peu gêné de voir la collègue de sa femme totalement nue et Marguerite se retrouve devant Jean-Bernard qui salive d’avance à l’idée de fesser ce gros cul.

Sur le moment, les amants d’un week-end ne savent pas vraiment quoi se dire. Ils se sont tous changés, enfin mis nus puis ont attaché leur bandana ou leur ruban de velours de la couleur correspondant à leur chambre. Chacun examine ouvertement ou furtivement le corps dévoilé de son compagnon de chambrée, dans un silence troublant. Mais, ce temps de gêne est vite rompu par la cloche qui les invite à rejoindre Erika et Melody qui les attendent pour commencer la soirée.

Un par un, les couples arrivent dans le salon pour se présenter dans le plus simple appareil devant leurs hôtesses du week-end. Erika, toujours vêtue de son ensemble de cuir noir, tenant une cravache à la main, passe les quatre couples en revue s’amusant à faire réagir de la pointe de la cravache, un téton ou un sexe pendant.

— Bonjour mes amis, je vous ai réunis pour que nous passions un week-end agréable. Je pense que vous vous connaissez presque tous, mais je vais inviter chacun et chacune d’entre vous à présenter sa moitié et nous dire ce qu’il a envie de lui faire. Commençons par le couple bleu ! Monsieur Bleu, présentez-nous Dame bleue !

Jean-Bernard, alias Monsieur Bleu, regarde Marguerite. Il ne sait pas vraiment comment exprimer ce qu’il ressent devant ce corps obèse. Il hésite un peu avant de se lancer.

— Dame Bleue est une personne aux formes généreuses qui appellent à la fessée avec un cul qui se doit d’être particulièrement exploré. Quant à sa poitrine, ou devrais-je dire ses mamelles, c’est un régal de les voir se balancer à chaque mouvement.

Erika demande à Marguerite de s’avancer et de tourner sur elle-même pour bien s’exposer aux regards des autres.

Clément présente sa Dame. Il le fait avec un plaisir non dissimulé. Pierre décrit Marie-Gabrielle avec emphase et explique qu’il attend avec impatience le moment où il guidera sa bouche sur son sexe. Il a hâte de forcer cette gorge en agrippant la chevelure rousse de sa compagne.

Olivier rougit en présentant sa belle-mère mais décrit avec un grand sourire comment il fera rougir ses fesses encore fermes malgré son âge.

— Bien ! Maintenant que les présentations sont faites, nous allons pouvoir passer à des choses plus ludiques, dit Erika en regardant ces quatre couples. Melody explique à nos invités le premier jeu…

— Il est très simple, dit Melody. Ces dames vont s’asseoir dans le fauteuil correspondant à leur couleur. Ces messieurs vont devoir faire jouir leur dame le plus rapidement en utilisant uniquement leur bouche. Les mains doivent rester dans le dos ! Le gagnant est celui qui va faire jouir sa dame le plus vite possible et la gagnante sera celle qui résistera le plus longtemps.

Troublées et excitées, Marie-Gabrielle, Florence, Marguerite et Monique s’installent chacune sur leur fauteuil respectif et écartent leurs cuisses le plus largement possible.

— Prêts Messieurs ? En place !

Aussitôt les quatre hommes s’agenouillent entre les cuisses de leur partenaire, mains dans le dos. Clément met tout son cœur à lécher la chatte de Florence et remporte cette manche, suivi de peu par Pierre avec Marie-Gabrielle. Le résultat est bien plus serré entre Olivier, gêné de devoir lécher sa belle-mère et Jean-Bernard empêtré dans les poils de Marguerite. Pendant le sprint final, Jean-Bernard coiffe Olivier sur le poteau car Marguerite lance un cri de jouissance quelques secondes avant Monique.

Erika permet aux femmes de récupérer quelques minutes avant de lancer le défi suivant. C’est au tour des dames de faire jouir leur partenaire avec leur bouche. Mais elle ajoute une petite difficulté, elles devront montrer le résultat de leur performance avant d’avaler le sperme des hommes.

Monique l’emporte haut la main, car Olivier, frustré depuis des jours, ne parvient pas à se retenir. Florence profite de l’excitation de Clément appréciant d’être sucé par la superbe collègue de sa femme et d’avoir pu la lécher. Marguerite vient à bout de Jean-Bernard bien avant que Marie-Gabrielle ne fasse jouir Pierre qui avait fait l’amour avec Florence avant de partir.

Quand tous les protagonistes ont récupéré, Erika les invite à se rendre, juste vêtus de leurs foulards colorés, dans la salle à manger où se trouvent les deux domestiques. Le couple de médecins asservi a dressé la table dans les règles de l’art. Gilles devra veiller à ce que les convives ne manquent de rien.

Une fois les toasts échangés, Erika prend la parole.

— Il est temps de vous annoncer les récompenses et les punitions après ces défis ! Melody, à toi l’honneur d’annoncer le palmarès.

— Vainqueur du concours de cunnilingus : Sieur Jaune, sa récompense : pouvoir user de la bouche d’Élise pendant le repas.

Pendant que tous applaudissent, Marguerite regarde tristement Clément. Elle se demande si après avoir pu profiter d’aussi jolies femmes pendant ces deux jours, il va continuer à l’aimer. Melody continue :

— La Dame Rouge est la grande gagnante du concours de fellation. Sa récompense sera d’avoir un orgasme par Élise entre le dessert et le café.

Élise qui entend cela blêmit. Elle n’a jamais vraiment été attirée par les relations entre femmes et ce soir, elle va devoir lécher une septuagénaire. Monique est partagée entre deux sentiments, c’est aussi quelque chose de nouveau pour elle, va-t-elle apprécier ?

L’annonce des punitions qui seront infligées le lendemain, fait frémir Olivier qui n’a pas su faire jouir sa belle-mère. Il subira une sodomie par les trois autres mâles, nettoyés après chacune d’elle par Florence qui n’a pas su se retenir de jouir. Elle ne s’attendait pas à cela du tout ; rouge de honte elle n’ose rien dire.

Quant à Pierre, il se réjouit d’avance de pouvoir faire rougir le fessier de la rousse. Et, avec l’accord d’Erika, il pourra l’enculer après la punition.

Cette soirée s’annonce chaude ! Tous les convives se sont installés autour de la table, Erika préside et donne les ordres nécessaires pour que tout se passe bien. Élise et Gilles se tiennent debout derrière elle. Gilles avec son sexe en cage et son petit nœud papillon est prêt à servir les plats. Quant à Élise, elle exécutera les consignes pour donner leur récompense aux gagnants. C’est Erika qui donnera le “top départ”.

Une fois l’entrée servie à tous les convives, Erika fait signe à Élise de passer sous la table. Elle sait ce qu’elle a à faire. Elle se dirige vers Sieur Jaune qui écarte rapidement les jambes pour qu’elle accède à son sexe. Elle le prend dans la main pour le rendre plus dur encore qu’il n’est. C’est du solide ! Elle s’approche de cette hampe virile et la prend en bouche pour sucer lentement afin de faire durer le plaisir.

Clément est aux anges. Il ne dit rien mais tous se rendent compte par ses mimiques que quelque chose se passe ! Il semble se retenir de parler, de laisser voir la jouissance qui monte. Les yeux de tous les convives convergent vers lui lorsqu’il fait entendre un long soupir… Et cela se reproduit trois fois. Élise sait faire ! Tout le monde est ébahi devant la situation. Une belle récompense !

Puis, une fois le dessert servi, Erika ordonne d’une voix forte à Élise de sortir de dessous la table. Elle semble tellement fatiguée. Mais cela ne fait pas changer d’avis Erika.

— J’invite Dame rouge à aller s’asseoir sur le fauteuil devant nous. Les jambes écartées et posées sur les accoudoirs. Et toi, Élise, tu te mets au travail !

Malgré sa mâchoire douloureuse pour avoir sucé pendant près d’une heure le sexe de Clément, Élise ne proteste pas. Elle vient s’agenouiller entre les cuisses de la vieille femme. Elle a une seconde d’hésitation que remarque Erika avant de commencer à lécher ce sexe. En sentant la langue glisser entre ses lèvres intimes, Monique pousse un gémissement de surprise. Elle est agréablement surprise par la douceur de cette caresse. La langue experte de la doctoresse fouille tous les recoins de cette chatte vieillissante. Élise s’applique avec ardeur, car elle craint la punition qui pourrait lui être infligée si elle n’arrive pas à faire jouir cette femme. Après de longues minutes, Monique, dans un spasme incontrôlé, crie son plaisir et inonde le visage d’Élise d’un mélange de mouille et de pisse. Les deux femmes sont épuisées.

Erika sourit, son ascendant sur ces couples se renforce après chaque épreuve qu’ils acceptent de subir. Elle laisse Monique se remettre tranquillement.

Cette journée se termine et je suis fière de chacun d’entre vous. Allez vous placer dos au mur en respectant les couleurs : rouge, jaune, bleu et orange, mains derrière la nuque et jambe écartées.

Nos quatre couples se dirigent lentement vers le mur, mettent leurs mains derrière la nuque et se tiennent comme Erika l’exige. Melody est là sur le côté, prête à intervenir si nécessaire.

Erika, sans le montrer de manière ostentatoire, savoure ce moment où tout vient de basculer : elle domine complètement ces couples toujours prêts à se soumettre davantage pour leur plus grand plaisir.

— Vous allez regagner vos chambres respectives et prendre une douche avant de vous coucher. J’exige de vous au moins trois rapports durant la nuit. Chaque chambre est équipée d’une caméra de surveillance et les enregistrements seront à ma disposition pendant quatre semaines. Melody vérifiera le nombre de rapports que vous avez eu. Et maintenant, je ne veux plus entendre d’autres bruits que ceux de vos ébats !

Ainsi fini cette journée pour les invités du manoir. Erika et Melody s’installent dans le salon, pour regarder les écrans qui retransmettent l’arrivée des couples soumis dans les chambres. Un verre de whisky et quelques petites graines à grignoter favorisent les échanges de satisfaction entre les deux femmes. Gilles et Élise, quant à eux, sont déjà couchés pour être opérationnels le lendemain matin pour le petit déjeuner.

Le lendemain matin, chacun prend son petit déjeuner en fonction de l’heure de son réveil, sous l’œil attentif de Gilles et Élise surveillant le respect du silence imposé par Erika. Cela n’empêche pas les clins d’œil entre les couples “officiels” mais pas que, le retour à la maison risque d’être douloureux pour certains !

— Vous avez rendez-vous à onze heures sur le parvis de la maison, dos au mur. Votre Maîtresse Erika et Dame Melody vous y attendront. Ne soyez pas en retard. Leur dit Gilles.

Tous les invités sont ponctuels. Ils font face à Erika qui les passe en revue avant de se reculer.

— Bien ! Vous êtes tous là ! Je voudrais vérifier une chose. Dame Orange se débrouille-t-elle mieux avec sa langue qu’avec sa bouche… De plus, il me semble qu’hier, Dame Rouge a été frustrée lorsque son Sire n’a pas pu la faire jouir. Je pense donc qu’il est temps de réparer cette injustice… Dame Rouge, prenez place sur ce fauteuil ! Dame Orange va venir vous lécher !

Olivier, Jean-Bernard, Monique et Marie-Gabrielle regardent Erika, affolés, effrayés même. Ils réalisent qu’elle vient de demander à Marie-Gabrielle d’aller lécher sa mère.

— Maîtresse… commence à dire Olivier timidement.

— Oui ? Qu’y a-t-il ?

— Rien Maîtresse…

— Bon alors retourne à ta place

Tête basse, Olivier reprend sa place le long du mur tandis que Monique et Marie-Gabrielle s’avancent

Monique s’approche d’Erika et vient s’installer sur le fauteuil. Melody est sur le côté, prête à regarder la scène afin de vérifier la bonne exécution de l’ordre.

— Écarte bien les jambes et avance un peu tes fesses pour faciliter la tâche de ta lécheuse.

Monique est rouge, écarlate de honte. Elle aurait voulu être dix mètres sous terre. Mais elle s’exécute rapidement voyant déjà Melody mettre sa main sur la cravache qu’elle a accrochée à sa ceinture.

Marie-Gabrielle, quant à elle s’est très légèrement approchée se demandant si elle arrivera à réaliser la demande d’Erika. Déjà se montrer nue, adulte, devant sa mère n’avait pas été facile.

— Allez petite salope ! A genoux devant Dame Rouge

Et quand je te donnerai le top départ tu commenceras !

Marie-Gabrielle se met à genoux et s’approche le plus près possible du sexe de Monique. Elle est blême. Au top départ, elle commence à sucer doucement Dame Rouge, d’abord les grandes lèvres puis les petites en utilisant le bout de sa langue pour aller trouver le clitoris de la pauvre femme aux chairs déjà vieillies. Voyant le manque d’enthousiasme de Marie-Gabrielle, Melody s’approche et fait passer sa cravache sur les fesses de la petite rousse, à genoux en train de fouiller le con de sa mère.

Au bout de cinq longues minutes, Monique commence à se sentir bien et rapproche son bassin de la bouche de Marie-Gabrielle, signe que son plaisir monte petit à petit.

Sur un signe d’Erika, Melody donne quelques coups de badine sur les fesses de la suceuse en lui ordonnant de progresser en rythme et de se concentrer sur sa tâche. Cela ne fait que renforcer sa honte mais est bien efficace ! Les mains de Monique se mettent à serrer très fort les bras du fauteuil et elle commence à remuer son bassin alors qu’un rictus de plaisir se dessine sur son visage. Les spasmes du plaisir arrivaient… la partie semble gagnée !

Soudain, dans un spasme de jouissance, Monique lâche un jet de cyprine et d’urine sur le visage de Marie-Gabrielle qui recule surprise et dégoûtée.

— Très bien, dit Erika en se levant de son trône. Je pense que Dame Orange mérite une récompense.

Marie-Gabrielle relève la tête en tentant de sourire. Erika se dirige vers un pilori.

— Approchez Dame Orange, veuillez placer votre tête et vos poignets dans les orifices prévus à cet effet !

Olivier regarde, affolé, son épouse prendre place sur cet instrument de torture et se demande à quels tourments Marie-Gabrielle va être soumise. Melody rabat la partie supérieure du chevalet sur le cou de la pauvre Marie-Gabrielle qui retient des sanglots.

— Voici la récompense que j’offre à Dame Orange. Chacun de vous va bénéficier de trente minutes, pas une de plus, pas une de moins, pour profiter de ses trous. Ce sera Sieur Orange qui aura le privilège de commencer suivi de Sieur Bleu, puis viendra Sire vert et pour terminer Sieur Rouge.

Les hommes regardent les fesses rouges de la malheureuse. Le spectacle de ces deux femmes en train de se lâcher les a excités. Mais, ils ne disent rien. Pierre, Sieur Orange, se présente le sexe dressé. Il attend le signal d’Erika avant de planter son membre dans la chatte de Marie-Gabrielle.

— Je vous rappelle que vous pouvez profiter à votre convenance de sa chatte ou de son cul…

Pierre ne se le fait pas répéter une nouvelle fois et sortant de la moule de la rousse, il s’introduit dans ce cul offert malgré les sanglots de Marie-Gabrielle.

— Élise approche ! Va nettoyer le visage de Dame Orange

La doctoresse vient au-devant de Marie-Gabrielle et lèche le visage couvert de cyprine et de larmes.

Au bout de trente minutes, Erika fait signe à Pierre de se retirer et demande à nouveau à Élise de remplir son rôle d’éponge et de nettoyer la chatte et le cul de Dame Orange. Quand les trois autres hommes ont accompli leur devoir, avec un peu de mal pour Jean-Bernard à tenir la demi-heure, Melody présente à Florence et Marguerite deux godes ceinture de belle taille.

— À votre tour, Mesdames, de récompenser Dame Orange. Dame Bleue, commencez !

Un peu gênée, Florence enfile l’objet et constate, une fois fixée, qu’une boule appuie sur son clitoris, va faire qu’à chaque mouvement qu’elle entamera, son petit bouton sera stimulé. Elle prend place derrière Marie-Gabrielle qui est maintenant inerte et commence à faire aller et venir ce phallus artificiel dans cette chatte béante. La stimulation de son clitoris la fait jouir et c’est en tremblant qu’elle finit ses trente minutes.

Quand Marguerite se présente, c’est avec un sourire de satisfaction qu’elle officie, elle prend cela comme une sorte de vengeance envers toutes ces femmes bien plus belles et bien plus minces qu’elle. Elle s’active dans la chatte de Marie-Gabrielle qui, n’en pouvant plus, se mit à pleurer.,

Quant au bout des trente minutes, Melody vient la détacher, la malheureuse Dame Orange s’effondre sur le sol prise de convulsions.

Les quatre médecins présents, redeviennent des soignants, se précipitent autour de Marie-Gabrielle et constatent qu’elle est en état de choc.

— Pierre, Clément, transportez-la dans une chambre au calme et toi Gilles, fais le nécessaire.

Jean-Bernard vient rassurer Olivier, inquiet, en lui disant que tout ira bien. Erika lui dit qu’elle ne va plus rien imposer à Marie-Gabrielle et que s’il le souhaite, il peut se retirer du jeu.

Melody est allée chercher des rafraîchissements et de quoi manger pour tout le monde afin de diminuer la tension qui règne depuis quelques minutes.

Après avoir mangé et bu, Olivier regarde Erika.

— Maîtresse Erika, je souhaite continuer pour faire honneur à mon épouse.

— C’est tout à ton honneur, lui répond-elle souriante puis regardant Élise, elle lui dit :

— Tu vas devenir Dame Orange pour la fin du week-end !

Élise ne sait si elle doit se réjouir ou se méfier quand Melody vient la libérer de sa ceinture de chasteté. Quant à Pierre, il regarde avec gourmandise cette superbe blonde au corps presque parfait.

— Sire Rouge, il est temps pour toi de subir ta punition, pour ne pas avoir réussi à faire jouir Dame Rouge, prend position !

Pendant qu’Olivier s’installait sur le banc, attentif à favoriser l’accès de son anus aux trois mâles devant effectuer la punition, Erika s’adressa à l’ensemble des protagonistes :

— Avec cette punition bien méritée, nous allons clore cette séance ! J’appelle Dame Jaune à se placer à genoux, bouche ouverte, prête à nettoyer les sexes des trois mâles qui vont enculer Sire Rouge qui n’a même pas su se montrer à la hauteur de ses capacités ! Je veux les voir maintenant à la queue leu leu devant le banc, prêts à agir quand je leur en donnerai l’ordre. Dépêchez-vous !

Personne n’osait dire quoi que ce soit. Florence, toute penaude, vient se mettre à genoux comme ordonné, bouche déjà ouverte pour montrer sa volonté de bien faire ! Et tout le monde était suspendu aux lèvres d’Erika.

Olivier n’est pas vraiment inquiet. Avec Erika et ses jouets, il a pris l’habitude d’être enculé. De ce qu’il a pu voir des sexes de ses compagnons, aucun d’entre eux ne possède une queue hors norme. Son anus devrait pouvoir encaisser les pénétrations sans trop de douleur.

— Sire Bleu à vous de commencer, dit Erika.

Jean-Bernard se présente derrière Olivier avec un peu d’angoisse, il n’a jamais enculé un homme. Il a beau se dire que c’est comme pour une femme, il n’arrive pas à bander. Sur un ordre d’Erika, Florence commence à sucer le sexe du doyen de la soirée. Cette caresse ranime la flamme de l’homme et avec un sourire satisfait, Florence présente le membre bien raide devant le cul d’Olivier. Jean-Bernard pénètre d’un coup de rein puissant l’orifice un peu serré, faisant pousser un petit cri à Olivier. Rapidement, l’ancien médecin jouit et sort son sexe de l’anus d’Olivier. Il se tourne vers Florence pour se faire nettoyer.

Clément et Pierre ne se posent pas les mêmes questions que leur prédécesseur et sans l’aide de Florence, ils accomplissent leur devoir.

Olivier reste en place sur le banc, Florence garde la bouche ouverte, n’osant pas bouger sans un ordre d’Erika même si elle commence à avoir mal aux mâchoires. Tout comme les trois mâles dont la queue a perdu de sa raideur, l’ensemble des protagonistes sont en attente de la réaction de celle qui vient de renforcer sa domination sur chacun d’eux et que dans chaque couple, désormais, plus rien ne se passera comme avant. Enfin, elle prend la parole.

Le week-end n’est pas fini et nous avons encore de nombreuses heures à passer ensemble. Il est temps pour vous de découvrir le parc. Pour cela, avec Melody, nous avons organisé un jeu de cache-cache.

Les invités écoutent Erika expliquer le déroulement du jeu. Les femmes vont partir les premières avec quelques minutes d’avance, puis les hommes devront les retrouver. Pendant toute la durée du cette partie, chaque fois qu’un homme trouvera une femme, il pourra s’amuser avec elle. La gagnante sera celle qui aura été le moins souvent trouvée et le gagnant celui qui aura trouvé le plus de Dames.

Le dimanche matin, les rôles sont inversés, ce sont les hommes qui doivent partir se cacher et les femmes qui leur font la chasse.

***

À la fin de la journée, tout le monde est satisfait de ce jeu. Certains couples se sont retrouvés et d’autres plus ou moins éphémères, formés. Nul doute que cela va en marquer certains. Au moment du départ, Marie-Gabrielle n’a toujours pas récupéré complètement et Erika lui propose de rester se reposer dans le Manoir où Melody prendra soin d’elle tandis que Laure s’occupera de la boutique, tout le temps de sa convalescence. Puis, s’adressant à Olivier :

— Tu pourras venir voir Marie-Gabrielle tous les week-ends. Je ne suis pas une Maîtresse sans cœur, je tiens à ce que mes soumis et soumises soient toujours en forme.

***

C’est ainsi qu’Erika et Melody laissent partir ces couples qui vont sans aucun doute beaucoup échanger dans leur voiture pendant leur retour à domicile. Ils viennent de franchir une étape essentielle dans leur soumission à Erika qui ne va pas les laisser longtemps sans reprendre la main !

mardi 20 mai 2025

Journal d'un impuissant - 05 -

Nous avions prévu de passer le prochain week-end où nous serions sans enfants ensemble. Cela faisait donc deux semaines à patienter avant que je retrouve Anne-Lise et sa fougue.

Heureusement que les modes de communication avaient évolué depuis mon histoire avec Christelle. Anne-Lise et moi échangions de nombreux messages, même dans la journée quand nous étions au travail. Nous maintenions le fer au chaud. Le matin, elle me disait comment elle s’habillait pour aller au lycée.

“Je te crois, mais comment puis-je être sûr que tu portes un string sous ta robe ?”

Je lui envoyais ce message au milieu de matinée. À ma grande surprise quelques minutes plus tard, elle m’envoya une photo de ses fesses pâles qui engloutissait la ficelle de son string.

“Tu me fais envie.”

“Quand tu veux !”

Quand je voulais, c’était facile à écrire. C’était plutôt quand nous le pourrions. Le midi, elle venait parfois me rejoindre pour déjeuner. Nous prîmes un hamburger au food-truck du coin de la rue et nous sommes promenés main dans la main jusqu’à ce que je retourne à mes expériences. Ces petits moments de complicité rendaient moins longs le temps entre deux week-ends d’intense passion amoureuse.

Un soir, alors que je me préparais à le rendre à mon entraînement de hand-ball, Anne-Lise me textota.

“Si tu es dispo. Je t’attends.”

“Et tes filles ?”

“Elles sont chez des copines. Viens !”

Mes enfants étaient habitués à ce que deux fois par semaine je m’absente pour me rendre au hand. Cela ne les étonnait pas que je parte, les laissant seuls. L’aînée avait dix-sept ans et la cadette dix, ils pouvaient se garder seuls. De plus, j’avais mon téléphone et je ne partais pas loin.

Quinze minutes plus tard, Anne-Lise m’ouvrait la porte. Je n’eus aucun doute sur ce qu’elle désirait. Son petit appartement était plongé dans l’obscurité, seulement éclairé par quelques bougies. Elle avait déplié le canapé de son salon, qui lui servait aussi de chambre. Ses filles se partageaient l’unique chambre de ce logement. Elle m’avait accueilli avec un petit caraco de satin rose qui dévoilait son ventre et sa féminité était protégée par un petit string de la même couleur. Je reconnaissais ce souci du détail chez elle.

Je commençais à la connaître. Avant même de lui dire bonsoir, je posais mes lèvres sur les siennes. Comme à chacune de nos rencontres, elle se dressait sur la pointe des pieds et passait ses mains autour de mon cou pour un long baiser. Irrémédiablement, mes mains se posaient sur ses fesses et la plaquait contre mon ventre. Elle pouvait sentir que ma virilité se réveillait malgré mon pantalon. Quand je rompis le baiser, elle se baissa, ouvrit mon pantalon pour sortir mon sexe. Sa technique était différente de celle de Carole, mais elle me donnait autant de plaisir, même si elle refusait de prendre le sperme en bouche.

— C’est comme pour les huîtres, m’avait-elle dit un jour. Certains ne les aiment pas, moi c’est le sperme…

Était-ce grave ? Une femme et un homme ont des tas d’autres manière de partager leur plaisir. Là encore, je compris plus tard la raison de son dégoût.

Elle me suça suffisamment pour que j’atteigne mon érection maximale mais pas trop longtemps pour que je n’éjacule pas. Sans attendre, nous nous retrouvâmes sur le lit. Elle savait que j’aimais lui prodiguer un long cunnilingus avant de la prendre. J’appréciais de lécher sa fente si douce, si goûteuse. Quel plaisir de pouvoir lécher une femme sans avoir de poils qui vienne chatouiller le nez ou de devoir en retirer un de la bouche ensuite.

Allongé sur elle, j’allais et venais dans sa chatte. Depuis notre rencontre, nous avions expérimenté diverses positions et si nous commencions toujours par un bon, vieux missionnaire, il était fréquent qu’elle se retrouve à quatre pattes sur le lit tandis que je la besognais en levrette. Cette position me permettait de lui pétrir les seins, ce qu’elle appréciait particulièrement et parfois de glisser ma main entre ses cuisses pour stimuler son clitoris tout en la pénétrant de mon sexe.

Mais ce soir-là, notre relation franchit un cap à la suite d’un incident fortuit. Alors que j’allais et venais sans retenu dans sa chatte, un mouvement plus ample me fit sortir de sa fente. Au moment où je replongeais en elle, ma queue dévia et se retrouva à l’entrée de son anus. Anne-Lise ne dit mot et ne fit rien pour échapper à ce que j’entre par là et, en avançant mon bassin, je franchis ce passage étroit. Il me fallut quelques secondes pour réaliser ce que je faisais. J’allais ressortir et m’excuser de la prendre de cette manière sans lui en avoir parlé avant. Elle poussa un gémissement et recula ses fesses pour me sentir pénétrer plus profondément. Je continuais donc de la sodomiser le plus doucement possible. Cependant à la différence de son vagin très souple, sa rondelle anale me serrait fortement la bite et je n’ai pas pu me retenir longtemps. Pendant que je l’enculais, elle se caressait le clitoris. Notre orgasme fut presque simultané. À bout de souffle, je m’effondrais sur son dos. Elle tourna la tête pour venir m’embrasser.

— Oh merci ! Merci pour tout… me dit-elle à moitié étouffée par mon corps sur le sien.

— C’est à moi de te remercier, lui répondis-je.

— Pourquoi ?

— Pour m’avoir permis de prendre ainsi…

— C’est normal…

Elle vit la surprise sur mon visage et elle commença à me parler de son ex-mari, le père de ses filles. Ses révélations me permirent de comprendre beaucoup de ses réactions et de ses attitudes. Cet homme était l’archétype du macho. L’homme décide, la femme obéit sans discuter.

Elle m’avoua qu’au moment de leur rencontre, ce comportement décidé, sûr de lui, l’avait attirée. Ce ne fut que plus tard qu’elle découvrit la vraie nature de son mari. Il avait commencé par décider de tout pour elle, ou presque. Il lui interdisait de porter certains vêtements. Quand il rentrait du travail, elle devait être disponible pour lui, le repas devait être prêt. Ensuite, elle devait tout ranger pendant que Monsieur s’installait dans le canapé devant la télévision.

Dans la chambre, la situation d’Anne-Lise n’était pas plus agréable. Elle devait se soumettre aux desiderata de son mari. S’il avait envie de la baiser, il la baisait peu importe son état de fatigue ou de sa santé. Régulièrement, il la prenait endormie, elle s’en rendait compte le matin quand elle se levait et qu’elle sentait le sperme qui avait coulé entre ses cuisses. Il prenait son plaisir quand bon lui semblait.

Pour couronner le tout, elle devait le gratifier tous les matins d’une fellation. La seule chose qu’il tolérait était qu’elle ne le finisse pas dans sa bouche. Il avait été échaudé par le fait qu’après avoir voulu la forcer à avaler, elle vomit sur le lit. Le fait de devoir changer les draps avait dérangé Monsieur dans sa grasse matinée dominicale.

Mais, il ne lui avait pas épargné une violente gifle et Anne-Lise avait dû porter des lunettes de soleil pendant une semaine pour cacher son œil bleu et gonflé.

Le calvaire de mon amante ne s’était pas arrêté à cette gifle. Le salaud y avait pris goût et pour un oui ou pour un non, la pauvre enseignante était giflée mais surtout pincée ou fessée, cela laissait moins de traces visibles. Anne-Lise n’osait pas en parler autour d’elle. En société, son mari était un homme charmant, sociable et prévenant. Personne ne l’aurait crue.

Après l’accouchement de sa fille aînée, cela empira. Madame n’était plus assez disponible pour Monsieur, la frustration exacerba sa colère. En plus à son retour à la maison, Anne-Lise avait dû subir une épisiotomie, le gynécologue leur avait donc recommandé d’attendre un peu pour avoir de nouveau des relations sexuelles, le temps que Madame retrouve son intégrité.

— Qu’à cela ne tienne ! lui avait-il dit. Si je ne peux pas te baiser par-devant, je te baiserai par-derrière.

Le soir même de sa sortie de la maternité, Anne-Lise subit sa première sodomie.

Elle accepta de vivre cela encore cinq longues années et la naissance d’une deuxième fille. Mais Monsieur devenait de plus en plus instable et violent. Elle commençait à craindre pour ses filles. Un soir, n’en pouvant plus, profitant d’un déplacement professionnel de son mari. Anne-Lise prit ses affaires, ses deux filles et partit se réfugier chez ses parents.

Il fallut qu’elle leur montre la trace de ses bleus pour qu’ils la croient. Mais son père considéra longtemps qu’elle était peut-être responsable des violences de son mari. Peut-être ne lui prodiguait-elle pas l’attention qu’il méritait.

Les mésaventures de la professeure continuèrent. Son éducation, sa personnalité la poussaient à vouloir rendre service à ceux qui sont dans le besoin : le syndrome du sauveur. Après son divorce, elle rencontra plusieurs hommes, que l’on pourrait tous plus ou moins qualifier de cas sociaux. Tous profitaient du fait que la libido d’Anne-Lise avait été exacerbée par le nombre de relations que lui avait imposées le père de ses filles. Il lui était impensable de ne pas avoir deux ou trois relations sexuelles par semaine. Son corps la trahissait. Du coup, ses amants en profitaient. Quel homme n’apprécierait pas une femme demandeuse et quasiment incapable de dire non ?

Certains de ses amants trouvèrent amusant d’introduire plusieurs doigts puis leur main ou d’autres objets inattendus dans sa chatte, Anne-Lise avait parfois même fini par apprécier ces pénétrations.

Entre deux relations, pour compenser l’absence d’un compagnon, elle s’était procuré un jouet qu’elle me montra et qui participa de temps à autre à nos jeux intimes.

Après ces aveux, je lui promis de toujours lui demander avant de lui imposer quelque chose. Notre relation en fut aussi renforcée. Malheureusement, les bonnes choses ont une fin. Anne-Lise avait demandé quelques années plus tôt une mutation dans une autre région pour pouvoir se rapprocher de ses parents qui avaient enfin réalisé ce que leur fille avait subi pendant ses années de mariage et seraient ravis d’avoir leurs petites-filles à proximité.

Ce fut avec tristesse qu’elle m’annonça cette mutation juste avant les vacances scolaires. Elle devait prendre son nouveau poste à la rentrée de septembre. Comme pour Carole, je me séparais d’Anne-Lise en excellents termes.

Je commençais à me dire que mes relations ne seraient donc que des relations éphémères.