mardi 6 mai 2025

Erika : Dresseuse de Couples -20- La Prof Emboîtée

 

En sortant du lycée, Florence se rend directement chez sa Maîtresse. Elle a reçu un message dans la matinée exigeant sa présence dès quatorze heures. Erika connaît l’emploi du temps de ses soumis et soumises et elle savait qu’elle pouvait exiger cela de Florence sans la mettre en difficulté dans son métier.

— Va te préparer ! Je reçois des invités ! Tu feras le service.

— Oui Maîtresse !

Florence sait ce qu’elle doit faire. Dans la cuisine, elle se met nue et attache le petit tablier blanc autour de sa taille. Elle se pare aussi du bâillon boule qui se trouve sur le plan de travail. Maîtresse Erika ne l’a pas posé ici pour la décoration pense-t-elle. Déjà, elle imagine la bave qui va couler de ses lèvres et c’est déjà, pour elle, une source d’humiliation.

Prête, elle retrouve Erika qui lui demande de préparer le salon pour qu’elle puisse accueillir dignement ses invités pour le thé. Florence suit les instructions de sa Maîtresse à la lettre et lorsque la sonnette retentit, tout est prêt.

— Qu'attends-tu ? Va ouvrir !

Florence hésite une fraction de seconde. Elle est nue, ou presque et avec son bâillon boule, elle a déjà de la bave qui s’écoule. Si sa Maîtresse lui demande d’aller accueillir ses invités, c’est que ces personnes connaissent bien Maîtresse Erika mais cela n’est pas forcément plus rassurant.

Jean-Bernard et Monique patientent devant la porte. Erika leur a promis une surprise. Jean-Bernard a rapidement raconté à Monique sa visite chez elle et ce qu’il a découvert dans le donjon de sa maison. A son étonnement, Monique n’a pas été choquée ni outrée. Une conversation entre eux lui avait bien dévoilé les sentiments de Monique :

— Tu sais, je suis comme toi, je regarde la télé et les journalistes parlent parfois de cette sexualité alternative… Et pendant mes insomnies, certains reportages que j’ai regardés à des heures tardives décrivent ce monde… Lors de ta prochaine visite chez Erika, j’ai bien envie de t’accompagner ! lui avait-elle dit.

— Tu veux me chaperonner ?

— Idiot ! A ton âge ! Non, mais pourquoi n’aurais-je pas le droit de visiter cette antichambre de l’Enfer ?

Cette phrase fit beaucoup rire Jean-Bernard qui la répéta telle quelle à Erika.

Malgré ce que lui avait raconté son mari, Monique est quand même surprise de découvrir cette blonde presque nue, la bouche bâillonnée qui leur ouvre la porte. Elle regarde Jean-Bernard.

— Je t’avais prévenue !

— Oui mais prise à froid c’est surprenant !

— Alors ma chère ! L'accueil infernal vous convient-il ? demande Erika depuis le salon.

— Madame, on ne peut rêver d'un accueil plus infernal !

Monique dévisage Florence. Elle est persuadée de l’avoir déjà croisée quelque part, mais elle n’arrive pas à se souvenir de l’endroit où elles ont pu être ensemble. Il est impensable pour Monique de penser que la jeune mère de famille accompagnant son mari, ancien militaire, à la messe dominicale puisse être la femme qui se tient devant elle.

Erika les invite à prendre place. Jean-Bernard ne quitte pas Florence des yeux, ce qui amuse Erika.

— Elle vous plaît ma petite salope.

— Oh oui ! répond-il sans gêne malgré la présence de Monique. Elle a un cul magnifique.

— Et toi Monique, qu'en penses-tu ?

Monique rougit, elle ne s'attendait pas à être interpellée ainsi. Paradoxalement, elle ne s'offusque pas du tutoiement et bégaye une réponse inaudible.

— Approche petite salope !

Florence s’approche des fauteuils. Erika tend la main et pénètre la chatte de la jeune prof avec un doigt. Après quelques va-et-vient, elle tend son doigt vers le visage de Monique.

— Tu veux goûter !

Monique, gênée, décline la proposition. Erika, la regardant avec un grand sourire, lèche son doigt avec délectation. Jean-Bernard est de plus en plus excité et Monique a maintenant beaucoup de mal à cacher son trouble.

— Veux-tu essayer !

Ces mots résonnent plus comme un ordre que comme une question. Monique regarde successivement Florence, Erika puis son mari qui lui sourit. Il sait qu'un verrou vient de s'ouvrir dans l'esprit de sa femme quand il la voit avancer une main tremblante vers la fente de la jeune blonde.

Florence sent ses doigts, un peu tordus par de l'arthrose, trembloter et entrer en elle. Elle est un peu surprise, car les ongles longs, parfaitement manucurés de la vieille femme, lui font un peu mal. Elle sursaute et gémit ; ce qui entraîne la chute d'un verre vide sur le plateau qu'elle tenait toujours.

Erika ne dit rien, elle ramasse le verre en fixant durement Florence. Puis elle se tourne vers Jean-Bernard.

— Je pense que le moment est venu de faire découvrir l’Enfer à notre chère Monique !

— Oui je le pense aussi.

Si Monique est troublée par cet échange convenu entre Erika et son mari, Florence, elle, comprend bien qu’elle va être punie. Elle se demande ce que lui réserve Maîtresse Erika. C’est la première fois qu’elle va être punie en présence d’un homme.

— Montre le chemin, Petite Salope !

— Oui Maîtresse !

Florence prend la direction des escaliers qui mènent au donjon. Jean-Bernard la suit de près. Les yeux rivés sur ces fesses pâles. Il se délecte d’avance du plaisir qu’il va éprouver à les faire rougir. En montant, il se demande s’il va utiliser sa main ou autre chose. Sa ceinture, la cravache, le martinet ? Il hésite. Peut-être usera-t-il de tous ces instruments de “plaisir” ?

Comme tous ceux qui découvrent cette pièce pour la première fois, Monique reste interdite quand Erika ouvre la porte. Erika doit lui dire avec autorité d’avancer ! Florence, elle, attend avec appréhension les directives de sa Maîtresse.

— Petite Salope ! Ta punition va se jouer à pile ou face ! Qu’en penses-tu Monique ?

— Euh… Oui, c’est vous qui voyez Madame, répond Monique, surprise et intriguée qui, sans s’en apercevoir, venait de passer au cran supérieur en s’adressant à Erika en l’appelant “Madame”.

— Tiens, prends cette pièce et lance là ! Si c’est face, elle va sur la croix de Saint-André, si c’est pile, c’est dans la boîte.

Monique prend la pièce de monnaie que lui tend Erika et la lance. Elle la rattrape et la pose sur le dos de sa main.

— Pile !

Florence est soulagée. Si la pièce était retombée sur face, elle aurait été attachée sur la croix de Saint-André face à Maîtresse Erika qui lui aurait fouetté le ventre et la poitrine. Avec ce tirage, elle allait se trouver dans la boite mais les lanières du martinet tomberaient sur ses fesses, un moindre mal.

— Tu as entendu ? Installe-toi !

— Oui Maîtresse !

Florence s’allonge sur le banc de cuir de l’autre côté du trou de la boîte. Erika fixe les chevilles de la jeune professeure dans les sangles prévues à cet effet puis vient remettre son bâillon à la jeune femme avant de tendre le martinet à Jean-Bernard.

Il jubile et la pilule bleue fait son effet. Devant sa femme, il se met nu et avec des gestes énergiques, il commence à faire rougis le cul de Florence dont le bâillon étouffe les cris.

Monique voit son mari bander comme il ne l'a pas fait depuis longtemps.

— Vas-y, lui dit Erika. Va le sucer !

— Mais !

— Va le sucer ! C’est un ordre !

Monique frissonne mais obéit à l'injonction de la femme de trente ans de moins sa cadette. Elle s'agenouille devant son mari et prend son sexe dans ses doigts pour le porter à sa bouche. Elle est bien moins expérimentée que nombre des soumises qui sont passées dans cette pièce, mais elle veut montrer que malgré son âge elle n'est pas moins cochonne.

— Hummm, vas-y prends-moi en entier ! Avale-moi !

Jean-Bernard pose le martinet et attrape les cheveux de sa femme pour lui imposer le rythme de sa fellation. Monique bave et pleure. C'est la première fois que son mari lui fait une telle chose. Elle en est excitée. Jean-Bernard osé forcer cette gorge vierge. Monique suffoque et bave encore, mais elle ne veut pas capituler. Elle veut prouver à son mari, à Erika et à elle-même aussi qu'elle peut faire aussi bien que cette petite salope au cul rouge.

Erika les regarde faire. Discrètement, elle pianote sur son téléphone et la réponse ne tarde pas : "Je suis là dans cinq minutes"

— Je pense que tu devrais attacher Monique à la croix ! dit Erika à Jean-Bernard.

— Mais pourquoi ? demande la vieille femme étonnée.

— Tu as hésité, donc tu dois être punie, c'est la règle…

— Oui Maîtresse !

Erika n'en revient pas de la facilité avec laquelle cette femme accepte de se soumettre et de l’appeler maintenant “Maîtresse” !

— Puis-je me finir dans sa bouche avant ? demande Jean -Bernard.

— Non ! Elle ne le mérite pas, tu te finiras dans son cul !

— Oui Madame Erika !

Erika aide Monique à se relever, lui impose de se mettre à nu et l'immobilise sur la croix, ventre contre le bois. Dès qu'elle est attachée, Erika ordonne à Jean-Bernard de fouetter sa femme avec énergie. On entend les cris de Monique résonner dans ce donjon insonorisé.

— Si je me souviens bien, tu m'as dit que tu ne l'avais jamais enculée !

— Non jamais !

— Et toi ? Tu as déjà été enculée ?

— Non Maîtresse, répond Monique paniquée à cette idée.

— Alors, demande à ton mari de te déflorer le cul…

— Encule-moi mon chéri, demande-t-elle en tremblant.

Excité par cette demande, Jean-Bernard attrape les hanches de sa femme et d'un coup de rein puissant, il pénètre dans le fondement de Monique.

***

A son arrivée dans la pièce, Clément est stupéfait par le tableau qui s'offre à lui. Une croupe et des jambes émergent d'un trou dans une boîte de bois cela, c'est déjà surprenant, mais qu'un homme d'un âge certain s'occupe d'une femme à peine plus jeune, ligotée sur une croix de Saint-André, c'est complètement inédit et inattendu.

— Je t'avais promis que si tu faisais ce que je te demande, tu aurais droit à des femmes bien plus minces et aux fesses bien plus fermes que celles de Marguerite… Que penses-tu de ce cul ?

— Il est magnifique, Madame Erika.

— Alors qu'attends-tu ? Retire ton pantalon !

Clément obéit et gémit quand Erika commence à le sucer. Il réagit fort et quand elle estime que le membre est assez raide, d’une petite claque sur les fesses elle lui dit d’aller s'occuper de ce cul qu’elle lui offre.

Un peu intimidé, il se plante entre les cuisses et entre doucement dans le cul qui s’expose devant lui. Si ses premiers va-et-vient sont prudents, il ne veut pas faire mal a cette femme, il se rend rapidement compte que cet orifice est habitué à être pénétré, il entre alors plus vigoureusement et commence à aller et venir plus rapidement.

Le donjon se remplit des grognements des deux hommes qui, sans se concerter, synchronisent leur mouvement. Les cris de Monique laissent la place à des gémissements plus jouissifs.

Les hommes se lâchent enfin entre les cuisses des deux femmes. Clément radieux remercie Erika pour son cadeau.

— Attends, ne te rhabille pas !

Elle va détacher Monique qui tombe à genoux épuisée.

— Tu vas nettoyer ces queues !

Monique relève la tête. Elle se prépare à refuser, mais elle se souvient de sa punition.

— Oui Maîtresse !

À genoux entre les deux hommes, elle commence à les lécher. Jean-Bernard qui grâce à la pilule, bande toujours et il jubile quand un signe d’Erika lui fait comprendre qu'il peut aller profiter de la chatte et du cul de Florence.

Clément récupère. Assis dans un fauteuil, il parle avec Erika. Tandis que Monique, à ses pieds, le suce consciencieusement. Il jouit une nouvelle fois dans la bouche de la femme âgée tandis que Jean-Bernard lime sans sembler faiblir les orifices de la blonde.

Après cette fin de journée inattendue, Clément se rhabille pour rejoindre sa femme qui l’attend à la maison.

— À bientôt, Clément !

— À bientôt, Madame Erika.

Pour Jean-Bernard, l’effet de la pilule s'estompe. Il se retire de la chatte de Florence qui déborde de sperme. Il exige que Monique le nettoie. La pauvre femme s'exécute sans protester. Mais, quand Erika lui demande ensuite d’aller nettoyer les trous de Florence, elle rechigne. Quelques coups de martinets bien vigoureux sur sa croupe lui font entendre raison et elle finit par glisser sa langue entre les fesses de la professeure enculée.

Dans la boîte, Florence pleure. Jamais elle n'avait été liée aussi longtemps et sa chatte comme son anus sont irrités. Elle est surprise de sentir une langue douce passer entre ses fesses. Très vite, elle comprend qu’il s'agit d'une femme novice. Cette langue n'a pas l'agilité de celle de Marguerite et encore moins, celle de Maîtresse Erika, c'est donc Monique. Sa seule interrogation concerne l'identité de l'homme qui l’a sodomisée après que Jean-Bernard l’a fouettée. Elle est certaine que ce n'est pas lui ni Pierre, son mari. Elle a bien été enculée par deux hommes, elle en est certaine, mais qui est le deuxième ?

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