Assise dans les gradins de la salle omnisports, Erika assisté à la victoire de ses petits protégés. Il y a quelques années, Victor, l'entraîneur de cette équipe de handball, lui avait demandé si elle voulait accepter de prendre en charge l'accompagnement de ses joueurs.
C'est la première fois qu’ils accèdent à la finale de ce tournoi et ils sont à quelques minutes de la victoire. Elle ne peut pas s’empêcher de vibrer à l’unisson des spectateurs et des supporters. Son cœur bat la chamade quand l’équipe adverse remonte lentement et se rapproche au score. Elle descend au plus près des joueurs et se retrouve sur le banc entre Victor et un des joueurs. Il reste deux minutes de jeu et ses protégés ne mènent plus que par un but d'avance. Elle sent la main de Victor sur sa cuisse. Elle sent sa poigne se fermer et serrer sa cuisse au rythme de la tension de l'entraîneur. Cela fait des années qu’elle n'a pas ressenti une telle fermeté masculine sur son corps. Cela la fait frissonner et malgré elle, elle sent sa culotte devenir humide.
La trompe du chronomètre libère tout le monde. Erika accompagne Victor et les joueurs du banc quand ils se précipitent sur le terrain pour féliciter les sept joueurs qui viennent de terminer le match. Elle est entraînée dans les embrassades et effusions de joie qui accompagnent cette victoire historique pour ce petit club. Elle apprécie même de ressentir du plaisir dans ces bras qui la serre voire l’écrase contre des torses virils aux maillots trempés de sueurs, de sentir les mains des joueurs qui s’égarent parfois sur ses fesses, de se retrouver au milieu de trois ou quatre hommes qui s’étreignent de joie.
Après que les vainqueurs aient félicité les joueurs de l'autre équipe pour leur match et reçu le trophée de la victoire, elle est entraînée par l’ensemble de l'équipe et les dirigeants du club dans les vestiaires pour fêter ce titre et partager avec eux le champagne de la victoire. Elle est consciente qu’elle vit ce moment privilégié pendant lequel le groupe profite en toute intimité de leur succès avant de retrouver le monde extérieur. Elle voit alors certains joueurs se mettre nus pour aller prendre leur douche ; ils ont oublié qu’une femme est présente. Même si elle a déjà vu de nombreux hommes nus, Erika en est presque gênée. Elle s’éclipse discrètement, suivie par Victor qui sait aussi que ce moment est celui de ses garçons.
Une idée traverse l’esprit d'Erika.
— Victor, je pense que tes joueurs méritent de fêter dignement cette victoire. Je possède un petit manoir à un peu plus d'heure de route. Venez célébrer ce succès samedi prochain !
— Merci Erika, mais tu sais, pas mal d'entre eux ont une famille. Je ne sais pas s’ils viendront !
— Propose-leur ! Il suffit juste que je sache combien seront là pour m’organiser. Tu peux venir avec ta femme. Je serai ravie de revoir Lise.
— Promis !
— A samedi, alors !
— A samedi !
Erika félicite une dernière fois les vainqueurs et sur le chemin du retour, elle convoque Olivier et Marie-Gabrielle. Il lui faut calmer ses sens en pleine effervescence.
***
Le samedi suivant, Erika a exigé la présence des couples formés par Marie-Gabrielle et Olivier et Élise et Gilles. Elle sait qu’Olivier sera ravi de la servir ainsi que Victor et son épouse, tandis que Gilles et Élise seront à la disposition des joueurs qui ont confirmé leur venue. Elle a soigné quatre de ces jeunes hommes, elle sait que leur fougue va mettre à mal la dignité du couple de médecins.
Dès leur arrivée au manoir, les joueurs sont impressionnés par le cadre. Aucun d'eux n’imaginait que la doctoresse qui soigne leurs blessures puisse posséder un tel domaine. Ils sont encore plus surpris quand ils découvrent les deux couples de domestiques qui les accueillent. Olivier et Gilles portent une livrée de serviteurs semblant sortir d’un documentaire sur l’aristocratie anglaise tandis que Marie-Gabrielle et Élise sont en tenues de soubrettes presque caricaturales. Entre eux, les paris vont bon train pour savoir ce qu'elles portent sous leur robe courte.
Victor et Lise s’amusent de la surprise des jeunes gens, ils connaissent les goûts d’Erika et cela ne les étonne plus. Lise se dit malgré tout en découvrant Olivier que si elle en a l’opportunité, elle ne lui crachera pas dessus alors qu'il vient s’occuper des bagages. Elle est même encouragée par le clin d’œil que lui fait Erika.
Encore sobres, les handballeurs se tiennent correctement même si certains sont tentés de soulever la robe d’Élise qui les précède dans l'escalier qui mène à leurs chambres. Dès leur arrivée, Erika leur a donné le programme de l’après-midi. En fait, c’est simple. Un cocktail suivi d’un repas leur sera proposé à partir de dix-huit heures. Ils sont libres de faire ce qu’ils veulent avant.
***
Pendant l’apéritif, servi par les deux couples de soumis, dans le parc du manoir, un des joueurs vient trouver Victor en pleine discussion avec Erika. Il lui murmure :
— Eh coach !
— Oui, Jordan !
— Elles ont l’air super bonnes, les deux soubrettes et pas farouches en plus !
— Fais quand même attention !
— Promis coach, mais je ne suis pas seul sur le coup !
Erika entend de loin cette discussion, ce qu’elle avait prévu est en train de se réaliser. Avec ces jeunes hommes chargés de testostérone, la soirée promet d’être intéressante pour tout le monde. Enfin presque !
L'alcool aidant, les inhibitions tombent. Les mains se font de plus en plus pressantes vis-à-vis d’Élise et de Marie-Gabrielle. Gilles ne peut rien faire d’autre que de regarder sa femme se faire tripoter par ces jeunes hommes. Quant à Olivier, il est trop occupé à servir Erika, Victor et Lise qu’il ne se rend même pas compte de la situation que vit Marie-Gabrielle.
Sur un signe d’Erika, Olivier conduit sa femme dans une dépendance à quelques dizaines de mètres du manoir. Dans cette ancienne écurie, la maîtresse de maison a fait aménager les boxes pour qu'ils rendent le même service que la boîte à baise qui se trouve dans son donjon. Olivier installe Marie-Gabrielle dans un des compartiments et lui attache les chevilles pour que ses deux orifices soient disponibles et, comble de sa soumission à Erika, il doit lui-même imposer un bâillon-boule à sa femme. Marie-Gabrielle se doutait que cela allait se terminer de cette manière. Elle en a pris l'habitude. Elle est la Petite Pute de Maîtresse Erika et sert à donner du plaisir.
Tout à sa tâche, Olivier ne s’est pas aperçu qu'un des joueurs l’a suivi. Quand le couple est entré dans l’écurie, le curieux est resté discret même s’il observait le domestique installer la soubrette. Il se décide à agir quand il voit Olivier ressortir seul. Il s'assure que le serviteur est bien reparti vers les autres convives et sort de la pénombre pour entrer dans l'écurie.
Il reste stupéfait en découvrant le bas du corps de la femme, exposé de manière aussi impudique, totalement offerte. Ses jambes attachées et relevées offrent son intimité à son regard et à ses doigts. Le tatouage sur le pubis l’excite ; c’est pour lui une invitation à aller plus loin. Il regarde partout et commence à caresser les cuisses de la femme. Il l’entend gémir. Il se dit qu’elle doit être bâillonnée. Il caresse ce sexe lisse, offert et accessible.
Marie-Gabrielle est surprise de sentir une main la caresser aussi vite après avoir été installée. Est-ce Olivier qui la titille ? Elle ne reconnaît pas son toucher. De toute manière, peu importe qui la caresse, elle aime être offerte de cette manière. Les doigts se font de plus en précis et ils jouent avec son bourgeon. Elle gémit dans le bâillon. Sa poitrine se gonfle, ses tétons se dressent. Elle mouille. Les doigts entrent et sortent de sa chatte, enfin remplacés par un sexe qui la besogne de longue minutes avant de se vider dans son ventre. L’homme se retire et la laisse ainsi.
— Alors ! Tu as trouvé le couloir du paradis ! dit Erika au jeune homme qu'elle surprend alors qu’il referme son pantalon.
— Euh oui ! Mais…
— Ce n'est rien ! Petite pute n'attend que cela. Tu peux retourner auprès de tes copains ! Et… tu peux faire passer le mot.
Il n’en croit pas ses oreilles. La propriétaire des lieux ne lui fait aucune remontrance et l’encourage même. Il se dit que ce week-end promet d’être agréable.
Quand il rejoint ses camarades, il n'a pas le temps de révéler ce qu'il a découvert dans l'écurie. Il les voit faire la queue devant Élise qui est occupée à les sucer un par un. On lui en explique la raison.
— Thomas en lui troussant la robe à découvert qu’elle porte une ceinture de chasteté !
— Non ! Ça n'existe pas !
— Si ! Si ! Doc Erika nous a expliqué qu’Élise est punie… Et, attends ! Sa punition consiste à sucer tous les hommes qui le lui demandent !
— Non…
— Si, c'est pour ça qu’on fait tous la queue ! Mais ! Et toi ? Tu étais passé où ?
— Dans l'écurie ! Tu devrais aller y faire un tour, tu ne seras pas déçu non plus !
Il adresse un sourire de connivence à Erika qui le regarde en souriant.
Erika s'aperçoit alors que deux des joueurs restent à l'écart des autres, elle comprend que pour ces deux-là, les charmes féminins les laissent insensibles. Elle s'approche d'eux et les informe que Gilles est à leur disposition. En entendant ses mots, Gilles panique, mais il sait qu’il n'a pas le choix. Il est effondré d'autant plus qu’Erika exige de lui qu’il avale le sperme jusqu’à la dernière goutte. Erika le fait mettre à genoux à côté qu'Élise pour qu’il participe à la punition de sa femme. Il n’y a pas de raison qu’elle soit la seule punie pour les actes commis par son mari envers ses patientes.
Gilles qui pensait bien s’en sortir en n'ayant que deux bites à sucer, s’aperçoit que d'autres jeunes hommes viennent malgré tout faire la queue devant lui.
Quand tous ont joui dans la bouche des deux médecins, Erika les invite à se mettre à table. Pendant le repas, servi par Olivier et Gilles, Elle peut voir les joueurs s’éclipser discrètement et se rendre dans l’écurie où se trouve Marie-Gabrielle.
Au moment du dessert, Erika rappelle qu’Élise et Gilles doivent être punis. Elle propose un jeu à l'issue duquel le vainqueur gagnera le droit de passer la nuit avec Élise, ou Gilles selon ses goûts. Les autres pourront profiter de Marie-Gabrielle. Erika ordonne à Gilles de déshabiller Élise puis elle demande à Olivier de dessiner avec un marqueur, une cible sur chaque sein de la femme, centrée sur ses tétons et une troisième centrée sur son nombril. Elle donne ensuite à chaque handballeur une sarbacane de carton et leur explique les règles.
Chacun aura droit à neuf billes de cotillons trempées dans de la peinture à l’eau noire, trois sur chaque cible. Ils commenceront par la cible autour du nombril, puis le sein droit et pour finir le sein gauche. Entre chaque tireur, Gilles devra lécher la peau d’Élise pour nettoyer la peinture.
Lorsque le concours commence, Élise se dit que cela ne sera pas trop dur. Même si elle doit mettre ses mains sur sa nuque pour bien exposer sa poitrine. Si les tirs sur son ventre et ensuite la langue de Gilles lui procurent des frissons, lorsque ses seins deviennent des cibles, c’est une autre histoire. De plus, les tireurs soufflent leurs billes le plus fort possible et lorsque l’une d'elles atteint ses tétons, elle a dû mal à rester immobile. Le supplice prend une autre ampleur quand la langue de Gilles vient lécher sa peau sensible.
Finalement, c’est un des gardiens de but de l'équipe qui remporte le trophée. Erika lui confie les clés de la ceinture d’Élodie en lui rappelant de ne pas oublier de la refermer avant de s'endormir. Olivier conduit Gilles dans l'écurie où il l'installe dans un box voisin de celui de Marie-Gabrielle.
Olivier s’attendait à devoir dormir sur une couverture sur le carrelage de l’office, comme cela est de coutume lorsqu’ils viennent passer le week-end au château. Mais Erika le confie à Lise pour la nuit. Il découvre alors que Victor est soumis comme lui. En effet, lorsqu’ils arrivent dans la chambre, il voit Victor nu, debout devant le lit de Lise, les mains derrière la nuque, le visage baissé ! Il semble que la nuit sera chaude car sur le lit quelques cravache et autre martinets attendent de faire leur office !
Dans l'écurie, Marie-Gabrielle et Gilles, eux, reçoivent plusieurs visites.
Le lendemain, Olivier et Gilles assurent le service car les deux femmes sont souvent occupées à proposer leur service aux jeunes hommes infatigables.
Voilà une équipe de handball qui se souviendra longtemps de ce week-end qui les récompense de leur victoire. Sans doute que cela leur donnera envie de rééditer leur exploit l'année prochaine.
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