Alors que je m’étais résigné, le patron s’approche de nous. Il nous regarde en souriant.
— Tout se passe bien messieurs, dames ? j’ai un petit problème avec ça ! Cela peut-être un préjudice pour mon établissement, nous dit-il en exhibant le string de Marie-Catherine
— Je pense que nous pouvons trouver une solution, madame s’est un peu oubliée…
— Cela serait pas une mauvaise idée effectivement !
— Vous pouvez lire ce qu’il y d’écrit sur les seins de madame ?
— Effectivement ! “Salope !” Ceci peut expliquer cela !
— Pour commencer et montrer notre bonne foi, madame va vous demander d’avoir une vinaigrette spéciale pour sa salade !
— Ah oui ! qu’est-ce donc ?
— Salope, demande ta vinaigrette en expliquant sa composition à Monsieur !
— Gloup… Monsieur pourrais-je avoir une vinaigrette spéciale avec du jus d’homme ?
— Pardon…?
— Gloup… heu… du spe… sperme est-ce possible, monsieur ?
— Dis que tu veux une salade au foutre !
— Gloup… Monsieur, pourrais-je avoir… gloup… une salade au foutre s’il vous plaît ?
— Et comment je le récupère ce foutre ? demande le patron.
— Vous n’avez pas un gars en cuisine pouvant faire ça ? Madame se fera un plaisir de l’aider.
— C’est une idée !
— Si tu allais en cuisine Marie-Catherine, peut-être que tu pourrais en profiter pour en prélever sur plusieurs gars.
— Qu’en pensez-vous monsieur ?
— J’ai trois gars dont un du bled au fourneau et un black à la plonge !
— C’est très bien. J’espère que votre jeune serveuse ne posera pas de problème, qu’elle ne sentira pas discriminée.
— Elle ne voudra pas perdre sa place elle est mère célibataire et ne peut que m’obéir. si je lui dis de ne pas regarder c’est réglé
— Très bien ! Mais juste une chose, elle n’a pas répondu à notre question toute à l’heure… mais pas grave. Ma salope suit monsieur en cuisine et va préparer ta sauce salade !
— Oui Maître, puis-je refermer un peu mon chemisier ?
— Non pourquoi ?
— il y a encore des clients
— Je suis sûr qu’ils seront ravis du spectacle.
— Ooh oui ! bien Maître !
— Dépêche-toi
— Oui Maître
Marie-Catherine disparaît en cuisine où elle entend le patron dire qu’elle va branler les gars pour assaisonner sa salade. Un tonnerre d’applaudissements accompagne cette annonce. Seule la serveuse est moins enthousiaste, mais comme le patron l’avait précisé, elle regarde ailleurs.
***
Après quelques minutes, je finis par demander à Bernard s’il est sûr que Marie-Catherine ne risque rien en cuisine, sans supervision.
— A part être pelotée voire devoir sucer, elle ne risque pas grand chose
— Oui c’est vrai.
Le serveur nous apporte nos plats en s’excusant du retard en raison d’un imprévu en cuisine.
— Et pour la salade, tout va bien ? Lui demande je, malgré les paroles rassurantes de Bernard
— Heu… Oui, je crois qu’ils s’en occupent en cuisine.
— Bien ! Avez-vous réfléchi à ce que je vous ai dit tout à l’heure ?
— Oui bien sûr ! Et ce qui se passe en cuisine m’ouvre des perspectives, non ?
— Évidemment ! Après votre service ?
— Ou pendant ma pause ?
— Oui, notre voiture est garée au bout du parking non loin des arbres, avez vous une idée de ce qui vous plairait ?
— Oh les toilettes c’est pas mal non plus… j’aime bien les WC hommes, en haut !
— Très bien quand est votre pause ?
— Quand je veux c’est assez souple et il y a moins de monde…
— Dès son retour de la cuisine, je lui dirai de monter. Une cabine spéciale ?
— Non, là où il y a les urinoirs ! Mais, quand les dernières clientes seront parties.
— Très bien ! Mais, pourquoi quand elles seront parties ?
— Parce que s’il y a des femmes elles pourraient faire scandale. Qu’il reste quelques hommes c’est moins problématique
— Je vois que vous avez l’habitude.
— Pas plus que ça mais je lis beaucoup !
— Et que lisez-vous ?
— Emmanuelle, histoire d’O ou le blog de “un monde de plaisirs particuliers” ou “récits pervers”, vous connaissez ?
— De bonnes lectures, en effet… Tiens revoilà notre salope… Alors tu as eu ta sauce ?
— Ma salade est bien vinaigrée, Maître !
— Différents vinaigres ?
— Oui Maître ! quatre différents dans la salade que voici, Maître, pour que vous voyez !
— Dans la salade où ailleurs ?
— Dans la cuisine je les ai tous branlés !
— Bien… Pour ton dessert, tu monteras le prendre dans les toilettes des hommes à l’étage.
— Oui, Maître !
***
Pendant que Marie-Catherine reprend sa place et commence à déguster sa salade particulière, le patron revient vers nous, toujours aussi souriant.
— Alors, monsieur, votre équipe est-elle satisfaite ? demande Bernard.
— Oui totalement !
— Par contre, à la table au fond, j’ai deux excellents clients qui trouvent votre comportement bizarre…
— Ce couple ?
— Non, les deux commerciaux à côté !
— Voulez-vous que nous allions leur parler ?
— Oui, dès que le couple sera parti et que madame aura fini sa salade et son plat. D’ailleurs, voulez — vous une autre bouteille d’eau, je vois que la votre est vide ?
— Oui apportez en deux pour madame et une bouteille de vin pour nous.
— Avec plaisir ! J’ai un petit Ménetou-Salon, vous m’en direz des nouvelles !
— Merci.
Nous continuons notre repas en observant les regards en biais des deux hommes, assis à une table plus loin. La salle se vide, il ne reste plus que nous et ces clients de ce côté de la salle.
***
— Marie-Catherine, va demander à ces messieurs s’ils veulent se joindre à nous pour le dessert
— Oui Maître, dit-elle en se levant.
Je regarde vers les commerciaux en leur souriant et en leur faisant un signe de tête tandis que Marie-Catherine se rapproche d’eux.
— Rhuuum… se grattant la gorge, rouge pivoine, elle demande : je vous prie de m’excuser messieurs mais voudriez-vous bien prendre le dessert avec nous ?
— Oui bien sûr ! Que nous proposez-vous pour ce dessert ?
— C’est heu… je… mon Maître qui vous le dira !
Je leur fais un signe de tête. Ils se lèvent et suivent ma soumise.
— Bonsoir Messieurs, on m’a informé que vous étiez intrigué par ce que nous faisions. Pourriez-vous me dire pourquoi ?
— Ah ! ben dites donc, la tenue de madame ne passe pas inaperçue. On ne sait pas si elle pourrait encore plus ?
— Cela peut se faire, mais cela va dépendre de vous…
— Ah oui et comment pourrions-nous faire dépendre de tout cela ?
— De votre discrétion.
— Vous savez nous ne sommes pas d’ici mais cela fait des années que tous les quinze jours, nous mangeons ici pour nos boulots, alors pas de problème de discrétion.
— Ma salope, retire ton chemisier !
— Oui Maître !
— Cela vous inspire-t-il, messieurs ?
— On le serait à moins évidemment
— Il y a simplement un problème, vous êtes deux, elle est seule ! Il va vous falloir tirer à pile ou face lequel d’entre vous elle va satisfaire en premier
— Oh ! Vous savez nous sommes de vieux comparses et savons partager surtout que pile et face ne sont que la même pièce enserrant la tranche
— C’est aussi possible qu’en penses-tu ma salope ?
— Que demande le peuple, ajoute Bernard.
— C’est snif vous le Maître, que je préfère à Zorro.
— Dis à ces messieurs ce qui pour le moment t’empêche de les satisfaire ensembles !
— OOOOH ! Je enfin… c’est heu… queue… je… je suis enfin… mes… mes ori… orifices, disons sont enfin heu occup… pés !
— Tu devrais leur montrer, penche-toi sur la table et retrousse ce qui te sert de jupe !
— Bien Maître !
Obtempérant, elle se lève se pose dans le passage, relève sa jupette et s’appuie sur la table
— Pensez-vous pouvoir être à la hauteur messieurs ?
— Debout, couché, assis, à genoux, on est toujours à la bonne hauteur
— Retire ce qui encombre tes trous et n’oublie pas de les nettoyer !
En soupirant légèrement pour ne pas irriter son Maître, elle retire le vibromasseur en premier et le porte à sa bouche.
— Dis à ces messieurs l’usage de cet objet, même si je pense que vous le connaissez !
— Messieurs, ceci est un vibro radiocommandé que m’a offert mon Maître pour m’exciter la chatte quand il veut et où il veut !
Elle retire ensuite le plug de son cul avec un “pop” flagrant, le portant avec appréhension à sa bouche pour le nettoyer.
— Elle a l’air d’être une bonne suceuse…
— Sa bouche est bien entraînée en effet. Je pense que vous pourriez l’accompagner aux toilettes des hommes à l’étage…
— Vers les urinoirs ?
— Tout à fait !
— Ça tombe bien, nous avons quelques besoins !
— MA salope, tu sauras me rendre fier de toi ?
— Mais Maître je vous ne venez pas ?
— Laisse-moi finir mon verre et je vous rejoindrai. Mais peut-être que Bernard qui a fini se fera un plaisir de t’accompagner avec eux ?
— Pas de problème, s’il le faut.
— Maître vous enfin… vous voulez heu… c’est-à-dire ? Enfin vers c’est-à-dire heu… vers les ur… heu… uri… enfin noir ????
— Tu as bien compris oui… Ces messieurs s’impatientent !
— Ooh mon dieu et je… je dois faire qu… quoi ?
— Que fait-on dans ce lieu ?
— Heu ses be… besoins, Maître !
— Ces messieurs ont des besoins, tu vas les satisfaire !
— Oooh… non… enfin… oui… co… com…ment ?
— Avec ta bouche, ta chatte, ton cul, enfin comme ils en auront envie !
— Je oui… mais les ur… urinoirs ?
— C’est aussi un besoin à satisfaire et parfois il y manque du papier.
— Co… com… comment Maître ?? dites-moi !
— Ta bouche, mais je crois que vous devriez monter…
— Vous voulez que… que je sois leur urinoir en bouche ?
— Tu sais très bien le faire, non ?
— Oooh mon dieu, Bernard ne laisse pas faire ça je vous en prie !
Bernard se lève sans un mot, regardant les deux commerciaux et sa femme.
***
Je suis les trois hommes et Marie-Catherine du regard. A l’étage, les toilettes hommes avec les urinoirs sont dans une grande pièce. Les deux hommes ouvrent leur pantalon et sortent leur sexe devant le visage de la blonde qui s’est agenouillée. Dans un coin, Bernard regarde la scène silencieusement. Elle grimace mais commence à prendre en bouche le plus jeune, tout en caressant la sexe de l’autre qui durcit dans sa main. Le sexe grossit dans sa bouche mais l’homme se détend et lâche un jet d’urine. Marie-Catherine se recule, surprise. Il la prend par les cheveux pour la maintenir afin de finir ses besoins. Elle avale comme elle peut pour ne pas s’étouffer.
Il sort de sa bouche que son comparse vient remplir à son tour. Marie-Catherine est désespérée, elle regarde vers Bernard qui semble absorbé par son téléphone. Le deuxième dont le sexe est raide ne cherche pas à uriner mais force la gorge de la pauvre femme qui manque de s’étouffer. Il l’agrippe par ses cheveux, le nez de Marie-Catherine est écrasé contre le ventre de son tourmenteur. Il gère la profondeur et la vitesse des aller-retours. Elle bave, s’étouffe. Elle voudrait respirer mais l’homme l’en empêche. Enfin il sort sa bite raide et couverte de bave. Elle prend une profonde inspiration Avant de reprendre en bouche ce sexe qui finit par jouir. Une première giclée au fond de la gorge puis les autres lui tombent sur le visage.
C’est à ce moment que j’arrive et découvre ma soumise à genoux, le visage souillé.
— Alors ?
— Elle s’acquitte de ses devoirs, me dit Bernard.
Le premier homme excité par le spectacle la fait se relever et lui demande de s’appuyer sur l’urinoir le lavabo. Il lui écarte les pieds et l’encule d’un coup sec. J’entends ma soumise gémir, quand il appuie sur le bouton de la chasse. L’eau gicle sur les joues de Marie-Catherine alors qu’il appuie sur sa tête, la sodomisant sauvagement.
Je signale alors à Bernard que le personnel de cuisine ne devrait plus tarder à arriver.
Le commercial qui ne devait pas avoir joui depuis longtemps se vide rapidement dans le cul pale et fripé de Marie-Catherine qui, elle, n’a pas joui.
— Hummm quel cul… Ça faisait longtemps.
— Ma salope ! N’oublies-tu rien ?
Je la vois blêmir et s’agenouiller devant son enculeur. Elle grimace et prend le sexe ramolli dans sa bouche pour le nettoyer. Sans oublier aucune partie avant de le rentrer dans le pantalon.
C’est à ce moment que l’autre dit qu’il veut pisser
— Offre-lui ta bouche ma salope, lui dis-je en la fixant dans les yeux. Montre-lui comme tu aimes cela, n’est-ce pas, Et demande le lui !
— Urinez dans ma bouche de salope Monsieur !
— Dis le mieux que ça !
— Pissez-moi dans la bouche, car j’aime ça, monsieur !
L’homme ne se le fait pas dire deux fois et dirige son jet vers la bouche ouverte et la langue pendante de la vieille femme. Volontairement, il dévie le jet pour en inonder les cheveux et le visage.
— N’oublie pas de bien le nettoyer…
— Snif ! Oui Maître !
— Et dis-nous ce que tu es maintenant !
— Je suis une salope, une pute, une chienne, Maître !
— Et tu es aussi un…
— Oooh… je suis un urinoir ?
— C’est toi qui le dit… n’est-ce pas vrai ?
— Ooooh… no… ou… oui… mais je vous en prie pas une lèche…
— Soit explicite !
— Je je ne suis… suis pas une lèche… heu… cul Maître, s’il vous plaît !
— Nous laisserons Zorro en décider… Mais je suis sûr que Monsieur le Maire sera ravi de voir ta prestation de ce soir…
— Nooon… nooon… Pas Zorro ! C’est trop horrible ! Je… je suis ce que vous voulez !
Je regarde les deux hommes en leur disant qu’il est temps pour eux de rentrer à leur hôtel.
— Envoyez-moi un message quand vous serez de nouveau en ville, je pourrais peut-être vous proposer à nouveau un urinoir spécial.
— Ou peut-être chacun le votre, dit Bernard.
Je regarde Bernard intrigué alors que les deux hommes me donnent leur numéro de portable en me remerciant.
— Ma salope, il faudrait que tu nettoies un peu ce bazar avant que nos nouveaux invités arrivent.
— Heu… c’est-à-dire Maître ?
— Tes amis de la cuisine ! Tu te souviens d’eux ?
— Bien sûr Maître !
— Ils vont monter et tu vas les satisfaire comme ils le méritent pour l’excellent repas qu’ils nous ont préparé.
Je vois Marie-Catherine attraper du papier pour nettoyer le sol souillé de la pisse des commerciaux, entre ses fesses, du sperme s’écoule un peu.
***
La porte s’ouvre et les cinq gars de la cuisine entrent.
A part un petit jeune qui se demande ce qu’il fait là, les quatre autres sont tout excités. Ils n’ont pas ce genre d’extras tous les soirs.
— Mettez vous à l’aise messieurs… pendant une heure, ma salope va satisfaire tous vos désirs.
Aussitôt, avec Bernard, nous les voyons retirer leur pantalon et sous la direction du serveur, ils se mettent en cercle autour de Marie-Catherine à genoux.
— Vas y ma pute, montre-nous ton savoir-faire !
Sans un mot, elle commence par caresser de ses mains ces queues qui se présentent devant elle. Elle pose ses lèvres tour à tour pour ne pas faire jaloux puis le plongeur noir lui prend la tête pour baiser sa bouche.
Rapidement, Marie-Catherine se retrouve à quatre pattes, une bite dans la bouche, une autre entre ses fesses. Les jeunes la visitent les uns après les autres. Avec l’énergie de la jeunesse, ils ne laissent aucun repos à ma soumise dont les gémissements remplissent ces toilettes. Un orgasme fulgurant l’envahit mais cela ne calme pas nos jeunes mâles qui espèrent lui en tirer d’autres avant la fin de l’heure qui leur est impartie.
Elle se couche sur un jeune sur le dos avec la chatte sur cette queue, pour être prise par un autre dans le cul un troisième, le black se présente à sa bouche et elle étend ses bras pour attraper les queues des deux autres à branler.
Sa gorge est déformée, elle bave, la queue dans cul est profondément entrée dans ses intestins et celle dans chatte lui perfore le col.
Les gars se synchronisent comme s’ils avaient toujours fait cela. Ils arrivent a jouir tous ensemble, remplissant les trous de Marie-Catherine de leur foutre de jeunes mâles tandis que ceux qui étaient branlés, giclent sur le visage et les cheveux de la femme.
— Nettoie bien tes nouveaux amis ma chienne…
— Oui Maître !
Avec application, elle lèche les membres virils un par un.
***
L’heure impartie touche à sa fin, le patron arrive pour récupérer son personnel. Il regarde le bordel qui règne dans ces toilettes, dubitatif.
— Vous avez vu qu’une toilette est à la turque ?? me dit-il en souriant vicieusement.
— Non, nous n’avons pas vu, dis-je.
— Et à votre avis, à quoi ça peut servir ?
— Réponds ma salope ! dis-je à Marie-Catherine toujours à genoux.
— Oooh… c’est un lieu où on peut déféquer, Maître !
— Des fait quoi ? dit le patron. J’ai pas compris le verbiage, elle ne parle pas français ?
— Exprime-toi clairement pour que tout le monde comprenne ma pute !
— Oooh, c’est pour pour ch… chier, Maître !
— Oui et que peut-on faire d’autres ?
— Je… je ne vois pas, Maître, à part pisser ?
— N’en as-tu pas envie ?
— Envie de quoi ?
— De pisser !
— Oh oui ! Avec toute l’eau bue, oui ! J’ai envie !
— Alors pisse, mais à une condition… que tu te branles en même temps.
— Oooh ! Pas devant tout le monde Maître !
— Je crois qu’ils en ont envie… ils vont t’aider… accroupis-toi…
— Oooh, oui Maître et ma jupe ?
— C’est ton problème, pas le mien !
— Je dois l’enlever ?
— Et où comptes-tu la mettre ?
— Vous la donner, Maître !
— Tu crois que je vais m’encombrer avec…
— Au patron ?
— Voulez-vous la tenir, cher Monsieur ?
— La tenir ? Non, mais la mettre dans la poubelle ainsi que le chemisier.
— Il est vrai qu’il est totalement détruit… donne au patron ma pute !
Avilie, vaincue, elle retire son chemisier et sa jupe pour les donner au patron.
— Installe-toi !
Elle entre dans le cabinet alors que les gars ont dégondé la porte. Elle se retourne, posant ses pieds sur les marques prévues dans ces WC turcs. Dans un état second, elle s’accroupit et commence à se caresser en laissant jaillir le trop plein de sa vessie.
— A vous l’honneur, dis-je au patron. Vos gars la doucheront ensuite !
Elle ferme les yeux dans un monde à part tandis que le patron sort son sexe ramolli et dirige le jet vers la poitrine de ma soumise.
— Ouvre la bouche et les yeux, en souriant !
Sous mes yeux satisfaits, elle obéit sans protester. Le patron en profite pour ajuster le tir alors qu’elle s’active sur son clitoris. Avec tout ce qu’elle a bu, son jet urinaire coule encore. Elle boit la pisse qui lui arrive dans la bouche comme elle peut. Ses tétons tendus et le souffle court, elle a des papillons dans le ventre.
Quand le patron se tarit, les cinq jeunes viennent l’entourer. Ils se maîtrisent moins bien que leur patron et visent un peu partout. Bernard en profite pour discuter avec le patron.
— Vous pourriez peut-être aménager cet espace, pour certains bons clients ou clientes ou partenaires commerciaux.
— Je vais y réfléchir, ça peut être intéressant.
— Tenez-moi au courant de vos réflexions…
Pendant ce temps, Marie-Catherine jouit, s’affaissant, le cul dans les bords du trou des toilettes, tout en étant inondée.
— Mon ami, dis-je à Bernard. Je crois que là, elle est arrivée au bout de sa résistance, ce n’est plus une jeunette.
— Laissons-les finir ! me répond-il en regardant les jeunes finir de pisser.
— Bien sûr, Bernard… Avez-vous un jet d’eau ? Demandé-je au patron ?
— Oui, dehors ! Mais c’est de l’eau froide !
— C’est parfait !
Je sors le collier et la laisse pour le fixer autour du cou de Marie-Catherine.
— Allons te laver, tu ne vas pas remonter dans la voiture comme cela ! Mais, as-tu aimé toutes ces bonnes liqueurs ?
— Snif… oui, bien sûr Maître !
— Quoi ?
— J’aime ces bonnes liqueurs.
— Qu’est-ce que tu préfères ?
— Heu… le fou… foutre, Maître !
— C’est tout ?
— Oooh ! J’aime aussi la pi… pisse, Maître !
— Sur toi ou à boire ?
— Sur moi, Maître !
— Quel dommage, Zorro ne va pas aimer !
— Nooon, nooon ! J’ai… j’aime boire de la pisse, Maître ! Pas Zorro !
— Tu seras donc heureuse de revenir ?
— Oui Maître !
— Très bien ! Je verrais cela avec le patron…
— Bernard, veux-tu sortir avec la chienne ?
— Est-ce nécessaire ?
— De la laver avant de remonter en voiture, oui je pense…
— Effectivement ! Oui, bien sûr ! Évidemment !
Sur le parking, alors que la nuit est tombée, le personnel s’active pour tout nettoyer avant de rentrer chez eux, satisfaits de cette folle soirée.
— Veux-tu la nettoyer au jet, Bernard ? Je voudrais envoyer un message à Sophie…
— Ah non ! Ce n’est pas concevable. Mais, le patron peut le faire, non ?
— Oui ! Bien sûr ! Voulez-vous le faire ? Debout ma salope main sur la tête…
Marie-Catherine se lève comme un zombie. Elle met ses mains sur la tête, souillée de sperme et de pisse. Ce qui lui reste de tissu en est imprégné. Je lui demande de tout retirer et de jeter ses bas et son porte-jarretelles, ils sont irrécupérables. Elle se met entièrement nue, incapable de se rebiffer. La fraîcheur de la nuit fait durcir ses tétons tout comme l’excitation qui traverse sa fente.
Le patron ouvre l’eau et commence à la doucher. Même si elle s’y attendait, Marie-Catherine sursaute, surprise de la puissance et du froid du jet.
— Tourne-toi ! Penche-toi et ouvre tes fesses ! Qu’on lave bien tes trous de pute !
Ayant perdu toute volonté propre, elle écarte ses fesses avec ses mains pour que le jet atteigne bien son intimité. Elle soupire sans en connaître la raison ; douleur, excitation ou autres ?
Je fais signe au patron d’arrêter et venant derrière elle, je lui remets le plug dans son cul et l’œuf dans la chatte.
Déconnectée de la réalité, elle me remercie, sans que je ne lui ai rien demandé.
— Merci Monsieur, nous reviendrons avec plaisir… Mais, nous vous préviendrons avant, pour que vous puissiez vous organiser.
***
Nous traversons le parking, Marie-Catherine en laisse, nue derrière nous. Dans la voiture, elle reprend la pause que je lui avais demandée de prendre à l’aller. Mais, malgré cette soirée agréable, je m’inquiète un peu. Sophie n’a répondu à aucun de mes messages dans lesquels je lui disais que je ne l’accusais pas de me tromper avec Bernard et que je l’aime plus que tout. Je ne voudrais pas qu’elle fasse une bêtise.
Sur le trajet du retour, Bernard textote puis me demande de pousser le chauffage pour Marie-Catherine qui tremble de froid sur le siège. Je vois un sourire satisfait sur son visage.
— Oui bien sûr je mets le chauffage. Tu as l’air content, lui dis-je tout bas.
Bernard me montre un SMS de Sophie en levant le pouce discrètement, pour ne pas être vu de sa femme. Je lis rapidement le SMS de ma femme ainsi que la réponse de mon ami.
“Bernard c’est horrible Hervé a tout découvert je ne sais pas quoi faire je suis dans un ibis”
“petite chienne ne t’inquiète pas. Reposes toi. Dors je vais régler le problème fait moi confiance.
Je te contacte demain matin. Tout le monde ne veut que tout se passe bien. Soit tranquille.”
Je suis soulagé. Lorsque nous arrivons chez eux, je m’assure que Marie-Catherine aille bien. Elle s’endort rapidement. Nous sommes dans la cuisine et discutons de la situation.
— Je suis désolé, je ne pensais pas qu’elle aurait été aussi perturbée.
— Peut-être parce qu’elle culpabilise d’y trouver une certaine excitation malgré elle, mais peut-être que tu n’as pas été très diplomate. Elle ne sait pas les cartes que nous avons chacun dans notre jeu.
— Oui, je pense que c’est pour cela… Je reconnais que je ne sais pas toujours trouver les bons mots quand je m’exprime… Mais dis-moi, pour demain ! Je pense que je devrais laisser Marie-Catherine récupérer, non ? Sa journée a été rude !
— Oui bien sûr… De mon côté, je vais rassurer Sophie, en levant le pied. Le temps que tout se calme un peu.
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