lundi 12 mai 2025

Le Mariage de Anne et Romain : Première Soirée

 Récit écrit par Caso29, publié avec son aimable autorisation

Première partie : L’enterrement de vie de jeune fille d’Anne


Première soirée



Un soir d’été à Montpellier.

Aujourd’hui vendredi 10 juillet ; je me présente, Estelle, divorcée depuis deux ans maintenant, sans enfants et ce soir je me prépare pour une sortie inhabituelle. Faut dire que depuis mon divorce, je reste un peu trop cloîtrée chez moi, n’osant plus trop sortir alors que mes amies me disent avoir encore un physique agréable qui plaît aux hommes, mais je souffre d’un manque flagrant de confiance en moi. Taille moyenne de 1m62, un modeste 90B de poitrine. J’ai bien eu quelques histoires, mais sans lendemain et surtout sans que cela m’apporte une grande extase et pourtant comme toutes les femmes j’ai des besoins sexuels mais ne cherchant pas, je ne trouve pas L’HOMME qui me refasse vibrer, étant très pris par ma vie professionnelle à laquelle je me consacre à 200 %.

Donc ce soir, j’accompagne ma petite nièce Anne avec ses deux meilleures amies, et copines de boulot, à son enterrement de vie de jeune fille. Celle-ci se marie la semaine prochaine avec son amour de lycée, Romain, un garçon adorable et très affectueux. Ensemble, ils forment presque déjà un vieux couple, se connaissant depuis le collège et la classe de quatrième. J’ai toujours été très proche de ma nièce étant sa marraine ; aussi quand celle-ci m’a demandé de venir avec elles, j’ai simplement refusé voulant les laisser entre jeunes filles mais trouvant les mots elle me convainc de les suivre :

Anne : « Mais tu es encore jeune ! L’autre fois tu me disais que ça faisait longtemps que t’étais pas allé en boîte pour danser et que cela te manquait, c’est l’occasion ! Et puis tata argument ultime, on aura besoin je pense d’un chauffeur pour nous ramener, car je ne compte pas boire de l’eau ce soir-là et je ne vais quand même pas demander à maman de venir avec nous !!! surtout que mes deux copines ne comptent pas se dévouer à faire celles qui ne boivent pas. Et je te considère autant comme une bonne copine que comme ma tante. »

J’avoue que de savoir qu’elles allaient toutes les trois picoler m’a un peu inquiété et je me suis facilement laissée persuader. Autre argument qui m’a convaincu de les accompagner, ses deux amies Bernie et Cynthia. Je les connais peu et ma nièce m’en a tellement parlé que j’ai envie de faire un peu plus leur connaissance. Bernie, une brune très mince, m’a paru très discrète alors que Cynthia est une blonde magnifique, toujours habillé strict en jupe et tailleur mais malgré tout sexy. Je sais qu’elle est la cheffe d’Anne et de Bernie. Je suis surprise qu’elle soit elle aussi célibataire vu sa beauté, ce ne doit pas être les propositions des hommes qui doivent lui manquer. Toutes les trois bossent dans une grosse compagnie bancaire. Comme Cynthia me semblent attirer les hommes, je n’ai pas envie que toutes les deux fassent faire à Anne une bêtise avant le mariage. Va falloir que je les garde à l’œil et que cela reste bon enfant comme amusement.

***

Me mettant en relation avec Cynthia, l’organisatrice du week-end, nous nous retrouvons le vendredi soir, direction Port-Camargue où elle a loué une marina. Puis une paillote branchée du côté de la Grande Motte, pour une soirée tapas, repas et champagne et enfin la discothèque située juste en face. Le samedi matin, une séance massage de prévue si elles arrivent à se lever tôt. Ensuite des jeux un peu rigolo et coquin dans l’aprèm, déambuler en tenue d’infirmière, vendre des capotes à des passants et après le soir à voir si on fait une fiesta dans la maison où si on retourne dans une autre paillote. Le dimanche, grasse mat avant que chacune retourne chez soi. Je trouve ce programme bien sage vu leur âge, mais je n’en discute pas.

Cynthia essaye de me convaincre que ma présence n’est pas indispensable si j’ai peur de déranger entre jeunes et qu’elles pourront prendre un taxi pour rentrer à la marina. Mais hors de question de laisser Anne sans surveillance.

Je me suis arrangée pour poser une demi-journée et ainsi j’ai pris rendez-vous chez mon coiffeur et mon esthéticienne Kathy pour me faire un petit plaisir. D’ailleurs cette dernière était enchantée de me revoir depuis le temps que je n’avais pas mis les pieds dans son institut. Aussi sur un coup de tête, je me suis laissé faire une épilation intégrale du maillot, moi qui d’habitude garde toujours une petite toison. La sensation est étrange n’étant pas habituée à être ainsi « nue » mais Kathy me rassure en me disant que plus en plus de femme de ma génération souhaite une « intégrale » pour plaire aux minots me dit-elle en riant. Et moi qui rougis comme une idiote, car elle doit croire que je veux plaire aux jeunes alors que ce n’est pas du tout mon fantasme.

La valise prête pour ces jours, je passe prendre les trois jeunes filles directement à la sortie de leur travail et direction la fiesta.

***

Quand on arrive à la marina, je suis émerveillé par cet appart sur deux étages et deux terrasses dont une grande à ciel ouvert, avec divine surprise !!! un jacuzzi. Je constate aussi qu’il n’y a que trois chambres et comme nous sommes quatre je demande à ma nièce ce qu’elles ont prévu, Bernie me répond :

Bernie : « Avec Cynthia on s’est mise d’accord pour vous laisser la grande chambre du second, nous on dormira dans l’autre grand lit tandis qu’Anne sera dans la seconde chambre du premier si cela vous convient ? »

Estelle : « Merci Bernie c’est parfait. »

Cynthia : « Bon allez les filles, vite on se douche et direction la paillote. »

Zut ! moi qui aurais bien voulu de suite tenter le jacuzzi, je me dis que ce n’est que partie remise.

Par contre, deux douches pour quatre nanas si les filles veulent ne pas être en retard, il va falloir speeder, aussi Cynthia en bonne organisatrice décide qu’on y aille deux par deux. Par pudeur je proteste mais Anne ma nièce me dit qu’elle viendra avec moi et qu’il n’y a pas de honte à avoir entre tante et nièce, ne voulant pas paraître trop prude et faire ma rabat-joie je cède à contrecœur. Décidément ces jeunes sont moins gênées que les gens de ma génération.

Ma nièce me félicite de la fermeté de mon corps et admire ma poitrine, elle qui en a une encore plus petite, et complexe un peu dessus. Je la rassure en lui disant qu’apparemment cela ne gêne pas Romain. Nous finissons rapidement de nous préparer tandis que nous entendons les deux autres filles rigoler.

Estelle : « Cynthia et Bernie m’ont l’air bien complices, on dirait ? »

Anne rougit et comme une idiote je ne perçois pas sa gêne, je découvrirais bien plus tard à quel point elles sont plus que complices.

Quand nous sommes toutes les quatre prêtes, je prends le volant et nous nous dirigeons vers la paillotte. Comme c’est un endroit à la mode, Cynthia a pensé à réserver une table dans un coin VIP. Dès notre arrivée, une première bouteille de champagne est portée à notre table. Nous trinquons à ce week-end et au futur mariage d’Anne. Étant leur conductrice, je sais que je dois malgré tout surveiller ma consommation d’alcool.

Les filles se dirigent sur la piste de danse et se trémoussent sous les sons du DJ le temps que les premières tapas commandées arrivent à notre table. Tandis qu’elles dansent, un grand gaillard black d’un mètre quatre-vingt-dix se prénommant Mike apporte nos premières commandes.

Mike : « Et surtout n’hésitez pas à me faire signe s’il vous manque quelque chose, en tant que VIP je m’occupe exclusivement de votre table et de la table voisine dont les occupants ne vont pas tarder à arriver. »

Estelle : « Merci beaucoup, cela m’a l’air très bien comme cela. »

Mike : « J’ai cru comprendre que vous êtes là pour un enterrement de vie de jeune fille. C’est vous la future mariée ? »

Je ne peux m’empêcher de rougir et lui explique que c’est ma nièce qui a ce privilège. Il me quitte dans un sourire, car ses autres clients viennent d’arriver et ils s’installent tout à côté de notre table. C’est un couple assez atypique, un homme que j’imagine dans la quarantaine, accompagné d’une très belle femme faisant sans doute une dizaine d’années de plus que lui. Je suis pas choqué par leur différence d’âge, après tout dans le cas contraire, cela ne choquerait personne. Ce qui me choque, c’est la tenue très provocante de cette femme. Elle porte une jupe noire hyper moulante, des talons hauts d’un moins quinze centimètres, un chemisier blanc transparent sans soutien-gorge, devinant assez facilement sa forte poitrine assez ferme et pour combler le tout, un collier autour du cou avec un anneau. Apparemment ce sont des habitués du lieu car, avec Mike, ils se congratulent chaleureusement.

Je me détourne d’eux en voyant les filles revenir pour commencer notre repas. Très vite une seconde bouteille de champagne arrive à notre grande surprise, car nous n’avions rien commandé. Mike nous indique qu’elle est offerte par l’homme se trouvant dernière nous. Les filles sont enchantées et je vois dans les yeux d’Anne une certaine excitation en voyant cet homme mûr. Ma nièce, n’étant pas du genre timide, engage la conversation avec ce couple. On apprend qu’ils se prénomment Patricia et David. C’est principalement David qui discute avec ma nièce. Car malgré sa tenue très osée, cette femme classe et sexy ne répond que dans David l’y autorise. Hormis ma nièce, Bernie, Cynthia et moi sommes mal à l’aise du comportement de cet homme vis-à-vis de sa compagne.

Anne par contre, se détourne un moment de nous trois et discute avec eux. On entend facilement leur conversation et elle me choque à toujours vouloir en savoir plus sur leur type de relation. Je me dis que l’alcool l’aide à se désinhiber, mais je compte lui faire part plus tard de son attitude insolente.

Anne : « Je suis curieuse Patricia, mais cela fait combien de temps que vous êtes ensemble ? »

Patricia ne lui répond pas attendant que David l’autorise à lui répondre.

Patricia : « Cela fait un an et demi maintenant que je suis la soumise de mon Maître. »

Anne : « Elle n’a pas le droit de vous appeler David ? »

David : « Parfois oui, mais jamais en public et surtout quand elle porte son collier. »

Anne : « Vous êtes mari et femme ? »

David : « Non Patricia est mariée. »

Anne surprise : « Ah bon et votre mari est au courant ? »

Patricia : « Bien sûr il assume son rôle de cocu et il sait que je suis pleinement heureuse et satisfaite entre les mains de mon Maître. »

David sourit à sa réponse et prend tendrement sa main pour y déposer un baiser, quel drôle de couple. J’interviens enfin et demande gentiment à Anne de laisser ce couple tranquille, qu’ils profitent eux aussi de leur soirée. Ma nièce boude un peu mais finit par revenir dialoguer avec nous et lâchant un clin d’œil à David.

Anne : « Ah ma marraine, toujours là pour me surveiller !!! »

Étant face à David, qui pour moi, reste un homme énigmatique, je sens que ses yeux s’attardent souvent sur moi et sur Anne. Je n’ose pas croiser son regard tellement je me sens intimidée par son magnétisme.

L’heure avance, nos tapas succulentes étant finies, David se lève et dit à Patricia qu’ils doivent y aller et part payer l’addition en disant à Anne qu’il se fait un plaisir de nous offrir nos consommations en cadeau pour son futur mariage. Je tente de protester mais d’un geste amical, mais ferme, il me coupe la parole.

David : « Pardon Madame, mais j’insiste et vous souhaite de bien finir votre soirée. »

Pendant qu’il paye, Cynthia et Bernie détaillent à Patricia le programme prévu pour l’enterrement de vie de jeune fille d’Anne et celle-ci leur fait remarquer que c’est hyper sage et qu’elle pensait que les jeunes de maintenant avaient plus d’imagination. Aussi avant de s’éclipser elle se tourne votre Anne et lui glisse son numéro de téléphone en leur disant :

Patricia : « Mon Maître m’a demandé de vous donner ceci. Si demain soir vous avez envie d’un programme sortant de l’ordinaire, appelez-moi dans la journée et il pourra vous organiser une soirée que vous ne serez pas près d’oublier. »

Elle la remercie et lui promet d’y réfléchir tandis que moi je ne dis rien, car j’aime bien le programme « sage » de Cynthia et redoute les pensées de ce couple envers ma tendre Anne.

Nous allons sur la piste de danse toutes les quatre. Je me retourne pour voir nos voisins partir et là mes yeux m’en tombent… Patricia roule une pelle intense à Mike notre serveur tout cela en tenant la main de David qui sourit en me matant intensément.

Durant toute la soirée, nous nous sommes défoulés, pour ma part ça faisait longtemps que je ne m’étais pas autant amusée. Il y a bien eu quelques approches de jeunes hommes, mais je les ai repoussés gentiment et surprise Cynthia en a envoyé bouler un grand nombre. Je ne suis pas étonnée de son succès avec les hommes, mais je commence à comprendre qu’elle est plutôt intéressée par les femmes et principalement par Bernie avec qui elles ont fait des corps à corps de plus en plus intenses. Ma nièce me confirme à l’oreille à quel point elles sont complices. Revenant à table avec Bernie, je lui demande confirmation de leur relation. Celle-ci rougit et m’annonce ;

Bernie : « Oui on essaye pour le moment de le cacher mais avec l’alcool et la musique difficile de se retenir. »

Estelle : « Pourquoi se cacher, de nos jours, les femmes lesbiennes sont plus facilement acceptées il me semble ? »

Bernie : « Peut-être mais au boulot on préfère pour le moment que cela ne se sache pas d’autant plus que Cynthia est ma cheffe. »

Bientôt une heure du matin, la paillote se vide lentement. Alors qu’on avait prévu de finir en boîte, on décide de rentrer, car les filles ont eu une semaine et une journée de boulot très intense. Je demande à Anne si elle n’est pas dessus de rentrer si tôt, mais elle m’avoue avoir un peu trop abusé de champagne et qu’elle voudrait surtout profiter de la journée de demain en étant bien fraîche et reposée. Je vois qu’en effet, elle a besoin que Cynthia la soutienne pour revenir à la voiture. Pour ma part, ayant bu quatre verres, j’espère ne pas être positive au cas où je me ferai contrôler. Mais ce soir-là, pas de flic en vue et heureusement, la distance pour rejoindre la marina est hyper courte.

Une fois rentrée, Anne m’annonce qu’elle part de suite se coucher, le champagne et elle ne faisant pas bon ménage. Cynthia et Bernie vont se faire un bain de minuit en utilisant les premières le jacuzzi. La fenêtre de ma chambre donnant sur ce jacuzzi, j’assiste à leur déshabillage et constate qu’elles ne gardent aucun dessous me dévoilant leurs jeunes corps. Bernie est toute menue, des petits seins mais avec des tétons bien gros, qui contraste beaucoup avec la blancheur de sa peau, alors que Cynthia qui est mince aussi possède une poitrine bien ronde et ferme, à vue d’œil un bon 90D.

Je vais pour fermer mes stores et les laisser tranquilles, quand en entrant dans le bain moussant, Cynthia attire violemment Bernie à elle et lui roule une pelle intense tout en maltraitant sans ménagement la pointe d’un de ses mamelons. Je devrais les laisser dans leur intimité mais une pulsion soudaine me pousse à les regarder discrètement.

Cynthia : « Enfin seule !!! viens ma petite Salope et bouffe mes gros nibards ! »

Je suis un peu choqué par la grossièreté de Cynthia. Mais ma stupeur n’est pas terminée en entendant la réponse de Bernie.

Bernie : « Putain moi aussi, il me tardait d’être que toutes les deux, en plus cette femme mûre qui se pointe avec son collier de Soumise et sa poitrine qui ne demandait qu’à être pétrie. J’ai bien vu comme tu jalousais son type avoue « Maîtresse ». Je suppose que tu aurais bien aimé t’en occuper de sa bourge. »

Cynthia : « Tu me connais bien ma chérie, mais tu imagines la tête d’Estelle si elle m’avait vu lui faire du rentre-dedans. Et Anne qui a insisté avec ce couple, je ne le savais pas autant intéressé par la chose. Mais même si cette bourgeoise était bandante, je n’ai d’yeux que pour toi ma petite Chienne. »

Bernie : « Tu sais combien j’aime quand tu m’humilies de la sorte. J’aimerais bien aussi pouvoir porter un collier quand on sort toutes les deux et montrer à ses machos de mecs que je t’appartiens. »

Cynthia : « Si seulement on pouvait, je t’en offrirais un dès demain ou alors faudrait sortir loin d’ici dans une ville où personne nous connaît. Mais en attendant, fini les discours et viens bouffer le minou de ta patronne. »

Le spectacle que me donnent ces deux belles jeunes filles est magnifique, doux et violent à la fois. J’ai un peu honte de leur « voler » leur moment d’intimité et sans m’en rendre compte une de mes mains pince ma poitrine tandis que l’autre frotte délicatement mon bouton. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas adonné au plaisir solitaire et d’un coup je me ressaisis en me demandant ce qu’il m’arrivait car jamais d’ordinaire je ne fantasme sur des plaisirs lesbiens. Alors je ferme sans le vouloir bruyamment les volets. Le bruit les fait sursauter et celles-ci se lèvent du jacuzzi pour s’en aller dans leur chambre s’adonner à des jeux saphiques. Malgré la fatigue j’ai eu du mal à trouver le sommeil, pensant aux paroles d’Anne avec ce couple et surtout le spectacle que m’ont donné Cynthia et Bernie. Faudra que demain matin, j’aille discrètement m’excuser de les avoir interrompues et surtout avoir une explication avec Anne sur son attitude avec ce couple.

1 commentaire:

  1. Merci ma partenaire d'écriture. C'est un honneur de voir 1 de mes récits figurer sur ton blog.

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