jeudi 31 juillet 2025

La Dédicace - 03 -

 

Première séance


Pendant que Chantal lisait tranquillement le contrat, il avait quitté la pièce pour la laisser calmement en intégrer les termes. Quand il la vit prendre le crayon pour signer, il s’approcha d’elle.

— Attends avant de signer, car il faut bien que tu saches à quoi cela t’engage.

— Je le sais, Monsieur. Je suis convaincue que je le fais pour mon bien… et pour le bien de mon couple, ajouta-t-elle dans un souffle.

— C’est bien possible, mais dis-moi à quelle fréquence tu pourrais être disponible pour nos séances.

— Au moins deux fois par semaine, je n’ai pas cours le mardi et le jeudi.

— Bien ! Nous partirons là-dessus pour ce contrat et au bout de trois mois nous prendrons de nouvelles dispositions si chacun de nous le désire… Sachez que je t’imposerai une ceinture de chasteté pour les jours où nous ne serons pas ensemble. Il faudra que tu trouves toi-même une justification auprès de ton mari.

— Oui Monsieur, je comprends et je trouverai des explications.

— Et au moins une fois par semaine, tu viendras la veille au soir…

Il s’approcha d’elle avec un objet qu’il était allé chercher pendant qu’elle lisait le contrat. Il sourit en voyant le frémissement de recul quand il le lui présenta, mais elle souleva le pied quand il commença à lui enfiler la ceinture. Il fit d’abord entrer le gode qui allait lui remplir la chatte puis il dut un peu forcer pour entrer celui qui occuperait son anus. Il possédait plusieurs renflements de plus en plus gros comme une succession de perles. Il l’entendit gémir lorsque le dernier entra et il finit par fermer la sangle avec un petit cadenas sur ses reins.

— Allons-moi à l’étage ! lui dit-il alors.

Il l’invita à le précéder dans l’escalier et s’amusa de la voir remuer du bassin pour ajuster les éléments de la ceinture en montant les marches. Il savait très bien par ce que lui avait raconté Nadia, qu’elle ne pourrait pas rester insensible à ce traitement.

— Vous allez vous y faire très rapidement… Mais effectivement chaque changement de posture ou le fait de monter un escalier vous apportera énormément de sensations.

Chantal blêmit en pensant à tous les escaliers qu’elle devait monter et descendre lorsqu’elle travaillait.

— Oui ! C’est très seyant. Tu vas la garder tu vas avoir de nouvelles habitudes à prendre pour tes petites affaires.

— Oui Maître ! dit-elle en caressant sa ceinture.

— Tu décides donc de m’appeler maître maintenant. Ce qui me dit que tu me fais confiance. Je vais donc profiter de cette nouvelle étape pour établir les règles qui sont non contractuelles si tu veux bien.

Sans attendre sa réponse, il reprit :

— Donc en toutes circonstances tu me vouvoies et je te tutoie cela va aussi pour ma compagne Nadia… Tu m’appelles Maître, mais tu ne me parles que si je t’en donne le droit si tu as quelque chose à me demander tu lèves la main et tu attends que je t’autorise à parler. À l’extérieur tu peux m’appeler monsieur, mais tu peux appeler Nadia par son prénom. Cela te convient ?

— Oui Maître, j’accepte ces nouvelles règles. Je veux que vous soyez fier de moi.

— Je vois que déjà dès cette première rencontre tu es prête à t’investir malgré une vie qui doit être déjà bien chargée.

Chantal ne dit rien, mais sourit, car cet homme qu’elle appelait désormais Maître acceptait de s’occuper d’elle et d’assouvir ses fantasmes secrets. Elle espérait vraiment qu’elle serait digne de la confiance qu’il semblait lui donner. Il ouvrit alors une porte donnant sur une pièce sombre aux volets et rideaux fermés.

— Et je te laisse jusqu’aux vacances scolaires, pour t’habituer à cette seule contrainte, car après j’exigerais que tu portes ce collier en permanence… Bon ! Nous allons quand même tester un ustensile avant que tu rejoignes ta famille.

Il alluma la lumière et elle découvrit trônant au milieu de la pièce un pilori. Il souleva la barre supérieure et lui demanda de prendre position. La tête dans la grande ouverture et les poignets dans les deux petites de chaque côté. Son corps était à l’horizontale, elle sentait sa poitrine se balancer lourdement. Il referma la pièce sur son cou. Elle était totalement à sa merci. Il fixa une barre entre ses chevilles ce qui la forçait à bien écarter les jambes puis il se recula.

Attrapant une caméra, il la filmait. Il tournait autour d’elle, faisant des gros plans sur son visage, ses seins, ses fesses. Puis posant la caméra sur un trépied, il prit une badine et lui frappa le postérieur. Une marque rouge lui striait la peau. Elle poussa un cri de douleur en sursautant, mais d’autres coups s’enchaînaient sur sa croupe.

Comme il avait commencé, il cessa de frapper. Il la regarda et prenant un double crochet, il le lui glissa dans les narines et le fixa à un anneau sur la barre de bois qui lui maintenait la tête. Elle fut obligée de la relever pour regarder droit devant elle. Il ajusta la hauteur du pilori et vint se placer devant son visage après avoir ouvert son pantalon. Il présenta son sexe à sa bouche et sans se faire prier, elle l’ouvrit et commença à sucer. Il faisait des allers et retours de plus en plus puissants et en la prenant par les oreilles, il força la gorge offerte. Elle bavait de plus en plus quand il libéra son sperme dans la bouche. Il continuait de la maintenir par les cheveux quand il sortit de la bouche et voulut pousser le test encore plus loin. Il commença à pisser dans sa bouche.

— Ouvre grand la bouche Chantal. J’exige de toi une vénération totale.

Elle ouvrit la bouche sans un mot et il replaça se verge au bord de ses lèvres et laissa couler ce jet doré. Il savourait ce moment où la femme qu’il avait devant lui s’engageait de manière irréversible dans la soumission. Elle ne réagissait plus, choquée. Ce qui pour elle était de la fiction dans le roman devenait réalité. Il se retira, la regardant déglutir un peu de son urine.

— Tu viens de franchir un seuil et j’avoue que pour une première journée ta docilité m’impressionne. Je crois que tu as assez vécu de chose aujourd’hui.

Il ouvrit alors le carcan, la regardant dégoulinante, les cheveux trempés. Elle ne bougeait pas choquée par ce qu’elle venait de vivre. Mais, d’une petite voix, elle le remercia avant de se relever honteuse et excitée.

— Tu vas pouvoir te nettoyer, Chantal ! Relève bien la tête que je retire ton collier.

Il lui montra la salle de bain où elle put prendre une douche et alla lui chercher les vêtements qui étaient restés dans la voiture.

— Voilà ! Ta première leçon est finie j’espère qu’elle a surpassé tes espoirs… Je t’attends maintenant jeudi, mais d’ici là, je t’écrirai pour te donner quelques instructions… Pour rentrer chez toi, je te laisse prendre le bus.

Elle enfila son soutien-gorge et ses vêtements, sa culotte était remplacée par cette ceinture qui lui rappelait sa nouvelle condition. Quand elle fut dans la rue, elle se sentait nue, elle craignait que quelqu’un ne remarquât son état. Dans le bus elle resta debout et arrivée chez elle, elle se précipita de nouveau sous la douche pour se calmer. Les prochains jours allaient être terribles.

Elle venait de finir de se rhabiller quand elle reçut un message de son Maître : « J’espère que ton voyage de retour c’est bien passer. Comme tu peux le constater, la ceinture est très serrée, mais évite les produits sucrés les prochains jours et celle-ci sera plus lâche. Je veux que tu me donnes ton poids, car je te ferais peut-être perdre quelques kilos. Sinon ce soir tu auras du mal à t’asseoir, mais avec l’aide d’une crème apaisante cela va vite aller pour le mieux. Ton Maître »

Elle le remercia pour ses conseils et lui donna son poids. Elle pesait soixante-quinze kilos.


dimanche 27 juillet 2025

Chantage à la Campagne - 22

 

Je me réveille en sentant la bouche de ma femme sur mon sexe. Je ne dis rien. Je la laisse me faire cette caresse buccale. Ses lèvres montent et descendent sur mon membre qu’elle avale entièrement. Je sens progressivement mon plaisir monter. Quand je jouis, elle ne recule pas. Elle ne se relève que lorsqu’elle a tout avaler.

— Humm ma truie d’amour, que c’est bon d’être réveillé de cette manière…

— Mais…

— Mais quoi ?

— Je ne suis…

— Pas quoi ?

— Une truie…

— N’est-ce pas ce qui est écrit sur ton front ?

— Si, mais…

— Donc, tu es une truie ! Veux-tu que j’appelle Frédéric ?

— Non… non… non… Oui, je suis une truie, si tu veux…

— Ma truie d’amour ?

— Oui ta truie d’amour !

Je la serre dans mes bras et je lui dis d’aller préparer le petit déjeuner si on ne veut pas être en retard à la messe, il ne faut pas traîner.

— Que fais-tu ? Lui demandai-je en voyant prendre un peignoir.

— Ben… je me couvre !

— Tu es une truie, non ?

— Oui, je suis une truie…

— Et les truies, portent-elles des vêtements ?

— Euh, non…

— Alors ?

— Oui tu as raison…

— Donc tu restes comme cela, cela me fera plaisir…

— Oui mon chéri !

— Allez ! File ! Je vais me doucher !

Je lui donne une petite claque sur la fesse avant d’aller dans la salle de bain.

Seul, j’envoie un message à Marie-Catherine concernant sa tenue pour l’église.

Ma pute porte une jupe grise à mi-cuisses des bas noirs, porte-jarretelles pas de culotte et en haut, chemisier blanc décolleté avec un soutien gorge noir et n’oublie pas le plug“

De son côté, Bernard envoie un SMS similaire à Sophie.

chemisier blanc suggestif avec un Soutien gorge balconnet noir. Une veste ouverte par dessus. Jupe mi-cuisse ample pj et bas noir pas de culotte et pense aux inscriptions”

Les femmes sont affolées mais obéissent. Sophie met sa perruque blonde pour masquer le mot “TRUIE” sur son front.

Lorsque nous arrivons à l’église, nous saluons nos voisins, discrètement je passe une main sous la jupe de Marie-Catherine pour vérifier si elle a respecté ses consignes. Je fais un signe de tête à Paul qui s’approche de nous et s’excuse de l’absence de sa femme au barbecue, souffrante à cause d’un mauvais virus.

Pendant l’office, Bernard reste sage, méditant sérieusement, respectant le sacré de la cérémonie. Je suis son exemple, mais je constate que mon épouse, même à l’église observe les consignes de son maître-chanteur et relève discrètement sa jupe pour s’asseoir, fesses nues, sur la chaise

Après avoir salué toutes nos connaissances, le diacre et le curé qui trouvent les deux femmes radieuses, nous nous dirigeons vers la maison de Bernard et Marie-Catherine. Nous garons nos trois voitures dans leur allée assez grande.

Frédéric nous rejoint avec une caisse de Saint-émilion, il serre la main des hommes et embrasse les femmes. Paul offre un plateau de fromage tandis que Bernard allume le barbecue.

Je prépare l’apéritif tandis que les femmes, dans la cuisine, avec Frédéric, disposent les amuse-gueules sur des plateaux.

— Tu prendras une Suze, Bernard ?

— Oui merci avec des glaçons !

— Comme d’habitude… Ne crois-tu pas que le maire n’a pas fait trop fort ? Paul, je vous sers quoi ?

— Je veux bien un whisky on the rock, me répond Paul.

— Je crois surtout qu’il est très satisfait de sa nouvelle source de financement

— Oui je pense aussi…

— Bon voilà ça prend bien, encore quelques sarments de vigne avec le charbon de bois…… Alors les femmes les amuse-gueules pour l’apéro ça vient ? crie Bernard face à la fenêtre de la cuisine ouverte !

— Oui, crie Frédéric, elles arrivent !

— S U P E R !

Nous les voyons arriver avec les plateaux remplis de charcuterie, canapés divers et variés, ainsi que des bretzels, des olives et des Apéricubes.

Alors que nous nous préparons à trinquer, Bernard s’adresse à Paul.

— Mon cher ami, que penses-tu de la nouvelle coupe de Sophie ?

— J’avoue que je la préférais en brune…

— Sophie ! Dis à Paul pourquoi tu as mis une perruque ?

— Oui… dis ma femme. Je voulais changer de tête mais mes cheveux n’étaient pas encore assez longs…

— Ne mens pas… la reprend Bernard.

La pauvre femme bafouille

— Je… je, enfin… c’est… que j’ai… enfin je dois avouer… que j’ai fait un enfin disons que un pari stupide que…… que j’ai… perdu… elle est rouge de confusion

— Et si on demandait à Frédéric ??

Frédéric la regarde en silence, puis je le vois tourner les yeux moi et lentement, il nous dit.

— Je pense que tu devrais retirer ta perruque…

— Je pense la même chose, dit Bernard. Retire-la donc…

— mais… s’il vous plaît…

— Retire-la ma chérie, cela me fera plaisir… lui dis-je.

Sophie hésite mais en tremblant elle ôte sa perruque qui dévoile l’inscription sur son front.

Paul reste bouche-bée, il ne s’attendait pas à cela. Frédéric prend alors la parole.

— Sophie vient généreusement faire le ménage chez moi et je lui ai demandé ce qu’elle était…

— Et… qu’a —-t-elle répondu ?

— Elle va vous le dire… n’est-ce pas Sophie ?

— Euh… Oui… Bien sûr… je… je suis une salope, une pute…

— Oui et… ??

— Une chienne, une cochonne et aussi, ooh ! mon dieu, comme vous… vous pouvez le lire u… un… une truie…

Marie-Catherine se faisait toute petite cherchant à disparaître mais plutôt heureuse que cela soit Sophie qui subisse ces avanies amorales. Bien qu’elle sache qu’elle n’est pas à l’abri d’excès de turpitude de ces mâles pervers en chaleur.

Tandis que Bernard s’active à griller côtes de porc, chipolatas merguez et autres andouillettes et brochettes pour satisfaire tous les palais qui dorment laissant les yeux saturer les neurones commandant les couilles et verges de ces messieurs.

— Une truie a-t-elle des vêtements ? demande Frédéric.

— Heu je… je non, répond la pauvre cramoisie.

— Alors ? Qu’attends-tu ?

— Je… heu… je… dois me… me déshabiller ici ?

— Tu me feras plaisir ma chérie… dis-je.

— Mais, on est dans le jardin… tout le monde peut me voir !?

Bernard la rassure, en mentant un peu : “de ce côté, il n’y a pas de vis-à-vis.”

— Et le pignon là… demande-t-elle en montrant le mur presque aveugle de la maison voisine.

Frédéric lui fait remarquer qu’il n’y a pas de fenêtre juste un œil de bœuf dans le grenier et de toutes manières, il a vu les voisins partir avec leur camping car

Pas vraiment rassurée, ma malheureuse épouse abdique et sous nos yeux de mâles lubriques, elle commence à retirer son chemisier, dévoilant complètement le soutien-gorge de dentelle noir qui maintient sa lourde poitrine.

Frédéric regarde alors Marie-Catherine avec insistance.

— Et toi, dis-nous ce que tu es ?

— Je suis… pas là…

Je la fixe en souriant et lui montrant mon téléphone.

— Réponds à notre voisin…

— Gloup… Un… une… sa… gloup… lope, bafouille-t-elle, en rougissant et baissant la tête.

— J’ai pas bien compris, dit Frédéric. Et toi Paul, tu as compris ?

— J’avoue que je n’ai pas compris pourquoi elle parle de sacoche ou je ne sais pas… d’escalope au barbecue ??

— Répète sans bafouiller ! exige Frédéric.

— Oooh “salope”, dit-elle d’une traite, mais à voix basse.

— J’ai pas entendu, dit Frédéric, dis-nous clairement ce que tu es !

Marie-Catherine se racle la gorge et avec une voix toujours tremblotante mais plus claire, elle déclare plus fort :

— Je… je suis une salope !

Pendant ce temps, Sophie ne porte plus que ses sous-vêtements, dévoilant toutes ses inscriptions.

— Alors Paul, demande Frédéric. Qu’en penses-tu ?

— Là, franchement je suis scotché… je ne sais plus quoi dire et ce barbecue m’a l’air fortement sympathique et je me demande si vous me charriez ou si cela va aller plus loin ? dit-il descendant son apéro d’un trait.

— À toi de voir… Bernard et Hervé ne sont pas égoïstes !

— Comment ça à moi de voir ? Pour le reste je le suppute à voir ça !

— L’autre soir, tu avais semblé attiré par le cul de Sophie la truie… peut être veux tu un avant goût avec ton apéro ?

— Je suis gêné, mais à ce point-là je suis d’accord.

— Je pense que Marie-Catherine pourrait s’occuper d’Hervé pendant que Sophie s’occupe de toi ! Bernard, cela te va ?

— Oh tu sais moi j’ai la cuisson à surveiller et ma femme est libre comme je ne suis pas jaloux entre adultes vous faites ce que vous voulez !

Je regarde alors ma voisine et de manière naturelle, je lui demande :

— … et si tu nous montrais ce que tu caches sous tes vêtements, comme Sophie ?

Sachant que la réunion va déraper, regardant la maison voisine et sans ignorer que l’œil de bœuf donne sur la chambre du fils du voisin, Marie-Catherine est beaucoup plus inquiète que Sophie mais, elle accepte de retirer son chemisier puis sa jupe, entendant des voitures passer dans la rue, pas loin.

Bernard détourne l’attention pour faire redescendre les tensions, en disant qu’il faudrait une autre tournée d’apéro, d’autant qu’il reste des petits fours et que la cuisson n’est pas encore finie.

— Les femmes prendront leur apéro à la source, dit Frédéric. Sophie avec Paul et Marie-Catherine avec Hervé. Mais je veux bien un autre whisky

Un ange passe en un éclair mais personne n’ose contredire cette injonction hormis les femmes qui soupirent tête basse.

— Approche la truie, dit Paul en rompant le silence.

— Viens me sucer Salope, dis-je à mon tour à Marie-Catherine

Paul tend la main vers le postérieur rebondit de la femme brune pendant que j’écarte mes genoux attendant que la blonde prenne position. Je lui indique de rester debout, penchée les mains dans le dos, exposant son arrière-train aux présents et à l’œil de bœuf qui regardait… non, non pas Caïn…

Alors qu’elle prend en bouche mon sexe dressé, je guide ses mouvements en lui tenant la tête et regarde les doigts de Paul explorer l’entrejambe de ma femme.

— Crois-tu que le jeune Kevin est parti avec ses parents ? peut-être te regarde-t-il ! murmuré-je à Marie-Catherine

Je sais que, malgré elle, cela doit l’affoler, tout en l’excitant. Je m’empresse de le vérifier en passant ma main entre ses cuisses.

— La salope mouille… dis-je à Frédéric. Tu veux vérifier ?

— Avec plaisir ! me répond-il de son sourire pervers.

— Avec ta main ou autre chose ! Comme tu veux…

— Juste la main pour le moment… je préfère en garder pour plus tard.

— Bien de cet avis, dit Bernard. On a le temps pour s’amuser, finissez tous vos apéros, les petits fours. Les chipolatas et travers sont prêts et ces dames pourront servir après leur apéro !

Je ne tarde pas à jouir dans la bouche de ma soumise qui subit les manipulations de Frédéric dans sa chatte trempée. Je plaque sa tête pour qu’elle avale bien le jus que je lui offre en l’entendant gémir sous les attouchements de notre voisin.

Je tourne les yeux vers Sophie qui est à quatre pattes, mamelles pendantes, sorties du soutien-gorge devant le notaire. Je vois ses joues creusées tant elle est appliquée à sucer le membre du notable qui malaxe la poitrine de sa suceuse.

— J’ai rarement eu une aussi belle poitrine entre les mains, me dit-il ravi. Elle doit être parfaite pour les cravates de notaire… Hahaha…

Sophie se sent humiliée par cette remarque, mais elle sent que sa fente mouille de plus en plus, elle a envie de sentir une bite la pénétrer. Mais au moment où elle a cette pensée, Paul envoie son jus en lui appuyant sur la tête. Elle avale le foutre épais du notaire et s’applique à bien lui nettoyer le vit avant de le ranger dans le pantalon.

— Bien ! dit Bernard. Maintenant que tout le monde à eu son apéro, nous pouvons passer aux choses sérieuses…

— Tu as raison mon ami, dis-je. Frédéric et moi allons aller avec Marie-Catherine dans la cuisine pour l’aider à préparer les crudités. Sophie tu vas rester avec Bernard et Paul, n’est-ce pas ?

— Bien sûr ! Allez-y ! me dit Bernard.

***

Les deux hommes restés avec Sophie, autour du barbecue la regardent assise nue, devant eux. Bernard prend alors la parole.

— Montre à Paul comment tu aimes déguster les chipos…

— Heu… je… voui… monsieur Bernard.

Sophie prend la saucisse avec une pincette et comprenant bien ce qu’il attend d’elle, elle la suce comme elle sucerait un sexe masculin.

— Ne dégustes-tu les saucisses que par la bouche ?

— Ooh heu no… non, mais je… je… dit-elle, regardant affolée son voisin.

— Tu quoi ? Rappelle-nous ce que tu es…

— Hoho… je… je suis une salope, une pute, une chienne, une truie, Monsieur !

— Alors ! Montre ce qu’une pute fait avec une saucisse…

Vaincue ma femme prend en main la saucisse refroidie et la frotte sur ses lèvres vaginales écartant les jambes, exposant sa vulve et frottant aussi son clitoris avec.

— Qu’en penses-tu Paul ?

— Je pense que je pourrais lui offrir une autre saucisse…

— Quelle bonne idée ! N’est-ce pas ce que tu voudrais la chienne ?

— Heu… je oui… oui…

— Alors demande poliment !

— Gloup… monsieur Paul pourrais-je s’il vous plaît avoir votre saucisse ?

— Quoi ?

— Heu… votre bite monsieur… précise-t-elle en sachant plus où se mettre, le visage écarlate

— Avec plaisir mais ou la veux-tu ?

Sophie regarde Bernard, ayant peur de ne pas faire le bon choix, elle propose son cul pour éviter toute brimade, sachant que les hommes semblent particulièrement attirés par cette partie de son anatomie.

— Quelle salope tu fais… Paul cela te convient-il ?

Elle rougit fortement tout en sentant un picotement dans son ventre.

— Oh ! Pour rendre service et faire preuve de charité humaniste, je vais faire cet effort de l’enculer ! Hahahaha !

— Penses-tu que ton mari sera content, la Truie ?

— Je… je ne sais pas… je ne crois pas… enfin je ne sais plus…

— En es-tu sûre ?

— Non il ne serait pas content !

— Veux-tu que nous le lui demandions ?

— Non… non ! Pas de ça s’il vous plaît !

— Ne t’a-t-il pas dit qu’il aime que tu me fasses plaisir ?

— Heu ou… oui… je ne sais plus, je perds la tête vous me rendez folle…

— Folle de plaisir, non ?

— Oui j’avoue ! Je suis toute excitée, mais c’est pas bien, c’est pas normal !

— Ce n’est pas normal de faire plaisir aux mâles ?

— Pas comme ça monsieur…

— Et comment une pute donne du plaisir aux mâles alors ?

— En s’offrant, en obéissant… Monsieur.

— Alors obéis… mets-toi en position de chienne !

— Oui d’accord ! Monsieur Paul voulez-vous bien m’enculer s’il vous plaît, dit-elle en se mettant à quatre pattes devant le notaire.

— Quel cul ! Ne peut s’empêcher de dire le notaire. Il a dû rendre heureux de nombreux hommes, non ?

— Oui c’est un cas…… un ca… llipyge ! Hihihhi !

- Comme tu dis… un cas…

- Oh… oh non messieurs, c’est presque la première fois…

Paul se positionne derrière le gros cul de la pauvre femme qui attend d’être embrochée, après avoir enfilé un condom. Alors que Bernard entame une côte de porc tout en fouettant les joues de Sophie avec une merguez, lui barbouillant le visage de sauce.

Le notaire excité par la situation, force l’anus de ma femme qui pousse un gémissement. Sous la pénétration, elle commence à remuer, ce qui fait ballotter lourdement ses mamelles, entraînant des remarques de Bernard.

— Profite petite chienne ! Après tu pourras déguster une brochette au jus de couille que tu extrairas de la capote…

Cette ignominie augmente la libido de la pauvre femme humiliée mais terriblement excitée par les assauts de Paul qui s’active et fait remarquer à Bernard qu’en général, les chiennes sont tatouées.

— Cela permet de retrouver leur propriétaire, dit-il en riant grassement.

— C’est pas faux… on y songe…

La pauvre se demande ce que veut dire monsieur Bernard, mais elle commence à sentir le plaisir qui arrive… Elle gémit, ferme les yeux… l’orgasme monte en elle et vient la submerger, râlant bruyamment, ne sachant plus où elle est dans ce septième ciel, d’où elle a une vue plongeant sur sa déchéance jouissive.

Paul finit par jouir et sort de ce cul qui reste béant.

— Tu as bien mérité ta brochette, dit Monsieur Bernard. Mais avant tu retires le préservatif et tu le vides dessus le temps que je te filme… Alors souris bien.

Obéissante, avec un grand sourire à peine forcée, elle retire avec douceur la capote du sexe ramolli de Paul et vide le jus qu’il contient le long de la colonne de chair.

Sous le regard goguenard des deux compères, elle lèche ce jus de couille qui recouvre le membre viril du notaire qu’elle finit par prendre à pleine bouche sous les grognements de satisfaction de son propriétaire.

C’est à ce moment que le trio que je forme avec Frédéric et Marie-Catherine revient sur la terrasse.

***

Dans la cuisine, les choses n’ont pas été particulièrement plus sages. Je demandais aussitôt à notre hôtesse ce qu’elle avait prévu pour accompagner la viande.

— Une salade de tomates fraîches…

— Et tu as bien sûr un assaisonnement particulier pour toi ?

— Euh… Non…

Je regarde Frédéric en souriant.

— Bien, il va donc falloir que nous nous en occupions alors… qu’en penses-tu cher voisin ?

— Euh… oui… sûrement, mais je ne vois pas de quoi tu veux parler…

— Notre chère voisine apprécie particulièrement les vinaigrettes spermées…

— Ah d’accord… Je vois…

— Bien ma salope, tu as compris ce que tu as à faire ?

— Oui je vois très bien, malheureusement mais aurai-je le choix ?

— Le choix de celui qui va gicler dans ton assiette… Peut-être, pensé-je.

Ouf !” se dit-elle. “Un seul, c’est bien suffisant !”

Ce qu’elle ignore c’est que j’avais des idées bien plus vicieuses en tête. Je la vois se pencher devant moi. Je souris et regarde Frédéric.

— Cette salope est affamée, mais pas uniquement de la bouche… Je pense que tu devrais aussi la nourrir par-derrière…

— Bonne idée, cher voisin… Je vais la fourrer comme il se doit.

Marie-Catherine que Frédéric vient d’attraper par les hanches sait ce qui va lui arriver Elle sait également qu’elle n’a que le droit de se taire et de subir cette humiliation de soumission à son voisin. Elle est aussi confuse et furieuse d’avoir quelques papillons dans le ventre.

— Ne te trompe pas de trou, dis-je à Frédéric. Et toi, dis-lui dans quel trou je veux que tu sois baisée !

— Oui Maître, heu dans le petit trou…

— Demande-le et mieux que ça !

— Gloup… Oui… Je vous en prie Frédéric, enculez-moi !

— Tu peux faire mieux ma salope…

— ??? Je… Je… Oui… S’il vous plaît Frédéric, perforez-moi le trou du cul.

Frédéric grogne et s’enfonce d’un coup. Je sens alors la bouche de Marie-Catherine s’activer sur ma queue raide. Je la tiens par les cheveux pour la forcer à avaler plus. J’aime la sensation d’avoir mon sexe enveloppé par une bouche. Ma voisine ne peut que subir tout en étant émoustillée par sa situation avilissante qui l’excite malgré elle. Dans cet état psychologique, elle s’abandonne complètement étant prête à tout pour vivre à fond cette déchéance grisante.

— Fais-moi gicler sur ton assiette… lui dis-je alors que je sens ma sève monter.

Elle s’exécute et présente son assiette devant mon vit. Elle voit alors les longs jets de semence se répandre sur ce qu’elle devra manger.

Au même moment, Frédéric me demande ce qui est prévu pour l’assiette de Sophie tout en grognard en jouissant.

— Je ne sais pas, c’est du ressort de Bernard et de Paul…

Mon voisin semble déçu, mais il n’insiste pas et se retire de ce cul accueillant, laissant la femme insatisfaite, n’ayant pu jouir elle aussi, mais est-elle là pour son plaisir ou simplement servir les mâles dans leur perversité ?

— N’oublie pas de nettoyer Frédéric… ensuite tu pourras apporter les assiettes.

Marie-Catherine retire la capote en nous regardant. Elle comprend qu’elle doit la vider sur son assiette avant de gober le sexe ramollissant pour le nettoyer.

***

Quand nous arrivons sur la terrasse, je peux voir ma femme à genou en train de sucer le notaire. Bernard semble aux anges, je me demande ce qu’il a en tête. Sophie, occupée avec le membre de Paul, ne réagit pas à notre arrivée.

— Tout s’est bien passé ? demandé-je a Bernard.

— Comme tu peux le voir cher ami et toi ?

— La cuisinière sait bien dresser les assiettes et est une bonne Maîtresse de maison avec ses invités…

— AH AH AH “Maîtresse” je me marre dit Bernard.

— C’est vrai que ce mot n’est pas le plus adéquat… on pourrait dire serveuse…

Nous rigolons tous et commençons à déguster la viande que Bernard à cuit à la perfection.

— Sophie apprécie les merguez dis-je…

— Surtout les juteuses, rigole Bernard.

Ces mots ne plaisent pas à Sophie qui ravale sa frousse craignant le pire d’autant qu’ils ont bien tous bien bu. Elle avale la semence que Paul lui envoie dans la bouche avant de prendre place à table, entre ses tourmenteurs, nue comme sa compagne d’infortune, mais tout aussi excitée qu’elle, à en juger par leurs tétons qui pointent avec arrogance.

A part, quelques mains qui s’égarent entre les cuisses de nos femmes et qui nous permettent de constater leur état d’excitation et le fait qu’elles soient nues, le repas se déroule normalement.

***

Après le dessert, Frédéric nous quitte. Paul, qui comme nous tous, a bien arrosé le repas appelle sa femme pour qu’elle vienne le chercher. Pendant ce temps, Sophie et Marie-Catherine, dans la cuisine, rangent dans la cuisine.

En attendant Svetlana, nous discutons entre hommes.

— Alors, cette petite bouffe ! Ça t’a plu ? Demande Bernard à Paul.

— Oh oui, je ne m’attendais pas à être aussi bien servi…

— Tant mieux alors on pourra recommencer ?

Paul me regarde, cherchant à savoir si je suis d’accord. Je lui souris.

— Je suis partant, bien sûr ! dis-je. Puis m’adressant à Bernard. Je vais devoir m’absenter quelques jours pour le travail. Je te confie ma femme.

— OK, ne t’inquiète pas je veillerai sur elle. Par ailleurs, la banque a demandé de repasser pour un complément d’info. Marie-Catherine ne t’a rien dit ?

— Non pas du tout… Je donnerai quelques consignes à Marie-Catherine.

— Je n’en doute pas ?

A cet instant nous voyons approcher Svetlana, la superbe jeune épouse de Paul qui vient embrasser Bernard et lui demander où est Marie — Catherine pour la saluer aussi.

— Dans la cuisine, elle fait la vaisselle avec Sophie, la femme d’Hervé…

— Enchanté, dis-je à la blonde souriante.

— Bon… je crois qu’il fait que nous y allions, dit Paul à sa femme en se levant. Je comprends qu’il n’a pas envie que celle-ci découvre nos femmes nues. Dans les yeux de Bernard, je crois y déceler des pensées aussi lubriques que les miennes envers cette magnifique slave.

— Hervé ! Embrasse ta femme pour moi… me demande Paul.

— Je n’y manquerai pas…

Paul parti, je prends congé de Bernard.

— Nous n’allons pas traîner nous aussi. Je dois préparer ma valise. Je pars tôt demain. Je prendrai la voiture, Sophie devra aller travailler avec le train.

Quelques minutes plus tard, Sophie nous rejoint. Nous prenons congés de nos hôtes.

***

Pendant que je prépare mes bagages, j’envoie un message à Marie-Catherine.

Ma salope, je pars quelques jours pour le travail. Je t’enverrai des consignes chaque jour.

Je viens d’apprendre que tu dois aller à la banque demain. Tu iras nue sous ta jupe et ton chemisier et tu devras t’arranger pour que Monsieur Rafalli puisse profiter de la vue… et s’il veut toucher, tu ne refuses pas.

Tous les soirs, tu devras me faire un compte rendu de ta journée.”

Je rejoins Sophie dans la cuisine qui prépare de quoi grignoter un peu avant d’aller nous coucher, après ce barbecue, nous n’avons plus très faim. Je la découvre souriante.

— Es-tu fier de moi ? me demande-t-elle.

— Comment cela ?

— J’ai fait tout cela pour toi, pour te faire plaisir…

— Oui ma chérie ! Je suis très fier. Tu as fait tout ce que j’aime… Je suis certain que tu vas pouvoir faire encore mieux… Bernard saura te guider pour dépasser tes limites… Fais tout ce qu’il te demandera…

— Oui mon chéri… je te le promets.

Je la prends dans mes bras pour l’embrasser. Elle frissonne quand mes mains s’attardent sur ses fesses nues sous sa jupe. Je me demande si elle a envie de plus. Mais je suis fatigué et devant me lever tôt, je ne prolonge pas mon geste et nous nous installons autour de la table.

À la fin du repas, je lui demande si cela ne la gêne pas que je la laisse ranger.

— Non, pas du tout mon chéri, va te coucher, je te rejoins plus tard.

De la chambre, j’entends Sophie se rendre dans la salle de bain. Au moment où elle va entrer sous la douche, son téléphone sonne. C’est Bernard. Elle prend l’appel en visio, ce qui me permet d’entendre leur conversation.

— Dis donc la truie ! Ton mari va être absent. Alors je veux que tu sois toujours nue chez toi, volets non fermés et rideaux ouverts. Idem dans le jardin, il doit être suffisamment protégé !

— Oui Maître Bernard, je resterai nue chez moi et dans le jardin. Il est complètement clos.

— Je vais te proposer de commander des petits cadeaux, tu les recevras ainsi !

— Nue ? Mais…

— Ça ne te plaît pas ?

— Si Maître Bernard, merci !

— Et pourquoi ça te plaît ?

— Car je suis une truie qui aime vos cadeaux, Maître Bernard.

— C’est bien tu comprends vite !

— Merci Maître Bernard.

— De rien je ne fais que mon boulot de révélateur car tu es une grosse cochonne qu’il faut décoincer…

— Oui Maître Bernard, je suis une grosse cochonne à décoincer.

— Bon ! Donc plus jamais de culotte, que des porte-jarretelles avec bas et soutien-gorge quart de seins.

— Oui Maître Bernard ! J’irai en acheter et je vais jeter mes culottes et mes collants.

— Excellente idée ! Et tu iras à la déchetterie en les jetant une par une, après avoir demandé dans quel bac tu dois les jeter !

— Oui Maître Bernard ! Je demanderai ou les jeter…

Il y alors un blanc dans la conversation. Sophie est troublée et honteuse d’accepter cette exigence, mais un frisson parcourt son ventre. J’entends alors Bernard poursuivre.

— Et tu commanderas un serre-cou comme celui-là…

Bernard lui a envoyé une image du collier en question, ce qui explique le silence de mon voisin. Lorsque j’entends la réponse de ma femme, mon excitation monte d’un cran et je regrette de ne pas être là lorsqu’elle recevra ce collier.

— C’est une laisse ! Maître Bernard.

— Oui et alors ? Cela te pose un problème ? N’es-tu pas une chienne ?

— Non Maître Bernard. Pas de problème, je suis une chienne !

— Tu dois être fière d’être une chienne comme d’autres se sentent dans le mauvais corps.

— Oui Maître Bernard. Je comprends, Je suis une chienne dans un corps de femme.

— Non ! Tu es une truie dans un corps de chienne. Tu n’es pas une femme, qu’un réceptacle de foutre que des trous à remplir.

— Oui Maître Bernard, je suis une truie, un réceptacle à foutre, des trous à remplir.

— Et là tu mouilles, les tétons tout durs, n’est-ce pas ?

— Oui Maître Bernard, je mouille et mes tétons sont tout durs.

— Bon… Je dois faire autre chose. Va te masturber sur la véranda !

— Oui Maître, j’y vais.

Obéissante à Bernard comme je le lui ai demandé, elle va se caresser sur la véranda. Du lit, je l’entends gémir de plaisir.