Je
me réveille en sentant la bouche de ma femme sur mon sexe. Je ne dis
rien. Je la laisse me faire cette caresse buccale. Ses lèvres
montent et descendent sur mon membre qu’elle avale entièrement. Je
sens progressivement mon plaisir monter. Quand je jouis, elle ne
recule pas. Elle ne se relève que lorsqu’elle a tout avaler.
— Humm
ma truie d’amour, que c’est bon d’être réveillé de cette
manière…
— Mais…
— Mais
quoi ?
— Je
ne suis…
— Pas
quoi ?
— Une
truie…
— N’est-ce
pas ce qui est écrit sur ton front ?
— Si,
mais…
— Donc,
tu es une truie ! Veux-tu que j’appelle Frédéric ?
— Non…
non… non… Oui, je suis une truie, si tu veux…
— Ma
truie d’amour ?
— Oui
ta truie d’amour !
Je
la serre dans mes bras et je lui dis d’aller préparer le petit
déjeuner si on ne veut pas être en retard à la messe, il ne faut
pas traîner.
— Que
fais-tu ? Lui demandai-je en voyant prendre un peignoir.
— Ben…
je me couvre !
— Tu
es une truie, non ?
— Oui,
je suis une truie…
— Et
les truies, portent-elles des vêtements ?
— Euh,
non…
— Alors ?
— Oui
tu as raison…
— Donc
tu restes comme cela, cela me fera plaisir…
— Oui
mon chéri !
— Allez !
File ! Je vais me doucher !
Je
lui donne une petite claque sur la fesse avant d’aller dans la
salle de bain.
Seul,
j’envoie un message à Marie-Catherine concernant sa tenue pour
l’église.
“Ma
pute porte une jupe grise à mi-cuisses des bas noirs,
porte-jarretelles pas de culotte et en haut, chemisier blanc
décolleté avec un soutien gorge noir et n’oublie pas le plug“
De
son côté, Bernard envoie un SMS similaire à Sophie.
“chemisier
blanc suggestif avec un Soutien gorge balconnet noir. Une veste
ouverte par dessus. Jupe mi-cuisse ample pj et bas noir pas de
culotte et pense aux inscriptions”
Les
femmes sont affolées mais obéissent. Sophie met sa perruque blonde
pour masquer le mot “TRUIE” sur son front.
Lorsque
nous arrivons à l’église, nous saluons nos voisins, discrètement
je passe une main sous la jupe de Marie-Catherine pour vérifier si
elle a respecté ses consignes. Je fais un signe de tête à Paul qui
s’approche de nous et s’excuse de l’absence de sa femme au
barbecue, souffrante à cause d’un mauvais virus.
Pendant
l’office, Bernard reste sage, méditant sérieusement, respectant
le sacré de la cérémonie. Je suis son exemple, mais je constate
que mon épouse, même à l’église observe les consignes de son
maître-chanteur et relève discrètement sa jupe pour s’asseoir,
fesses nues, sur la chaise
Après
avoir salué toutes nos connaissances, le diacre et le curé qui
trouvent les deux femmes radieuses, nous nous dirigeons vers la
maison de Bernard et Marie-Catherine. Nous garons nos trois voitures
dans leur allée assez grande.
Frédéric
nous rejoint avec une caisse de Saint-émilion, il serre la main des
hommes et embrasse les femmes. Paul offre un plateau de fromage
tandis que Bernard allume le barbecue.
Je
prépare l’apéritif tandis que les femmes, dans la cuisine, avec
Frédéric, disposent les amuse-gueules sur des plateaux.
— Tu
prendras une Suze, Bernard ?
— Oui
merci avec des glaçons !
— Comme
d’habitude… Ne crois-tu pas que le maire n’a pas fait trop
fort ? Paul, je vous sers quoi ?
— Je
veux bien un whisky on the rock, me répond Paul.
— Je
crois surtout qu’il est très satisfait de sa nouvelle source de
financement
— Oui
je pense aussi…
— Bon
voilà ça prend bien, encore quelques sarments de vigne avec le
charbon de bois…… Alors les femmes les amuse-gueules pour l’apéro
ça vient ? crie Bernard face à la fenêtre de la cuisine
ouverte !
— Oui,
crie Frédéric, elles arrivent !
— S
U P E R !
Nous
les voyons arriver avec les plateaux remplis de charcuterie, canapés
divers et variés, ainsi que des bretzels, des olives et des
Apéricubes.
Alors
que nous nous préparons à trinquer, Bernard s’adresse à Paul.
— Mon
cher ami, que penses-tu de la nouvelle coupe de Sophie ?
— J’avoue
que je la préférais en brune…
— Sophie !
Dis à Paul pourquoi tu as mis une perruque ?
— Oui…
dis ma femme. Je voulais changer de tête mais mes cheveux n’étaient
pas encore assez longs…
— Ne
mens pas… la reprend Bernard.
La
pauvre femme bafouille
— Je…
je, enfin… c’est… que j’ai… enfin je dois avouer… que
j’ai fait un enfin disons que un pari stupide que…… que j’ai…
perdu… elle est rouge de confusion
— Et
si on demandait à Frédéric ??
Frédéric
la regarde en silence, puis je le vois tourner les yeux moi et
lentement, il nous dit.
— Je
pense que tu devrais retirer ta perruque…
— Je
pense la même chose, dit Bernard. Retire-la donc…
— mais…
s’il vous plaît…
— Retire-la
ma chérie, cela me fera plaisir… lui dis-je.
Sophie
hésite mais en tremblant elle ôte sa perruque qui dévoile
l’inscription sur son front.
Paul
reste bouche-bée, il ne s’attendait pas à cela. Frédéric prend
alors la parole.
— Sophie
vient généreusement faire le ménage chez moi et je lui ai demandé
ce qu’elle était…
— Et…
qu’a —-t-elle répondu ?
— Elle
va vous le dire… n’est-ce pas Sophie ?
— Euh…
Oui… Bien sûr… je… je suis une salope, une pute…
— Oui
et… ??
— Une
chienne, une cochonne et aussi, ooh ! mon dieu, comme vous…
vous pouvez le lire u… un… une truie…
Marie-Catherine
se faisait toute petite cherchant à disparaître mais plutôt
heureuse que cela soit Sophie qui subisse ces avanies amorales. Bien
qu’elle sache qu’elle n’est pas à l’abri d’excès de
turpitude de ces mâles pervers en chaleur.
Tandis
que Bernard s’active à griller côtes de porc, chipolatas merguez
et autres andouillettes et brochettes pour satisfaire tous les palais
qui dorment laissant les yeux saturer les neurones commandant les
couilles et verges de ces messieurs.
— Une
truie a-t-elle des vêtements ? demande Frédéric.
— Heu
je… je non, répond la pauvre cramoisie.
— Alors ?
Qu’attends-tu ?
— Je…
heu… je… dois me… me déshabiller ici ?
— Tu
me feras plaisir ma chérie… dis-je.
— Mais,
on est dans le jardin… tout le monde peut me voir !?
Bernard
la rassure, en mentant un peu : “de ce côté, il n’y a pas
de vis-à-vis.”
— Et
le pignon là… demande-t-elle en montrant le mur presque aveugle de
la maison voisine.
Frédéric
lui fait remarquer qu’il n’y a pas de fenêtre juste un œil de
bœuf dans le grenier et de toutes manières, il a vu les voisins
partir avec leur camping car
Pas
vraiment rassurée, ma malheureuse épouse abdique et sous nos yeux
de mâles lubriques, elle commence à retirer son chemisier,
dévoilant complètement le soutien-gorge de dentelle noir qui
maintient sa lourde poitrine.
Frédéric
regarde alors Marie-Catherine avec insistance.
— Et
toi, dis-nous ce que tu es ?
— Je
suis… pas là…
Je
la fixe en souriant et lui montrant mon téléphone.
— Réponds
à notre voisin…
— Gloup…
Un… une… sa… gloup… lope, bafouille-t-elle, en rougissant et
baissant la tête.
— J’ai
pas bien compris, dit Frédéric. Et toi Paul, tu as compris ?
— J’avoue
que je n’ai pas compris pourquoi elle parle de sacoche ou je ne
sais pas… d’escalope au barbecue ??
— Répète
sans bafouiller ! exige Frédéric.
— Oooh
“salope”, dit-elle d’une traite, mais à voix basse.
— J’ai
pas entendu, dit Frédéric, dis-nous clairement ce que tu es !
Marie-Catherine
se racle la gorge et avec une voix toujours tremblotante mais plus
claire, elle déclare plus fort :
— Je…
je suis une salope !
Pendant
ce temps, Sophie ne porte plus que ses sous-vêtements, dévoilant
toutes ses inscriptions.
— Alors
Paul, demande Frédéric. Qu’en penses-tu ?
— Là,
franchement je suis scotché… je ne sais plus quoi dire et ce
barbecue m’a l’air fortement sympathique et je me demande si vous
me charriez ou si cela va aller plus loin ? dit-il descendant
son apéro d’un trait.
— À
toi de voir… Bernard et Hervé ne sont pas égoïstes !
— Comment
ça à moi de voir ? Pour le reste je le suppute à voir ça !
— L’autre
soir, tu avais semblé attiré par le cul de Sophie la truie… peut
être veux tu un avant goût avec ton apéro ?
— Je
suis gêné, mais à ce point-là je suis d’accord.
— Je
pense que Marie-Catherine pourrait s’occuper d’Hervé pendant que
Sophie s’occupe de toi ! Bernard, cela te va ?
— Oh
tu sais moi j’ai la cuisson à surveiller et ma femme est libre
comme je ne suis pas jaloux entre adultes vous faites ce que vous
voulez !
Je
regarde alors ma voisine et de manière naturelle, je lui demande :
— … et
si tu nous montrais ce que tu caches sous tes vêtements, comme
Sophie ?
Sachant
que la réunion va déraper, regardant la maison voisine et sans
ignorer que l’œil de bœuf donne sur la chambre du fils du voisin,
Marie-Catherine est beaucoup plus inquiète que Sophie mais, elle
accepte de retirer son chemisier puis sa jupe, entendant des voitures
passer dans la rue, pas loin.
Bernard
détourne l’attention pour faire redescendre les tensions, en
disant qu’il faudrait une autre tournée d’apéro, d’autant
qu’il reste des petits fours et que la cuisson n’est pas encore
finie.
— Les
femmes prendront leur apéro à la source, dit Frédéric. Sophie
avec Paul et Marie-Catherine avec Hervé. Mais je veux bien un autre
whisky
Un
ange passe en un éclair mais personne n’ose contredire cette
injonction hormis les femmes qui soupirent tête basse.
— Approche
la truie, dit Paul en rompant le silence.
— Viens
me sucer Salope, dis-je à mon tour à Marie-Catherine
Paul
tend la main vers le postérieur rebondit de la femme brune pendant
que j’écarte mes genoux attendant que la blonde prenne position.
Je lui indique de rester debout, penchée les mains dans le dos,
exposant son arrière-train aux présents et à l’œil de bœuf qui
regardait… non, non pas Caïn…
Alors
qu’elle prend en bouche mon sexe dressé, je guide ses mouvements
en lui tenant la tête et regarde les doigts de Paul explorer
l’entrejambe de ma femme.
— Crois-tu
que le jeune Kevin est parti avec ses parents ? peut-être te
regarde-t-il ! murmuré-je à Marie-Catherine
Je
sais que, malgré elle, cela doit l’affoler, tout en l’excitant.
Je m’empresse de le vérifier en passant ma main entre ses cuisses.
— La
salope mouille… dis-je à Frédéric. Tu veux vérifier ?
— Avec
plaisir ! me répond-il de son sourire pervers.
— Avec
ta main ou autre chose ! Comme tu veux…
— Juste
la main pour le moment… je préfère en garder pour plus tard.
— Bien
de cet avis, dit Bernard. On a le temps pour s’amuser, finissez
tous vos apéros, les petits fours. Les chipolatas et travers sont
prêts et ces dames pourront servir après leur apéro !
Je
ne tarde pas à jouir dans la bouche de ma soumise qui subit les
manipulations de Frédéric dans sa chatte trempée. Je plaque sa
tête pour qu’elle avale bien le jus que je lui offre en
l’entendant gémir sous les attouchements de notre voisin.
Je
tourne les yeux vers Sophie qui est à quatre pattes, mamelles
pendantes, sorties du soutien-gorge devant le notaire. Je vois ses
joues creusées tant elle est appliquée à sucer le membre du
notable qui malaxe la poitrine de sa suceuse.
— J’ai
rarement eu une aussi belle poitrine entre les mains, me dit-il ravi.
Elle doit être parfaite pour les cravates de notaire… Hahaha…
Sophie
se sent humiliée par cette remarque, mais elle sent que sa fente
mouille de plus en plus, elle a envie de sentir une bite la pénétrer.
Mais au moment où elle a cette pensée, Paul envoie son jus en lui
appuyant sur la tête. Elle avale le foutre épais du notaire et
s’applique à bien lui nettoyer le vit avant de le ranger dans le
pantalon.
— Bien !
dit Bernard. Maintenant que tout le monde à eu son apéro, nous
pouvons passer aux choses sérieuses…
— Tu
as raison mon ami, dis-je. Frédéric et moi allons aller avec
Marie-Catherine dans la cuisine pour l’aider à préparer les
crudités. Sophie tu vas rester avec Bernard et Paul, n’est-ce
pas ?
— Bien
sûr ! Allez-y ! me dit Bernard.
***
Les
deux hommes restés avec Sophie, autour du barbecue la regardent
assise nue, devant eux. Bernard prend alors la parole.
— Montre
à Paul comment tu aimes déguster les chipos…
— Heu…
je… voui… monsieur Bernard.
Sophie
prend la saucisse avec une pincette et comprenant bien ce qu’il
attend d’elle, elle la suce comme elle sucerait un sexe masculin.
— Ne
dégustes-tu les saucisses que par la bouche ?
— Ooh
heu no… non, mais je… je… dit-elle, regardant affolée son
voisin.
— Tu
quoi ? Rappelle-nous ce que tu es…
— Hoho…
je… je suis une salope, une pute, une chienne, une truie,
Monsieur !
— Alors !
Montre ce qu’une pute fait avec une saucisse…
Vaincue
ma femme prend en main la saucisse refroidie et la frotte sur ses
lèvres vaginales écartant les jambes, exposant sa vulve et frottant
aussi son clitoris avec.
— Qu’en
penses-tu Paul ?
— Je
pense que je pourrais lui offrir une autre saucisse…
— Quelle
bonne idée ! N’est-ce pas ce que tu voudrais la chienne ?
— Heu…
je oui… oui…
— Alors
demande poliment !
— Gloup…
monsieur Paul pourrais-je s’il vous plaît avoir votre saucisse ?
— Quoi ?
— Heu…
votre bite monsieur… précise-t-elle en sachant plus où se mettre,
le visage écarlate
— Avec
plaisir mais ou la veux-tu ?
Sophie
regarde Bernard, ayant peur de ne pas faire le bon choix, elle
propose son cul pour éviter toute brimade, sachant que les hommes
semblent particulièrement attirés par cette partie de son anatomie.
— Quelle
salope tu fais… Paul cela te convient-il ?
Elle
rougit fortement tout en sentant un picotement dans son ventre.
— Oh !
Pour rendre service et faire preuve de charité humaniste, je vais
faire cet effort de l’enculer ! Hahahaha !
— Penses-tu
que ton mari sera content, la Truie ?
— Je…
je ne sais pas… je ne crois pas… enfin je ne sais plus…
— En
es-tu sûre ?
— Non
il ne serait pas content !
— Veux-tu
que nous le lui demandions ?
— Non…
non ! Pas de ça s’il vous plaît !
— Ne
t’a-t-il pas dit qu’il aime que tu me fasses plaisir ?
— Heu
ou… oui… je ne sais plus, je perds la tête vous me rendez folle…
— Folle
de plaisir, non ?
— Oui
j’avoue ! Je suis toute excitée, mais c’est pas bien, c’est
pas normal !
— Ce
n’est pas normal de faire plaisir aux mâles ?
— Pas
comme ça monsieur…
— Et
comment une pute donne du plaisir aux mâles alors ?
— En
s’offrant, en obéissant… Monsieur.
— Alors
obéis… mets-toi en position de chienne !
— Oui
d’accord ! Monsieur Paul voulez-vous bien m’enculer s’il
vous plaît, dit-elle en se mettant à quatre pattes devant le
notaire.
— Quel
cul ! Ne peut s’empêcher de dire le notaire. Il a dû rendre
heureux de nombreux hommes, non ?
— Oui
c’est un cas…… un ca…
llipyge ! Hihihhi !
—-
Comme tu dis… un cas…
—-
Oh… oh non messieurs, c’est presque la première fois…
Paul
se positionne derrière le gros cul de la pauvre femme qui attend
d’être embrochée, après avoir enfilé un condom. Alors que
Bernard entame une côte de porc tout en fouettant les joues de
Sophie avec une merguez, lui barbouillant le visage de sauce.
Le
notaire excité par la situation, force l’anus de ma femme qui
pousse un gémissement. Sous la pénétration, elle commence à
remuer, ce qui fait ballotter lourdement ses mamelles, entraînant
des remarques de Bernard.
— Profite
petite chienne ! Après tu pourras déguster une brochette au
jus de couille que tu extrairas de la capote…
Cette
ignominie augmente la libido de la pauvre femme humiliée mais
terriblement excitée par les assauts de Paul qui s’active et fait
remarquer à Bernard qu’en général, les chiennes sont tatouées.
— Cela
permet de retrouver leur propriétaire, dit-il en riant grassement.
— C’est
pas faux… on y songe…
La
pauvre se demande ce que veut dire monsieur Bernard, mais elle
commence à sentir le plaisir qui arrive… Elle gémit, ferme les
yeux… l’orgasme monte en elle et vient la submerger, râlant
bruyamment, ne sachant plus où elle est dans ce septième ciel, d’où
elle a une vue plongeant sur sa déchéance jouissive.
Paul
finit par jouir et sort de ce cul qui reste béant.
— Tu
as bien mérité ta brochette, dit Monsieur Bernard. Mais avant tu
retires le préservatif et tu le vides dessus le temps que je te
filme… Alors souris bien.
Obéissante,
avec un grand sourire à peine forcée, elle retire avec douceur la
capote du sexe ramolli de Paul et vide le jus qu’il contient le
long de la colonne de chair.
Sous
le regard goguenard des deux compères, elle lèche ce jus de couille
qui recouvre le membre viril du notaire qu’elle finit par prendre à
pleine bouche sous les grognements de satisfaction de son
propriétaire.
C’est
à ce moment que le trio que je forme avec Frédéric et
Marie-Catherine revient sur la terrasse.
***
Dans
la cuisine, les choses n’ont pas été particulièrement plus
sages. Je demandais aussitôt à notre hôtesse ce qu’elle avait
prévu pour accompagner la viande.
— Une
salade de tomates fraîches…
— Et
tu as bien sûr un assaisonnement particulier pour toi ?
— Euh…
Non…
Je
regarde Frédéric en souriant.
— Bien,
il va donc falloir que nous nous en occupions alors… qu’en
penses-tu cher voisin ?
— Euh…
oui… sûrement, mais je ne vois pas de quoi tu veux parler…
— Notre
chère voisine apprécie particulièrement les vinaigrettes spermées…
— Ah
d’accord… Je vois…
— Bien
ma salope, tu as compris ce que tu as à faire ?
— Oui
je vois très bien, malheureusement mais aurai-je le choix ?
— Le
choix de celui qui va gicler dans ton assiette… Peut-être,
pensé-je.
“Ouf !”
se dit-elle. “Un seul, c’est bien suffisant !”
Ce
qu’elle ignore c’est que j’avais des idées bien plus vicieuses
en tête. Je la vois se pencher devant moi. Je souris et regarde
Frédéric.
— Cette
salope est affamée, mais pas uniquement de la bouche… Je pense que
tu devrais aussi la nourrir par-derrière…
— Bonne
idée, cher voisin… Je vais la fourrer comme il se doit.
Marie-Catherine
que Frédéric vient d’attraper par les hanches sait ce qui va lui
arriver Elle sait également qu’elle n’a que le droit de se taire
et de subir cette humiliation de soumission à son voisin. Elle est
aussi confuse et furieuse d’avoir quelques papillons dans le
ventre.
— Ne
te trompe pas de trou, dis-je à Frédéric. Et toi, dis-lui dans
quel trou je veux que tu sois baisée !
— Oui
Maître, heu dans le petit trou…
— Demande-le
et mieux que ça !
— Gloup…
Oui… Je vous en prie Frédéric, enculez-moi !
— Tu
peux faire mieux ma salope…
— ???
Je… Je… Oui… S’il vous plaît Frédéric, perforez-moi le
trou du cul.
Frédéric
grogne et s’enfonce d’un coup. Je sens alors la bouche de
Marie-Catherine s’activer sur ma queue raide. Je la tiens par les
cheveux pour la forcer à avaler plus. J’aime la sensation d’avoir
mon sexe enveloppé par une bouche. Ma voisine ne peut que subir tout
en étant émoustillée par sa situation avilissante qui l’excite
malgré elle. Dans cet état psychologique, elle s’abandonne
complètement étant prête à tout pour vivre à fond cette
déchéance grisante.
— Fais-moi
gicler sur ton assiette… lui dis-je alors que je sens ma sève
monter.
Elle
s’exécute et présente son assiette devant mon vit. Elle voit
alors les longs jets de semence se répandre sur ce qu’elle devra
manger.
Au
même moment, Frédéric me demande ce qui est prévu pour l’assiette
de Sophie tout en grognard en jouissant.
— Je
ne sais pas, c’est du ressort de Bernard et de Paul…
Mon
voisin semble déçu, mais il n’insiste pas et se retire de ce cul
accueillant, laissant la femme insatisfaite, n’ayant pu jouir elle
aussi, mais est-elle là pour son plaisir ou simplement servir les
mâles dans leur perversité ?
— N’oublie
pas de nettoyer Frédéric… ensuite tu pourras apporter les
assiettes.
Marie-Catherine
retire la capote en nous regardant. Elle comprend qu’elle doit la
vider sur son assiette avant de gober le sexe ramollissant pour le
nettoyer.
***
Quand
nous arrivons sur la terrasse, je peux voir ma femme à genou en
train de sucer le notaire. Bernard semble aux anges, je me demande ce
qu’il a en tête. Sophie, occupée avec le membre de Paul, ne
réagit pas à notre arrivée.
— Tout
s’est bien passé ? demandé-je a Bernard.
— Comme
tu peux le voir cher ami et toi ?
— La
cuisinière sait bien dresser les assiettes et est une bonne
Maîtresse de maison avec ses invités…
— AH
AH AH “Maîtresse” je me marre dit Bernard.
— C’est
vrai que ce mot n’est pas le plus adéquat… on pourrait dire
serveuse…
Nous
rigolons tous et commençons à déguster la viande que Bernard à
cuit à la perfection.
— Sophie
apprécie les merguez dis-je…
— Surtout
les juteuses, rigole Bernard.
Ces
mots ne plaisent pas à Sophie qui ravale sa frousse craignant le
pire d’autant qu’ils ont bien tous bien bu. Elle avale la semence
que Paul lui envoie dans la bouche avant de prendre place à table,
entre ses tourmenteurs, nue comme sa compagne d’infortune, mais
tout aussi excitée qu’elle, à en juger par leurs tétons qui
pointent avec arrogance.
A
part, quelques mains qui s’égarent entre les cuisses de nos femmes
et qui nous permettent de constater leur état d’excitation et le
fait qu’elles soient nues, le repas se déroule normalement.
***
Après
le dessert, Frédéric nous quitte. Paul, qui comme nous tous, a bien
arrosé le repas appelle sa femme pour qu’elle vienne le chercher.
Pendant ce temps, Sophie et Marie-Catherine, dans la cuisine, rangent
dans la cuisine.
En
attendant Svetlana, nous discutons entre hommes.
— Alors,
cette petite bouffe ! Ça t’a plu ? Demande Bernard à
Paul.
— Oh
oui, je ne m’attendais pas à être aussi bien servi…
— Tant
mieux alors on pourra recommencer ?
Paul
me regarde, cherchant à savoir si je suis d’accord. Je lui souris.
— Je
suis partant, bien sûr ! dis-je. Puis m’adressant à Bernard.
Je vais devoir m’absenter quelques jours pour le travail. Je te
confie ma femme.
— OK,
ne t’inquiète pas je veillerai sur elle. Par ailleurs, la banque a
demandé de repasser pour un complément d’info. Marie-Catherine ne
t’a rien dit ?
— Non
pas du tout… Je donnerai quelques consignes à Marie-Catherine.
— Je
n’en doute pas ?
A
cet instant nous voyons approcher Svetlana, la superbe jeune épouse
de Paul qui vient embrasser Bernard et lui demander où est Marie —
Catherine pour la saluer aussi.
— Dans
la cuisine, elle fait la vaisselle avec Sophie, la femme d’Hervé…
— Enchanté,
dis-je à la blonde souriante.
— Bon…
je crois qu’il fait que nous y allions, dit Paul à sa femme en se
levant. Je comprends qu’il n’a pas envie que celle-ci découvre
nos femmes nues. Dans les yeux de Bernard, je crois y déceler des
pensées aussi lubriques que les miennes envers cette magnifique
slave.
— Hervé !
Embrasse ta femme pour moi… me demande Paul.
— Je
n’y manquerai pas…
Paul
parti, je prends congé de Bernard.
— Nous
n’allons pas traîner nous aussi. Je dois préparer ma valise. Je
pars tôt demain. Je prendrai la voiture, Sophie devra aller
travailler avec le train.
Quelques
minutes plus tard, Sophie nous rejoint. Nous prenons congés de nos
hôtes.
***
Pendant
que je prépare mes bagages, j’envoie un message à
Marie-Catherine.
“Ma
salope, je pars quelques jours pour le travail. Je t’enverrai des
consignes chaque jour.
Je
viens d’apprendre que tu dois aller à la banque demain. Tu iras
nue sous ta jupe et ton chemisier et tu devras t’arranger pour que
Monsieur Rafalli puisse profiter de la vue… et s’il veut toucher,
tu ne refuses pas.
Tous
les soirs, tu devras me faire un compte rendu de ta journée.”
Je
rejoins Sophie dans la cuisine qui prépare de quoi grignoter un peu
avant d’aller nous coucher, après ce barbecue, nous n’avons plus
très faim. Je la découvre souriante.
— Es-tu
fier de moi ? me demande-t-elle.
— Comment
cela ?
— J’ai
fait tout cela pour toi, pour te faire plaisir…
— Oui
ma chérie ! Je suis très fier. Tu as fait tout ce que j’aime…
Je suis certain que tu vas pouvoir faire encore mieux… Bernard
saura te guider pour dépasser tes limites… Fais tout ce qu’il te
demandera…
— Oui
mon chéri… je te le promets.
Je
la prends dans mes bras pour l’embrasser. Elle frissonne quand mes
mains s’attardent sur ses fesses nues sous sa jupe. Je me demande
si elle a envie de plus. Mais je suis fatigué et devant me lever
tôt, je ne prolonge pas mon geste et nous nous installons autour de
la table.
À
la fin du repas, je lui demande si cela ne la gêne pas que je la
laisse ranger.
— Non,
pas du tout mon chéri, va te coucher, je te rejoins plus tard.
De
la chambre, j’entends Sophie se rendre dans la salle de bain. Au
moment où elle va entrer sous la douche, son téléphone sonne.
C’est Bernard. Elle prend l’appel en visio, ce qui me permet
d’entendre leur conversation.
— Dis
donc la truie ! Ton mari va être absent. Alors je veux que tu
sois toujours nue chez toi, volets non fermés et rideaux ouverts.
Idem dans le jardin, il doit être suffisamment protégé !
— Oui
Maître Bernard, je resterai nue chez moi et dans le jardin. Il est
complètement clos.
— Je
vais te proposer de commander des petits cadeaux, tu les recevras
ainsi !
— Nue ?
Mais…
— Ça
ne te plaît pas ?
— Si
Maître Bernard, merci !
— Et
pourquoi ça te plaît ?
— Car
je suis une truie qui aime vos cadeaux, Maître Bernard.
— C’est
bien tu comprends vite !
— Merci
Maître Bernard.
— De
rien je ne fais que mon boulot de révélateur car tu es une grosse
cochonne qu’il faut décoincer…
— Oui
Maître Bernard, je suis une grosse cochonne à décoincer.
— Bon !
Donc plus jamais de culotte, que des porte-jarretelles avec bas et
soutien-gorge quart de seins.
— Oui
Maître Bernard ! J’irai en acheter et je vais jeter mes
culottes et mes collants.
— Excellente
idée ! Et tu iras à la déchetterie en les jetant une par une,
après avoir demandé dans quel bac tu dois les jeter !
— Oui
Maître Bernard ! Je demanderai ou les jeter…
Il
y alors un blanc dans la conversation. Sophie est troublée et
honteuse d’accepter cette exigence, mais un frisson parcourt son
ventre. J’entends alors Bernard poursuivre.
— Et
tu commanderas un serre-cou comme celui-là…
Bernard
lui a envoyé une image du collier en question, ce qui explique le
silence de mon voisin. Lorsque j’entends la réponse de ma femme,
mon excitation monte d’un cran et je regrette de ne pas être là
lorsqu’elle recevra ce collier.
— C’est
une laisse ! Maître Bernard.
— Oui
et alors ? Cela te pose un problème ? N’es-tu pas une
chienne ?
— Non
Maître Bernard. Pas de problème, je suis une chienne !
— Tu
dois être fière d’être une chienne comme d’autres se sentent
dans le mauvais corps.
— Oui
Maître Bernard. Je comprends, Je suis une chienne dans un corps de
femme.
— Non !
Tu es une truie dans un corps de chienne. Tu n’es pas une femme,
qu’un réceptacle de foutre que des trous à remplir.
— Oui
Maître Bernard, je suis une truie, un réceptacle à foutre, des
trous à remplir.
— Et
là tu mouilles, les tétons tout durs, n’est-ce pas ?
— Oui
Maître Bernard, je mouille et mes tétons sont tout durs.
— Bon…
Je dois faire autre chose. Va te masturber sur la véranda !
— Oui
Maître, j’y vais.
Obéissante
à Bernard comme je le lui ai demandé, elle va se caresser sur la
véranda. Du lit, je l’entends gémir de plaisir.