Quand
Frédéric se gare dans son jardin, je lui propose de venir prendre
l’apéritif à la maison, cela fait longtemps qu’il n’est pas
venu.
Il
accepte avec plaisir. Je lui donne quelques instructions en
particulier de ne pas parler de ce qu’il vient de se passer avec
Marie-Catherine, sinon, il ne pourra plus en profiter. Je lui propose
aussi s’il en a le désir de s’amuser avec ma soumise, en toute
discrétion. Je vois un sourire éclairer son visage.
Nous
discutons ensuite du travail que cela représente d’entretenir nos
jardins, il me montre quelques plates-bandes parfaitement désherbées
quand nous voyons Marie-Catherine arriver et sortir de sa voiture. De
là où nous sommes, personne ne peut nous voir. Nous attendons
qu’elle rentre chez elle pour quitter son jardin mais à ma grande
surprise, après avoir regardé son téléphone, elle se dirige vers
ma maison. Je ne lui avais pas dit non plus qu’elle devait rentrer
chez elle directement. Il me faudra être plus précis dans mes
ordres, me dis-je.
***
Depuis
la fenêtre de la cuisine, Sophie regarde Marie-Catherine, horrifiée.
Elle la voit garer sa voiture devant la maison de Frédéric, gênée
de sortir topless, maculée et enfile son chemisier n’osant pas
essuyer son visage, que vient-elle de subir ? A-t-elle revu
Zorro ?
Elle
envoie un message à sa voisine pour lui dire de venir qu’elle lui
explique pourquoi elle se gare devant chez Frédéric et est dans cet
état. Elle veut l’aider.
Marie-Catherine
hésite, ne voulant pas se montrer ainsi à Sophie qui sort alors sur
le perron de sa maison pour l’interpeller.
“ma
salope, accepte l’invitation de Sophie”
Marie-Catherine
est choquée par mon message, mais, en bonne soumise, ignorant que je
la surveille, elle se dirige vers ma femme qui écarte les bras pour
l’embrasser.
J’envoie
un message à Bernard pour lui dire que la situation vient de changer
et que Sophie a invité Marie-Catherine.
Bernard
me répond qu’il rentre en compagnie du notaire de leur partie de
golf et d’un parcours de cinq kilomètres, fatiguant. Aussitôt, je
leur propose de venir récupérer en s’invitant à l’apéritif.
Sophie
ne peut pas s’empêcher de la serrer dans ses bras, elle sent
l’odeur du sperme qui recouvre le visage de son amie.
— Qui
t’as fait cela ? demande-t-elle, stupéfaite.
— Mon
Maître, Sophie, mon maître-chanteur !
— Ce
n’est pas Zorro ?
— Non,
cela aurait été Zorro, si j’avais refusé !
— Veux-tu
aller prendre une douche, tu es recouverte de sperme.
— Je
n’ose pas je n’ai pas eu d’instruction. Sauf de rester comme
ça, jusqu’à ce que je rentre chez moi !
— Quelle
horreur…
— Oui,
mais comme je te l’ai dit, cela m’excite aussi !
— Je
t’avoue que cela me trouble aussi.
***
À
cet instant, nous nous approchons des deux femmes qui sont encore
dans l’entrée de la maison, la porte ouverte.
— Chérie,
je suis là, désolé, j’ai eu une réunion imprévue, mais par
chance, Frédéric m’a ramené de la gare. Cela m’a évité
d’attendre le bus. Pour le remercier je lui ai proposé de venir
prendre l’apéro, cela ne te gêne pas !
Voyant
Marie-Catherine, je feins l’éberlué.
— Mais
Marie-Catherine, que t’est-il arrivé, tu as été agressée…
Décidément, même dans nos campagnes on n’est plus tranquille,
n’est-ce pas Frédéric ?
Alors
qu’elle éclate en sanglots, Sophie me dit qu’elle devrait se
laver mais qu’elle n’ose pas, traumatisée. Je rebondis sur les
mots de ma femme et je dis a ma soumise qu’elle doit aller se laver
pendant que Sophie va lui donner de quoi la réconforter. Notre
voisine prend mes paroles comme une permission de son Maître. Elle
me remercie et suit Sophie pour aller se débarbouiller.
***
Pendant
ce temps, je sors le nécessaire pour l’apéritif. Frédéric me
dit que Sophie a changé depuis quelques jours
— Elle
porte des jupes et des robes beaucoup plus courtes et elle se
maquille davantage.
— C’est
pour pimenter notre couple qui risquait de tomber dans la routine. Le
piège de trop de couples qui se laissent enfermer dans la routine de
lassitude insidieuse
— Oui,
j’ai connu cela avec Caroline, mais maintenant, je ne risque plus
rien…
— C’est
pour ça que je te prête la voisine mais silence.
***
Quand
Sophie revient, je lui demande comment s’est passé sa journée, si
elle profite bien de son arrêt maladie.
— Oui,
chéri ! Mais j’ai fait exploser la carte bleue, pour te
plaire !
— Ah
oui ? tu as fait des folies ?
— Oui
pour toi ! Tu verras ce soir !
— Pourquoi
ce soir ? Pourquoi pas maintenant ?
— Non,
on n’est pas seul !
— Tu
ne vas pas te montrer nue. Allez ! Juste un essayage, pour me
faire plaisir ?
— Bonsoir
les amis vous connaissez Paul ? Dit Bernard qui vient d’arriver
avec le notaire.
— Qu’entends-je
Sophie ? Je ne sais pas quoi, mais il faut faire plaisir à son
mari ! N’est-ce pas messieurs ? Ajoute-t-il en la fixant
sévèrement.
— Hahaha !
Oui ! Il faut toujours faire plaisir aux autres, disent Paul et
Frédéric, en rigolant.
— Oui
Bernard, répond Sophie en baissant les yeux. Je vais lui faire
plaisir.
— Je
demandais à Sophie de me montrer ses achats folies de l’après-midi,
mon ami.
— Mais
c’est une excellente idée, ça ! Mon cher Hervé… Sophie ne
peux pas refuser ça n’est-ce pas Sophie ?… Mais, ma femme
n’est pas là ?
— Elle
est montée se rafraîchir un peu, dis-je. Elle a eu un petit
désagrément apparemment.
— Ah
OK ! Pas grave ?
— Non,
apparemment une rencontre malencontreuse avec un liquide.
— Ah
bon ?… Bon ! On boit quoi parce que nous on a bossé avec
Paul, quelques bogeys, deux pars et un super put de quinze mètres.
Mais Paul est meilleur ! Faut voir ses drives, ça m’agace,
hahaha !
— J’ai
de la Suze pour toi, du whisky du pastis, de quoi faire des kirs…
Avec le temps, ça viendra, dis-je. Et peut-être, puteras-tu de plus
loin…
— Tu
connais bien mes habitudes ! Suze !
Les
autres choisissent quand Marie-Catherine arrive avec sa jupe courte,
un chemisier et une veste dessus prêtée par Sophie.
— Tu
as besoin de la veste dans la maison, Marie-Catherine ? Lui
dis-je droit dans les yeux.
— Heu…
Non, mais je croyais qu’on allait dans le jardin Hervé.
— Il
commence à faire frais le soir… nous serons mieux dans le salon.
La
pièce est grande et je propose que nous nous installons dans les
fauteuils pour découvrir les achats de Sophie, car j’informe mes
hôtes que ma femme m’a promis de me faire plaisir.
Marie-Catherine,
vaincue, retire la veste mal à l’aise sous le regard écarquillé
de Paul.
— Peux-tu
faire le service Marie-Catherine pendant que Sophie va se changer ?
lui demandé-je.
— Oui !
Bien sûr, évidemment !
Elle
sait que je veux qu’elle montre ses jarretelles et ses seins en se
penchant en gardant les jambes droites faisant remonter la jupe et
bailler le chemisier. Ses jarretelles apparaissent.
Paul
est médusé, regardant Bernard qui regarde ailleurs, jouant avec son
téléphone.
“alors
ma pute tu viens j’espère que tu vas tout faire pour me plaire”
envoie-t-il à Sophie qui est dans notre chambre à l’étage.
— Que
pensez-vous de la vue, Paul ? demande Frédéric
— Ça,
c’était pas prévu !
Paul
ne sait que dire et bafouille. “Bien ! Bien !” en
baissant la tête, n’osant plus regarder sa collègue de paroisse.
— Ferais-tu
la comparaison avec ton épouse, dis-je en riant ?
— Holala !
on va pas aller sur ce terrain sinon on risque de perdre des amitiés
non ? me dit Bernard
— Je
crois que la femme de Paul, ne joue pas dans la même catégorie que
nos épouses, mon ami… Svetlana a trente ans, c’est cela Paul ?
Vous avez de la chance d’avoir une si jolie femme !
— Hervé
arrête ou alors on joue à faire tapis et on met tout sur la table
il y aura pleurs et grincement des dents moi ça ne me gène pas mais
tout le monde peut-il en dire autant ?
— Excuse-moi
Paul, lui dis-je. Je ne voulais pas te mettre mal à l’aise, je
voulais simplement te féliciter pour ton second mariage. Je suis
même très heureux que tu aies pu rebondir aussi vite… Quand ton
ex est parti, on s’est tous demandé à la paroisse si tu tiendrais
le coup.
Le
notaire complètement chamboulé fait profil bas. Il ne comprend rien
à ce qui se passe en me remerciant timidement.
— mais,
ça va ! Ça va ! Et oui, Svetlana est charmante,
ajoute-t-il.
— Tant
mieux, dis-je. Mais je pense que Sophie ne va pas tarder à arriver.
Marie-Catherine
lui a préparé un grand verre de whisky, estimant que cela l’aidera
à supporter les essayages.
***
Ma
soumise a fini de servir tous les verres et cherche une place pour
s’asseoir. Je lui montre la place entre Bernard et Frédéric,
faisant face à Paul.
Nous
sommes tous muets quand Sophie apparaît dans cette petite robe à
boutons qui ont du mal à retenir sa poitrine libre. Je dois
reconnaître que Marie-Catherine a su bien choisir. Je me demande
lequel de mes trois compagnons va réagir le premier.
— Tu
es superbe ma chérie dans cette robe… Elle te met superbement en
valeur !
— Effectivement,
chère Sophie, c’est mieux ! Tes choix de tenues sont mieux !
Bravo, Hervé est un homme heureux ! dit Bernard.
Frédéric
applaudit en disant qu’il manque quelques amuse-gueules pour
accompagner les alcools en regardant Marie-Catherine.
— Tu
as raison ! dis-je. Je vais aller chercher quelques paquets de
gâteaux pour grignoter un peu.
Je
me lève pour me rendre dans la cuisine, laissant les trois hommes
avec les deux femmes.
Frédéric
souffle à l’oreille de Marie-Catherine :
— Hervé
voudrait que t’écarte les cuisses !
Sophie
n’a pas entendu les paroles de Frédéric mais voit Marie-Catherine
écarter ses cuisses et dévoiler sa chatte nue au notaire.
Bernard
l’invite à prendre son verre. Elle se penche pour l’attraper.
Paul ne sait plus à quels seins se vouer entre le décolleté
plongeant dans la robe de Sophie et la chatte de sa collègue, sur
laquelle il fantasme depuis qu’il a lu le message de ce mystérieux
correspondant.
Mais
ignorant la personnalité de Bernard il n’ose pas, alors il tente
un coup avec Sophie.
— Ma
femme aime beaucoup les robes porte feuilles, elle trouve cela
pratique en avez-vous ?
— Heu…
oui, je comptais vous la montrer après celle-là ! lui dit
Sophie en souriant.
— Ces
robes sont souvent plus sexy, est-ce aussi le cas de la tienne ?
dit-il en passant au tutoiement.
— Je
l’espère, pour plaire à mon mari…
-–
Et aussi à tous les hommes ! Sophie, non ? dit Bernard.
— Oui,
Bernard ! Bien sûr ! Pour plaire à tous les hommes !
Frédéric
profitant que Paul fixe Sophie demande à sa voisine de défaire un
bouton de son chemisier.
— C’est
une bonne chose, dit Paul. Et que fais-tu d’autre pour leur
plaire ?
— C’est
indiscret
— Oh !
On est entre amis, Sophie, dit Bernard !
Paul
détourne le regard, il vient de constater une modification sur la
femme de Bernard, tout comme Sophie qui vient de se retourner pour
aller changer de tenue.
“Frédéric
serait-il le salaud qui fait chanter sa copine ?” se
demande-t-elle en changeant de tenue.
Elle
en saura peut-être plus au cours de la soirée. Mais surtout, elle
est contente de n’avoir pas dû répondre à la question indiscrète
mais Bernard, toujours le téléphone en main lui envoie un message :
“il
faudrait des pj et répondre à la question posée”
“Oui
Monsieur Bernard, mais que dois-je répondre…”
“que
t’aime sucer des chiens”
“je
ne peux pas dire cela…”
“comme
tu veux mais je dirai tout à Hervé”
“Non
Monsieur Bernard, je vais dire cela”
Elle
tremble en enfilant le porte-jarretelles rouge avec des basses
coutures sous la robe portefeuille.
“idiote
pute tu vas répondre que tu es très câline avec ton mari”
“oui
Monsieur Bernard”
Elle
respire, elle réalise que cet échange l’a excitée et qu’elle
mouille tandis que ses tétons pointent. Quand elle revient, elle se
tourne en souriant vers Paul dont les yeux pétillent en voyant les
tétons de cette femme pointer sous le tissu qui à du mal a contenir
cette poitrine opulente.
— Cela
est-il assez sexy ?
— Pour
aller au travail, oui ! C’est pas mal, mais tu n’as pas
répondu à ma question.
— Oui
Monsieur Paul, je sais… J’aime faire plaisir en étant très
câline avec mon mari.
— Menteuse !
dit Bernard.
— Comment
cela menteuse ? lui demande-t-elle, déstabilisée.
— Tu
sais bien
— Je
ne comprends pas… oui je suis câline avec mon mari, hier soir
encore je l’ai été.
— Ça
m’étonnerait que câline soit le bon qualificatif n’est-ce pas,
Hervé ?
Je
regarde Bernard en lui demandant de quoi il s’agit, car je viens
juste d’entrer dans le salon avec un plateau de charcuterie et pas
mal de petites choses à grignoter. Je prédis que notre apéritif
imprévu va se changer en apéro-dinatoire
— Le
bon qualificatif pour quoi ?
— Pour
vos ébats amoureux ! me dit Bernard.
— Cela
dépend jusqu’où on définit le mot câline, dis-je.
— Sophie
va nous dire, propose Paul.
— Nous
la voyons rougir. Je ne sais pas vraiment comment je dois réagir ni
même si je dois réagir. Je ne dis rien et laisse Bernard gérer.
— Tu
ne sais pas ce que tu es ?… Avec ton mari ?
— Heu,
je suis une femme très amoureuse.
— Oui
dis nousn petite menteuse.
— N’aie
pas peur ma chérie, on est entre amis, tu peux leur dire ce que tu
m’as dit que tu étais dans la chambre…
— Aller
soit honnête Sophie, dit Bernard mi-autoritaire mi-goguenard.
— J’ai
dit à Hervé que je suis une p…
— Que
dis-tu ? Ne voulez-vous pas tous, savoir ????
— Oh
si c’est marrant, disent-ils.
Au
bord des larmes, ma femme commence à trembler et Marie-Catherine
baisse la tête. Je prends Sophie dans un geste protecteur et
rassurant sur mes genoux ce qui dévoile beaucoup plus de peau et ses
jarretelles à Bernard et Paul, les pans de la robe s’étant
largement ouverts sur ses cuisses. Je la caresse tendrement pour la
tranquilliser.
— Dis-leur !
Ce ne sont que des mots que l’on se dit parce qu’on s’aime !
— Bon
d’accord puisque tu le veux
— Oui
cela me fera plaisir
— Je
te dis que je suis une pute… une salope… une chienne… mais
juste dans l’intimité.
Bernard
applaudit et siffle rapidement suivi par Paul et Frédéric.
— Houlala !
Ça doit être chaud dans votre lit ! Génial ! C’est pas
comme nous !
— Comment
cela tu ne t’occupes pas de ton mari ? reproche Frédéric à
Marie-Catherine.
— Si !
Si ! Mais, je n’ai plus vingt ans, répond-elle en baissant
les yeux.
— Oui,
dit Sophie pour venir en aide à son amie. On ne fait pas à
cinquante ce que l’on faisait à trente et à soixante-dix, encore
moins, c’est normal ?
— Qu’en
pensez-vous, Paul ? demande Bernard.
— J’avoue
que je ne sais plus…
Pourtant
Marie-Catherine, tu es encore très désirable, n’est-ce pas
messieurs ? reprend Frédéric.
— Tout
à fait ! dit Paul. En plus, excusez-moi, mais enfin, votre
tenue laisse plus des promesses que des souvenirs…
J’esquive
en répondant que Marie-Catherine est encore désirable mais pour
moi, la plus désirable est et reste mon épouse.
— Bien
sûr, dit Bernard. Une joueuse salope comme toi peut encore nous en
montrer……
— Hein ?
fait Sophie.
— De
tes achats
— Oui
Monsieur Bernard, que voudriez-vous voir ?
— Pourquoi
monsieur ? Qu’est-ce qui te prend ? dit Bernard.
— J’ai
été impressionnée et j’ai peut-être un peu trop bu, Bernard.
— Disons
cela. Oui, je préfère ! Allons à la suite, on va pas y passer
la nuit ! Très bon tes acras, Hervé !
— Merci,
dis-je à Bernard.
Puis,
je propose à Sophie de monter chercher ses achats pour qu’elle les
montre sans les enfiler. Paul et Frédéric sont d’accord avec mon
idée qui permettra de ne pas finir trop tard cette soirée.
***
— Un
bouton de plus, murmure Frédéric à Marie-Catherine.
En
voyant le geste de Marie-Catherine, Sophie en est convaincue,
Frédéric est le Maître-chanteur dont lui parle son amie, surtout
quand Marie-Catherine la laisse seule avec les trois hommes en disant
qu’elle doit aller aux toilettes, juste après une confidence à
l’oreille de Frédéric.
— Si
tu nous resservais, Sophie ! lui demande Bernard toujours sur
son smartphone, twittant.
— Oui
avec plaisir…
Elle
remplit une nouvelle fois les verres des trois hommes en se penchant
ce qui laisse bailler les pans de sa robe et dévoile très hauts ses
cuisses sur les jarretelles.
Je
reviens avec tous les cartons, en même temps que Marie-Catherine,
observée par Sophie qui la voit le chemisier plus défait et surtout
discrètement relever sa jupe pour être cul nu sur le siège,
dévoilant entièrement ses jarretelles et finissant par écarter les
cuisses après que Frédéric lui ait parlé une nouvelle fois.
— Je
ne pensais pas qu’il y en avait autant… dis-je en posant tous ces
sacs et cartons devant Bernard et Paul.
— Oh
il y a des chaussures ! Tu peux les mettre, Sophie ? dit
Bernard.
Paul
à la tête qui tourne devant ce spectacle, de voir sa collègue de
paroisse si prude d’ordinaire ainsi exposée avec un mari qui à
l’air ailleurs comme s’il s’en foutait et Sophie qui joue les
top-modèles comme une pute.
Ma
femme attrape les escarpins rouges et les enfile face à Paul ce qui
la force à dévoiler son pubis lisse et encore marqué. Le notaire
se dit qu’il va se réveiller. Alors que Bernard trouve dans les
paquets une guêpière rouge quart de seins et me la montre.
— Eh
bien mon vieux ! T’en a de la chance d’être jeune toi !
Hihihihi !
— Ça
doit faire très pute quand c’est porté avec ces talons… en
plus, rouge assorti… dit Frédéric.
— On
ne peut pas savoir sans la voir sur la bête. Hein Sophie ! Si
Hervé est d’accord bien sûr ! Et si ça ne gêne personne.
— Non
ça ne nous gêne pas, disent Paul et Frédéric.
— Oui,
je suis d’accord, dis-je à mon tour. Essaye-la ma chérie…
Sophie
la prend et commence à se diriger vers la porte.
— Il
est tard, lui dis-je. Tu vas perdre du temps à monter et à te
changer, tu peux le faire ici !
— Pourquoi
pas, dit Bernard, sous le regard approbateur des autres.
— Mais…
Je vais être nue devant vous !
— On
n’en mourra pas tu sais, on en a vu d’autres. Et si tu veux, pour
être moins seule, Marie-Catherine va faire comme toi et montrer ses
dessous, si Bernard est d’accord, dit Frédéric.
Bernard
relevant le nez de son smartphone et répond d’un air absent que
nous pouvons faire comme nous le voulons.
Sophie
rouge de honte ouvre sa robe et commence à se mettre nue, juste avec
ses bas porte-jarretelles et escarpins tandis que Frédéric ouvre le
chemisier de notre voisine en la pelotant au passage. Il lui demande
enfin de se relever.
Sophie
enfile la guêpière que je lui tends, sa poitrine est relevée et
dévoilée jusque sous les aréoles, sa taille est affinée, ce qui
fait ressortir sa croupe généreuse. Pendant ce temps,
Marie-Catherine retire son chemisier et sa jupe n’ayant plus que
son porte-jarretelles et ses bas.
— Voilà
vous êtes à égalité, dit Frédéric déchaîné en demandant à
Paul ce qu’il en pense.
— Oui,
une égalité presque parfaite, dit Paul.
— Mais
que vois-je sur ton pubis,Sophie ? demande Frédéric au
paradis.
Sophie
me regarde, regarde Bernard et bafouille
— Une
inscription, Frédéric…
— Quelle
inscription ?
— Dis-le
ma chérie, de toute manière tout le monde la voit, tu peux le dire…
— P…
Pu… Pute !
— Ah
ouais ! Franchement vous avez de ces jeux pervers chez les
Berlon ! Vous cachez bien votre jeu. Vous êtes de gros cochons
en fait, hihihihi ! il faut que je prenne une photo cela fera
bien rire sur twitter, dit Bernard
Sophie
me regarde affolée. J’hésite à répondre.
— Tu
sais Bernard si tu n’étais pas sur ton téléphone, ta femme
pourrait t’en remontrer, dit Frédéric
— Oui,
oui ! bien sûr ! Certainement !
— Tu
paries !
— Tout
ce que tu veux !
— OK !
alors si je dis à Marie-Catherine de me sucer, tu t’en fous !
— Pouuuf !
Oui, elle ne le fera pas !
— Et
sucer Paul, Hervé et moi ? Tu t’en fous ?
— Mais
écoute tout ça c’est dépassé ! répond Bernard, d’un air
blasé.
Je
regarde Frédéric surpris et étonné de la réponse de Bernard. Que
veut-il dire par : “tout ça c’est dépassé.”
— Tu
es sur Bernard ?
— Oui !
Mais si tu permets ce dont je suis sûr que me donnes-tu ?
— Heu…
Tiens ! Ma tondeuse autoportée ! Mieux que ta tondeuse
poussée !
— HHaHAHA !
OK ! Je ne me fatiguerai plus, mais tu vas le regretter et tu te
fatigueras, toi. Ma femme n’est pas ce que tu crois, elle n’aime
plus ça !
Quand
ils se tapent dans la main, Sophie les regarde sidérée, Bernard
vient de “vendre” femme pour une tondeuse. Que demandera-t-il
pour elle ?
— Marie-Catherine,
vient me sucer, dit Frédéric d’un ton qui se veut autoritaire.
Je
la regarde et lui fait comprendre d’obéir d’un geste de la tête.
À sa manière, Bernard a donné son accord.
— Et
Sophie ? Demande Paul.
— Elle
n’est pas dans le pari dit Bernard laissons les amoureux
tranquilles.
— Et
si je parie avec Hervé, non ?
— Laisse
tomber Paul, dit Frédéric. Elle te sucera après.
Paul
hausse les épaules, déçu, la grosse poitrine de Sophie mise en
valeur dans la guêpière le tente.
Je
vois Marie-Catherine s’agenouiller devant Frédéric qui défait sa
braguette et sort son sexe.
— Vient
la caresser elle aime ça
Sophie
se blottit dans mes bras, plaignant Marie-Catherine, maudissant ce
salaud de Frédéric et ne comprenant l’attitude de Bernard trop
sûr de lui et de sa femme, ne sachant pas qu’elle est forcée à
faire ça. Elle se dit qu’elle a de la chance de m’avoir comme
mari, que je ne suis pas pervers comme Bernard et qu’elle doit me
faire plaisir pour me garder.
La
vieille femme prend le sexe de Frédéric en bouche tandis que,
décoincé, Paul vient la caresser entre les fesses. Ses doigts
glissent sur sa moule alors qu’elle s’applique à pomper le dard
turgescent.
Je
pose ma main sur la cuisse de ma femme, assise sur mes genoux et la
remonte lentement entre ses cuisses qu’elle écarte.
À
ce moment, Bernard lève la tête et blêmit. Il voit sa femme sucer
un mec devant lui. il simule un trouble mais cela lui rappelle de bon
moment passés, il trique tout en feignant la désapprobation.
— Mais…
mais chérie que fais-tu ? dit-il, l’air faussement outré.
Marie-Catherine
sait, elle que son homme aime ça. Elle s’active sur le sexe de
Frédéric.
— Paul !
Si tu veux la prendre dans le trou que tu veux, ne te gêne pas !
lui dit Frédéric.
Paul,
surpris, hésite mais peintre la chatte de sa vieille collègue l’a
toujours excité est trop tentante.
Frédéric
s’étant déjà vidé plus tôt, tient le rythme malgré l’ardeur
de la salope de grenouille de bénitier ce qui lui plaît d’autant,
lui, le bouffeur de curé.
Un
petit non, la tête dans les mains, Bernard n’intéresse plus
personne.
Cela
m’excite aussi et je bande dans mon pantalon, Sophie ne peut
s’empêcher de le sentir et je sens sa fente brûlante sous mes
doigts. Je regarde Bernard interrogateur quand il le voit il fait un
clin d’œil, leur demandant doucement de s’arrêter dans de faux
sanglots. J’essaye de lui faire comprendre mon inconfort vis-à-vis
de Sophie, attendant une intervention de sa part.
— Qu’as-tu
fait de la capote ? lui demande Frédéric.
Elle
se retire pour dire qu’elle est dans son sac avant de reprendre la
hampe en bouche sentant que son orgasme arrive. Paul la ramone trop
excité, Frédéric finit par lui remplir la bouche se faisant bien
nettoyer, demandant à Bernard le sac de sa femme.
Paul
avec sa bite courte mais large comme les aime Marie-Catherine l’amène
à l’orgasme qu’elle concrétise dans un feulement sourd serrant
le périnée, surprenant Paul qui veut que ça dure encore. Il tente
une sodomie que Marie-Catherine ne refuse pas. Frédéric vient alors
embrasser notre vieille voisine sur la bouche dans une pelle baveuse.
Paul défonce le cul de la vieille bigote tandis que Frédéric met
en bouche de notre voisine la capote en lui disant de la mâcher pour
la crever.
Enfin
l’acmé arrive, le tsunami envahit le ventre de la femme avilie.
Elle jouit encore une fois, mais du cul.
Frédéric
sachant ce que fait Hervé avec elle, lui demande de nettoyer la bite
de Paul, tenant la capote en main. Paul, fatigué mais comblé, voit
Frédéric demander à Marie-Catherine de déchirer la capote et de
se frotter le visage avec. Elle obéit pour plaire à son mari qui
jubile au fond tout en simulant un anéantissement, pleurant presque,
en disant qu’il n’aura pas la tondeuse, alors que son épouse
l’enlace et l’embrasse.
— Je
t’aime ! Ça t’a plu, mon amour ?
— Je
t’aime, t’es géniale ! Lui murmure-t-il, sans que personne
ne l’entende.
Avec
Sophie nous avons regardé cette scène incroyable qui se déroule
dans notre salon, Je suis raide dans mon pantalon. Sophie le sent
mais n’ose rien faire. Inhibée par la présence des autres. Je
souris à ma soumise pour la féliciter silencieusement.
Bernard
voit la gêne de Sophie tout en recevant les excuses du vainqueur.
Chagrin,
les larmes aux yeux, il s’excuse.
— Excuse-moi
ma chérie ! Je n’ai pas compris ! Merci à vous de
m’avoir ouvert les yeux. Mais laissons les tourtereaux tranquilles
que la pute se vautre comme ma femme dans le stupre avec son mari
partons !
Frédéric
demande simplement à Marie-Catherine de rentrer sa voiture sans
s’habiller et Bernard ramène Paul.
***
Dans
la DS9, Bernard et Paul sont silencieux, un peu gênés puis Paul
rompt le silence.
— Bernard,
puis-je t’avouer quelque chose que tu garderas pour toi ?
— Bien
sûr, mon cher Paul !
— Cette
Sophie, tu sais quoi ?
— Je
pense que c’est une femme amoureuse, sensuelle, qui a longtemps
refoulé des envies indignes. Mais, toi mon salaud ! Tu as baisé
ma femme sans vergogne, devant moi, mon salaud !
— Oui !
Mais, j’ai aussi remarqué que tu faisais semblant d’être
indigné et outré… en fait je suis sûr que tu as aimé cela…
— Mais
pas du tout ! Que vas-tu imaginer ? Sauf que j’étais
persuadé que j’aurai la tondeuse autoportée. Je connais ma femme
qui n’aime pas le sexe, mais j’ai dû être aveuglé ou il y a
autre chose, mais ça me prend la tête de réfléchir. Elle ne m’a
jamais quitté alors peut-être que c’est de ma faute et elle me le
pardonne !
— Je
t’ai bien observé. Tu sais, dans mon métier, je côtoie beaucoup
de gens et souvent dans des situations douloureuses… J’ai appris
à décrypter des signaux, des appels chez les gens…
— Houlala
c’est quoi cette psychologie ? avoue plutôt que ça t’a plu
d’enculer Marie-Catherine.
— C’est
pas de la psychologie ! Juste une habitude de regarder les gens…
Et oui je l’avoue cela m’a plu. Mais il y en a une autre que
j’aurais aimé enculer…
— Noon…
t’est pédé ???
— Comment
ça ?
— Je
t’ai dit une pas un, une pédale ??? Hihihih ! ton humour
me surprendra toujours… Je t’ai bien observé, et j’ai bien
observé Hervé, il y a quelque chose entre vous deux par rapport à
Sophie… Je te connais et je sais que tu ne tromperas jamais
Marie-Catherine, mais j’ai bien vu que Sophie attendait ton
approbation pour agir…
— Mais,
qu’est-ce tu vas imaginer ?
— Je
n’imagine rien, je constate… Tu peux me dire… Et Hervé qui
accepte sans rien dire que sa femme se présente à moitié a poil
devant nous, avec les nichons, le cul et la chatte à l’air !
Je suis sûr que tu connais bien Sophie !
— Ce
sont de bons amis, c’est tout !
— Des
amis sûrement, je n’en doute pas, mais tu insistais vraiment
souvent pour que Sophie fasse quelque chose, et elle obéissait… ta
manière de t’exprimer tout en subtilité mais ferme vis-à-vis
d’elle me rappelait celle d’un ancien confrère, qui fréquentait
un milieu un peu particulier…
— Ah
bon ! Tu l’as remarqué ?
— Oui,
n’auriez-vous pas avec ta femme avant de venir vous installer ici,
fréquenté le milieu libertin BDSM ?
— C’est
quoi ?
— Ne
fais pas celui qui est idiot… pas avec moi !
— Ben,
dis-moi ! Je ne connais pas tout. Nous sommes effectivement
sortis en boite de nuit, on a même été au Paradis Latin mais c’est
tout
— Je
vais te dire, mon ex-femme… Elle a été séduite par un homme qui
se faisait passer pour un homme “dominant”, j’ignorais ce que
cela voulait dire à l’époque. Je suis donc allé voir mon
confrère qui m’avait parlé de cela… en fait le nouveau mec de
mon ex était juste un macho fini…
— Oh !
Beaucoup d’hommes sont machistes, au grand dam des
pseudo-féministes wokes !
— Oui
exactement… Mais toi, dans ta manière de faire avec Sophie, tu
n’es pas ce genre de type…
— Ah !
Non, je ne suis pas dominateur ! Tu as pu le voir. Je n’ai
même pas réussi à satisfaire ma femme en ne la dominant pas.
J’avais pas compris cette, peut-être, envie de soumission. Je ne
comprends pas !
— Tu
n’es pas un dominateur classique… Tu as aimé voir ta femme dans
cette situation… Et Hervé m’a aussi semblé aimer voir sa femme
s’exhiber…
— J’avoue
et j’en suis pas fier ! La voir comme ça, m’a troublé,
c’est une découverte !
— De
voir Sophie comme cela ? En tout cas, elle te regardait souvent
comme pour demander ton approbation…
— Je
n’ai pas remarqué. J’étais en échange sur twitter X pour les
élections, avec ce foutoir bordélique !
— Oui,
je suis d’accord avec toi, un beau bordel… Bref, puis-je finir
mon aveu ?
— On
est dans un pays libre, tu peux ! hihihihi !
— Hahaha…
J’aimerais bien putter dans les trous de Sophie…
— Alors
là mon ami, faut voir avec Hervé. Il y aurait peut-être une
ouverture car il m’a avoué trouver ta femme vraiment charmante, je
dis ça je dis rien…
— Ça
peut s’arranger… Svetlana est assez ouverte d’esprit… Mais je
ne le connais pas assez bien ! tu ne peux pas nous organiser
quelque chose ?
— Oui,
c’est possible un apéro ou un barbecue à la maison, entre amis.
— Parfait
cela… Chez vous ? ou chez moi, au moulin ?
— Pour
vous mettre en relation c’est plus logique que cela soit chez nous
— Je
te laisse voir pour la date… J’apporterai le vin… tu connais ma
cave…
— Je
vais voir avec Marie-Catherine et je vous propose à tous une date
suivant la météo pour le barbecue
— Je
savais que je pouvais compter sur toi… Veux-tu venir prendre
quelque chose, je te présenterai à Svetlana ?
— Non
merci, mais il se fait tard et j’aimerai quand même la réalité
de la situation de l’état de mon épouse.
— Oui
je comprends… Merci pour tout…
Paul
Dumoulin salue une dernière fois Bernard et rejoint sa jeune épouse
qui l’attend pour se coucher.
***
— Tu
as entendu ma chérie, suce-moi, maintenant… lui demandé-je en
murmurant à l’oreille de Sophie.
— Oui
mon chéri…
Sophie
glisse entre mes cuisses et ouvre mon pantalon, elle sort mon sexe et
commence à le prendre entre ses lèvres.
— Tu
sais quoi ma chérie…
— Non !
— Ce
que Marie-Catherine a fait, c’est quand même fort, non ?
— Oui,
mais tu ne sais pas qu’elle est forcée à faire ça. Elle subit un
chantage ! C’est ignoble !
— Tu
es sûre ? Je n’en ai pas eu l’impression et Bernard qui a
laissé faire.
— Je
ne suis pas sûre qu’il a laissé faire. Je pense qu’il est tombé
des nues. Tu as vu comme il retenait ses larmes. Il avait l’air
anéanti et seule sa fierté de parole donnée dans un pari l’a
retenu d’intervenir.
— Mais
je crois que c’est ce salaud de Frédéric qui l’a fait chanter
je l’ai vu lui chuchoter des choses et elle obéissait.
— Et
toi ? tu aurais fait quoi à la place de Marie-Catherine ?
— Ben !
Qu’est-ce que tu crois ! J’aurais mis le holà dès le
début !
— Pourtant
quand je t’ai demandé de nous montrer tes tenues tu as accepté ?
— C’est
évident que j’aurais préféré qu’on reste ensemble tous les
deux, mais tu avais l’air d’insister, alors pour te plaire, je
l’ai fait à contrecœur pour toi…
— À
contrecœur ? Vraiment ? Quand j’ai passé ma main entre
tes cuisses, ça me disait le contraire… Tu peux me dire la vérité,
cela t’a plu de te montrer, non ?
— Enfin,
ne le prends pas mal. Oui, cela ne m’a pas laissée indifférente
j’avais honte d’un côté mais je mouillais…
— Je
t’avoue que moi aussi cela m'excite de te voir te montrer… tu
l’as remarqué ?
— Tu
n’es pas jaloux ?
— Non !
Au contraire ! Je suis fier d’avoir une femme comme toi, tu es
belle !
— Merci,
mais alors si quelqu’un te disait que j’ai un amant, cela ne te
gênera pas ? Pas de jalousie ? En disant cela, elle espère
pouvoir faire cesser le chantage de Bernard.
— Non
pas de jalousie, je t’assure… si tu me promets de toujours
m’aimer !
— Oui,
je t’aime, mais tu m’aimeras encore si je t’avoue quelque
chose ?
— Oui
vas-y ! Dis-le-moi, je te le promets !
— Je
t’ai dit que Marie-Catherine subissait un chantage et je le sais
parce qu’en discutant nous avons découvert qu’on était toutes
les deux victimes de Maîtres chanteurs.
— Vraiment ?
— Tu
m’en veux ?
— T’en
vouloir pourquoi ?
— Parce
que je dois faire de vilaine chose comme Marie-Catherine !
— Raconte-moi
tout cela !
— Tu
as déjà vu les inscriptions, mon pubis rasé ?
— Oui
j’aime beaucoup, je dois t’avouer que cela m’excite.
— On
m’a forcé ! Voilà !
— On
t’a forcé. Oui ! Mais cela t’a excité, aussi, non ?
— Non,
pas au début, mais à force, oui ! Un peu, en pensant à toi !
— Alors
tu sais quoi… Tu penseras encore plus à moi, en te disant que cela
me plaît…
— Quoi ?
Je pensais que j’allais pouvoir refuser le chantage, car tu es au
courant mais si je comprends bien tu me demandes de continuer à
subir ce chantage ?
— Tu
viens de me dire que cela te plaît, en pensant à moi… Donc si tu
penses encore plus à moi, le subiras-tu vraiment ?
— Tu
veux donc que j’obéisse sans savoir jusqu’où ça peut aller je
ne voudrai pas être obligée d’aller trop loin… Que dirais-tu si
ça allait plus loin que de l’exhibe et si cela devenait plus
sexuel ????
— Comme
Marie-Catherine par exemple ?
— Oui
comme Marie-Catherine et même aussi avec des femmes !
— Marie-Catherine
a eu l’air d’aimer cela, non ?
— Je
ne sais pas, mais là on parle de nous !!!!
— Tu…
enfin… tu accepterais que heu… je… que le maire me saute ?
— Peut-être
devrais-tu en parler avec Marie-Catherine… Le maire te saute !
C’est déjà fait ?
— Oui,
il l’a déjà fait, car je devais obéir à mon maître-chanteur…
Et ce n’est pas une agression l’autre jour, mais le résultat de
ce qu’on m’a forcée à faire !
— Ce
n’est pas de ta faute, donc, tu ne l’as pas fait en disant que tu
allais me tromper…
— Et
il y a un autre problème puisqu’on en est là !
— Viens
dans mes bras que je te câline… Quel autre problème ?
— Le
maire me tient avec des films qu’il pourrait diffuser sur les
écrans de la ville…
— J’irai
voir Bernard qui le connaît bien… En attendant, fais comme si tu
ne m’avais rien dit… Je te protégerais !
— Oui,
mais cela te plaît peut-être aussi que je sois forcée ?
— Cela
te plaît-il à toi, cela t’excite-t-il ? Cela te rend-il plus
femme, plus séduisante, plus sexy ?
— Oui,
mais ça me fait peur ! Mais cela m’excite !
— La
peur est un puissant excitant tu sais…
— Je
le découvre comme me l’a dit Marie-Catherine.
— Tu
as donc envie de continuer ?
— Si
tu le veux, oui !
— Envie
de dépasser tes limites ?
— Cela
te plairait ?
— Envie
d’affronter tes tabous ?
— Ooooh,
si ça te plaît.
— Alors
continue, dépasse tes limites, affronte tes tabous… je t’aiderai
à le faire avec plaisir
— D’accord,
mon amour !
— Jusqu’où
tes désirs, tes envies, tes rêves les plus fous te portent… cela
me plaira !
— Oui
d’accord mon chéri ! Prends-moi fort ! Baise-moi !
— Dis-moi
comment tu veux que je te prenne, que je te baise…
— ENCULE-MOI !
— Comment
veux-tu que je t’encule ?
— Encule-moi
comme une chienne !