samedi 20 juin 2020

La Confrérie d'Artémis : Les photos de profil



Quelque temps plus tard, à l’insu des deux femmes, mais avec leur accord, je les pris en photos dans leur vie quotidienne, tant à leur travail que dans leur vie de famille. Je réussis à sélectionner quelques clichés pour mettre sur leur profil.
Ce fut ainsi que pour Sandrine je présentais deux photos, sur la première, elle était à l’entrée de son travail en centre-ville. On la voyait vêtue sobrement d’un pantalon et d’une tunique. Bien que la règle fut pour les soumises de porter des robes ou des jupes, je lui autorisais le port du pantalon exclusivement dans le cadre de son travail puisqu’elle y côtoyait surtout des hommes qui cumulaient beaucoup de frustrations. Si j'étais d'accord pour offrir Sandrine à d’autres hommes désormais, je tenais à garder le contrôle de la situation et surtout je ne voulais pas l'exposer à des dangers qui ne présentaient aucun intérêt ni pour moi ni pour la confrérie.
La seconde photo la montrait en situation familiale. Elle était accompagnée de son mari et de sa fille. Ils faisaient ensemble la queue pour une séance de cinéma. Cette fois, on la voyait habillée en robe. Elle avait délaissé les talons plats que je lui autorisais pour le travail, pour porter des chaussures à semelles compensées comme beaucoup de femmes le faisaient.
Je lui ai imposé un léger maquillage. Je voulais qu’elle soit féminine, désormais, car avant de me connaître elle ne l'était pas du tout.
Bien sûr, sous sa robe elle portait un string ou même pas de sous-vêtements, comme je le lui imposai parfois. 
En ce qui concerne Anaïs, elle était aussi à la porte de son travail, il s’agissait du même lieu puisque les deux femmes étaient collègues.
Elle était vêtue elle aussi d’un pantalon et d’une tunique, car pour les mêmes raisons que Sandrine je ne souhaitais pas aller sur le terrain de la provocation.
L’autre image la montrait au parc de jeux avec sa fille. Dans le privé, je demande à Anaïs de se conformer au dress-code de la confrérie. Sur cette photo, on pouvait apprécier ses jolies fesses puisque j’avais réussi à la prendre à un moment où, discutant avec une autre maman habituée du parc, sans y réfléchir elle se penchait pour ramasser le gilet de sa fille qu’elle avait fait tomber. Évidemment comme il se doit, elle ne portait plus de sous-vêtements. Ses hauts talons, plus hauts que ceux de Sandrine, l'obligeaient à se pencher davantage. On pouvait apprécier sur la photo, la fermeté de ses fesses et la jolie raie de son cul qui ravirait les maîtres qui lui rendraient hommage.
Pour les photos intimes, je les ai prises chez moi et ces images les montraient dans des poses ou des attitudes correspondantes aux compétences que les maîtres de la confrérie pouvaient utiliser.
Sandrine était nue assise, jambes écartées. Les maîtres qui appréciaient les fortes poitrines pourraient se régaler de ses gros seins, son gros ventre et son gros cul. Évidemment, elle ne pourrait pas plaire à ceux qui préféraient les femmes filiformes.
Comme c’était la règle, une dernière photo montrait Sandrine dans une des situations que j’autorisais dans le cadre du partage au sein de la confrérie, elle était en train de me sucer.
Pour Anaïs, on la voyait debout les jambes écartées, les mains sur la tête en position d'attente, son sexe lisse et sa poitrine étaient bien visible et sur la dernière, elles étaient à quatre pattes, Anaïs enculée par Sandrine qui avait enfilé un gode ceinture. On pouvait y voir l’expression de son plaisir qui contrastait avec son dégoût de cette position. Je savais qu'elle détestait être enculée, mais qu’en même temps, rapidement, elle ne contrôlait plus sa jouissance.
Après le week-end, quand elles furent pucées, je repris des images pour que les maîtres pussent les découvrir pleinement soumise.

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