Quelque temps
plus tard, à l’insu des deux femmes, mais avec leur accord, je les pris en
photos dans leur vie quotidienne, tant à leur travail que dans leur vie de
famille. Je réussis à sélectionner quelques clichés pour mettre sur leur
profil.
Ce fut ainsi
que pour Sandrine je présentais deux photos, sur la première, elle était à
l’entrée de son travail en centre-ville. On la voyait vêtue sobrement d’un
pantalon et d’une tunique. Bien que la règle fut pour les soumises de porter
des robes ou des jupes, je lui autorisais le port du pantalon exclusivement
dans le cadre de son travail puisqu’elle y côtoyait surtout des hommes qui
cumulaient beaucoup de frustrations. Si j'étais d'accord pour offrir Sandrine à
d’autres hommes désormais, je tenais à garder le contrôle de la situation et
surtout je ne voulais pas l'exposer à des dangers qui ne présentaient aucun
intérêt ni pour moi ni pour la confrérie.
La seconde
photo la montrait en situation familiale. Elle était accompagnée de son mari et
de sa fille. Ils faisaient ensemble la queue pour une séance de cinéma. Cette
fois, on la voyait habillée en robe. Elle avait délaissé les talons plats que
je lui autorisais pour le travail, pour porter des chaussures à semelles
compensées comme beaucoup de femmes le faisaient.
Je lui ai
imposé un léger maquillage. Je voulais qu’elle soit féminine, désormais, car
avant de me connaître elle ne l'était pas du tout.
Bien sûr, sous
sa robe elle portait un string ou même pas de sous-vêtements, comme je le lui
imposai parfois.
En ce qui
concerne Anaïs, elle était aussi à la porte de son travail, il s’agissait du
même lieu puisque les deux femmes étaient collègues.
Elle était
vêtue elle aussi d’un pantalon et d’une tunique, car pour les mêmes raisons que
Sandrine je ne souhaitais pas aller sur le terrain de la provocation.
L’autre image
la montrait au parc de jeux avec sa fille. Dans le privé, je demande à Anaïs de
se conformer au dress-code de la confrérie. Sur cette photo, on pouvait
apprécier ses jolies fesses puisque j’avais réussi à la prendre à un moment où,
discutant avec une autre maman habituée du parc, sans y réfléchir elle se
penchait pour ramasser le gilet de sa fille qu’elle avait fait tomber.
Évidemment comme il se doit, elle ne portait plus de sous-vêtements. Ses hauts
talons, plus hauts que ceux de Sandrine, l'obligeaient à se pencher davantage.
On pouvait apprécier sur la photo, la fermeté de ses fesses et la jolie raie de
son cul qui ravirait les maîtres qui lui rendraient hommage.
Pour les
photos intimes, je les ai prises chez moi et ces images les montraient dans des
poses ou des attitudes correspondantes aux compétences que les maîtres de la
confrérie pouvaient utiliser.
Sandrine était
nue assise, jambes écartées. Les maîtres qui appréciaient les fortes poitrines
pourraient se régaler de ses gros seins, son gros ventre et son gros cul.
Évidemment, elle ne pourrait pas plaire à ceux qui préféraient les femmes
filiformes.
Comme c’était
la règle, une dernière photo montrait Sandrine dans une des situations que
j’autorisais dans le cadre du partage au sein de la confrérie, elle était en
train de me sucer.
Pour Anaïs, on
la voyait debout les jambes écartées, les mains sur la tête en position
d'attente, son sexe lisse et sa poitrine étaient bien visible et sur la
dernière, elles étaient à quatre pattes, Anaïs enculée par Sandrine qui avait
enfilé un gode ceinture. On pouvait y voir l’expression de son plaisir qui
contrastait avec son dégoût de cette position. Je savais qu'elle détestait être
enculée, mais qu’en même temps, rapidement, elle ne contrôlait plus sa jouissance.
Après le
week-end, quand elles furent pucées, je repris des images pour que les maîtres
pussent les découvrir pleinement soumise.
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