mardi 30 juin 2020

Tranches de Vies - Autre première fois

Virginie, un amant de passage 

Virginie est divorcée depuis un moment maintenant, et elle commence à ne plus se contenter de se masturber trois fois par semaine. Avec les enfants petits, c’est un peu l’enfer pour une maman seule, et elle aimerait bien un amant de temps en temps.

Alors elle échange par chat sur internet,  sur des sites de rencontres, c’est un peu glauque, on ne sait pas trop sur qui on tombe, mais au moins quand on est une femme en chaleur, on est sûr d’avoir cinquante ou cent propositions dans les 5 minutes ! Elle a pris comme pseudo “Rosedouce”. Mais elle a pris soin de préciser sur son profil que si elle cherchait une histoire au long cours, elle ne savait pas résister au sexe.

Quand elle voit les profils des hommes et les messages qu’elle reçoit, elle est frustrée. A croire que les mecs ne baisent plus jamais leurs femmes, ou alors ils veulent des coups d’un soir.

Enfin, un qui sort de l’ordinaire. Elle tchate avec un type dont la photo l’a très vite attirée. Il n’avait pas mis son sexe, comme la quasi-totalité des autres, mais une photo de lui à la plage.

Elle devinait un bel Antillais, en short et débardeur. Il semble appétissant. Et pour couronner le tout, il a du vocabulaire et de l’humour. Ils échangent longuement et quand il lui demande son téléphone, elle n’hésite pas.

— Top là ! se dit Virginie. Trente secondes plus tard, il appelle.

Elle est juste en petit débardeur et culotte sous sa couette. Dans l’obscurité de sa chambre avec ses enfants qui dorment à côté elle écoute cette voix douce si charmeuse au petit accent ensoleillé.

Virginie ne le lui dit pas, mais elle mouille déjà sa petite culotte et son cœur bat fort. Ils finissent par convenir d’un rendez-vous pour le vendredi suivant dans un bar, après le travail. Ses parents lui ont dit qu’ils prendraient les enfants à la sortie de l’école pour les emmener en week-end en Normandie. Elle aura tout ce temps pour elle.  

Ce vendredi matin, Virginie hésite : que va-t-elle mettre sous sa robe ?

Elle en choisit une qu’elle peut porter au travail sous sa blouse et dont aucun de ses collègues ne verra le coté sexy. Elle est bleue avec des manches courtes, arrive à mi cuisses et mettra sa poitrine en valeur. Le temps très doux de ce début d’été se prête à merveille à cette petite robe. Mais dessous ?

— Un string dentelle rouge ? Non ! Blanc c’est plus sage ! Rouge il va me prendre pour une pute ! Pourtant j’aime bien mon string rouge, pense-t-elle.

C’est décidé, ce sera le blanc. Toute la journée, elle pense à ce rendez-vous. Elle a peu la tête ailleurs lorsqu'elle parle avec ses collègues. Elle est enfin prête à partir et se presse vers la terrasse où Vince l’attend.

Il est arrivé depuis quelques minutes et il a déjà commandé une bière qu’il boit tranquillement. Il reconnaît alors Virginie qui s’approche en souriant.

Quand il la regarde s’avancer, il est tout de suite interloqué par sa poitrine. Il adore les gros seins, mais là il va être servi !

— Elle fait au moins un bonnet D, et ces fesses ! Wahou ! se dit-il.

Il en tombe amoureux au premier regard.

— C'est une MILF, comme disent les copains ! pense-t-il.

Une maman seule ou divorcée en manque de sexe, et pour ça, il a ce qu’il faut pour elle. Il la voit comme une femelle blanche qu’il va faire jouir comme jamais. 

Mais d’abord il faut la séduire en gentleman. Il ne veut surtout pas lui faire peur. Beaucoup de femmes blanches sont attirées par les hommes noirs, puis hésitent et renoncent à la dernière seconde.

Après avoir discuté un moment en buvant tranquillement, leurs verres finis, Virginie en confiance lui propose de terminer la soirée chez elle. Dans le métro bondé en ce vendredi soir, ils sont debout et collés l’un contre l’autre. Elle appuie son visage contre la poitrine de Vince et sent alors la main du grand noir sous sa robe. Il est direct. Elle aime ça. Il lui caresse la chatte au travers du string. Il est étonné qu’elle le laisse faire ça. Il se dit que c’est une “mère de famille facile”, une nouvelle catégorie dans ses conquêtes. Il est même un peu choqué qu’elle le laisse lui caresser la chatte, comme ça, sous sa robe, dans le métro. Il y repensera plus tard, il aurait dû carrément lui retirer son string à ce moment-là, et le confisquer. Heureusement qu’ils arrivent à sa station et qu’ils descendent, sinon elle n’aurait pas pu résister.  

Arrivé à l’appartement, son excitation sexuelle un peu retombée, il lui demande si elle a du rhum.

— Regarde dans le bar, je crois qu’il y en a… je commande des pizzas !

Il ne lui répond pas. Il fouille le bar et trouve du rhum blanc, puis  du jus d’orange, bingo ! Il prépare deux punchs bien tassés puis il va chercher des glaçons dans le frigo qu’il a aperçu en arrivant.

Après avoir raccroché, elle vient vers lui.

— Il faut attendre une heure…

— Pas grave ! lui dit-il en lui tendant un verre. On va s'amuser avant, non ?

Ils trinquent et Virginie commence à boire. Le punch est costaud et, rapidement, elle a la tête qui tourne. Elle rigole et vient embrasser Vince. Leurs bouches se soudent et leurs langues jouent ensemble. Vince n’hésite pas et il pose ses mains sur ses cuisses. La culotte de Virginie est trempée, elle a un peu honte de réagir comme ça mais elle se sent si bien. Il se décide enfin à lui peloter les seins. Ces énormes seins qu’il fait sortir du soutien-gorge. il les tripote, les masse, les malaxe, les suce, les lèche, les tète. Virginie adore cela, cela monte directement à son cerveau et elle fond aussitôt.

La main de Vince remonte sur ses fesses, écarte le string dont il se rend  très vite compte qu’il est trempé. Quand il la doigte, sa chatte bien lisse et bien potelée mouille encore plus.

Il l’allonge alors sur le canapé et écarte le string. Il introduit son sexe sans effort, pourtant il sait qu’il a un sexe gros et long. Les femmes ont toujours un petit cri de surprise et d’envie.

Mais là, Virginie n’a ni regardé ni touché ni sucé ni caressé ce sexe noir et magnifique. Il est déjà en train de pomper avec ardeur dans sa chatte.

Il a une vigueur et une résistance incroyable, c’est nouveau pour Virginie. Plus il pompe, vite, profond, et fort et plus il fait jouir Virginie, mieux il se retient.

Ce type est un miracle soupire Virginie. Elle est aux anges, quand il la prend par les hanches et la retourne sur le canapé, les genoux au bord, bien écartés, la tête dans les coussins, et lui à demi debout à demi à genoux, appuyé sur ses fesses, elle le laisse faire.

Il ne lui dit rien, il sait ce qu’il veut et elle est assez chaude pour l’accepter, et même le désirer. Il le sent, il le sait. Les femelles blanches sont toutes comme ça.

Il présente son gland, bien gonflé et bien luisant contre son cul vierge. Elle vient de le lui avouer.

A trente-cinq ans, le cul toujours vierge, vous imaginez ça ? Les copains ne vont jamais le croire…

Cette pensée le stimule encore plus. Il pousse doucement d’abord... il veut la sodomiser, mais pour la première fois, pas trop violemment, en gentleman.

Il la sent surprise. Elle bouge un peu en minaudant. 

— Chuuutttt !!! Pas bouger, ma belle... Laisse-moi faire... 

Elle obéit, calmée par ces mots simples et sa voix chantante. Il pousse encore, doucement, il adore ce moment, quand lui seul sait à quel rythme et à quelle profondeur il va la pénétrer.

Pour Virginie, en hommage à son âge et à ses magnifiques seins énormes, il va tout lui donner, mais très doucement, pour qu’elle en profite bien. Il sent qu’elle est une bonne femelle, elle se laisse faire et même elle gémit, sans savoir combien il y en a encore. Elle n’a pas vu son sexe.

Elle devient folle de plaisir, en douceur, et en harmonie avec ce sexe serpent python qui s’enfonce en elle sans jamais s’arrêter. 

Enfin elle sent son ventre contre ses fesses, elle souffle un peu. Elle est en pâmoison, pas un orgasme simple, mais un état presque second de bonheur suprême.

A ce moment-là, il change de rythme, et accélère en sortant et revenant dans son orifice très serré.

Virginie ressent le besoin de se caresser le clitoris et elle glisse ses mains sous son ventre pour l’atteindre.

— Cela veut dire qu’elle aime. Quand elles font cela, c’est qu’elles aiment ça, pense-t-il en connaissance de cause.

Il augmente le rythme et la force.

Il la prend par derrière de toute son énergie, de toute sa virilité, comme une bonne femelle blanche, pour qu’elle s’en souvienne longtemps, toute sa vie même, un tel bonheur, une telle jouissance lors de sa première fois ne pourront pas s’oublier.

Finalement, il finit par éjaculer. Il n’arrête pas, au fond de son antre.

Et quand il se retire enfin, Virginie est comblée comme jamais. Si elle avait su que l’on puisse trouver autant de plaisir en se faisant prendre par cette voie, elle aurait commencé plus tôt. Elle recommencera, c’est sûr. Elle veut l’embrasser pour le remercier. 

Il essuie les petites traces de sperme avec un mouchoir en papier qu’il jette au pied du canapé avant qu’elle n’est le temps de se relever.

Pile à cet instant, le livreur de pizza sonne.

Virginie attrape la chemise de son amant et l’enfile pour couvrir sa nudité. Le livreur sourit en la voyant dans cette tenue, mais il sait ne rien montrer et lorsqu’elle revient dans le salon, Vince est affalé sur le canapé. Il a juste remis son boxer et regarde une émission de variétés. Il a préparé deux nouveaux verres de punch. Virginie se love contre lui après avoir posé les pizzas.

Ils les dégustent lentement. Virginie a la tête posée sur le torse de son amant qui lui caresse le dos et les fesses. Ils récupèrent lentement de leurs ébats. Au bout d’un moment, lassée par l’émission, Virginie prend la main de Vince et le tire vers la chambre. Il se laisse entraîner. Elle le déshabille et le pousse sur le lit. Allongé sur le dos, il la laisse faire. Il sent la bouche de la femme se refermer sur son sexe. Elle fait de son mieux pour l’avaler au maximum mais il est vraiment trop long. Vince ferme les yeux.  La bouche monte et descend, il retrouve sa vigueur. Virginie se redresse et lui sourit, elle vient s’empaler sur le pieu raide. Elle ferme les yeux, cambrée en arrière, prenant appui sur ses mains pour monter et descendre sur l’homme qui soupire de bien-être. Il tend ses mains vers la poitrine qui ballote à chaque mouvement. Virginie sent des ondes de plaisir monter depuis son bas ventre. Elles l’envahissent, elle va jouir. Elle crie son plaisir avant de s’allonger sur l’homme encore raide dans son ventre.

Doucement, il se dégage et après avoir mis un coussin sous le ventre de la jeune femme, il vient se positionner derrière elle. Il lui écarte les fesses et presse un de ses doigts. Elle est encore serrée mais ils entrent plus facilement que la première fois. Il en entre un deuxième pour assouplir le passage devant lequel il présente son gland. Virginie gémit et remue un peu sa croupe. Il prend cela pour une invitation et la pénètre. Elle feule. Il s’allonge sur elle. Elle sent tout le poids de l’homme qui la sodomise, elle se sent bien. Vince va et vient en elle. Il grogne et jouit en elle.

Il attend que son sexe débande pour se retirer et les deux amants s’endorment enlacés. Virginie se sent flotter sur un petit nuage.

Cette relation ne dure que quelques semaines, leur fusion sexuelle n’est pas compatible avec leurs attentes affectives. Ils se quittent bons amis, ils se retrouveront peut-être un jour.

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