Avant de rencontrer Anne-Françoise de Berlemont,
j’avais répondu à l’invitation d’Aymeric de Frondesac qui voulait me montrer
comment devenir un meilleur dominant. J’étais enchanté de passer un moment avec
cet homme que j’appréciais pour sa personnalité et son état d’esprit comme
Maître. Il se démarquait des autres avec lesquels j’avais pu correspondre par
une éthique particulière concernant sa relation de domination. Il défendait
l'idée qu’une soumise qui restait libre d’exprimer ses idées et son imagination
apportait plus de saveur à la soumission qu’une femme-objet que l’on pourrait
croire lobotomisée tant ses gestes étaient automatiques. Il était allé loin
dans l’affirmation de son point de vue puisqu’il avait épousé sa soumise,
Bérénice. Il n'hésitait pas à dire qu’il l’aimait et qu’elle était aussi
toujours très amoureuse de lui même s’il ne la ménageait pas, bien au
contraire, dès qu’il s’agissait d’être en soumission. Il semblerait que leur
complicité leur permettait d’aller plus loin que certains autres couples de
maîtres et soumises.
Je me sentais proche de cet homme dont l’assurance et
l’autorité n’entachaient pas la sympathie et la noblesse d’esprit.
J’étais convaincu que nous allions bien nous entendre
et que nous pourrions devenir amis.
Après plusieurs heures de route, j’arrivais au Haras
de Frondesac vers dix heures, en ce samedi matin. Quand le réveil avait sonné,
Sandrine m’avait bien sûr honorée de sa bouche et elle était allée me préparer
mon café pendant que je me douchais. Avant de partir, je l’avais enculée sur la
table du salon et je lui avais mis un plug qu’elle devait garder tout le
week-end. Elle m’avait regardé partir de la tristesse dans le regard, mais si
comme je le pense, je retournais au Haras, je lui promis de l’emmener.
Aymeric vint m’accueillir sur le perron de sa maison
de Maître. Il était accompagné de deux femmes qui se tenaient debout à un mètre
derrière lui mains dans le dos. Elles étaient toutes les deux très jolies, dans
leur guêpière laissant leur poitrine nue et dévoilant leur pubis parfaitement
lisse. J'avouais que j’étais déjà très sensible à leur charme et à leur allure
très différente de celle de Sandrine. Leurs talons hauts cambraient leur dos et
les obligeaient à se tenir très droites. J’aimerais la voir comme cela. Je
pensais que désormais, elle devrait délaisser ses baskets et ses ballerines
pour des escarpins.
Mon regard fut aussitôt attiré par la présence
d’anneaux qui perforaient leurs seins et leur sexe, et les tatouages présents
sur leur sein droit et leur pubis. J’imaginais ma soumise parée de tels bijoux.
Je me demandais si elle accepterait de bonne grâce ces parures ou bien si je
devrais user de mon autorité pour la soumettre à cet embellissement. En fait à
tout bien y réfléchir, je n’avais pas de doute. Je savais que Sandrine était
prête à tout pour moi et qu’elle supporterait la douleur de la pose et la
permanence de tels ornements.
J’avançais à la rencontre de mon hôte. Il me serra la
main chaleureusement et montra un large sourire.
— Bonjour, mon cher Olivier. Je suis heureux de
t’accueillir chez moi.
— Merci de ton invitation Aymeric. Je suis vraiment
ravi d'être ici. J’ai pu avoir un aperçu de la beauté du parc en arrivant en
voiture. Le cadre est magnifique.
— Merci, mon ami.
—Je te présente mon épouse Bérénice, poursuit-il.
Il se tourna alors vers sa femme.
—Bérénice, ma chérie, vient saluer notre invité.
Bérénice se rapprocha de moi, mais elle restait à un
mètre environ. Elle tendit en ma direction l’objet qu’elle tenait dans ses
mains derrière son dos tandis qu’elle était en position d’attente.
— Pour vous Maître Olivier, me dit doucement Bérénice,
tête baissée.
— Voilà un cadeau de bienvenue de la part de ma femme,
dit Aymeric.
Je pris alors la cravache qui m’était offerte, un peu
surpris par autant de déférence et du statut qu’elle m’accordait et surtout
qu'Aymeric m’octroyait de manière officielle.
Je remerciais Aymeric puis son épouse qui s’était de
nouveau reculée, les yeux baissés.
Aussitôt Aymeric intervint.
— Tu n’as pas à la remercier Olivier, cette femelle
estime qu’elle est déjà assez heureuse de te servir.
Ces mots me confirmaient qu’Aymeric souhaitait me
guider dans mon rôle de dominant.
J’allais tenir compte de cette remarque ; on ne
remerciait pas systématiquement une soumise. Il fallait considérer qu’elle agit
par devoir et qu’elle était déjà récompensée par le plaisir qu’elle avait à
nous servir. On pouvait la remercier de temps en temps, mais rarement, par
exemple si on sentait qu’elle fut en difficulté et qu’elle avait vraiment besoin
d’encouragements, ou si on avait envie de partager un moment un peu plus tendre
pour la rassurer sur nos sentiments envers elle.
Je saurais plus tard que si le cadeau de Bérénice
était une cravache, c’est qu’elle apprécie particulièrement cet objet.
— Que réponds-tu Bérénice,
dit Aymeric en s'adressant à son épouse sans équivoque dans le ton.
— Je vous en prie maître
Olivier, le plaisir est pour moi.
Très bien ! dit Aymeric. Olivier, je te présente à
présent Camille. C’est une soumise qu’Anne-Françoise m’a offerte après l’avoir
éduquée. Je la mets à ta disposition le temps du week-end, car je comprends
bien pour cette première visite que tu ne sois pas venu avec ta soumise, mais
il n’y a pas de raison que tu restes seul.
Une nouvelle fois, je comprenais qu’Aymeric souhaitait
faire de moi son égal et je savais maintenant que si tout se passait bien, nous
resterions en relation.
— Tout te sera permis avec Camille. Tu pourras en
disposer selon ta convenance. Considère qu’elle est à toi ce week-end. Avec
elle tu pourras me montrer de quelle façon tu traites une femme qui t’est
dévouée.
Tandis que Bérénice allait retrouver sa place derrière
Aymeric, Camille s’avançait vers moi et à son tour me pria d’accepter, en guise
de cadeau de bienvenue, un coffret en bois joliment travaillé.
— Pour vous, Maître
Olivier, je suis heureuse de vous servir dit-elle en me regardant timidement
puis en baissant la tête. Ceci est pour vous.
Bien évidemment, cette fois, ce fut dans un geste
ferme et sans commentaire que je pris le cadeau. En l’ouvrant, j’y découvrais
un certain nombre d’objets, en rapport avec les pratiques qu’affectionnait
Camille. Il y avait un gode de bonne taille, un plug, une laisse, une boule bâillon
et une cravache télescopique.
— Voilà déjà de quoi
t’amuser et rassure-toi Olivier ! Outre ces jouets, j’ai beaucoup d’autres
équipements à mettre à ta disposition.
Nous échangeâmes un sourire tandis que Camille alla
prendre sa place, un mètre derrière moi.
— Merci, Aymeric, pour ton
accueil.
— Bien… Je suppose que tu dois être un peu fatigué par
la route. Camille va te montrer ta chambre. Je t’attends au salon, Bérénice
nous servira le café.
Camille me précédait maintenant pour me guider dans la
maison. Elle marchait lentement, et commençait à emprunter les escaliers qui
conduisaient aux chambres. Elle était devant moi, déroulant chaque pas de telle
manière que je pouvais apprécier le balancier de son cul qu’elle avait rond,
mais ferme. Je ne résistais pas à l’envie de l’attraper en glissant ma main
entre ses cuisses et en saisissant un des anneaux qui embellissaient sa chatte.
Du plat de ma main sur son pubis, je la tirais fermement vers moi et plaqua son
cul contre mon sexe encore emprisonné dans mon pantalon.
— Tu me provoques, salope ! T’as envie que je le
prenne, n’est-ce pas ? Ton joli cul !
Tandis que ma main droite pressait son sexe, je
passais ma main gauche devant elle et lui saisit un sein pour plaquer
maintenant son dos contre ma poitrine.
— Je verrai si tu es bonne à prendre de toutes les
manières, dis-je en pétrissant son sein.
Je me sentais durcir et elle était déjà bien
humide.
— Ne traîne plus maintenant ! Dépêche-toi de m’amener
à ma chambre !
Je la relâchai non sans avoir laissé traîner ma main
dans la raie de ses fesses tandis qu’elle se replaçait devant moi.
Elle ouvrit la porte de la chambre et alla se placer
en attente à côté du lit.
— Bien ! Viens faire connaissance avec mon sexe !
Elle vint à genou devant moi et elle sortit mon sexe
de mon pantalon. Elle la le prit entre ses lèvres pour entreprendre une
fellation, en l’agrémentant de massages des testicules. Elle me léchait le
membre sur toute sa longueur et de sa langue, elle goûtait les premières
gouttes qui suintaient de mon gland.
Je lui reculai la tête. Elle me regarda surprise, je
vis a son regard qu’elle se demandait ce qu’elle n’avait pas bien fait.
— Je crois que Maître Aymeric m’attend pour le café,
on ne fait pas attendre son hôte.
— Mais avant, penche-toi sur le lit. Montre-moi les
jolies fesses que tu faisais danser sous mes yeux tout à l’heure.
Elle se mit en angle sur le rebord du lit. Je pris le
plug dans le coffret et je lui fourrai le cul avec après l’avoir lubrifié dans
sa chatte dégoulinante. Voilà tu es plus présentable comme ça. Relève-toi. Mais
je n’ai pas toujours tout à fait fini de te préparer.
Quand elle fut face à moi, je pétris ses seins en
finissant par écraser leur pointe entre mes doigts. Je l’entendis gémir et je
la vis fermer les yeux. Elle appréciait, je souris.
— Tu me plais beaucoup Camille. Je crois que je vais
passer de bons moments avec toi.
Je pris alors le collier et la laisse et je la vis
baisser la tête pour me présenter son cou. Une fois en laisse, j'introduisis
deux doigts dans sa chatte trempée et j'écrasai ma bouche sur ses lèvres pour
goûter sa langue. Je la sens vibrer de désirs.
— Mais dépêchons-nous !
Nous sommes attendus.
Je lui offris mes doigts à lécher avant de descendre.
Aymeric eut un sourire en me voyant arriver suivi de
Camille en laisse.
— Tu as fait connaissance avec Camille ?
Je lui expliquai que j’avais eu un avant-goût de son
savoir-faire buccal, mais que je ne voulais pas le faire attendre.
— Avant de prendre ce café, si tu le permets Aymeric
j’ai également un cadeau à t'offrir. Je vais aller le chercher dans ma voiture.
Camille, tu vas m’attendre là comme une bonne chienne… je reviens tout de
suite.
J’allais prendre la photographie encadrée que je
destinais à mon hôte ainsi que mon appareil qui ne me quittait jamais.
— Merci Olivier ! Elle est vraiment magnifique cette
photo, puis il poursuit. Je pense que je ferais appel à ton talent de
photographe de temps à autre.
Je le vis regarder Bérénice et Camille. Je compris ce
qu’il désirait.
— Je n’ai pas l’habitude de photographier des
personnes, mais je pense pouvoir te satisfaire.
Je m’assis dans le canapé de cuir très confortable.
— Bérénice ! Qu’est-ce que tu attends pour servir mon
invité ?
Bérénice me servit une tasse de café que j'appréciais
étant donné mon réveil très matinal.
Je me sentais tout à fait en forme maintenant et
j’avais envie de goûter au plaisir que pouvait m’offrir ma soumise.
— Camille, tu avais commencé quelque chose tout à
l’heure, vient le terminer.
La longueur de la laisse permit à Camille de venir se
placer entre mes jambes. Elle ne m’avait pas fait attendre pour libérer mon
sexe de mon pantalon. J’appréciais une autre bouche que celle de Sandrine et
j’étais heureux de cette nouveauté.
Aymeric qui était assis en face de moi sourit. La
scène lui inspirait apparemment la même envie. Il fit un signe à Bérénice qui
imita Camille.
Tandis que nos soumises s’activaient, je racontais à
Aymeric le rituel mis en place avec Sandrine à mon réveil.
Bérénice me regardait avec des yeux ronds. Aymeric le
remarqua aussi. Il m’expliqua qu'à chaque fois qu’il était question d’urine,
elle avait une réaction de stupeur, cela lui rappelait toujours la première
fois qu’Aymeric lui en avait fait boire. Depuis, cela restait pour elle une
punition pire que toute autre.
— Je comprends. Cependant, Bérénice doit savoir que
tous les matins, j’exige de ma soumise qu'elle boive mon urine tandis que je
bois mon premier café.
Camille savait maintenant que le lendemain matin elle
devrait se plier à cette exigence. Je la vis frémir à son tour.
— Oui ! Une exigence digne d’un grand maître. Sur ce
point je te félicite… Et une soumise compréhensive.
— Merci ! Aymeric !
Aymeric me proposa alors que Bérénice vint me sucer.
— Oui, c'est avec plaisir que j’honorerai Bérénice de
mon jus si tu m’y autorises. Ceci dit j’ai quand même des scrupules à me servir
de ta femme.
Aymeric m'expliqua alors que pour un maître, une
soumise était une soumise et que souvent les femmes mariées étaient même prêtes
à aller plus loin dans la soumission que les autres. Surtout si leurs maris
n’étaient pas au courant. Il me disait en souriant qu’il me montrerait plus
tard comment savoir si une femme était susceptible de devenir une
soumise.
Pour le moment, comprenant sans autre mot ce qu’elles
avaient à faire, les deux femmes changeaient de place après que j’eus
désolidarisé le collier de cuir de la chaîne qui tenait Camille en place.
Après avoir déchargé tous les deux dans une bouche,
j’osais alors demander à Aymeric :
— Penses-tu que demain matin, Bérénice puisse
rejoindre Camille pour recueillir mon premier jus de la journée.
— Je n’en attendais pas moins de toi ! Et bien soit ! Bérénice
sera là demain matin.
La panique fut visible sur le visage de Bérénice.
Mais, Aymeric intervint alors.
— Ma chérie, qui est ton maître ?
— Toi ! Aymeric !
— Qu’es-tu pour moi ?
— Ton épouse, ta pute, ta salope, ta chienne
aussi.
— C’est ça et que m’as-tu juré en m’épousant ?
— Un dévouement sans condition tout au long de ma
vie.
Bien donc tu serviras mon honneur en te montrant à la
hauteur demain matin au réveil de mon invité, lui dit-il d’un ton ferme, ne
laissant aucune place au doute. Caressant les cheveux puis malaxant un sein de
sa femme, Il finit par lui tirer un téton.
La discussion s'arrêta là. Aymeric me regarda et il
hocha un peu la tête pour me signifier son accord.
Comme nous avions fini notre café, il me proposa de me
faire visiter son haras.
— Tu n’as pas envie d’emmener Camille en promenade,
Olivier ?
— Oui ! Bien sûr, ma chienne va me suivre.
Il invita les femmes à enfiler une petite robe courte
pour masquer leur nudité.
Je caressais la croupe de Camille et jouais un peu
avec le plug que je faisais aller et venir dans son cul. Je constatais à cette
occasion que Camille avait le cul souple. Elle devait être habituée à se faire
prendre par là.
— Olivier, je ne voudrais pas cependant que ta chienne
fasse peur aux chevaux en aboyant. As-tu une solution à ce problème ?
— Bien sûr Aymeric ! Je te promets de contrôler
parfaitement la situation.
Je montrais alors la cravache télescopique à Camille
et d’un coup sec, le lui cinglais le dessous des fesses sous la robe courte.
Nous pûmes entendre un petit cri sortir de sa bouche. Je vis Bérénice se mordre
les lèvres, car elle savait que Camille venait de faire une erreur qui devrait
être corrigée.
Nous sommes sortis tous ensemble de la maison en
direction des installations. Bérénice et Camille nous précédaient toujours d’un
mètre environ.
J’en fais la remarque à Aymeric.
— Une convention entre
maître et soumise, j’imagine ?
— Oui. Tu devras d’ailleurs imposer cette distance à
Sandrine toi aussi. Il est impensable qu’une soumise s’autorise à
s’approcher trop près d’un maître, tout comme il est hors de question qu’elle
reçoive la manifestation d’une affection quelconque en public. Nous ne prenons
jamais nos soumises ni par la main ni par la taille sauf bien sûr si nous le
décidons. C’est alors pour elles comme une récompense, un cadeau ou un
encouragement
— Je comprends tout à fait cette convention qui
rappelle, comme dans les différentes positions d’attente, que tout contact avec
les maîtres doit être autorisé.
— Oui, c'est tout à fait ça. Sauf de recevoir une
autre consigne, une soumise doit donc spontanément se placer à un mètre devant,
sur le côté ou derrière son maître, poursuit Aymeric. Bien évidemment
cependant, elle s’adapte si le contexte le nécessite, mais la distance doit
toujours être respectée.
En nous rapprochant des écuries, nous avons croisé
quelques personnes qui saluèrent Aymeric avec déférence, sûrement des
employés du haras. Bérénice répondit poliment aux diverses sollicitations. Je
découvrais avec émerveillement les installations de ces écuries qui
accueillaient de vraies bêtes de compétition. Aymeric demanda à Bérénice de
poursuivre la visite, car un de ses employés vint lui demander de régler un
problème annexe.
— Tu es le maître, me dit-il en me faisant un clin
d’œil.
Je compris alors qu’il me donnait carte blanche et
toute autorité sur ces deux femmes. Je savais aussi qu’en public, je ne devais
pas mettre en évidence les relations de domination et soumission. Quand
Bérénice ouvrit une porte pour nous faire entrer dans un espace privé, je ne
résistai pas à l’envie de les prendre toutes les deux par la taille. Bérénice
me sourit et je compris qu’Aymeric lui avait sûrement demandé de m’aider à me
sentir bien dans mon rôle de maître. Je passais ma main sous sa robe et lui
flatta la croupe. Je glissais un doigt entre ses fesses et je le rentrais dans
son cul que je sentais très souple. Je lui demandais alors comment elle était
devenue soumise.
— Mon mari m’avait quitté pour une autre femme après
une vie de couple peu épanouissante, me laissant seule avec ma fille. Après un
moment de tristesse, j'ai décidé de reprendre ma vie en main et de tenter de
découvrir enfin la sexualité dont je rêvais. J'avais envie d'un amant dominant,
c'est à ce moment-là que j'ai reçu l’invitation d'Aymeric à passer un week-end
au haras, au prétexte de la relation amicale entre nos filles. J'avais envie de
profiter de cette occasion pour le séduire. J'ai eu vraiment beaucoup de chance,
car si je connaissais la réputation d’Aymeric pour sa facilité à obtenir les
faveurs des femmes, Camille pourrait vous en dire quelque chose… je ne me
doutais pas qu'il était déjà depuis longtemps devenu maître dans l'art de la
domination. Il a rapidement repéré mon potentiel de soumission, et peu de temps
après j'acceptais de renoncer à ma liberté et à mon indépendance pour devenir
sa soumise. De la même manière que vous semblez parler de Sandrine, j'étais et
je reste follement amoureuse de lui. Je lui suis reconnaissante de m’avoir aimée
de toutes les manières possibles et de m’avoir éduquée comme il l’a fait. Aymeric
est un maître formidable.
— Et toi Camille ? dis-je
en lui flattant la croupe et jouant avec son plug.
— Moi c’est une femme qui a fait mon éducation.
Peut-être connaissez-vous Anne-Françoise ? Si ce n’est pas encore le cas, ce
sera vite chose faite. Je venais de m’installer dans mon cabinet. “Ses filles”
venaient régulièrement à ma consultation pour un suivi gynécologique. Anne-Françoise
ne semblait pas s’intéresser à moi jusqu'au jour où elle décida de faire de moi
une de ses soumises. Puis, j’ai rencontré Aymeric dans une soirée organisée par
ma Maîtresse et depuis ce soir-là, je lui suis soumise.
— Et vous Olivier, pouvez-vous nous dire comment vous
avez fait de Sandrine votre soumise ? Osa me demander Bérénice sans doute mise
en confiance par ce temps de confidences.
— Comment peux-tu te permettre de me poser une
question ? Tu sembles avoir oublié que je n’ai aucune explication à te donner
et tu n’as rien d’autre à savoir que les ordres que je te donne. Est-ce clair ?
dis-je sur un ton sans équivoque sur mon autorité.
— Tu seras punie pour cela Bérénice. Je conviendrai
plus tard avec ton maître de la punition la plus appropriée.
Je la vis baisser les yeux. Mon changement de ton
avait fait son effet, en plus j’avais sorti ma cravache. Je la sentais frémir
quand je caressais sa croupe, son ventre et ses seins avec elle.
Bérénice me présenta ensuite “Aurore Furtive”, la
jument que son mari lui avait offerte et que sa fille montait en concours.
Puis nous avons quitté les écuries pour nous rendre
vers une grange un peu à l’écart.
Les deux femmes semblaient toutes émoustillées en s’en
approchant.
À l’intérieur, je découvris un espace incroyable. Des
gradins occupaient un côté de la pièce. Une sorte de scène au milieu, avec des
armoires et vitrines remplies d’objets divers tels que des godes,
vibromasseurs, plugs, cravaches travaillées et autres sex-toys. Je n’imaginais
pas qu’il pût en exister autant. Dans l’espace central, on y découvrait un
fauteuil de gynécologue, un pilori qui semble sortir du moyen âge, un banc de
salle de musculation, une croix, un cadre métallique avec des chaînes terminées
par des sangles de cuir et une boîte avec des trous.
Je connaissais ces instruments de nom et de vue, mais
c’était la première fois que j’allais les découvrir en service.
— Camille et Bérénice, déshabillez-vous ! Bérénice va
devoir être punie pour son effronterie… Choisis l’instrument de
sa punition, me dit Aymeric.
Je pris un peu de temps, j’aimerais pouvoir tous les
tester, mais je me doutais bien que cela sera impossible.
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