jeudi 25 juin 2020

La Confrérie d'Artémis : Sandrine et sa puce


J’avais confié Anaïs à Anne-Françoise pour qu’elle fît un stage dans son haras. Elle allait y recevoir une initiation à la vie de pony-girl ce qui lui apprendrait notamment à accepter plus facilement d’être prise par le cul. De nombreux accessoires de pony-girl étaient en effet introduits analement. Elle allait revenir avec un cul plus souple et plus ouvert j’en étais assuré. 
J'étais donc seul avec Sandrine depuis quelques jours.
Nous avons très vite retrouvé la relation fusionnelle que nous avions lorsque nous nous étions rencontrés. 
Ce soir-là, Sandrine m’apprit qu’elle avait dû offrir ses services à un maître de la confrérie. Sa puce avait vibré dans un magasin de vêtements alors qu'elle faisait les soldes. 
Elle me racontait la scène alors que nous étions tous les deux étendus sur mon lit. Nous venions de faire l’amour avec la tendresse que nous aimions avoir l’un pour l’autre même si je restais le maître de sa soumission.
Pour la récompenser de l'épreuve qu'elle venait de subir pour la première fois, j’offris à Sandrine la faveur qu'elle méritait. Elle avait sa tête sur ma poitrine, et comme elle aimait le faire elle tenait mon sexe dans sa main. Pour lui faire plaisir, je la fouillais d’un doigt dans le cul. En effet, elle affectionnait particulièrement d'être prise par le cul, contrairement à Anaïs. Je profitais d'ailleurs du sien aussi souvent que j'en avais envie.
— Alors ma chérie raconte-moi ce qui s'est passé, lui disais-je en ajoutant une caresse sur son visage pour lui dégager les cheveux.
— Cet après-midi ! J’étais dans un magasin des halles, je regardais les robes qui pourraient me plaire lorsque la puce dans mon bras a vibré…
— Aussitôt mon sang s’est glacé et mon cœur s’est accéléré. Je savais qu’un maître ou une maîtresse était dans ce magasin tout comme moi. Puisque ma puce avait vibré, je savais que, quelle qu’elle soit, cette personne était intéressée par moi. Comme c’est le cas dans un réflexe conditionné, je me suis convaincue que je devais être à la hauteur pour servir en ton nom.
— C’est bien ma chérie je savais que je pouvais avoir confiance en toi lui dis-je en l’embrassant.
— Oui c’est à toi que je pensais pour me mettre en condition. Je me suis mise à saliver et à couler. Soudain j'étais prête à être baisée, j'en avais même envie. Je ne pensais plus qu’à ça. Il me restait à savoir par qui et comment. Je savais que je devais rester naturelle en attendant un contact…
— C’est une femme qui m’a abordé dans le magasin, en me donnant mon numéro de soumise, c’est-à-dire F 1230. Elle m’a dit de la suivre en cabine d'essayage.
— Tu as pensé quoi du fait que ce soit une femme ?
— Ça m’a rassurée. Je me disais que probablement je n’aurais qu’une chatte à sucer.
— Est-ce que cela a été le cas ?
Au moment où je posais cette question, je sentis Sandrine se tendre autour de mon doigt qui jouait à aller et venir dans son cul. Je savais qu’elle aimait ça. Elle ronronnait en se pressant un peu plus contre ma poitrine. Je comprenais qu’elle en voulait plus. Je remplaçai alors mon doigt par un des plugs que nous aimions particulièrement. Il était d’un bon diamètre et il était prolongé d’une queue permettant de jouer facilement dans le cul. Elle laissa échapper un râle de plaisir et ce fut en alternant gémissements et râles qu’elle termina son récit.
— Non ! Alors que j’aspirais son clitoris, elle a retiré ma tête qui était entre ses jambes en tirant sur mes cheveux. Elle m’a ensuite demandé de me mettre à quatre pattes sur le petit tabouret qui était présent dans la cabine. J'étais comme un éléphant au cirque quand il doit équilibrer toute sa masse sur un petit banc. Mes bras et mes jambes étaient rassemblés et mon cul était très tendu. Elle me l'a palpé et pétri un moment avant de présenter un gode à mon anus. Elle a eu la délicatesse de le lubrifier avec un gel puisqu’elle savait que tu n’autorises pas la prise de ma chatte…
— Elle m’a pilonnée jusqu'à ce qu’elle jouisse. Elle m’a imposé de rester dans la même position pendant qu’elle se rhabillait puis elle est sortie en disant qu’elle ferait un bon commentaire sur moi sur l’application.
Sur ces derniers mots, Sandrine qui s'était retenue pour aller jusqu'au bout de son explication jouit pour la troisième fois de la soirée. Je l’accompagnais dans sa vague de plaisir en l’embrassant et en lui disant que j'étais fier d’elle.
— Merci. Je t’aime mon maître amour me répondit-elle en souriant.
— Je le sais ma douce. 
Je lui ai alors demandé alors si elle avait réfléchi à son stage. 
— Dis-moi ma chérie ! Qu’as-tu décidé en ce qui concerne ton stage chez un maître ?
— Ah ! J'espérais que tu ne m’en reparles pas, mais bon... Oui, j’y ai réfléchi. 
— Prends ton temps, il n’y a pas d'urgence.
— Merci, mon cher Maître, mais je sais que pour te satisfaire pleinement je dois améliorer mes fellations. Je supporte mal l'idée que d’autres te donnent plus de plaisir que moi.
J’aimerai également que tu vainques ta timidité pour t'exhiber.
— Je sais qu’il y a un maître qui est très à cheval sur la fellation et qui met ses filles sur le trottoir avec cette spécialité. Tu veux que j’aille chez lui pour apprendre les deux en même temps ?
— Pourquoi pas ? Mais supporteras-tu de te prostituer ? Il y a aussi un Maître qui possède des clubs de strip-tease, tu n’aimerais pas ?
— Je préférerais c’est sûr. Mais tu sais quel effort représente pour moi le fait de me déshabiller, moi qui suis si pudique et complexée de mes formes. 
— Je sais, Sandrine, mais je serai tellement heureux de te voir danser nue sur une scène et aussi de faire l’amour en public.
Je vis des larmes dans ses yeux. Je la caressais pour la réconforter, mais elle savait que je ne céderais pas.
Après ses derniers sanglots, nous nous sommes endormis enlacés, mon sexe entre ses fesses. Je me disais que j'enverrais Sandrine faire son stage pendant que je me rendrais au manoir du baron pour commencer à travailler avec Sixtine sur les archives de la confrérie.

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