J’avais confié
Anaïs à Anne-Françoise pour qu’elle fît un stage dans son haras. Elle allait y
recevoir une initiation à la vie de pony-girl ce qui lui apprendrait notamment
à accepter plus facilement d’être prise par le cul. De nombreux accessoires de
pony-girl étaient en effet introduits analement. Elle allait revenir avec un
cul plus souple et plus ouvert j’en étais assuré.
J'étais donc
seul avec Sandrine depuis quelques jours.
Nous avons
très vite retrouvé la relation fusionnelle que nous avions lorsque nous nous
étions rencontrés.
Ce soir-là,
Sandrine m’apprit qu’elle avait dû offrir ses services à un maître de la
confrérie. Sa puce avait vibré dans un magasin de vêtements alors qu'elle
faisait les soldes.
Elle me
racontait la scène alors que nous étions tous les deux étendus sur mon lit.
Nous venions de faire l’amour avec la tendresse que nous aimions avoir l’un
pour l’autre même si je restais le maître de sa soumission.
Pour la
récompenser de l'épreuve qu'elle venait de subir pour la première fois,
j’offris à Sandrine la faveur qu'elle méritait. Elle avait sa tête sur ma
poitrine, et comme elle aimait le faire elle tenait mon sexe dans sa main. Pour
lui faire plaisir, je la fouillais d’un doigt dans le cul. En effet, elle affectionnait
particulièrement d'être prise par le cul, contrairement à Anaïs. Je profitais
d'ailleurs du sien aussi souvent que j'en avais envie.
— Alors ma
chérie raconte-moi ce qui s'est passé, lui disais-je en ajoutant une caresse
sur son visage pour lui dégager les cheveux.
— Cet
après-midi ! J’étais dans un magasin des halles, je regardais les robes qui
pourraient me plaire lorsque la puce dans mon bras a vibré…
— Aussitôt mon
sang s’est glacé et mon cœur s’est accéléré. Je savais qu’un maître ou une
maîtresse était dans ce magasin tout comme moi. Puisque ma puce avait vibré, je
savais que, quelle qu’elle soit, cette personne était intéressée par moi. Comme
c’est le cas dans un réflexe conditionné, je me suis convaincue que je devais
être à la hauteur pour servir en ton nom.
— C’est bien
ma chérie je savais que je pouvais avoir confiance en toi lui dis-je en
l’embrassant.
— Oui c’est à
toi que je pensais pour me mettre en condition. Je me suis mise à saliver et à
couler. Soudain j'étais prête à être baisée, j'en avais même envie. Je ne
pensais plus qu’à ça. Il me restait à savoir par qui et comment. Je savais que
je devais rester naturelle en attendant un contact…
— C’est une
femme qui m’a abordé dans le magasin, en me donnant mon numéro de soumise,
c’est-à-dire F 1230. Elle m’a dit de la suivre en cabine d'essayage.
— Tu as pensé
quoi du fait que ce soit une femme ?
— Ça m’a
rassurée. Je me disais que probablement je n’aurais qu’une chatte à sucer.
— Est-ce que
cela a été le cas ?
Au moment où
je posais cette question, je sentis Sandrine se tendre autour de mon doigt qui
jouait à aller et venir dans son cul. Je savais qu’elle aimait ça. Elle
ronronnait en se pressant un peu plus contre ma poitrine. Je comprenais qu’elle
en voulait plus. Je remplaçai alors mon doigt par un des plugs que nous aimions
particulièrement. Il était d’un bon diamètre et il était prolongé d’une queue
permettant de jouer facilement dans le cul. Elle laissa échapper un râle de
plaisir et ce fut en alternant gémissements et râles qu’elle termina son récit.
— Non ! Alors
que j’aspirais son clitoris, elle a retiré ma tête qui était entre ses jambes
en tirant sur mes cheveux. Elle m’a ensuite demandé de me mettre à quatre
pattes sur le petit tabouret qui était présent dans la cabine. J'étais comme un
éléphant au cirque quand il doit équilibrer toute sa masse sur un petit banc.
Mes bras et mes jambes étaient rassemblés et mon cul était très tendu. Elle me
l'a palpé et pétri un moment avant de présenter un gode à mon anus. Elle a eu
la délicatesse de le lubrifier avec un gel puisqu’elle savait que tu n’autorises
pas la prise de ma chatte…
— Elle m’a
pilonnée jusqu'à ce qu’elle jouisse. Elle m’a imposé de rester dans la même
position pendant qu’elle se rhabillait puis elle est sortie en disant qu’elle
ferait un bon commentaire sur moi sur l’application.
Sur ces
derniers mots, Sandrine qui s'était retenue pour aller jusqu'au bout de son
explication jouit pour la troisième fois de la soirée. Je l’accompagnais dans
sa vague de plaisir en l’embrassant et en lui disant que j'étais fier d’elle.
— Merci. Je
t’aime mon maître amour me répondit-elle en souriant.
— Je le sais
ma douce.
Je lui ai
alors demandé alors si elle avait réfléchi à son stage.
— Dis-moi ma
chérie ! Qu’as-tu décidé en ce qui concerne ton stage chez un maître ?
— Ah !
J'espérais que tu ne m’en reparles pas, mais bon... Oui, j’y ai réfléchi.
— Prends ton
temps, il n’y a pas d'urgence.
— Merci, mon
cher Maître, mais je sais que pour te satisfaire pleinement je dois améliorer
mes fellations. Je supporte mal l'idée que d’autres te donnent plus de plaisir
que moi.
— J’aimerai également
que tu vainques ta timidité pour t'exhiber.
— Je sais
qu’il y a un maître qui est très à cheval sur la fellation et qui met ses
filles sur le trottoir avec cette spécialité. Tu veux que j’aille chez lui pour
apprendre les deux en même temps ?
— Pourquoi pas
? Mais supporteras-tu de te prostituer ? Il y a aussi un Maître qui possède des
clubs de strip-tease, tu n’aimerais pas ?
— Je préférerais
c’est sûr. Mais tu sais quel effort représente pour moi le fait de me
déshabiller, moi qui suis si pudique et complexée de mes formes.
— Je sais,
Sandrine, mais je serai tellement heureux de te voir danser nue sur une scène
et aussi de faire l’amour en public.
Je vis des
larmes dans ses yeux. Je la caressais pour la réconforter, mais elle savait que
je ne céderais pas.
Après ses derniers
sanglots, nous nous sommes endormis enlacés, mon sexe entre ses fesses. Je me
disais que j'enverrais Sandrine faire son stage pendant que je me rendrais au
manoir du baron pour commencer à travailler avec Sixtine sur les archives de la
confrérie.
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