Claire, Annick, Philippe
Claire achève de s’habiller pour sortir. Ce soir, elle porte un pantalon corsaire qui dévoile ses mollets et un petit débardeur. Avec Annick, elles retournent au Jardin des Délices. À leur grande surprise, Martine a décliné leur soirée entre filles. Il est vrai, qu’elles l’ont déjà faite la semaine dernière et n’ont pas attendu les quinze jours habituels pour recommencer. Cela fait deux jours qu’elles ont reçu le message avec la photo du club. Il n’y a pas à dire pense Claire, Pablo a du talent pour mettre ses modèles en valeur. Pour la première fois depuis bien longtemps elle se trouve belle sur une photo.
— Tom ! Je pars...
— Oui ma chérie, soit raisonnable ! lui crie-t-il depuis la cuisine où il prépare des fajitas.
— Promis ! En plus c’est moi qui conduis…
Tom sourit depuis la cuisine, il est un peu surpris que Martine ne les accompagne pas. Mais cela l’arrange. Il ne sait pas comment il aurait pu gérer son trouble d’être face à Martine en présence de Claire.
— Tu la crois quand elle a dit qu’elle avait une migraine ?
— Martine, une migraine ! Tu rigoles Claire. Si tu veux mon avis, elle s’est trouvé un mec… Et elle a un rendez-vous galant ce soir.
— Encore un de ces ratés tarés qui va abuser d’elle…
— Sûrement mais on n’la changera plus…
— Oui tu as raison. Mais, dis-moi ? demande Claire en fixant les cuisses d’Annick. Tu ne crois pas que tu abuses un peu avec cette robe à ras le bonbon…
— On monte au carré VIP ! Il faut ce qu’il faut… et toi ? Tom a vu que tu déballais ta marchandise comme cela…
Claire rougit, piquée au vif. Il est vrai qu’elle a osé un débardeur à fines bretelles un peu moulant qui met sa poitrine en valeur. Mais, elle porte un soutien-gorge, elle !
Claire arrive devant le club et laisse ses clés au voiturier, le privilège du carré VIP. Philippe est là. Il sourit en les voyant et leur fait un baisemain un tantinet surprenant en ce lieu.
— Claire ! Annick ! Je vous attendais, j’étais certain que vous reviendriez.
Les deux sont flattées qu’il se souvienne de leurs prénoms. Annick minaude un peu en se déplaçant sensuellement, elle semble vouloir montrer au mâle qu’elle est appétissante et disposée à se laisser croquer. Mais Philippe trouve plus charmant la timidité de Claire, il lui prend la main et la guide dans l’escalier qui mène au carré VIP. Le salon est presque désert, Claire peut apercevoir un homme d’un certain âge accoudé au bar et qui observe la danseuse quasi nue sur la scène. Deux ou trois couples et un groupe d’hommes d'affaires sont attablés dans un angle. L’ambiance est feutrée mais si Annick est aussitôt à son aise et se dirige vers le bar Claire hésite encore. Philippe voit son hésitation et lui pose une main rassurante sur l’épaule, puis ce qu’il lui murmure à l’oreille la trouble.
— Ma chère Claire, votre venue comble mes espérances, mais je pense que votre tenue n’est pas adéquate en ce lieu. Regardez autour de vous.
Claire balaye la salle des yeux et, en effet, elle peut constater que toutes les femmes sont en robes ou en jupe.
— Excusez-moi mais j’ignorais tout d’un dress-code !
— Ce n’est pas grave, je m’en doutais un peu. Sandra va vous conduire dans un petit vestiaire pour vous permettre de vous changer. Vous y trouverez une tenue parfaitement adaptée
La jeune Sandra, vêtue d’un top ultra moulant qui dévoile son nombril et d’une jupe très courte tend la main pour entraîner Claire dans une petite pièce derrière le bar. Claire découvre la garçonnière de Philippe, le lieu où il dort quand il n’a pas le temps de rentrer chez lui, cette somptueuse villa dans les collines avec une vue imprenable sur Socarres et sa baie.
Sur le lit, une petite robe noire et un micro string de la même couleur. Claire regarde les vêtements. Elle se dit que mettre la robe, même si elle lui semble un peu courte, ne devrait pas trop la gêner, mais porter le string est impossible. Elle a essayé une fois, Tom lui avait offert un ensemble de dentelle. Au bout d’une heure, elle avait remis une culotte, elle n’avait pas supporté que le string lui rentre entre les fesses et il était plus couvrant que celui-là.
— Puis-je me changer ? demande-t-elle à Sandra qui est toujours debout près de la porte.
— Monsieur Philippe m’a expressément demandé que je reste pour vous aider. Si je sors, il ne va pas être content…
Touchée par la sincérité de la jeune serveuse, Claire accepte sa présence.
— Nous sommes entre femmes, quelle importance! se dit-elle.
Elle commence par retirer son débardeur puis son pantalon. Sandra s’empresse de les ramasser pour les ranger sur un cintre. Elle ne peut s’empêcher d’admirer les formes généreuses de la femme qui se change. Quelle poitrine ! pense-la jeune femme.
Claire commence à enfiler la robe, et très vite elle comprend qu’elle ne peut pas garder son soutien-gorge. C’est une robe bustier et les bretelles ne seraient pas très seyantes. Un peu gênée de s’exhiber ainsi devant Sandra, elle lui tourne le dos pour finir d’enfiler la robe et cacher sa poitrine. Sandra est éblouie par la féminité naturelle qui émane de la mère de famille devant elle. Mais elle remarque le string, toujours sur le lit.
— Claire, tu as oublié quelque chose !
Claire, surprise du tutoiement, regarde le petit bout de tissu, elle est gênée, elle n’a jamais aimé les strings. Elle préfère ses sous-vêtements confortables. Mais là, cette fois-ci, c’est différent. C’est Philippe qui le lui demande et elle ne sait pas exactement pourquoi, elle veut lui plaire.
Elle retire sa culotte et commence à enfiler le string. Elle voit Sandra faire la grimace.
— Que se passe-t-il Sandra ?
— Ça ne va être possible ! dit la jeune femme. Tu as trop de poils! Attends.
Virginie voit la jeune femme aller dans la petite salle d’eau attenante et revenir avec une bassine, une serviette, un rasoir de la mousse.
— Que vas-tu faire ?
—Je vais te raser ! Quelle question ? Tes poils qui dépassent du string c’est hideux ! Si Philippe te découvre comme cela, il ne va pas être content et il risque de nous virer…
Sandra sait bien que ce n’est pas du tout vrai mais Philippe a insisté pour que Claire soit parfaite. Elle sait que les femmes comme Claire, qui ont toujours leur toison intime, n’acceptent pas facilement de s’épiler. Pour elles, c’est comme une forme de mutilation, elle est donc obligée de ruser à chaque fois pour leur faire accepter de ne plus avoir de poils pubiens.
— Retire le string et allonge-toi sur le lit en écartant les cuisses.
Claire est rouge pivoine, c’est la tempête dans sa tête. Elle pense à Tom, Philippe, Annick. Vis-à-vis de Tom, c’est impossible d’être rasée comme ça après une soirée entre filles. Comment lui expliquer ?!? Alors que, justement il lui a fait un délicieux et langoureux cunnilingus il y a peu. Il a bien vu qu’elle était toute poilue et naturelle, pubis, lèvres, et aussi autour de son anus, qu’il ose lécher quand il sent qu’elle est prête à jouir.
Le choc est rude pour la pudique Claire qui ne se met partiellement nue en pleine lumière que devant son gynécologue. Elle n’ose pas regarder la jeune femme qui d’une main experte s’active sur son mont de Vénus.
Après l’avoir enduite de mousse à raser, Sandra rase consciencieusement puis l’essuie avec la serviette. Elle se permet de lui poser délicatement un petit bisou sur son pubis glabre.
Claire ne sait que penser, elle est très tendue, allongée sur le lit de Philippe, elle sent son odeur sur les draps froissés, les cuisses largement ouvertes devant Sandra. Impudique et offerte comme elle ne l’a jamais été, elle ferme les yeux et essaye de penser à autre chose. Mais plein d’images se bousculent dans sa tête. Elle voit son gynécologue d’abord... !!! Puis Philippe et Tom, qui sont amis et discutent pendant qu’elle est examinée et rasée... puis, elle voit, ses enfants, qui arrivent un par un, examinent, étonnés, et donnent leurs avis sur sa chatte et ses poils et repartent jouer quand Tom leur dit de laisser maman tranquille. Elle croit devenir folle, exposée et incapable de bouger ou de se cacher...
Les gestes de Sandra sont experts, rapides, et doux à la fois. Elle fait exprès de rester silencieuse pour que Claire sente bien le moindre de ses gestes quand elle écarte ses lèvres, appuie, masse un peu, rase, remet de la crème, expose son clitoris et joue à le masser distraitement pendant qu’elle rase les lèvres qui se montrent toutes nues, lisses, et bien charnues. Claire est très “sage” et Sandra sourit en regardant cette Petite Chatte docile, et ne peut s’empêcher de se pencher pour un doux baiser sur le clitoris décapuchonné de Claire, ce qui la “réveille” et la fait rougir comme une ado découvrant les plaisirs défendus.
— Ce n’est pas parfait ! dit-elle en se relevant. Mais ça ira pour ce soir. Tu devras aller fignoler cela chez une esthéticienne.
— Oui ! bafouille Claire.
Fignoler, elle veut donc dire que je dois rester comme cela ? Que va penser Tom ? Comment lui dire ?
Ces pensées se succèdent à toute vitesse dans sa tête en même temps que Claire remonte rapidement le string pour cacher tant bien que mal sa nudité nouvelle.
— Allez ! Viens ! Allons retrouver les autres ! Cette robe te va à ravir !
En se voyant dans le miroir, Claire rougit, sa robe est encore plus courte que celle d’Annick. Elle ne pourra pas s’asseoir sans risquer de montrer son string et quand elle dansera, c’est son cul qui va être à la vue de tout le monde.
Philippe a un grand sourire en les voyant revenir. Au sourire de Sandra, il comprend que tout s'est bien passé.
— Tu es bien plus jolie comme cela ! dit-il à Claire qui rougit, surprise du compliment mais pas qu’il la tutoie.
Il l’entraîne vers le bar en la guidant d’une main en bas des reins. Claire sent cette main glisser sur ses fesses et passer sous la jupe. Philippe lui flatte les fesses tout en constatant qu’elle a bien mis le string. Sandra a su se montrer convaincante.
— Assieds-toi ! Tu veux un mojito, je suppose ?
— Oui avec plaisir !
Philippe fait signe au serveur qui prépare aussitôt le cocktail. Tandis que Claire essaie de trouver une position sur le tabouret qui lui permette de ne pas se découvrir, Philippe s’amuse de ses contorsions. Cela lui a permis de découvrir subrepticement la chatte nouvellement lisse. Sandra a vraiment été très convaincante, il sait bien que les deux ont mis beaucoup trop de temps pour juste changer de robe, mais il se demande jusqu’où elle a été. Il lui posera quelques questions plus tard.
Pour sa part, Claire cherche Annick du regard, Elle n’est pas étonnée de la voir danser et de faire monter la pression chez quelques danseurs.
— Tu devrais y aller ! lui dit Philippe. Profite de la soirée pour t’amuser.
Claire voudrait décliner la proposition mais Annick vient la tirer sur la piste.
— Tu devrais porter plus souvent des robes comme cela… Ça te va super bien.
Claire essaye de ne pas trop bouger, mais entre Annick et la musique, elle oublie sa retenue et rapidement se met à tourner, sauter et virevolter.
De sa place, Philippe regarde les deux femmes sur la piste. Il a eu raison de leur proposer un accès Vip. Il voit quelques hommes se rapprocher et danser autour d’elles. Rapidement, un jeune homme vient derrière Claire et se frotte contre ses fesses.
Claire sent ce contact et avance pour s’éloigner. Mais l’homme qui vient de la frôler la prend par les hanches. Il veut danser avec elle cette danse sensuelle. Elle se dérobe et retourne au bar près de Philippe où elle se sent plus en sécurité.
— Quelque chose ne va pas ? demande-t-il.
— Oui ! Cet homme qui m’a attrapé… J’aime bien danser, mais je choisis mes partenaires.
— Ah ! Ça ! Dans ce salon, il va falloir t’y habituer… ici les hommes se permettent plus de choses que dans la salle en bas. Mais fais-moi confiance, je les ai sélectionnés.
Ce que Claire ignore, c’est que Philippe appartient à une organisation millénaire. Il en est l’un des plus hauts responsables. Pendant des siècles, il y avait eu un temple ici, puis les chrétiens sont arrivés et le temple est devenu une chapelle. Dans la crypte de ce temple est conservée une relique sacrée qui donne la puissance de contrôler les gens à celui qui la possédera. Or, cette relique a disparu depuis quelques années. Il sait qu’elle est toujours dans la région et il est à sa recherche.
Et pour trouver quelque chose, rien de mieux qu’un endroit où les
gens viennent s’amuser. C’est pour cela qu’il a besoin de femmes : elles
savent faire parler les hommes qui viennent dans ce genre de club, en
particulier ceux qu’il a acceptés dans le salon VIP.
Il comprend qu’il va devoir trouver un moyen d ‘influencer Claire pour qu’elle finisse par faire ce qu’il désire.
— Mais ne t’inquiète pas je te comprends...
Il pose sa main sur son bras nu. Il la sent se détendre. Claire lui sourit. Elle est assise sur le tabouret, elle a les cuisses légèrement écartées et ne cherche plus à fermer ses genoux quand les hommes la regardent. Un homme vient vers elle.
— Voulez-vous danser, Mademoiselle ?
Claire le regarde, il n’est pas mal. Elle pourrait même dire qu’il est séduisant. Elle hésite un peu. Philippe presse doucement son bras avec ses doigts. Un frisson la traverse. Elle sourit, se lève et suit l’homme sur la piste.
Philippe a légèrement utilisé un de ses pouvoirs sur elle, celui d’influencer les pensées des autres.
Pendant la danse, les mains de l’homme glissent doucement des reins vers les fesses. Elle trouve cela un peu gênant, mais plutôt agréable. Elle essaye de faire confiance, et de se laisser faire, sous la surveillance discrète de Philippe, mais elle n’est pas encore prête à aller plus loin, aussi à la fin de la danse décline-t-elle l’invitation de son danseur à la suivre à sa table. Un peu plus loin, autour d’une table, elle voit Annick rire aux éclats avec deux hommes, il est donc hors de question de la rejoindre, et elle retourne sagement au bar.
En la voyant revenir, Philippe sait qu’il doit maintenant intervenir. Claire n’est pas prête. Il lui propose de venir discuter avec lui dans la garçonnière. Elle accepte car ses cuisses ne seront plus sous le regard de tous ces hommes
Il ferme la porte et la prend dans ses bras. Claire est très troublée. Depuis qu’elle est avec Tom, jamais elle n’a imaginé se laisser séduire par un autre homme. Mais il se dégage de Philippe un tel magnétisme, qu’elle ne recule pas ses lèvres quand il approche son visage pour l’embrasser. Elle ronronne même lorsqu’elle sent ses mains se poser sur ses fesses et remonter lentement sa robe. Elle se laisse mettre nue sans rechigner ni se poser de questions sur ce comportement si éloigné de ses habitudes. Elle flotte sur un petit nuage quand il commence à lui embrasser la poitrine.
Philippe aspire et mordille doucement les tétons dressés. Il ressent ses frémissements et il sait que Claire accepte ce qu’il est en train de lui faire. Il l’allonge sur le lit et lui retire doucement son string. Il sourit en admirant de près le travail de Sandra. Il aime que ses filles soient parfaitement rasées et épilées. Il souffle sur ce Mont de Vénus lisse, et Claire frissonne en laissant ses genoux s’ouvrir plus largement. Il plonge son visage entre les cuisses de sa proie. Rapidement, il entend ses gémissements de plaisir, et continue de fouiller de ses doigts et de sa langue son intimité toute chaude. Claire se dandine. Elle ferme les yeux pour apprécier cette langue qui l’explore. Elle a toujours aimé cette caresse et Tom la lui fait particulièrement bien mais avec Philippe, c’est hors catégorie. Elle se cambre et jouit en s’agrippant aux cheveux de son nouvel amant.
Philippe se recule un peu, il ne lui laisse pas le temps de récupérer. Il se déshabille rapidement et il s’allonge au-dessus de la femme. Il la pénètre doucement. Claire feule. Il est en elle. Il va et vient lentement, profondément. Il sait doser ses mouvements et ses caresses. Il sait quand le plaisir s’empare de nouveau d’elle. Il accélère ses mouvements et veut la faire jouir une nouvelle fois, il veut la faire jouir jusqu’à elle n’en puisse plus. Les gémissements de Claire se transforment en cris de plaisir. Elle ne contrôle plus du tout son corps dans un vrai moment intense de lâcher prise.
Elle part une nouvelle fois vers les sommets du plaisir, mais Philippe n’en a pas fini avec elle. Il la retourne doucement, elle est comme une poupée de chiffon. Il lui place un coussin sous le ventre et après lui avoir écarté les cuisses il présente son gland, devant le petit trou.
Claire a alors un éclair de lucidité.
— Noooon pas par-là s’il te plaît !
— Chhhuuuuttt
Il s’allonge sur son dos. Il la caresse, il glisse une de ses
mains sous son ventre et il joue avec son clitoris. Aussitôt le bassin
de Claire ondule. Il sait ce qu’il va se passer. Philippe adapte la taille de
son sexe pour pouvoir déflorer son anus sans lui faire mal.
A force de remuer sous les doigts de Philippe, la rosette de Claire se trouve dans l’axe de son sexe. Au mouvement de recul suivant, c’est elle qui vient s’empaler sur le petit sexe. Elle pousse un cri de surprise. Elle s’attendait à avoir mal, mais la pénétration mêlée à la caresse digitale la fait jouir une nouvelle fois. Philippe jouit alors dans ce cul qui vient de s’offrir à lui.
Il reste allongé sur elle, la câline. Elle se sent bien.
Après de longues minutes, il se retire pour la laisser récupérer. Puis il lui prépare un petit cadeau.
Quand elle émerge de sa transe, Claire fixe durement Philippe et s’écrie, indignée.
— Tu m’as enculée !
Elle veut le gifler mais son calme la désarme.
— Oui et ne me dis pas que tu n’as pas aimé... Je suis sûr que tu ne serais pas contre de recommencer.
Claire baisse la tête et rougit. Il a raison. Elle a toujours refusé cela de la part de ses amants et maris. Mais, ce soir, elle n’a jamais autant joui.
Philippe lui présente un petit coffret.
— Un cadeau pour toi, tu l’ouvriras chez toi mais seule...
Claire se demande pourquoi mais elle accepte.
— Viens ! dit Philippe. Il va être temps de récupérer ta copine pour que vous rentriez chez vous, vos maris vont vous attendre...
Claire se souvient alors d’Annick et des deux hommes avec qui elle était. Ils la découvrent la poitrine à l’air, en train de caresser un des hommes tandis que l’autre joue avec ses seins. Elle la regarde horrifiée. Mais après ce qu’elle vient de faire, comment pourrait-elle se permettre de la juger ?
Philippe s’approche de la table. Il n’a pas besoin de dire quoi que ce soit pour que les hommes se reculent. Il prend la main d’Annick. Celle-ci le suit chancelante sous l’effet de l’alcool. Il l’aide à rejoindre la voiture puis souhaite une bonne nuit aux deux femmes.
Claire regarde Annick zigzaguer en regagnant sa maison. Elle s’assure qu’elle est bien entrée avant de repartir. Elle sourit en se disant que ce soir, Hervé risque de ne pas avoir droit à son show habituel.
Chez elle, elle entre sans un bruit dans la maison endormie. Dans la salle de bain, elle se lave rapidement la chatte et le cul puis elle ouvre la petite boite et découvre un objet qu’elle reconnaît pour en avoir déjà parlé avec ses copines. Elle rougit et s’apprête à le jeter quand elle découvre une petite carte. Philippe a mis un petit mot. “Je veux que tu portes ce plug en toi en permanence. Comme cela, tu penseras à moi et au plaisir que je peux te donner. Lors de notre prochaine rencontre, je te montrerai autre chose, si tu as respecté ma consigne”.
Elle est confuse, elle ne sait que faire. Si elle porte ce plug, elle devra le cacher à Tom. Et pour le cacher à Tom, elle devra se refuser à lui. Mais, le souvenir du plaisir que vient de lui procurer Philippe est si fort qu’elle se décide à introduire l’objet entre ses fesses. Elle grimace un peu mais une fois qu’il est en place, elle le sent à peine. Elle enfile une de ses culottes très sages en coton et va se coucher à coté de Tom, bien couverte de sa longue chemise de nuit.
Elle se sent fautive mais heureuse, honteuse mais excitée, sagement allongée à côté de son mari à qui elle se refusera désormais. Tom ne sait pas, et ne devra pas savoir, qu’elle a un plug entre les fesses et que sa chatte est maintenant rasée. Elle a envie de se caresser, mais n’ose pas, et elle s’endort en rêvant à son amant secret.
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