C’était le premier grand jour, en dépit du fait que
nous étions samedi matin, je me réveillais tôt. J’avais demandé à Sandrine et
Anaïs d’être totalement disponibles ce week-end en dépit de leur vie annexe.
Elles étaient donc arrivées la veille et je les avais autorisées à dormir avec
moi dans le lit.
Elles étaient encore profondément endormies quand je
me suis levé pour préparer le café. Elles savaient aussi que cette soirée
allait apporter un grand changement dans leur vie de tous les jours, en
acceptant la pose de la puce elles deviendraient des soumises de la Confrérie
et plus uniquement mes soumises.
Je me suis installé à table avec mon café et je vis
Sandrine sortir nue de la chambre. Ses grosses mamelles ballottaient au rythme
de ses pas, peut-être qu’un jour je lui proposerai de mettre des anneaux.
Camille que j’avais rencontrée chez Aymeric savait le faire. Il faudra que j’y
réfléchisse, mais pour le moment, j’avais une envie pressante et Sandrine
tardait à venir s’installer. Elle se glissa enfin sous la table et je pus me
soulager. Du fait, de son retard, je n’avais pas envie d’être prévenant et je
ne retins pas mon jet, cela allait déborder de sa bouche et elles seraient
obligées de nettoyer le sol. Je jetai un coup d’œil et je vis ma pisse couler
sur le menton, entre les seins et sur le ventre de Sandrine. Anaïs sortit enfin
de la chambre.
— Viens ici ! lui dis-je.
Elle s’approcha nue. Elle avait encore sa fine toison
qui recouvrait son pubis de jeune mère de famille. Quand elle fut debout à côté
de moi, je lui glissai un doigt dans la chatte, elle me sourit et frissonna, je
le fis aller et venir plusieurs fois puis je le présentai à Sandrine pour
qu’elle le léchât.
— Appuie-toi sur la table ! Anaïs et écarte les pieds.
— Oui Maître, comme il vous plaira.
La bouche de Sandrine m’avait fait redurcir, je me
présentais devant le cul d'Anaïs et je l’enculais d’un coup. Je savais qu’elle
n’aimait pas trop cela, mais elle devrait s’y faire.
— Sandrine ! Viens lécher mon cul pendant que je
m’occupe d’Anaïs.
— Oui maître pour votre plaisir, dit Sandrine qui
essuyait avec ses mains la pisse qui avait coulé sur elle.
Je savais que Sandrine ne pourrait pas refuser cet
ordre, elle aimait tellement me faire cette caresse même si je sortais des
toilettes.
Elle se releva et elle me contourna pour se placer
dans mon dos. Je la sentis caresser puis écarter mes fesses avec ses mains et
sa langue vint jouer avec mon petit trou. Si elle continuait, je n’allais pas
tarder à jouir, mais je ne voulais pas prendre mon plaisir, maintenant, dans le
cul d’Anaïs.
Je me retins un peu et je sortis de ce cul accueillant.
Je mis Anaïs à genou et je lui demandai de me sucer. Elle grimaça un peu, car elle
savait d’où je sortais.
— Hummm ! Tu es une bonne suceuse toi !
Anaïs appréciait les compliments et elle augmentait
son ardeur à me sucer.
— Pour te récompenser, je vais te baiser.
Je vis apparaître un sourire sur son visage. Je
l’allongeai sur le dos sur la table du salon et aussitôt je lui pénétrais la
chatte. Ce soir, les Maîtres devraient apprécier la souplesse de cette chatte
dans laquelle je faisais de lents va-et-vient. Je demandai à Sandrine de venir
jouer avec sa poitrine, elle ne se fit pas prier et elle lui goba les seins à
pleine bouche. Anaïs gémit et se trémoussa de plaisir. Je la fis jouir, mais je
me retins. J’attendis qu’elle se ressaisisse et la prenant par la main, je
l’emmenai dans la salle de bain.
— Suis-nous, dis-je à Sandrine, tu vas rester debout
bras tendus pour servir de porte-serviettes.
J’étais satisfait de mon effet. Sandrine semblait
vraiment désappointée et malheureuse que je la traitasse comme un vulgaire
objet utilitaire pendant que je prenais soin de son amie. Elle avait un visage
fermé et elle retint ses larmes.
Je me glissais dans le bain chaud et j’invitais Anaïs
à me rejoindre, je la fis s'asseoir à califourchon sur mes cuisses en me tournant
le dos et je sentis mon sexe la pénétrer de nouveau. Je vis le regard dépité de
Sandrine. Elle méritait sa punition et elle le savait.
— Anaïs ! Dis à Sandrine ce que je te fais… Dis-lui
par où je te prends
— Maître me prend par le cul et j’aime ça…
Cette remarque était nouvelle, car je savais que ce
n’est pas sa position favorite, mais je pensais qu’elle cherchait à provoquer
la jalousie de sa compagne.
Cela fonctionnait très bien. Je voyais dans le regard
de Sandrine un mélange de colère et de dépit. Malgré tous ses efforts, elle ne
pouvait pas retenir ses larmes.
Je savonnais Anaïs avec douceur et je la complimentai
sur la fermeté de son corps en regardant Sandrine droit dans les yeux pour
insister sur ma volonté de l'humilier et de la reléguer au second plan de mes
préférences. J’ai alors demandé à ma jeune soumise de se mettre à genou face à
moi pour que je pusse la lécher. Mes mains sur ses fesses, je jouais avec mes
doigts sur son anus. Je l’entendais gémir et jouir sous ma langue.
Nous sommes sortis de la baignoire et avant qu’elle
m'essuyât, je lui demandai de me faire jouir avec ses mains et je giclai dans
l’eau.
— Tu peux prendre ton bain sans changer l'eau… et tu
rangeras la salle de bain, dis-je à Sandrine.
Je voyais bien qu’elle n’en pouvait plus du dédain que
je feignais d’avoir pour elle.
— Bien maître, dit-elle en
baissant les yeux.
Nous la laissâmes seule pour aller finir notre café
sur la terrasse. Anaïs était sur mes genoux et je lui caressais le dos, les
fesses. Je m’amusais avec sa poitrine, nous nous embrassions. Sandrine devait
nous entendre rire.
— Je l’entendis alors chantonner.
— Grosse vache que fais-tu ? Anaïs voudrait ta langue
sur sa chatte…
J’avais décidé de ne lui épargner aucune humiliation.
Même si cette nuit, j’avais dormi contre elle comme je savais qu’elle aime, mon
ventre contre son dos et mon sexe entre ses fesses tandis que je
demandais à Anaïs de me branler pour que je pusse pénétrer Sandrine quand j’en
avais envie. Je devais la punir de son retard à venir me soulager ce matin,
comme elle en avait désormais le devoir.
— Je me servais d'Anaïs pour l’humilier.
Anaïs retourna s’asseoir en face de moi et Sandrine
prit place sous la table la tête entre ses cuisses et ses grosses fesses
tournées vers moi. J’y glissais alors mon pied et comme par instinct, Sandrine
commença à se frotter dessus.
— Qui t'a autorisé à bouger... Tu as juste le droit de
lécher la chatte d'Anaïs
— Si tu veux pisser, tu peux… suggérai-je à Anaïs,
mais le fera-t-elle ?
Je la vis hésiter et finir par se lever pour uriner
sur le visage de sa pauvre compagne. Je ne disais rien, finissant de boire mon
café. Puis je leur demandais de me suivre dans le salon.
Elles me suivirent sans broncher. Je voyais le visage
d’Anaïs changer d’expression tandis que Sandrine avec les cheveux mouillés de
pisse avait vraiment l’air marquée par la punition qu’elle venait de
subir.
À quatre pattes sur la table du salon face à face.
Je leur attachai les chevilles aux pieds de la table,
puis je tournais autour de mes amantes soumises et leur prenant les poignets,
je les passais dans le nœud de corde que je passais sous le plateau de la table
pour relier leurs poignets gauches ensembles et agit de la même manière pour
les poignets droits.
Je leur demandai ensuite de tirer la langue pour les
relier par deux petites pinces métalliques unies par un élastique très court.
Elles étaient quasiment obligées de s’embrasser. Pour compléter ce tableau,
j’allais dans la cuisine pour prendre un pot de miel liquide et un pinceau de
cuisine. J’enduisis généreusement leurs lèvres intimes et leurs tétons de ce
nectar sucré. Avec le temps qu’il faisait, les insectes ne tarderaient pas à
arriver.
Les laissant ainsi, je me rendis dans la chambre pour
m’habiller, je devais aller acheter de quoi manger pour le barbecue prévu pour
la soirée et le brunch de demain. Nous allions être une petite quinzaine, il me
fallait prévoir.
Quand je sortis de la chambre, je constatais que les
filles tremblaient et échangeaient des regards apeurés. Des mouches commençaient
à se poser sur les zones couvertes de miel. Les larmes qui coulaient de leurs
yeux attiraient aussi quelques insectes. Je les regardais en silence.
Ces femmes étaient remarquables de docilité,
pensais-je. J’étais convaincu qu’elles allaient faire le meilleur effet ce
soir. J’avais vraiment confiance en elles quand je les voyais comme cela, si
scrupuleuses à ne pas me décevoir.
- Je pars faire quelques courses, soyez sages…
Elles durent entendre la voiture démarrer et
s'éloigner, j’imaginais leur angoisse et leur interrogation, mais elles
devaient savoir qui était le maître et que le maître pouvait décider de les
punir quand bon lui semblait.
Juste avant de reprendre la voiture pour rentrer, je
les appelais sur le téléphone de la maison et je leur laissais un message sur
le répondeur qu’elles pouvaient entendre.
"Alors les salopes vous aimez toujours le miel… Tenez
bon, je pense à vous !"
Quelques minutes plus tard, j’étais de retour et je
les découvrais bouche contre bouche. Je tournais autour d’elles, une cravache à
la main pour chasser les insectes puis je retirais mon pantalon et mon boxer.
Je leur caressais la peau avec mon sexe dont le gland suintait un peu.
Je leur retirais les pinces de la langue et continuais
mes caresses.
Je sortis des pinces avec des poids d’un coffret et je
les positionnais doucement sur chacun des tétons. Je les entendais gémir. Je
pris le visage de Sandrine entre mes mains et je lui léchai ses larmes, puis je
fis de même avec celui d’Anaïs. Elle semblait bien plus choquée que Sandrine,
je devrais la rassurer. Je la libérai et je la fis se tourner. Sandrine avait
maintenant son visage devant les fesses d’Anaïs.
— Si tu veux boire, lèche sa fente, dis-je à Sandrine.
Aussitôt je vis sa langue sortir et la passer entre les
cuisses de son amie. Elle avait son nez entre ses fesses.
Je suis alors passé derrière Sandrine et en douceur je
lui pénétrai la chatte. Je glissai au fond de son ventre et commençai à la
ramoner. Je l’entendais gémir de plaisir. Je lui donnais quelques coups de
cravache sur la croupe et je changeai de trou. Elle poussa alors un feulement
de bien-être et je ne me retins plus. Je jouis dans son cul.
Je vins alors devant le visage d’Anaïs et je lui
présentai mon sexe à lécher.
— As-tu soif ma chérie ?
— Oui Maître.
— Alors, bois !
Je lui tins la tête et commençai à lui pisser dans la
bouche pendant que Sandrine lui léchait la chatte. Anaïs jouit.
Satisfait de leur prestation et de leur endurance, je
les libérai et je leur ordonnai d’aller se doucher et de se préparer pour la
soirée.
— Sandrine, tu vas aussi raser la chatte d’Anaïs ces
poils font négligés…
— Oui Maître, me répondit-elle.
Je permettais ainsi à Sandrine de retrouver une place
honorable. Ce fut elle qui déposséda de sa toison, celle qui ce matin s’amusait
à la rendre jalouse.
Je les laissais en m’amusant à imaginer la scène
durant laquelle Sandrine, certainement, ne ménagerait pas son amie et je
commençais à installer la terrasse. Il me restait quelques heures avant
l’arrivée des Maîtres de la confrérie. Je voulais que tout soit parfait.
Avec l’aide de Sandrine et Anaïs, nous nous sommes
activés toute l’après-midi. Mes deux soumises étaient magnifiques quand elles
se déplaçaient toutes nues.
Quand tout fut prêt, nous nous rendîmes dans la salle
de bain pour une ultime douche. Je les autorisais à me savonner et à m’essuyer.
Je me suis habillé d’un pantalon et d’une chemise de lin blanc.
Dans le salon, elles m’attendaient silencieusement en
position de soumise. Elles connaissaient bien les codes maintenant et il était
agréable d'être ainsi assuré de leur obéissance. J’étais vraiment fier d’elles.
Je leur souris et je les invitais à venir sur la terrasse. Nous avons sorti la
grande table du salon. Je leur avais expliqué comment elles devraient être et
avec le sourire malgré les épreuves de la journée, elles montaient à quatre
pattes sur la table, fesses contre fesses. Elles connaissaient l’enjeu de la
soirée et elles étaient mes complices en quelque sorte pour que me fût délivré
mon sésame pour entrer dans la confrérie. Elles savaient que je saurais les
récompenser de leur affection et de leur dévouement.
Avant de leur attacher les cuisses ensemble, je leur
enfilais deux doubles godes, un dans le cul et un dans la chatte. Si l’une
bougeait, elle ferait remuer le jouet dont l’autre extrémité pénétrait l’autre.
J’hésitais à leur mettre des écarteurs de bouches,
mais à ce moment, la sonnette retentit. Mes invités arrivaient.
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