Mes soumises
bien installées, j’allais accueillir mes hôtes. Ils m’avaient prévenu qu’ils ne
viendraient qu’avec trois voitures ce qui me rassurait, car toutes pourraient
être dans le jardin.
Le baron de
Montparcy fut le premier à arriver. Il était accompagné par un géant noir,
certainement Maître Diokel. Et comme me l'avait dit Anne-Françoise, les deux
femmes qui les accompagnaient sont ravissantes, perchées sur des talons
vertigineux.
Le baron me
présenta Florence, qui devait avoir une quarantaine d’années, petite brune
gironde et Nadia beaucoup plus jeune et mince.
— Je suis ravi
de vous accueillir chez moi, venez-vous rafraîchir…
Je les
conduisis sur la terrasse à l’arrière de la maison et je vis que la
présentation de mes soumises faisait son effet.
— Vous avez
effectivement deux belles femelles, me dit le baron. Pouvons aller les voir de
plus près ?
— Bien sûr,
dis-je. Voici Anaïs et Sandrine. Elles seront ravies de vous servir.
— Je n’en doute pas cher
ami. Florence approche.
Je vis la
femme venir à côté de son maître.
— Que
désirez-vous maître ?
— Dis-moi
celle qui a la langue la plus agile…
— Oui Maître !
Je la vis
retirer sa jupe, elle ne portait plus que des bas auto-fixant et elle
s’approcha du visage de Sandrine.
— Sandrine. Tu
as entendu, monsieur le Baron souhaite savoir si ta langue est agile… montre ce
que tu sais faire avec…
Maître Diokel
demanda la même chose à sa soumise qui se présenta devant Anaïs.
— Mon ami, je
vous propose de pimenter ce jeu, nous punirons la première qui jouira et celle
qui n’aura pas réussi à faire jouir sa partenaire de jeux…
Je souris. Je
comprenais le principe de dissocier les punitions. Les filles ne pouvaient pas
se mettre d’accord entre elles, car celles qui lèchent doivent faire jouir pour
ne pas être punies et les autres ne le doivent pas.
— D’accord, mais
qu'elle sera la punition ?
— Diokel prit
alors la parole pour la proposer.
— Les
perdantes tourneraient en longe autour d’Anne-Françoise lorsqu’elle serait là,
et elles seraient fouettées si elles ne faisaient pas les figures qu’elle leur
imposerait, comme des juments au dressage.
Avec le baron,
nous avons confirmé la punition et il donna le top départ. Aussitôt, je vis mes
soumises activer leur langue, Florence et Nadia restaient immobiles, mais nous
commencions à entendre des gémissements monter du couple formé par Nadia et
Anaïs.
En quelques
minutes. Anaïs fit jouir Nadia.
— Bien je
crois que nous avons nos premières punitions de la soirée. Nadia, Florence, pas
la peine de vous rhabiller.
Au même
instant, nous entendîmes une autre voiture arriver. Maître de Montparcy envoya
Florence accueillir les nouveaux arrivants.
— Excusez-moi
pour le retard, mais un incident technique nous a fait perdre du temps, nous
dit Aymeric.
Il était
accompagné de Bérénice, son épouse soumise et je reconnus Camille avec un
homme.
—Olivier, je
ne présente pas Camille que vous connaissez déjà et son mari, Marc qui assurera
notre service ce week-end.
— Ne soyez pas surpris,
Marc compte au nombre des quelques trop rares soumis de la Confrérie.
Aymeric ne
m’avait pas dit que Camille était mariée sinon je ne l’aurais pas baisée comme
je l’avais fait ce week-end-là. Elle en demandait encore plus. J’ai pensé
qu’elle s'entendrait bien avec Sandrine, car elles semblaient avoir le même
appétit sexuel et le même goût pour les punitions.
— Ravi de vous
revoir Aymeric, lui dis-je. Votre épouse est toujours aussi radieuse.
Elle baissa la
tête en me regardant et sans un mot alla prendre sa place au côté des autres
soumises. Elle lança un sourire en direction de mes deux soumises que je
présentais à Aymeric.
— Les
festivités ont commencé je vois.
En effet, le
visage d'Anaïs était couvert de la mouille de Nadia.
Bérénice vient
voir…
— Oui Maître !
— Goûte cette
mouille et dit moi à qui elle appartient et si tu te trompes tu seras
punie…
Je la vis
lécher le visage d'Anaïs qui ne semblait plus rien comprendre puis elle se
releva.
— Puis je
demander une faveur ?
— Laquelle ?
— Ai-je droit
de goûter les chattes des soumises Florence et Nadia ?
— Bien sûr.
Elle alla
alors s'agenouiller devant chacune des deux soumises et après les avoir doigtées
pour les faire couler. Elle les lécha avec application.
— Maître ! Je
pense que c’est Nadia qui a joui sur le visage d'Anaïs.
— Bravo,
Bérénice, tu ne seras pas punie pour le moment, dit le Baron. Comme récompense,
je te propose de donner du plaisir à notre hôte.
Je regardais
Aymeric un peu surpris, car j’avais oublié que le Grand Maître de la confrérie
avait tout pouvoir sur les soumis même en présence de leur maître respectif.
— Marc, sers-nous
de quoi nous rafraîchir…
Nous nous
sommes installés dans les fauteuils que j’avais disposés sur la terrasse, un
pour chaque Maître tandis que les soumises se mettent à côté de leur
maître.
— Puisque vos soumises
sont immobilisées, Olivier, je pense que vous serez ravie d’avoir soumis
Camille pour vous servir au cours de la soirée.
Camille vient
alors se placer près de moi, à mes pieds, en position d’attente.
— Merci,
Monsieur le Baron ! Et merci, Aymeric pour cette attention, dit Bérénice en
saluant les deux maîtres du regard avant de venir vers moi.
Elle vint
s'agenouiller à mes côtés et je lui caressais les cheveux et ma main lui flatta
un de ses seins dont les tétons annelés pointaient sous mes yeux.
— Monsieur,
permettez-moi de vous remercier pour cette soirée, me demanda Bérénice.
— Bien sûr !
Agis comme il se doit !
Elle vint se
mettre à genoux entre mes cuisses et elle libéra mon sexe de mon pantalon et de
mon boxer. Je vis le regard de Sandrine vers nous, à quoi pouvait-elle penser ?
Tel que je connaissais ses sentiments pour moi, j’étais sûr qu’elle souffrait
de voir une autre femme me donner du plaisir et avoir droit à mon jus. Jusqu’à
aujourd'hui, il lui était encore réservé. Je connaissais sa fragilité
émotionnelle en raison de son amour pour moi. Elle était jalouse, car elle
aurait voulu garder une relation fusionnelle et exclusive avec moi. J’espérais
qu’elle s’habituerait à me voir aimer d’autres femmes qu'elle. Elle n’aurait
pas le choix de toute façon. Je ne lui appartenais pas, au contraire c’est elle
qui m’appartenait. Elle devait l’apprendre et s’en convaincre.
Bérénice avala
mon membre dans sa bouche et je retrouvai encore une fois le savoir-faire
d’Ariel. Il faudrait que je me renseignasse pour savoir où elles avaient appris
à sucer de cette manière.
Au moment où j'allais
jouir dans sa bouche, j’entendis Aymeric lui dire de ne pas avaler, mais
d’aller offrir mon nectar à mes soumises.
— Sans elles
nous ne serions pas là ! ajouta-t-il.
Elle obéit et
elle alla embrasser mes deux soumises pour partager mon jus avec elles.
Ce fut à ce
moment qu’Anne-Françoise arriva. Marc alla les accueillir et avec surprise nous
découvrîmes derrière la duchesse de Berlemont et Ariel, deux femmes au visage
cagoulé ne laissant deviner que leurs yeux et leur bouche.
Anne-Françoise
remarqua notre étonnement.
— Mes amis,
puisque ce soir nous allons accepter Olivier et ses soumises, je pense que nous
devrions accepter Mademoiselle E et sa soumise. Je les ai personnellement
supervisées depuis deux ans et je peux vous garantir que Mademoiselle E malgré
son jeune âge est une Maîtresse digne d’entrer dans notre Confrérie.
— Si tu le
dis, je te fais entièrement confiance, dit le baron de Montparcy. Mais pourquoi
ces masques.
— Parce que
tant que nous n’aurons pas donné notre assentiment ces demoiselles désirent ne
pas montrer leur visage.
— Nous
respectons leur choix…
Je vis la
jeune maîtresse sourire. Elle fixait Aymeric comme si elle cherchait son
approbation tandis que la soumise semblait éviter le regard de Bérénice et
d’Aymeric. Mais ses yeux pétillaient.
Elles
resteront silencieuses jusqu'à la cérémonie de l’acceptation.
Puis regardant
enfin mes soumises elle s’approcha d’elles. Je la vis flatter les flancs de
chacune d’elle, prendre leurs seins en main pour jouer avec et enfin caresser leurs
lèvres de ses doigts gantés et leur demander de les lui sucer.
— Vos soumises
sont bien plus belles que les images que j’ai pu voir quand nous avons fait
leur fiche. Ce sont de belles juments qui ne dépareraient pas dans mon haras.
Je la
remerciai pour son compliment et je lui dis qu’il se pourrait que je fasse
appel à ses services pour améliorer l’éducation et le savoir-faire de mes
soumises.
— Maintenant
que nous sommes tous réunis, je vous propose de commencer.
Le baron de
Montparcy lève son verre et nous avons trinqué.
— À nos deux
nouveaux membres.
Il se tourna
ensuite vers Mademoiselle E pour lui demander si elle acceptait de dévoiler le
corps de sa soumise. Sans un mot, elle se leva et dégrafe la cape de soumise C.
Sous son
masque, elle apparut presque nue, perchée sur des bottines noires à très hauts
talons. C’était une jeune femme avec une belle poitrine bien ferme, un ventre
plat et des hanches larges, sa silhouette ressemblait un peu à celle de
Bérénice.
De dos, elle
avait une jolie paire de fesses bien fermes qui étaient très tentantes. Sur un
geste de Mademoiselle E, la soumise se mit en position d’attente.
— Très jolie,
nous nous occuperons de cette jeune femme plus tard, pour le moment, nous avons
deux soumises qui doivent avoir envie d’un apéritif.
Je propose que
Mademoiselle E et Anne-Françoise commencent si elles le souhaitent, à découvrir
les qualités orales de Sandrine et Anaïs.
— Avec plaisir
! dit Anne-Françoise qui se présenta devant le visage d'Anaïs.
Je souris et
je fis un petit signe d'encouragement à Sandrine quand la jeune maîtresse vint
ouvrir les pans de sa robe devant elle. Mes soumises savaient ce qu’elles
devaient faire.
Assis dans mon
fauteuil avec Camille à mes pieds, je les regardais faire. Je discutais avec Diokel,
il m’apprit qu’il était le majordome et l’intendant du manoir du baron et qu’il
était membre de la confrérie depuis plus dix ans. Il m’expliqua plus en détail
son fonctionnement, si le baron de Montparcy en était le Grand Maître, il en
était le secrétaire et Anne-Françoise sa trésorière. J’appris aussi qu’ils
avaient un avocat qui gérait les éventuels problèmes et surtout veillait à sa
furtivité même si elle existait en tant que fondation dont le but était
d’améliorer le bien-être des personnes. La fondation finançait en particulier
des programmes de scolarisations des jeunes filles dans certains pays. C'était
une Maîtresse qui en était la présidente.
J’appris aussi
qu’Aymeric était en charge des relations avec les autres confréries similaires
qui existaient de par le monde. Pendant qu’il me parlait, je vis revenir
Mademoiselle E. souriante.
— Je crois que
Sandrine est disponible, dis-je.
— Oui, nous
reprendrons cette discussion plus tard.
Il se leva et
se dirigea vers Sandrine dont la bouche était offerte. J'aperçus le regard
surpris de ma soumise quand il dévoila son membre sous ses yeux, apparemment
les idées reçues sur les Africains n’étaient pas des légendes.
Anne-Françoise
discutait avec Aymeric pendant que le baron alla goûter aux plaisirs de la
bouche d’Anaïs. Mademoiselle E avait les cuisses écartées et sa mystérieuse
soumise était à genoux devant elle. Elle lui donnait à grignoter quelques
gâteaux apéritifs qu'elle glissait dans sa fente avant de les lui poser sur la
langue.
Quand Diokel
revint, je voyais le visage rouge et en larmes de Sandrine.
— Félicitations,
Olivier, votre soumise est parfaite pour les gorges profondes, elle a su
m’avaler entièrement. Vous devrez essayer Aymeric...
Je compris
pourquoi elle faisait cette tête-là, ce n’était pas quelque chose que je lui
imposais. Je ne l’avais tenté qu’une fois, mais comme elle n’avait pas
apprécié, je n'avais pas insisté.
Aymeric alla à
son tour près des soumises. Je connaissais ses goûts et ce fut sans surprise
que je le vis devant Sandrine.
Vous avez
parfaitement raison, elle est excellente, dit-il à son retour. Je connais un
maître qui éduque les soumises à satisfaire les hommes avec leur bouche, j'y ai
envoyé Bérénice y passer quinze jours et vous avez goûté à ses talents… Le seul
inconvénient avec lui c’est qu’il leur apprend aussi à faire le trottoir… Mais
avec Sandrine, elles pourraient faire un beau couple de putes…
Je le
regardais surpris, je ne m’attendais pas à cela de la part d’Aymeric. Il me
regardait en riant.
— Ne
t’inquiète pas Olivier, je ne te dis pas de le faire pour elle, mais Bérénice
pourrait lui apprendre pas mal de choses. De plus de ce que j’ai vu lors de
votre week-end chez moi, elles s’entendent bien, il pourrait être intéressant
qu’elles se connaissent mieux.
— Je vais y réfléchir,
dis-je.
À ce moment,
Marc nous informa que nous pouvions passer à table pour le repas. J’étais assis
entre le baron de Montparcy et Anne-Françoise. Le baron me félicita une
nouvelle fois pour mon accueil et la qualité de mes soumises. Je lui dis espérer
qu’il trouverait la suite aussi agréable.
Au vu de ce
que j’ai vu pu constater et de ce qu’Aymeric et Anne-Françoise mont dit, je ne
doute pas que la suite sera du même niveau…
— Merci
monsieur le baron…
— Vous pouvez
m’appeler Robert, me dit-il.
Je lui souris
alors que Marc nous assura un service impeccable. J’avais un peu de compassion
pour cet homme dont j’avais usé et abusé de sa femme lors mon week-end chez
Aymeric et que j’utilisais de nouveau sous ses yeux ce soir. Je me demandais
comment un homme peut vivre cela, sûrement comme une femme qui acceptait de se
soumettre, après tout. J’avais d’ailleurs déjà remarqué que certains hommes
comme certaines femmes avaient besoin d’être dirigés sinon ils étaient perdus,
ne savaient pas quelle direction prendre dans la vie. Ces hommes-là avaient
sans doute des bénéfices à trouver un maître ou une maîtresse qui avait plus de
personnalité qu’eux et qui les dispensaient de faire des choix. Marc devait
faire partie de ces hommes-là, je supposais.
Voir la condition
de Marc œuvrant autour de nous, me renforçait dans ma virilité et dans mon
assurance.
Je me levai
alors pour prendre la parole.
— Avant de
passer au dessert et pour nous permettre de digérer ce repas, Je vous propose
de tester les autres orifices de mes soumises.
Anne-Françoise
m’a suggéré un tirage au sort pour savoir qui aura la chance de rentrer le
premier dans leur chatte et leur cul. Voici donc quatre boîtes avec des boules
à vos noms pour chacun des orifices à votre disposition ce soir.
Je fis signe à
Camille d’aller chercher ces boîtes et de les poser sur la table.
— Mademoiselle
E, pensez-vous que votre soumise puisse procéder au tirage au sort ?
Elle hocha la
tête et sa soumise sans nom comprenant le message, s’approcha de la table.
— Commençons
le tirage au sort pour la chatte de Sandrine…
La mystérieuse
soumise plongea sa main dans la boîte et tira une boule que j’ouvris.
J’annonçai qu'Aymeric aurait la chance d’y être le premier. Nous avons continué
et le hasard décida que si le baron serait le premier dans chatte d'Anaïs, ce
serait Diokel qui honorerait son cul le premier et Anne-Françoise avec un gode
prendrait celui de Sandrine.
— À charge à
nos soumises respectives de nous remettre en condition entre chaque
pénétration, dit le baron de Montparcy
Avec l’aide de
Camille et Bérénice, je détachai Sandrine et Anaïs pour qu’elles se remissent
face à face. Les deux soumises les rattachaient et je remis en place les pinces
à élastiques sur leur langue. Je les entendis gémir. Mais, j’appliquai une
caresse sur la croupe de Sandrine, ce qui sembla la détendre.
Aymeric et le
baron prirent place devant leur trou respectif et les gémissements de nos
soumises s'élevèrent sur la terrasse.
Une fois que
tous les deux eurent joui dans leurs chattes, nous fîmes une pause pour récupérer
avant de nous délecter du passage dans ces culs. Je sais que pour Anaïs cela
allait être terrible, car j’étais le seul a en avoir profité pour le moment et
la malheureuse commençait par recevoir le sexe de Diokel.
Sachant cela, Anne-Françoise
proposa que Marc allât le lui assouplir avec sa langue.
Je libérai la
langue de mes soumises pour que nous puissions aussi profiter de leurs
gémissements.
Marc se mit en
place derrière Anaïs et Ariel derrière le cul de Sandrine. Vu le gode prévu par
Anne-Françoise, cela me semblait préférable. En voyant la taille des engins,
Aymeric lança pour rigoler qu’elles ne sentiraient plus ce qui passerait
derrière eux.
Aussitôt ce
furent des gémissements de bien-être qui remplirent l’air, Diokel était de
nouveau doté d’une taille respectable et se présenta devant la chatte d'Anaïs
où il trempa son sexe avant de le présenter à son petit trou. Tandis
qu’Anne-Françoise faisait de même, je vis l’air d’extase du visage de mes
soumises virer au cauchemar quand elles sentirent l’extrémité des pieux qui
allaient les empaler.
Diokel fut le
premier à forcer l’orifice étroit d'Anaïs dont les sanglots déchirèrent l’air
puis ce fut au tour d’Anne-Françoise.
Ils agirent de
concert et rapidement les cris de douleurs furent remplacés par des soupirs
autres. Diokel se vida dans le cul d'Anaïs et après un nettoyage en bonne et
due forme par Laurence, ce fut au tour du baron de s’y glisser tandis que
mademoiselle E remplaça Anne-Françoise dans celui de Sandrine.
Nous avons ensuite fini notre dessert et monsieur le baron me demanda de libérer Anaïs et Sandrine pour qu’elles fussent à mes pieds au moment de mon acceptation.
Nous avons ensuite fini notre dessert et monsieur le baron me demanda de libérer Anaïs et Sandrine pour qu’elles fussent à mes pieds au moment de mon acceptation.
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